ALLEZ L"OM EN AVANT ....

C’est grave docteur ?
28-09-2009


Battu. La défaite de Valenciennes met en lumière les carences d’un groupe qui n’a pas su jouer en équipe et qui paie cash cette absence de cohésion.


Samedi soir, il y avait sur la pelouse de Nungesser deux groupes de joueurs. D’un côté, les Valenciennois, avec une organisation bien huilée. Une envie de prouver qu’ils étaient bien entrés dans leur saison après un succès net à Sochaux. De l’autre, des Marseillais qui ont oublié l’essentiel, à savoir que le football est avant toute chose un sport collectif.
Si Didier Deschamps a confessé ne pas avoir reconnu son équipe, il n’a pas été le seul. On peut même dire qu’à aucun moment, il n’y a eu une équipe de l’OM sur le terrain de Valenciennes. On a certes vu des hommes portant un maillot bleu ciel qui courraient après le ballon. Ils sont même arrivés à marquer deux fois. Mais de là à parler d’organisation collective, il y avait un fossé énorme.
En jouant de la sorte, sans liaison entre les lignes, il était clair que les Olympiens ne pouvaient aller qu’au devant d’une très mauvaise surprise. La réussite de Fernando Morientes et Mamadou Niang n’aura finalement été qu’un cache - misère car leurs coéquipiers n’ont pas su saisir les opportunités offertes par les deux buteurs de la soirée.
Comme s’ils avaient la tête ailleurs, ils n’ont fait qu’acte de présence face à une formation de Valenciennes qui a, elle, montré ce qu’il fallait faire pour produire du jeu. Et accessoirement gagner une rencontre. Même si ce voyage dans le Hainaut arrivait à quelques jours d'un autre à Madrid pour le compte de la Ligue des Champions, il y avait suffisamment d’enjeu dans cette septième journée de Ligue 1 pour motiver l’OM samedi.





Pas d’alternative crédible


La perspective de s’emparer, ne serait-ce que provisoirement, de la tête du championnat n’a visiblement pas suffi à mobiliser les troupes phocéennes. Cette prestation en dilettante montre en tout cas les limites actuelles d’un collectif qui, jusqu’à présent, avait su se faire violence pour compenser ses manques. Valenciennes a servi de révélateur. Certains joueurs avaient l’occasion de montrer qu’ils pouvaient être une alternative crédible en cas de forfait d’un cadre. Ils n’ont pas su la saisir.
Didier Deschamps pouvait être aigri. Il a voulu tenter un coup à Valenciennes mais s’est planté. Souhaitons que cet échec lui fasse comprendre que derrière la belle façade, il y a encore beaucoup de gros œuvre à abattre pour que cet OM, son OM, devienne une véritable machine à gagner. Désormais, c’est dans l’urgence qu’il doit réfléchir au moyen d’éviter le pire face au Real mercredi. Car, si son équipe a concédé 5 buts en deux matches face à Montpellier et Valenciennes, qu’en sera-t-il devant le rouleau compresseur « merengue » et ses 21 réalisations en 6 matches ?
La situation est donc grave. Mais pas désespérée.
Du moins, pas encore !
SOURCE
LA MARSEILLAISE

ALORS ENTONNONS NOTRE CHANT PATRIOTIQUE


A NOS ENFANTS DE LA PATRIE...LE JOUR DE GLOIRE N" EST PAS ARRIVE

ce serait important pour relancer lMARSEILLE de faire un résultat inatendu comme a LIVERPOOL
prendre 3 points lancerait la saison
moi j y crois un peu

MOI AUSSI J Y CROIS ... UN PEU AUSSI

8 JOURS ET 8 HUIT BUTS ENCAISSES ET TROIS DE RENDUS
BEAUCOUP DE DECHETS BREUCOUP DE RATES

LUCHO ET BEN ARFA TRES DECEVANTS ... SURTOUT DS LES DERNIERS GESTES
CA VA MAL


Après Valenciennes (2-3) et le Real (0-3), Marseille a concédé un troisième revers en huit jours contre Monaco (1-2). Les premières places s'éloignent (Lyon a six points d'avance, Montpellier trois). Le doute, sûrement pas.

