LES CATALANS DU FC BARCELONA DE MARC SABATES //*//

ESPAGNE● Supercoupe: le Real peut-il profiter de labourde de
Valdes? Le Real Madrid peut-il surmonter ses doutes naissants pour
l’emporter ce soir (22h), à Santiago-Bernabeu, en match retour de la
Supercoupe d’Espagne face au Barça ? Pour lever ce trophée, une victoire
1-0 suffirait aux Merengue qui, à l’aller, ont profité d’un cadeau
inespéré du gardien catalan Valdes. Reste à savoir si les hommes de
Mourinho, en plein doute après leur défaite (2-1) contre Getafe dimanche
en Liga, seront capables de se remobiliser. Sur les sept derniers clasicos
disputésàMadrid, le bilan est de cinq victoires pour Barcelone et
deux matches nuls

Xavi : «On aurait pu gagner cette Supercoupe»

Xavi, le milieu de terrain du FC Barcelone, reconnaissait que son équipe n'était pas loin de remporter le premier trophée de la saison en Espagne, après avoir joué à dix contre onze pendant plus d'une heure face au Real (2-1) en Supercoupe.
Xavi (FC Barcelone) : «On a bien réagi (après les deux buts) et on aurait pu gagner cette Supercoupe d'Espagne. On a perdu un titre mais il reste encore les plus importants. Il faut se remobiliser et penser au match de Liga dimanche (contre Valence).»

Gerard Piqué (FC Barcelone) : «Ils ont très bien démarré, ont marqué deux buts et on a eu un expulsé (Adriano, à la 27e minute). Après, on a très bien joué en seconde période. On doit mieux commencer nos matches mais avoir tenu la comparaison ici à 10 contre 11 nous donne beaucoup de mérite.»

Andrés Iniesta (FC Barcelone) : «Les deux buts et l'expulsion nous ont beaucoup pénalisés, d'autant que ce n'est pas facile de jouer à dix à Santiago Bernabeu. Mais on aurait pu, comme le Real, gagner ce titre. On ne parle jamais d'erreurs individuelles, c'est toujours quelque chose de collectif et contre un rival comme le Real qui joue aussi bien en contre, les erreurs se paient cash. On félicite le Real pour ce titre, mais on ne baissera pas les bras.»

Tito Vilanova (entraîneur du FC Barcelone) : «La première chose que je voudrais faire, c'est féliciter le Real. Ils nous ont cueillis à froid pendant les premières minutes, ont eu des occasions et ont marqué deux buts. Je suis fier de mes joueurs parce qu'en seconde période, à 10 contre 11, on a eu cinq occasions de but. Ce n'est pas un coup psychologique. On aurait préféré gagner, mais il reste encore beaucoup d'échéances, à commencer par la Liga dimanche.»

Aitor Karanka (entraîneur-adjoint du Real Madrid) : «On aurait pu marquer plus de buts. Je crois qu'en première période, si nous avions concrétisé toutes nos occasions, nous aurions pu décrocher un résultat plus large. Mais l'important est que nous ayons gagné le titre.»

Cristiano Ronaldo (Real Madrid) : «Nous sommes très bien entrés dans la rencontre avec ces deux buts inscrits rapidement. Cela nous a donné beaucoup de confiance. On a un peu baissé de pied en seconde période car nous étions plus fatigués. Ce titre va donner confiance et on doit le savourer, mais il faut avancer. On a plus le droit à l'erreur (en Liga) et on sait qu'il faudra être à 100%.»

Abidal dans les 25
Le 04/09/2012 | Mis à jour le 04/09/2012 18:42:09

Le FC Barcelone a transmis à l'UEFA la liste des 25 joueurs qui disputeront la première phase de la Ligue des champions. Parmi eux, un certain Eric Abidal (32 ans). Le défenseur français, transplanté du foie en avril dernier, a repris depuis plusieurs semaines les séances d'entraînement en salle. Il n'a plus joué de match officiel depuis le 29 février et la victoire de l'équipe de France sur le terrain de l'Allemagne (2-1).

