PLUS BELLE LA VIE

PLUS BELLE LA VIE EN MEDITERRANEE ET
TOUT CE QUI TOUCHE AU CARICATIF SAUVONS DES VIES
SAUVONS NOTRE PLANETE ECOLOGIE RECOMMANDEE

ET EN PLUS IL AIDE SON PROCHAIN

BRAVO

mes amis
les clubs de foot sont des paniers très speciauX
ou les gens y sont teleguidés ...........

et il ne faut jamais y attendre de la reconnaissance
et avoir sa conscience pour soi

mais lorsque je lis qu'elie a des interets occultes
et je sais qu'il a posé 30000 euros pour aider le club socc pour passer
la dncg en juin 2008
je me dis c'est fort cela
enfin DROLE DE MONDE

MAIS JE ME DIS AUSSI

PLUS BELLE LA VIE
AMITIES
ELIE

TRIBUNAL AFFAIRES FAUX DOCUMENTS ARGENT DETOURNE

VITE...OUVREZ LES FENETRES CA SENT LE POURRI DANS LE FOOT
CA DEVIENT IRRESPIRABLE
ET ALLUMEZ MOI LE TELE QUE JE REGARDE PLUS BELLE LA VIE

Il ne fait pas bon être ancien président du Paris SG. Selon Le Parisien, le parquet de Paris recommande de renvoyer Laurent Perpère et Francis Graille ainsi que quinze autres personnes devant le tribunal correctionnel dans l’affaire des transferts frauduleux du club de la capitale pour « altération de documents, non déclaration de salaires de joueurs et usage de faux ».

Le club, en tant que personne morale, et l’équipementier Nike sont également concernés. Reste désormais à savoir si le juge d’instruction chargé de l’affaire, M. Van Ruymbeke, de valider cette décision à titre définitif.

Sommet de la Méditerrannée: le coût du dîner entre 7000 et 7500€

DEPENSES PUBLIQUES

Sommet de la Méditerrannée : la note s'élève encore

Le député PS René Dosière chiffre le coût du dîner lors du sommet de la Méditerrannée "entre 7.000 et 7.500 euros" par personne. La Cour des comptes, qui le chiffrait à 5.367 euros, a oublié de prendre en compte la location du Petit Palais
Le député PS René Dosière a de nouveau dénoncé jeudi 6 novembre, lors de l'examen des crédits "Pouvoirs publics" pour 2010, le coût du dîner des chefs d'Etat du 13 juillet 2008 à Paris, l'estimant désormais "entre 7.000 et 7.500 euros", ce qui ne correspond pas au calcul de la Cour des comptes.
La Cour des comptes chiffre le coût de ce dîner (aménagement des lieux compris), qui a réuni les chefs d'Etat lors du sommet de la Méditerranée, "à 5.367 euros par personne, mais la Cour a oublié, comme elle le reconnaît elle-même, de prendre en compte le coût de location du Petit Palais, qui est de l'ordre de 359.000 euros", a affirmé René Dosière.
"Le folie des grandeurs"

Dans son rapport, la Cour chiffre ce dîner à "5.362 euros par invité": "62.181 euros pour la restauration (soit 310 euros par invité, coût conforme à celui d'un invité à l'Hôtel du ministre des affaires étrangères) auxquels s'ajoutent 1.010.256 euros en aménagements, soit un total de 1.072.437 euros pour 200 personnes, soit 5.362 euros par invité".
"De plus, écrit la Cour dans son rapport, le coût du cocktail dînatoire du cadre technique avoisinerait 79.687 euros en aménagements et 19.956 euros pour la restauration (soit 99.643 euros pour 300 personnes). A ces coûts doit être ajoutée une partie de la location signée le 8 juillet avec la Ville de Paris (339.510 euros)".
René Dosière a calculé que "si on rajoute le coût de location du Petit Palais, on arrive à un coût par invité entre 7.000 et 7.500 euros".
Rapporteur du budget "Direction de l'action du gouvernement", Jean-Pierre Brard (app-PCF) a lui déploré "la folie des grandeurs" de ce sommet et, en plaisantant, il a fait un parallèle avec les fastes du Shah d'Iran à qui "ça n'a pas réussi".

