DIVERS FOOT BLEU
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Re: DIVERS FOOT BLEU

2014 : quelle année pour les champions français ?
Midi Libre
01/01/2014, 13 h 29 | Mis à jour le 01/01/2014, 16 h 35
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La France gagnera-t-elle la Coupe du monde de football au Brésil en 2014 ? (© D.R)
L'année 2013 vient juste de se terminer, les enjeux sportifs de l'année 2014 pour les sportifs français et régionaux se profilent déjà à l'horizon. La France va-t-elle gagner la coupe du monde de football ? La MHSC va-t-il se maintenir en L1 etc..A travers dix questions les "sportologues" de Midi Libre s'engagent et donnent dix réponses.

FOOTBALL - Le MHSC se maintiendra-t-il ? - OUI


Le retour de Rolland Courbis devrait produire ses effets pour que Montpellier respire enfin dans un championnat étouffant (17e). La place du MHSC vaut mieux que la menace de la relégation.

FOOTBALL - La France gagnera-t-elle la Coupe du monde ? - NON
Débutée sur des bases alarmantes, 2013 s'est conclue en beauté pour l'équipe de France de foot avec un exploit en barrage retour contre l'Ukraine (3-0) et un tirage au sort particulièrement clément qui entretient l'espoir à sept mois du Mondial brésilien.
La France, malgré son modeste 19e rang au classement Fifa, a hérité du groupe le plus facile au 1er tour (E) avec le Honduras, la Suisse et l'Equateur et peut envisager une présence en 8e de finale. Après, tout reste possible... Mais imaginer les Bleus plus hauts, plus forts qu’ils ne sont vraiment, il ne faut pas exagérer...

FOOTBALL - Ribéry obtiendra-t-il le Ballon d’or ? - NON
Il le mériterait l’attaquant français du Bayern Munich. Ribéry a remporté la Ligue des champions, la Supercoupe d’Europe, le championnat et la Coupe d’Allemagne. Mais en face de lui comme principal concurrent, il y a le Portugais du Real Madrid, Cristiano Ronaldo. Il pourrait recevoir le Ballon d’or pour sa régularité à haut niveau depuis des années.

RUGBY - Montpellier se qualifiera-t-il pour les phases finales ? - OUI
Le MHR a pris du retard sur son tableau de marche malgré sa sixième place. Avec un recrutement ambitieux, il doit au moins conserver ce classement mais devra toutefois cravacher pour espérer enfin recevoir en barrages (3e et 4e places). Et réaliser un véritable exploit s’il veut obtenir l’une des deux premières places directement qualificatives pour les demi-finales.

BIATHLON - Martin Fourcade sera-t-il champion olympique? - OUI
Il y a quatre ans, il est revenu de Vancouver avec l’argent de la mass start. À Sotchi, le Catalan, fort du Grand chelem réalisé en 2013 et de sa première place au classement général de la Coupe du monde, a les moyens de se couvrir d’or. Il s’alignera dans quatre épreuves individuelles.

BASKET-BALL - Les Lattoises sacrées ? - NON
Finalistes du dernier championnat et vainqueurs de la Coupe de France, les filles de Valéry Demory mériteraient le titre suprême. Mais il y aura cette année encore les “Demoiselles” de Bourges sur le chemin pourtant rectiligne du BLMA. Aujourd’hui, les équipières de Gaëlle Skrela sont deuxièmes à un point derrière les... Berruyères et à égalité avec Villeneuve d’Ascq.

FOOTBALL - Nîmes se maintiendra-t-il en L2 ? - OUI
C’est en tout cas la mission qui a été confiée à René Marsiglia, le nouvel entraîneur, le 12e depuis 2002, qui a succédé à Victor Zvunka, limogé. Le technicien de 54 ans, qui a entraîné Ribéry à Alès, a déjà relevé de tels défis. À lui de redonner confiance à un groupe avant-dernier de Ligue 2 et qui compte quatre points de retard sur le premier non relégable.

VOLLEY-BALL - Les Béziers Angels sacrées ? - NON
Après avoir été vice-championnes de France de Ligue A en 2013 et qualifiées en Ligue des champions, les Angels de Béziers devraient logiquement viser le titre cette année. Seul bémol, les Biterroises manquent aujourd’hui d’expérience en raison de nombreux départs à l’intersaison. Mais le groupe de l’entraîneur Cyril Ong vise tout de même le trio de tête.