La liste du Barça en C1
Valdes, Pinto, Olazabal - Alves, Piqué, Puyol, Bartra, Alba, Montoya, Abidal, Fontas - Fabregas, Xavi, Iniesta, Alcantara, Dos Santos, Mascherano, Busquets, Adriano, Song - Villa, Sanchez, Messi, Pedro, Cuenca.

LES AUTRES MATCHES
Messi sauve le Barça Si les Lillois sont tombés dans le piège des Biélorusses, le
grand FC Barcelone n’est pas passé loin de se faire surprendre
par plus petit que lui, à savoir le Spartak Moscou. L’affaire était
mal embarquée après un malheureux but contre son camp de
Dani Alves. Mais Messi a sauvé les meubles en égalisant à vingt
minutes du terme, puis en signant le troisième but catalan, portant
le score à 3-2. Dans le choc du groupe E, Chelsea n’a pu faire
mieux qu’un nul, 2-2 face à la Juventus Turin, tandis que Donestk
battait facilement les Norvégiens de Nordsjalland, 2-0, avec un
doublé de Mkhitaryan. De leur côté, les Munichois de Franck Ribéry
ont assuré l’essentiel en venant à bout de coriaces Valencians,
2-0, avec une réalisation de son milieu offensif Bastian Schweinsteiger.
Aly Cissokho et Adil Rami, les deux Bleus alignés chez les Espagnols
n’ont rien pu y faire... Manchester United a fait l’essentiel
sur la pelouse d’Old Trafford, 1-0 face aux Stambouliotes de Galatasaray,
et Cluj s’en allait battre Braga 2-0, en terre portugaise

Barcelone, la douche écossaise

Le Celtic a joué le match de sa vie. Mis à jour le 8 novembre 2012 à 07h19
Epique ! Malgré une nette domination, matérialisée par une possession de 72% et 25 tirs au but, Barcelone s'est incliné face au Celtic Glasgow (2-1), mercredi, lors de la quatrième journée de Ligue des champions. Les Catalans restent néanmoins en tête de leur groupe mais devront patienter pour valider leur probable qualification.


Une soirée de rêve ! Des chants à faire frissonner, une ambiance incroyable, un Barça dominateur mais, surtout, un Celtic vainqueur. Le public du Celtic Park s’est sans doute régalé comme rarement et peut remercier un Forster de gala dans les buts ainsi que le petit brin de réussite nécessaire à ce genre de performances. Car outre l’entêtement du Barça à insister dans l’axe, le poteau et la barre ont aussi sauvé leur équipe… Il fallait ça car comme à son habitude, le Barça confisque d’entrée le ballon à une formation qui impose son style basé sur le physique, un brin de rugosité et de longs ballons à destination de Miku et Samaras.

Une tactique rapidement payante car si Xavi (6e) et Messi (8e) se chauffent les crampons, suite à un corner frappé par Mulgrew, Wanyama jaillit au second poteau pour ouvrir le score d’un joli coup de boule (1-0, 21e). Le Celtic Park entre en ébullition et rugit déjà de plaisir. D’autant que le Barça se casse les dents sur les deux lignes de quatre d’un Celtic qui a tout de même tendance à défende bien trop bas. Les Barcelonais ne sont cependant pas payés puisque suite à un exploit individuel, Messi frappe sur la transversale (29e), Xavi manque le cadre (33e) tandis que Sanchez dépose une tête sur le poteau d’un Forster clairement battu (37e). Qu’importe la manière et même avec 72% de possession pour l’adversaire, les supporters jubilent !

Watt, 18 ans et buteur !

La détermination… défensive de leurs héros se poursuit évidemment après la pause. Le schéma de jeu est clairement établi, le Barça pousse mais sans parvenir à trouver la faille. Il y a bien cette tête de Pedro (51e), cette frappe enroulée signée Messi (56e) ou cette double parade d’un Forster énorme face à Sanchez (60e), rien n’y fait. Tito Vilanova change alors ses munitions et lance Villa (65e) puis Pique et Fabregas (71e) pour tenter d’enfin percer le coffre-fort du Celtic.