"Tout cela est un peu cher"

Concernant les deux repas (le dîner du 13 et le déjeuner du 14), Jean-Pierre Brard a estimé le coût du dîner à plus de "5.000 euros par chef d'Etat mais toutes les dépenses n'ont pas été prises en compte". Le déjeuner a coûté "pas tout à fait 4.000 euros par chef d'Etat", selon lui.
"Tout cela est un peu cher", a ajouté ironiquement Jean-Pierre Brard, en regrettant l'absence de Centre international de conférences "digne de ce nom" pour réduire les coûts.
En réponse, le ministre des Relations avec le Parlement, Henri de Raincourt, a soutenu que "la recherche était engagée en vue de l'installation à Paris d'un centre digne de ce nom, qui aurait comme avantage d'éviter d'avoir à aménager des locaux comme le Petit et le Grand palais". Le problème, selon lui, "sera résolu lorsqu'il y aura une installation pérenne".

C QUI EST ECRIT PLUS HAUT C MIEUX QUE LES MILLE ET UNE NUITS

UNE FAMILLE IDEALE...
LE GRAND PERE
LA GRAND MERE
LE PERE
LA MERE
ETC...

PERSONNE NE SAIT SI LES 450 000 EUROS VONT ETRE REVERSES AUX PAUVRES.............

son bracelet l'empeche pas d'ecrire
à moins qu'il le fasse faire à des nègres



UN NOUVEAU LIVRE À L’AUTOMNE
"Coach Courbis"
retrouve la plume


Son nouvel opus sortira fin
octobre - début novembre


Depuis quelques années, Rolland
Courbis est devenu "Coach
Courbis". L’ancien joueur et entraîneur
de l’OM a hérité de ce
surnom grâce à ses émissions
quotidiennes sur les ondes de
RMC, où il prêche la bonne parole,
prodigue ses conseils, donne
son avis sur l’actualité du ballon
rond et lance quelques tacles
bien sentis lorsqu’il en ressent le
besoin. Depuis la dernière Coupe
du monde, il intervient également
sur BFM TV, chaîne qui appartient
au même groupe que
RMC.
Malgré cette boulimie médiatique,
Rolland Courbis n’est pas
rassasié pour autant. En dépit de
rumeurs persistantes l’envoyant sur différents bancs de Ligue 1
(on a parlé de Nice, d’Arles-Avignon...), son avenir immédiat ne se
situe pas au bord des terrains ("Je n’ai pas le temps, ni l’envie",
explique-t-il ). Trois ans après la parution d’un premier bouquin
"Pourquoi mentir" (éditions Michel Lafon), Courbis prépare un
nouvel opus.
Cette fois, il ne s’agira pas d’une autobiographie, mais d’un livre
où il évoquera le... football. Il s’intitulera "Les coïncidences de
Coach Courbis".
"J’ai été cinq mois dans un endroit où j’ai eu le temps de réfléchir
(il fait référence à son séjour en prison, ndlr), confie-t-il. Dans
ce livre, je vais parler du foot, de son passé, du présent et de l’avenir,
avec l’année 1966 comme point de départ jusqu’à aujourd’hui.
Je vais également évoquer le système, ce qui se passe en équipe de
France, mais aussi l’avenir de ce sport. Je constate et je déplore
beaucoup trop de choses pour ne pas les signaler."
La sortie des "Coïncidences de Coach Courbis" est prévue fin octobre
- début novembre. Ça promet de décaper si le "coach" se
montre aussi vigoureux et saignant dans ses écrits que lors de ses
interventions radiophoniques et télévisées

"Plus belle la vie" :
l'esprit d'équipe
Le magazine "Enquêtes spéciales
" s'est immergé au coeur du Mistral

Chaque jour, ils sont plus d'une centaine (comédiens, techniciens...) à se rendre aux studios pour y travailler et 96% d'entre eux sont issus de la région
marseillaise, comme la majorité des comédiens