Didier Deschamps a passé 99 minutes à faire la moue, dimanche (90 + 5 + 4 de temps additionnel !). Lui qui était venu à Marseille pour régler ses problèmes de sécurité défensive et de fébrilité à domicile doit bien constater que le chantier reste total, au double sens du terme. La défaite concédée contre Monaco (1-2), qui succède à celles de Valenciennes (2-3), présentée comme un accident, et à celle du Real Madrid (0-3), logique sur le papier, a révélé toutes les limites beaucoup plus profondes et fondamentales chez l'équipe phocéenne, désormais sixième à six points de Lyon (1er) et à trois de Montpellier (3e). Elle doute désormais, et tout ce qui se produit sur le terrain a alimenté une certaine retenue et une somme de mauvais choix.

Une première période indigne de ses prétentions a plombé l'OM, mené 0-1 à la 20e minute et 0-2 à la pause. Sous la pression d'un Vélodrome excédé (des «oléééé» dès la 45e...), Marseille a eu de l'orgueil et aurait parfaitement pu égaliser à l'énergie sans un très bon Ruffier. Le gardien de l'ASM ne s'est incliné qu'à la 86e sur un but de Niang, servi par Ben Arfa. La titularisation très intéressante de l'ex-Lyonnais, hyper dangereux en seconde période, est bien la seule chose que l'OM peut placer dans la colonne bonnes nouvelles. DD doit observer que son équipe est immature pour le 4-4-2 en losange qu'il a reproduit face à l'ASM. Avec quatre joueurs axiaux dans l'entrejeu (Cheyrou, Lucho, Mbia, Ben Arfa), l'OM a peu tenu le ballon et très mal occupé le terrain. Lucho cherche son poste et le rythme. Morientes, peu mobile, a souffert de la comparaison avec l'intelligence de jeu et l'explosivité de Park, dans le camp d'en face. Dans le jeu défensif, il y a encore quelques temps de retard. Avec la malchance en plus (barre de Cheyrou à la 63e, Diawara sorti sur blessure musculaire à la fin), le cocktail qui devait mener l'OM à l'échec a été détonant.

Ce résultat, cela dit, est autant une défaite olympienne qu'une victoire monégasque. Désormais quatrième, l'équipe princière, qui souffre de bien des absences dans une saison, confirme qu'il ne faut pas la chercher dans les soirées de gala. Même si Guy Lacombe a eu besoin de secouer ses hommes devenus passifs par séquence en seconde période, elle a proposé beaucoup de cohésion et de maturité collective, en 4-2-3-1. L'équipe, sans Gudjohnsen, remplaçant, est orchestrée par de vrais talents. Park, on l'a dit, auteur du deuxième but (42e). Mais surtout Nenê, qui a déréglé à lui seul la ligne de défense phocéenne, et qui a ouvert le score d'un splendide coup franc (20e). Monaco devance l'OM d'un point au classement. Guy Lacombe nous disait vendredi qu'il n'était «pas au bout de ses peines» dans son travail de construction à Monaco. Didier Deschamps non plus

le clin d'oeil de Gregorini
Publié le vendredi 16 octobre 2009 à 16H05


Gennaro Bracigliano forfait, Damien Gregorini gardera les buts nancéiens, demain soir contre l'OM. Tout comme l'an dernier, puisqu'il officiait dans les cages de l'ASNL sur la pelouse de Marcel-Picot.

"J’ai su répondre présent la saison dernière et je veux continuer cette année, explique l'ancien Olympien sur le site du club. Je ne ressens plus aucune douleur au doigt et me suis bien préparé cette semaine. Comme avant tous les autres matchs. Que je retrouve les gants contre l’OM, l’un de mes anciens clubs, est en tout cas un beau clin d’œil

OUI MAIS DES GANTS DE GARDIEN SIL TE PLAIT
...................GREGORINI...............OM


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L'OM relève la tête

Titulaire pour la première fois de la saison,
Valbuena a inscrit le premier but de l'OM et montré le chemin du succès.