Mais si les espaces se multiplient, c’est aussi parce que les Espagnols écartent davantage plutôt que d’insister dans un axe totalement embouteillé. Ils n’en profitent pas avec des tentatives hors cadre d’Iniesta (77e) puis de Villa (79e). Et alors que le coup franc de Messi est stoppé par Forster (83e), le match va définitivement pencher en faveur des Ecossais. Car sur le dégagement, le ballon fuse, Watt, 18 ans et premier match en Ligue des champions !, en profite et vient tromper Valdes d’une frappe croisée (2-0, 83e) ! Cette fois, le Celtic Park explose pour de bon. Et le but dans le temps additionnel signé Messi (2-1, 90e+1) ne fait que retarder l’échéance. Le dernier frisson sur l’ultime offensive catalane est rapidement oublié. L’exploit est au bout pour une formation du Celtic qui conforte sa deuxième place dans le groupe G. Pour le Barça, il faudra retenir cette leçon et patienter encore un peu avant de valider le billet pour les huitièmes de finale.

Liga: Barcelone corrige l'Atlético Madrid
Le FC Barcelone s'est imposé dimanche lors du choc de la 16e journée de Liga qui l'opposait à son dauphin, l'Atlético Madrid (4-1). Menés au score suite à un nouveau but signé Falcao (31e), les Catalans ont ensuite récité leur football, marquant à quatre reprises par Adriano (36e), Busquets (45e, +1) et Messi (58e, 88e). Voilà les hommes de Tito Vilanova avec neuf points de plus que les Colchoneros, le Real Madrid étant lui relégué à treize longueurs.

FC Barcelone Le Barça conserve son joyau


La prolongation du contrat de Leo Messi est une déclaration d'amour du Barça à son attaquant-vedette. Et une déclaration de guerre du géant catalan aux nombreux courtisans du triple Ballon d'Or... réagir

Incroyable Barça...

Mal embarqué après son revers à l'aller (0-2), le Barça a su retrouver de sa superbe pour renverser la vapeur face au Milan (4-0) et valider son billet pour les quarts de finale de la Ligue des champions.

On disait le Barça amorphe. Voire perdu depuis le départ de son coach, Tito Vilanova, pour New York, où il soigne un cancer. Etincelant et ultra-dominateur face au Milan, ce mardi en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions (4-0), le club catalan a pourtant prouvé qu'il n'avait pas perdu en quelques semaines tout le talent qu'on lui reconnaissait depuis plusieurs années. D'un simple revers de main, il a balayé ce triste visage affiché ces derniers temps, et qui lui a valu de concéder trois revers (Milan à l'aller et deux fois le Real) en cinq matches, soit autant que lors de ses... 39 premières sorties officielles de la saison.

Fulgurant dans ses mouvements, avec un jeu de passes cette fois tourné vers l'avant et un pressing aussi haut qu'incessant, le Barça a littéralement étouffé son adversaire, pourtant recroquevillé devant son but. Et mis à mal les statistiques, qui ne lui donnaient au coup d'envoi que 19% de chances de se qualifier. Comme (très) souvent, il a aussi pu s'appuyer sur un Lionel Messi digne de son rang. D'un bijou de frappe enroulée en pleine lucarne, le quadruple Ballon d'Or en titre a d'abord mis les siens sur la voie royale (5e). Avant de les remettre à hauteur, sur les deux matches, d'un enchaînement crochet-frappe du gauche chirurgical (39e). Avant cela, Abbiati avait dû sortir le grand jeu pour empêcher tour à tour Iniesta (13e) et Xavi (17e) de doubler la mise.

Niang manque le coche

Le Milan aurait pu aussi changer la physionomie du match sur un contre éclair qui a vu le jeune M'Baye Niang se présenter seul face à Valdés. Mais l'ancien Caennais a trouvé le poteau (38e). Un tournant, surtout que Messi doublait la mise juste derrière. Tout simplement dépassé, le Milan a logiquement bu la tasse après la pause. Bien servi par Xavi, longtemps incertain mais finalement excellent, Villa, aligné dès le coup d'envoi, a trouvé la lucarne opposée du pauvre Abbiati d'une belle frappe enroulée du gauche (55e). Un but synonyme de qualification pour les Catalans puisque le Milan, malgré plusieurs situations, dont une frappe à bout portant de Robinho repoussée par Jordi Alba (82e), ne parviendra jamais à inscrire ce petit but qui l'aurait envoyé en quarts. C'est au contraire ce même Alba, dans le temps additionnel, qui a mis un terme à tout suspense (90e+2). Au vu de la performance de son adversaire, le club lombard n'aura pas franchement de regrets à nourrir. Il est tout simplement tombé, ce mardi soir, sur beaucoup plus fort que lui.