Pour son deuxième numéro,
le magazine "Enquêtes
spéciales" de France 2 se
glisse le temps d'un reportage
dans les coulisses de "Plus belle
la vie". Retour sur la genèse, le
succès et la mécanique bien
huilée du feuilleton à succès de
France 3.
Six millions de fidèles
À l'antenne depuis 2004, "Plus belle
la vie" est devenu au fil des
années un véritable phénomène
de société. Près de six millions de
fidèles suivent chaque soir les
aventures des habitants du Mistral.
"Nous ne pensions pas au début
que ça prendrait une telle ampleur
et, surtout, que nous serions
encore là six ans plus tard", confie
Cécilia Hornus l'une des comédiennes.
L'atout temps
Et pour cause : les premières audiences
sont catastrophiques. Une
déconvenue étonnante pour les
producteurs et les responsables
de la chaîne qui, on le voit dans le
reportage, sabraient déjà le champagne
lors du visionnage du premier
épisode ! Mais comme le rappelle
peu après la productrice Michelle
Podroznik : "Les dirigeants
ont laissé le temps à la série de
trouver son audience, c'est l'atout
du service public". Une stratégie
payante. Les fans se bousculent
aujourd'hui près des studios du
feuilleton vedette de France 3.
La modestie des comédiens
Certains font même plusieurs centaines
de kilomètres pour apercevoir
leurs comédiens fétiches. "Ce
que j'aime, explique l'un des inconditionnels,
c'est qu'ils n'ont
pas la grosse tête." Il faut dire que
Michelle Podroznik avait d'emblée
donné le ton : "Vous n'êtes pas des
stars. On ne veut pas de gens qui tirent
la couverture à eux", expliquait-
elle aux acteurs lors d'une
ultime réunion avant le premier
tournage.
L'esprit d'équipe : c'est le leitmotiv
qui ressort de ce reportage, jalonné
d'images d'archives et de
confidences sur les secrets de fabrication
de la série. De la naissance
du projet aux premiers
coups de manivelle, en passant
par la création des décors de l'immense
studio et la quête éperdue
pour dénicher l'actrice qui incarnerait
Ninon... Les fans sauront
enfin tout ce qu'ils ont toujours
voulu savoir sur leur série favorite

"Enquêtes spéciales"
sur France 2 à 20 h 35

5 500 m2 de studios
Les studios de "Plus belle la vie"
à Marseille, les plus grands de
France, s’étendent sur près de 5
500 m2. Décorateurs, techniciens...
Chaque jour, ils sont plus
d’une centaine à venir y travailler
et 96% d’entre eux sont
issus de la région marseillaise,
comme la majorité des comédiens.

Coup de chaud
sur "Plus Belle La Vie"
Privés de climatisation
plusieurs jours, les studios
de Marseille ont souffert


Que calor !" Agitant un éventail
marron, Sylvie Flepp transpire.
La Mirta de Plus Belle La Vie a
eu chaud. Et, avec elle, toute
l’équipe du feuilleton vedette de
France 3. Car, pendant plusieurs
jours, le système de climatisation
du Pôle Média de la Belle-
de-Mai, à Marseille, est tombé
en panne. Et la réparation n’a
finalement pu avoir lieu que
hier en fin d’après-midi. Entretemps,
le matériel et les esprits
avaient eu le temps de s’échauffer...
"Il s’agissait apparemment
d’un problème informatique, la
carte-mère régulant tout le système
dans le bâtiment ayant
grillé", rapporte Serge Ladron
de Guevara, directeur de production
Telfrance Serie. Et de déplorer
"le manque de réactivité du
propriétaire qui n’avait pas de
système de secours. Nous avons
dû nous-même installer une climatisation
provisoire dans le local
de post-production, celui qui
a le plus souffert". Car si, dans
les studios, les conditions de travail
étaient devenues insupportables
pour les êtres humains,
c’est dans ce coeur stratégique,
pesant 1 million d’euros, qu’on
a craint le pire : "On se croyait
dans un film de guerre, surveillant
la température qui ne
cessait de monter. Celles des disques
durs ne doit pas dépasser
35º, on est allé jusqu’à 57º. Dans
ce local où on doit être autour de
15-16º, on était à 37º".
Hier soir, l’équipe de "PBLV"
respirait à nouveau. Dans tous
les sens du terme. "Mais cet incident
doit nous inciter à revoir notre
capacité d’autonomie",
concluait Serge Ladron de Guevara.