HANDBALL - Un titre pour Montpellier ? - OUI
Depuis 1998, le MAHB a toujours remporté au moins un titre par saison. Cette année, le club héraultais est en lice sur tous les tableaux. Il jouera début février le Final four de la coupe de la Ligue. En championnat, il est troisième, à deux points de Paris et de Dunkerque. Il est qualifié pour les 8es de finale de la coupe de France et jouera aussi la phase de groupe de la coupe EHF.

RUGBY - Le XV de France enfin d’attaque ? - NON
Quand on regarde dans le rétroviseur de l’année 2013, le XV de France de Philippe Saint-André n’a pas été à la fête. Plutôt à la défaite. Le bilan des 11 matches disputés (8 défaites, 1 nul, 2 victoires) et la manière avec laquelle les Bleus ont trop souvent perdu ne laissent rien présager de bon pour les VI Nations 2014. À moins qu’une formule magique...
internet34- Messages : 5458
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Newcastle: 5 Frenchies contre Anelka
Après sa défaite contre Arsenal (0-1), dimanche dernier, Newcastle tentera de se relancer sur le terrain du West Brom de Nicolas Anelka (de nouveau titulaire), ce mercredi dans le cadre de la 20e journée de Premier League. Alan Pardew repasse en 4-4-2 en reléguant Vurnon Anita sur le banc et en réinstallant Shola Ameobi avec Loïc Rémy aux avant-postes. Mathieu Debuchy, Moussa Sissoko, Yohan Cabaye et Yoan Gouffran restent dans l’équipe, tandis que Massadio Haïdara, Mapou Yanga-Mbiwa et Hatem Ben Arfa sont de nouveaux remplaçants, tout comme Papiss Cissé. Le onze de West Brom: Foster - Jones, McAuley, Olsson, Ridgewell - Mulumbu, Yacob - Amalfitano, Sessegnon, Brunt - Anelka. Le onze de Newcastle: Krul - Debuchy, Coloccini (cap.), Williamson, Santon – Sissoko, Cabaye, Tioté, Gouffran - Rémy, Shola Ameobi.
Après sa défaite contre Arsenal (0-1), dimanche dernier, Newcastle tentera de se relancer sur le terrain du West Brom de Nicolas Anelka (de nouveau titulaire), ce mercredi dans le cadre de la 20e journée de Premier League. Alan Pardew repasse en 4-4-2 en reléguant Vurnon Anita sur le banc et en réinstallant Shola Ameobi avec Loïc Rémy aux avant-postes. Mathieu Debuchy, Moussa Sissoko, Yohan Cabaye et Yoan Gouffran restent dans l’équipe, tandis que Massadio Haïdara, Mapou Yanga-Mbiwa et Hatem Ben Arfa sont de nouveaux remplaçants, tout comme Papiss Cissé. Le onze de West Brom: Foster - Jones, McAuley, Olsson, Ridgewell - Mulumbu, Yacob - Amalfitano, Sessegnon, Brunt - Anelka. Le onze de Newcastle: Krul - Debuchy, Coloccini (cap.), Williamson, Santon – Sissoko, Cabaye, Tioté, Gouffran - Rémy, Shola Ameobi.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
DE CHOSES ET D'AUTRES : Le sens du coq
Le 03 janvier à 6h00 par Michel Litout | Mis à jour il y a 14 heures
Le nouveau maillot des Bleus. Le coq est dans le bon sens ! PHOTO/Nike
Superstitieux, les footeux ? Pas plus que le commun des mortels. En revanche, les observateurs du monde du ballon rond (et des comptes en banque bien remplis) le sont, eux. A la limite du pathétique, en découvrant le dernier billet du blog "Panthéon Foot" hébergé par l'Express. "Le coq tricolore est-il une girouette ?", s'interroge le rédacteur.
Et de remarquer, sur le maillot des Bleus, l'orientation changeante du coq. Parfois, il regarde vers l'extérieur. D'autres vers l'intérieur. Une recherche dans les archives photos et tous les spécialistes respirent : le nouveau maillot de l'équipe de France - celui du prochain Mondial au Brésil n arbore un "coq intérieur". C'était le cas en 1998 et en 2000, années victorieuses. Raymond Kopa en 1958 portait lui aussi un coq tourné vers l'intérieur.