Les joueurs étaient dépitésLe FC Barcelone a laissé le PSG revenir deux fois au score mardi soir (2-2). Les joueurs du club catalan, Alba ou Daniel Alves en tête, étaient très déçus dans les couloirs du Parc des Princes.Pas fiers, les Catalans ont fait grise mine après la partie. (


Ils est étonnant de voir combien les analyses des joueurs et de leur entraîneur peuvent diverger. Alors que Carlo Ancelotti était très déçu, les Parisiens bombaient le torse après le match face au FC Barcelone (2-2). En face, le fossé était le même : Jordi Roura se félicitait d’avoir ramené un nul du Parc des Princes tandis que les Catalans avaient la tête basse. «Ce n’est pas un super résultat. Nous avions aussi ramené un mauvais score de Milan en huitièmes de finale aller (0-2), lâchait même Jordi Alba. Et puis, ça sera difficile au retour sans Lionel Messi ni Javier Mascherano.» «Ces deux blessures sont encore pires que le résultat, confirmait Sergio Busquets. En défense, nous sommes déjà un peu courts… 2-1, ça aurait été un bon résultat. Là…»
«Nous sommes déçus. Nous nous attendions à faire un match différent de ce qu'on a vu. On les laisse revenir deux fois au score !» pestait Daniel Alves. Passeur décisif sur l’ouverture du score de Messi, Daniel Alves faisait aussi la moue. «Nous sommes déçus. Nous nous attendions à faire un match différent de ce qu’on a vu. On les laisse revenir deux fois au score !» pestait le Brésilien. «C’est vrai que nous méritions mieux avec tout ce travail abattu. Mais à ce niveau, il ne faut rien laisser passer. La Ligue des champions, ce ne sont que des grosses équipes», rappelait David Villa.

Faire un match nul 2-2 à l’extérieur comblerait bien des équipes, mais pas ce Barça-là. «Nous avons un groupe qui a toujours envie de gagner», a ensuite expliqué l’attaquant international espagnol tandis que Busquets a parlé d’une «très grosse envie de se reprendre au retour, avec un super public derrière l’équipe». Paris est prévenu : c’est un Barça vengeur qui l’accueillera mercredi prochain au Camp Nou. L’équipe catalane aime tellement gagner qu’elle considère un nul comme une défaite

Créé le 11/04/2013 - 07:52
Barça-Pedro: "Messi, c'est le numéro un"
L'entrée en jeu de Lionel Messi, mercredi soir, sur la pelouse du Camp Nou, a changé la physionomie du quart de finale retour de Ligue des champions entre Barcelone et le PSG (1-1). Tous les acteurs l'ont reconnu sans difficulté, à commencer par son coéquipier Pedro, interrogé à la télévision espagnole: "Messi a fourni un gros effort pour être avec nous. C'est un joueur très important pour l'équipe. Il a travaillé très dur cette semaine et a pu nous donner un coup de main. Nous tenons à le remercier et à le féliciter pour tout ce qu'il a fait pour être prêt pour le match. C'est le numéro un. Nous avons senti sa présence sur le terrain, il nous a portés". Le directeur sportif du Barça, Andoni Zubizarreta, a lui aussi rendu hommage au joueur, meilleur buteur de la C1 ces quatre dernières années. "Nous savons tous ce que Messi a apporté, en termes de football, par sa capacité à intimider les adversaires et par sa capacité à créer du liant avec les autres", a-t-il déclaré à la chaîne Canal Plus Espagne.