Ouf ! Alors que la crise couvait et que les premières dissensions commençaient à se faire sentir, essentiellement au sein de la classe dirigeante, les joueurs de Didier Deschamps ont fait taire les sceptiques et ont apporté la meilleure des réponses, celle susceptible d'éteindre tout incendie : une victoire. Celle-ci les fuyait depuis trois rencontres et avait engendré une forme de scepticisme sur le réel niveau de cet OM, mouture 2009-2010.

Par la grâce d'un large et logique succès acquis à Nancy (3-0), les Olympiens ont arboré un visage séduisant que l'on n'avait plus vu depuis bien longtemps. Contrairement au dernier succès en date, face à Montpellier (4-2) au Vélodrome, l'OM aurait pu repartir de Lorraine avec un avantage bien plus conséquent.

Car Niang et consorts ont dominé de la tête et des épaules une bien pâle équipe nancéienne qui, excepté une frappe de Hadji repoussée par Mandanda juste avant l'ouverture du score signée Valbuena, n'a rien montré. L'ASNL était-elle si faible ? Ou a-t-elle été étouffée par des Marseillais requinqués ? Les hommes de Deschamps penchent évidemment pour cette seconde hypothèse.

Avec un Valbuena enfin titularisé, un Niang en verve ou encore un Abriel inspiré, ils ont livré une très belle prestation. Le premier but rapidement inscrit par Valbuena (5) leur a fait un bien fou. Après avoir gaspillé deux magnifiques occasions qu'il aurait dû convertir, Brandao a signé son troisième but de la saison, avant qu'Abriel n'enfonce le clou pour une première sous ses nouvelles couleurs.

A Nancy, les Marseillais ont montré qu'ils avaient de la ressource. Le retour au 4-5-1, si cher à Eric Gerets et snobé jusqu'ici par Deschamps, n'est sans doute pas étranger à cette bonne tenue. A retenir pour la suite qui intervient très rapidement, puisque, mercredi, l'OM joue son avenir en Ligue des champions, à Zurich, et que dimanche, le clasico face au PSG est programmé. Des rendez-vous que les Olympiens vont aborder l'esprit un peu plus léger.

QUOIQUE CERTAINS DISENT ...IL FAUT REGARDER LA VERITE ...EN FACE

MARSEILLE EST TROP INCONSTANT ET N "A PAS DE CERTITUDES

capable du meilleur comme du pire
je ressens les mêmes sensations que l'annee derniere
m^me si les espoirs d'une grande équipe etaient nés
mais ce n'est pas le cas actuelleement

Face à Toulouse (1-1), les Marseillais ont lâché deux points précieux dans la course au titre. Les coéquipiers de Mamadou Niang ont aussi perdu Lucho Gonzalez sur blessure. (Photos Presse-Sports)

En automne, les déconvenues se ramassent à la pelle du côté de Marseille. Et le Vélodrome devient le théâtre des désillusions olympiennes. L'OM a conclu son mois d'octobre comme il l'avait débuté : par une contre-performance à domicile. La défaite concédée face à Monaco (1-2) s'inscrivait dans la continuité de deux autres revers, à Valenciennes (2-3) et chez le Real Madrid (3-0). Le nul enregistré samedi soir, face à une équipe toulousaine séduisante et solidaire (0-1), est venu parachever une semaine mouvementée pour les protégés de Didier Deschamps. Le report du Clasico face au PSG leur avait pourtant offert quelques jours de récupération supplémentaires. Une aubaine ? Pas vraiment. Au lieu d'être bénéfique, ce repos forcé a eu le don de briser leur élan. Avant de perdre son troisième match de la saison en Championnat, l'OM venait d'en gagner deux. A l'extérieur.