Ronaldo juge "Messi un peu au-dessus"
Ronaldo, ambassadeur du Mondial 2014 au Brésil, est en Europe pour faire la promotion de la prochaine Coupe des Confédérations, qui se disputera également dans son pays du 15 au 30 juin. "El Fenomeno", de visite dans les locaux du journal espagnol Marca, en a profité pour faire le tour de l'actualité footballistique. "J'imagine une finale de Ligue des champions entre le Real Madrid et Barcelone. Je supporterai Madrid", a avoué l'ancien buteur de la Selecao. Le joueur, qui a évolué dans les deux clubs espagnols, se méfie tout de même des équipes allemandes et notamment du Bayern: "Munich a démontré cette saison que son équipe est spectaculaire. Ils seront très durs à jouer, ils ont un niveau assez proche de celui du Real et du Barça." Enfin, sur le duel à distance entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, le Brésilien a un avis très tranché: "Les deux sont excellents, loin devant les autres. Mais pour moi, Messi est un peu au-dessus. Cristiano est aussi exceptionnel, mais quand tu as dans ta génération un joueur comme Messi, qui gagne chaque année le Ballon d'Or Fifa, ça doit être très frustrant. A mon époque, nous étions plusieurs à pouvoir le remporter, c'était plus ouvert. Il y avait Zidane, Rivaldo, Ronaldinho, Figo, et même des surprises comme Owen ou Cannavaro l'ont gagné."

C1 - Demies
Vilanova : «On aurait aimé faire mieux»
Lourdement battu par le Bayern Munich (3-0) mercredi au Camp Nou, en demi-finale retour de la Ligue des champions, le Barça n'a pourtant «pas baissé les bras» lors de cette opposition, selon l'entraîneur catalan Tito Vilanova. (Photo Reuters)
Tito Vilanova (entraîneur de Barcelone) : «Je veux féliciter le Bayern pour son accession en finale et pour son niveau lors de cette demi-finale, et remercier le public qui nous a aidés jusqu'au bout. On n'a pas baissé les bras mais après le premier but, on savait que c'était impossible. Le Bayern a été très fort physiquement, nous on a des joueurs qui ne se sont pas beaucoup entrainés à cause des blessures. On aurait aimé faire mieux mais on ne peut pas gagner tout et tout le temps. Et le match aller a beaucoup pesé. En ce qui concerne les sorties de Xavi et Iniesta, le résultat était alors acquis. Xavi a eu beaucoup de blessures, je me suis dit qu'on avait un match important en Liga. Il faut encore la gagner. Si le résultat avait été différent, peut-être que je ne les aurais pas sortis. On fera notre auto-critique, en interne. On n'a pas fait la demi-finale que tous espéraient. Il faut s'améliorer. (Sur l'absence de Messi) Il a joué samedi à Bilbao, il se sentait mieux, il n'avait pas de mauvaises sensations. Mardi, il s'est entraîné et il ne se sentait pas bien. Il a pensé qu'il ne pourrait pas aider l'équipe. Il ne pouvait pas être explosif. On a décidé qu'on verrait aujourd'hui. On a parlé, avec le médecin aussi. Et on a décidé ensemble. Il ne se sentait pas bien. Il était sur le banc au cas où il aurait pu aider l'équipe mais ça n'a pas été le cas.»

Gerard Piqué (défenseur du FC Barcelone, au micro de Canal + Espagne) : «Quand une équipe montre tant de supériorité, on ne peut que la féliciter. Nous n'avons pas mal joué en première période, mais quand tu prends un but si rapidement en seconde période, tu es très touché moralement. Ce n'est pas agréable de vivre une telle situation. (Au sujet de l'absence de Messi) C'est sûr que sans le meilleur joueur du monde, ce n'est pas pareil, mais je ne crois pas que cela aurait changé la donne, je pense que le résultat aurait été plus ou moins le même.»

Xavi (milieu de terrain du FC Barcelone, au micro de Canal + Espagne) : «L'équipe a essayé, surmonter un 4-0 était pratiquement impossible et avec le but de Robben ça l'est devenu en pratique. Le Bayern a été supérieur. Ils maîtrisent tous les aspects du football, techniquement ils sont très bons, physiquement très forts et mentalement supérieurs. Les absences de Puyol, Abidal, couplées avec aujourd'hui celles de Busquets et Messi, ne sont pas une excuse, mais elles ont miné notre collectif.»

Neymar a signé au FC Barcelone pour 57,8 millions d'euros et un contrat de 5 ans !!

Tommy Allez l'O.M a écrit:

Neymar a signé au FC Barcelone pour 57,8 millions d'euros et un contrat de 5 ans !!

ET IL A ETE ACCUEILLI AU NOU CAMP PAR 50 000 SOCIOS
ENORMEEEEEEEEEEEEEEEEE

bienvenou a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:

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Pourquoi ne pas faire pareil au stade Vélodrome pour acceuillir nos recrues?

Tommy Allez l'O.M a écrit:

bienvenou a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:

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Pourquoi ne pas faire pareil au stade Vélodrome pour acceuillir nos recrues?

oui pourquoi pas

Barça: Villa à l'Atletico Madrid

Courtisé par André Villas-Boas à Tottenham, David Villa va rejoindre l'Atletico Madrid. Le FC Barcelone a trouvé un accord avec le club madrilène pour un transfert du meilleur buteur de l'histoire de la sélection espagnole (56 buts). Le Barça touchera au mieux 5,1 millions d'euros dans cette opération, plus 50% d'une éventuelle revente de l'ancien Valencian: 2,1 millions d'euros dès cet été, deux de plus si Villa est conservé l'été prochain par l'Atletico et encore un de de plus si l'attaquant espagnol dispute une troisième saison avec le club madrilène. Arrivé à l'été 2010 en Catalogne à l'issue de la Coupe du monde remportée par la Roja, Villa, barré à Barcelone par l'arrivée de Neymar, a inscrit 48 buts en 119 matches sous le maillot blaugrana dont 33 en Liga et huit en Ligue des champions.

[*]
Créé le 01/08/2013 - 15:58
Barcelone-Neymar: "Messi est le meilleur joueur du monde"

Alors qu'il a disputé son premier match sous ses le maillot blaugrana mardi dernier en match amical contre le Lechia Gdansk (2-2), le nouvel attaquant du FC Barcelone, Neymar, s'est exprimé ce jeudi sur sa relation avec le quadruple Ballon d'Or Leo Messi. "La relation avec Messi est merveilleuse. Je parle avec lui tous les jours et je peux vous assurer qu'il n'y a aucun problème. Messi est le meilleur joueur du monde et je suis là pour l'aider", a-t-il déclaré en conférence de presse. Les deux joueurs, qui ne se sont que croisés sur le terrain mardi - Neymar a fait son entrée une minute après la sortie de l'Argentin - devraient être pour la première fois alignés ensemble vendredi lors du Trophée Gamper à Barcelone, contre Santos, l'ancien club du Brésilien.

[*]
Créé le 01/08/2013 - 15:56

Le 29/08/2013 à 01:05:00 | Mis à jour le 29/08/2013 04:00:14

Foot- Espagne- Supercoupe Le Barça enlève le trophée sans gagner
Avec Neymar et Messi titulaires, mais sans gagner, le Barça a remporté la Supercoupe d'Espagne au détriment de l'Atletico Madrid. Les Catalans ont dû se contenter d'un nouveau nul (0-0), une semaine après le match à Vicente-Calderon (1-1) qui les avait placé en ballottage favorable.

Tous deux titulaires pour le match retour de Supercoupe d'Espagne, mercredi au Camp Nou, Neymar (en arrière-plan) et Messi n'ont quasiment jamais combiné. (Reuters)












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Le Camp Nou l'attendait, "Tata" l'a fait : non pas remporter le premier trophée de la saison en Espagne (quoi que), mais associer Lionel Messi et Neymar dès le coup d'envoi d'un match. En l'occurrence, le match retour de la Supercoupe d'Espagne, mercredi en fin de soirée, dans l'enceinte catalane (0-0). L'Argentin et le Brésilien ont joué ensemble pendant quatre-vingt dix minutes. Où plutôt, évolué côte à côte, parce que, niveau passes entre les deux, le compteur a failli être resté bloqué à zéro... Les supporters blaugrana devaient saliver à l'idée de cette association de dribbleurs. Les une-deux ou le jeu à une touche, le public l'a aperçu du côté de l'Atletico. Et cela aurait pu changer le cours de cette "finale en deux manches".