Lucho, la tuile
Mais les succès acquis à Nancy (3-0) puis à Zürich (1-0) ont été balayés d'un revers de main par Moussa Sissoko. D'un coup franc surpuissant de 30 mètres, le milieu international du TFC a nettoyé la lucarne droite de Steve Mandanda (28e, 0-1). Depuis une vingtaine de minutes, son équipe jouait pourtant à dix. L'expulsion - sévère - de Yohann Pelé, pour une faute sur Mamadou Niang en dehors de sa surface, n'a paradoxalement pas profité à un OM maladroit au but. Sans Benoit Cheyrou, les Phocéens se sont bien créé des occases. Ils ont dû attendre le dernier quart d'heure pour en convertir une, lorsque le tir croisé de Brandao a enfin fait mouche (1-1, 75e). Le 4e but du colosse brésilien en L1 n'a cependant rien de salvateur : même s'il compte un match en moins, Marseille pointe ce soir à sept longueurs du leader bordelais. Il n'a plus gagné devant son public depuis le 19 septembre, face à Montpellier (4-2). Et puisqu'une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, Deschamps a aussi perdu Lucho Gonzalez. Victime d'une entorse à la cheville droite, le stratège argentin devrait être absent plusieurs semaines. Ça tombe mal, car celles qui viennent seront cruciales. Mardi, l'OM jouera sa peau en Ligue des champions face au FC Zurich. S'en suivront un déplacement à Lyon, la réception de Paris, puis un voyage à Milan...

C SUR 8 EME DERRIERE LORIENT MONTPELLIER VALENCIENNES AUXERRE MONACO
Y A ENCORE DU BOULOT

A plus d'une semaine de recevoir le PSG (le 20 novembre prochain), Laurent Bonnart ne considère pas que la prestation historique face à Lyon, dimanche dernier (5-5), donne une quelconque assurance avant le prochain choc : «On doit gagner contre Paris et on ne va pas débuter la rencontre en pensant aux deux points de plus que l'on aurait dû prendre à Gerland. A Lyon, on s'est fait rejoindre, on a réussi à égaliser mais contre Paris, il faut gagner. On va bien analyser les choses et faire les constats après Lyon. Dans deux ou trois jours on passera sur Paris. Mais ce n'est pas évident, il y a des joueurs qui sont partis en sélection. Il ne faut pas jouer ce match avant, c'est quand même dans dix jours», explique t-il sur le site officiel de l'OM. Quant à la 8e place au classement, le latéral droit de Marseille ne la considère pas irrémédiable : «Si nous sommes huitièmes, c'est que nous le méritons. Nous avons un match en moins qui n'est pas gagné. A nous de remonter au classement. Le retard n'est pas infranchissable. Le haut de tableau est groupé, le chemin est encore long. A nous de le rendre le plus positif possible.»

mamad marque un but d ecole initie par bonnart lucho et abriel

bravo LES GARS ALLEZ L"OM EN AVANT


FAITES PAREIL CONTRE LES GALACTIQUES

TROP IMMENSE

POUR ALLER GAGNER CETTE EUROPA LEAGUE
IL FAUT COMMENCER PAR COPENHAGUE

Didier Deschamps : «Evidemment que l'on aurait pu tomber sur pire,
Copenhague fait partie des équipes qui a priori, vu le niveau de l'Europa League, sont les moins renommées sur le plan international et européen même si c'est une équipe qui depuis le début des années 2000 gagne souvent son titre. Ils ont été champions l'an dernier, ils sont toujours premiers dans leur championnat.»

«Il y a une dominante athlétique quand je vois les tailles des joueurs qui composent cette équipe, avec certainement un jeu direct, spécifiquement nordique. Ce qui est réellement un avantage, c'est d'avoir le match retour chez nous, j'espère qu'on pourra en profiter. Après (en huitièmes de finale, ndlr),
c'est abordable. Benfica est un habitué des compétitions européennes, le Hertha Berlin un peu moins mais pensons d'abord à Copenhague».

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