Messi rate un penalty
Juste avant la pause, en effet, une action léchée des Madrilènes permettait à Turan de se présenter face à Valdes. Ce dernier a réussi l'une de ses parades décisives de la soirée (42e), au même titre que sa claquette sur la frappe de David Villa (56e), son ex-coéquipier, buteur au match aller (1-1). La chance des Colchoneros était passée. Et la tension, déjà palpable depuis les premières minutes, notamment chez Messi, est montée d'un cran. Filipe Luis a été expulsé pour un nouvel accrochage, avec Alves (80e), et Godin aurait dû recevoir une sanction similaire pour avoir marché sur le même Alves (84e).

Les fautes et mauvais gestes ont continué, et l'arbitre en a eu assez : il a sifflé un penalty logique pour une faute de Miranda sur Pedro. Cette occasion de plier le match, Messi ne l'a pas convertie : son tir a heurté violemment la barre (90e). Pour clore le spectacle, Turan, depuis le banc, a trouvé le moyen de prendre lui aussi un rouge. Une fin en eau de boudin pour l'Atletico, qui n'a pas vraiment souffert face au Barça, mercredi. Il n'a cependant pas réussi à empêcher les Catalans de rafler cette Supercoupe pour la quatrième fois en cinq ans.

/ Foot
ESPAGNE

Nouvelle ère pour le clasico
Publié le Samedi 26/10/2013 à 06H10
Le Barça de Martino reçoit le Real d'Ancelotti (18 h). Une première pour les deux coaches


Empoisonné par une ambiance irrespirable sous l'ère Guardiola-Mourinho, le clasico entre le FC Barcelone et le Real Madrid, retrouve un nouveau souffle aujourd'hui, même si le public devrait encore être tenu en haleine par deux habitués, Leo Messi et Cristiano Ronaldo. Nombre d'acteurs ont changé, l'atmosphère s'est allégée, mais les enjeux subsistent pour le premier choc entre le Barça de Gerardo "Tata" Martino et le Real de Carlo Ancelotti.

Les Blaugrana, leaders invaincus de la Liga avec trois points d'avance sur les Merengue (3es), peuvent reléguer leur grand rival à six longueurs en cas de succès en fin d'après midi au Camp Nou. Les Catalans avaient signé un sans-faute lors des huit premières journées avant que leur élan ne retombe, avec deux nuls consécutifs contre Osasuna (0-0) en Liga et face au Milan AC (1-1) en Ligue des champions.

Quant aux Madrilènes, en plein doute début octobre, ils ont retrouvé des vertus collectives en signant deux succès prometteurs contre Malaga (2-0) puis la Juventus Turin (2-1). Invaincu depuis cinq rencontres face au club catalan, le Real a en outre l'occasion de revenir à sa hauteur au classement.

Neymar et Bale en bizuts

"Tout le monde pense que Barcelone est favori, mais pour nous ce n'est pas une mauvaise chose, a souri Carlo Ancelotti hier en conférence de presse. La clé, comme je l'ai dit, est d'avoir le courage et la personnalité de jouer au football, et pas seulement de défendre et d'attendre. Le caractère, c'est d'aller à Barcelone et d'essayer de jouer au football."

Si Ancelotti et Martino s'apprêtent à vivre leur premier clasico, les deux techniciens ont connu au cours de leurs carrières des derbys à la pression comparable, que ce soit les duels Milan AC - Inter pour l'Italien ou bien les chocs Newell's Old Boys-Rosario Central pour l'Argentin. Ils savent aussi toute la crispation et l'animosité qui ont accompagné les Barça-Real lorsque Pep Guardiola (2008-2012) puis Tito Vilanova (2012-2013) dirigeaient les Catalans et José Mourinho les Madrilènes (2010-2013).

Après 17 confrontations entre les deux clubs sur les trois dernières saisons, le climat semble un peu plus apaisé, même si la ferveur demeure, comme le souligne Neymar, qui va découvrir le choc au sommet du football espagnol. "C'est le match auquel tout joueur veut prendre part et montrer son meilleur football. Je veux faire de grands débuts, de préférence avec une victoire", a expliqué la recrue-vedette barcelonaise lors d'un entretien avec Barça TV.

Neymar et Gareth Bale devraient être les deux principaux bizuts sur le terrain. Ancelotti a d'ailleurs laissé entendre que le Gallois, acheté à Tottenham pour 91M€ selon le Real, était prêt à débuter, sans confirmer qu'il serait titulaire. Mais une fois encore, c'est surtout pour le duel entre l'Argentin Lionel Messi et le Portugais Cristiano Ronaldo que le Camp Nou retient son souffle...

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FOOTBALL ESPAGNE

Neymar écoeure le Real pour son premier clasico
Publié le Dimanche 27/10/2013 à 05H10

Félicité par Alves et Fabregas, Neymar a inscrit le premier but du Barça et illuminé de sa classe le clasico face au Real.
Photo AFP


L'attaquant brésilien Neymar, buteur et passeur pour son premier clasico, a illuminé le Camp Nou, hier, de ses dribbles et de ses feintes pour conduire le FC Barcelone à un succès (2-1) contre le Real Madrid.

La relève est là : le Brésilien de 21 ans a fait oublier le match très discret de Lionel Messi. Et il a mis au supplice l'arrière-garde du Real pour inscrire son troisième but en Liga d'un tir en force au milieu de quatre défenseurs (19). En fin de match, la recrue-vedette barcelonaise a lancé Alexis Sanchez dans l'espace, le Chilien a contrôlé, levé la tête et ajusté le gardien merengue d'un lob splendide (78). Jesé a sauvé l'honneur dans le temps additionnel sur un contre.

Ce succès permet au Barça, leader toujours invaincu de la Liga, de reprendre six longueurs d'avance sur le Real, troisième, et de mettre fin à une série noire de cinq rencontres sans succès contre son grand rival madrilène. Tout au long du match, les Merengues n'ont jamais su comment défendre sur les attaquants barcelonais ni mettre dans de bonnes conditions leurs deux flèches Cristiano Ronaldo et Gareth Bale, préféré à Karim Benzema dans l'équipe de départ. L'entraîneur madrilène Carlo Ancelotti avait pourtant tenté un coup tactique en alignant trois défenseurs centraux de métier et en plaçant Sergio Ramos en sentinelle devant la paire Varane-Pepe. À quoi son homologue Gerardo Martino a répliqué avec un Cesc Fabregas titularisé dans son rôle désormais habituel de "faux numéro 9" et un Lionel Messi exilé à droite en première période, sans doute pour étirer la défense. Mais contrairement aux clasicos précédents (18 buts en 25 matches), Messi n'a pas tenu le rôle-titre, dévolu à Neymar. Appels, combinaisons, dribbles, jeu à une touche, le Brésilien a tout fait.

Pour le premier clasico d'une nouvelle ère, sans José Mourinho sur le banc madrilène (2010-2013) ni, côté catalan, Pep Guardiola (2008-2012) et Tito Vilanova (2012-2013), le Camp Nou a déployé un message de soutien ("Força Tito") à son ancien entraîneur, contraint au départ pour soigner un cancer.


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Camp nou. Mi-temps : 1-0. Arbitre : M. Undiano Malleco.

Buts - Barcelone : Neymar (19), Sanchez (78). Real Madrid : Jesé (90+1).

Avertissements - Barcelone : Busquets (, Adriano (35). Real Madrid : Ramos (14), Bale (45), Khedira (59), Marcelo (64), C. Ronaldo (80).

FC Barcelone : Valdes - Alves, Piqué, Mascherano, Adriano - Xavi (cap.), Busquets, Iniesta (Song, 77) - Messi, Fabregas (Sanchez, 70), Neymar (Pedro, 84).

Entraîneur : Gerardo Martino.

Real Madrid : Lopez - Carvajal, Varane, Pepe, Marcelo - Khedira, Ramos (cap.) (Illarramendi, 56), Modric - Bale (Benzema, 61), C. Ronaldo, Di Maria (Jesé, 76).

Entraîneur : Carlo Ancelotti.