Le cas inverse augure une grosse catastrophe. Genre Afrique du Sud et sortie d'Anelka contre l'entraîneur Domenech. Ou fiasco complet en 2008 et élimination dès le 1er tour.
Certains footballeurs ne jouent pas sans leur gri-gri fétiche, comme ces vieilles paires de chaussettes repérables à 10 mètres pour cause d'odeur soutenue, mais le coup du sens du coq, c'est vraiment faire une croix sur le beau jeu et le travail en amont. Si l'affaire s'annonçait aussi simple, les Bleus afficheraient une dizaine d'étoiles à côté de leur coq, tourné dans le bon sens.
A moins que toute cette démonstration ne serve au rédacteur qu'à placer cette savoureuse sortie (de jeu) : "Souhaitons qu'au Brésil, avec un coq bien orienté, nous puissions au moins sortir des poules."
Le 03 janvier à 6h00 par Michel Litout | Mis à jour il y a 14 heures

Superstitieux, les footeux ? Pas plus que le commun des mortels. En revanche, les observateurs du monde du ballon rond (et des comptes en banque bien remplis) le sont, eux. A la limite du pathétique, en découvrant le dernier billet du blog "Panthéon Foot" hébergé par l'Express. "Le coq tricolore est-il une girouette ?", s'interroge le rédacteur.
Et de remarquer, sur le maillot des Bleus, l'orientation changeante du coq. Parfois, il regarde vers l'extérieur. D'autres vers l'intérieur. Une recherche dans les archives photos et tous les spécialistes respirent : le nouveau maillot de l'équipe de France - celui du prochain Mondial au Brésil n arbore un "coq intérieur". C'était le cas en 1998 et en 2000, années victorieuses. Raymond Kopa en 1958 portait lui aussi un coq tourné vers l'intérieur.

Le cas inverse augure une grosse catastrophe. Genre Afrique du Sud et sortie d'Anelka contre l'entraîneur Domenech. Ou fiasco complet en 2008 et élimination dès le 1er tour.
Certains footballeurs ne jouent pas sans leur gri-gri fétiche, comme ces vieilles paires de chaussettes repérables à 10 mètres pour cause d'odeur soutenue, mais le coup du sens du coq, c'est vraiment faire une croix sur le beau jeu et le travail en amont. Si l'affaire s'annonçait aussi simple, les Bleus afficheraient une dizaine d'étoiles à côté de leur coq, tourné dans le bon sens.
A moins que toute cette démonstration ne serve au rédacteur qu'à placer cette savoureuse sortie (de jeu) : "Souhaitons qu'au Brésil, avec un coq bien orienté, nous puissions au moins sortir des poules."
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Bedouet va s’engager avec la FFF
Autorisé par Jean-Louis Triaud à rejoindre Didier Deschamps dans le staff de l’équipe de France, Eric Bedouet va signer son contrat avec la Fédération française de football, jeudi à Paris, indique RMC. Le préparateur physique reste employé des Girondins de Bordeaux mais rejoindra les Bleus lors des rassemblements et pour la Coupe du monde au Brésil.
Autorisé par Jean-Louis Triaud à rejoindre Didier Deschamps dans le staff de l’équipe de France, Eric Bedouet va signer son contrat avec la Fédération française de football, jeudi à Paris, indique RMC. Le préparateur physique reste employé des Girondins de Bordeaux mais rejoindra les Bleus lors des rassemblements et pour la Coupe du monde au Brésil.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Bedouet dans le staff
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Eric Bedouet, le préparateur physique de Bordeaux, va intégrer le staff de l'équipe de France en vue du Mondial au Brésil (12 juin - 13 juillet). Il a signé un CDD avec la Fédération française et sera présent les 3, 4 et 5 février au séminaire du staff médical et technique avant de retrouver le groupe à l'occasion du match amical face aux Pays-Bas le 5 mars.
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Eric Bedouet, le préparateur physique de Bordeaux, va intégrer le staff de l'équipe de France en vue du Mondial au Brésil (12 juin - 13 juillet). Il a signé un CDD avec la Fédération française et sera présent les 3, 4 et 5 février au séminaire du staff médical et technique avant de retrouver le groupe à l'occasion du match amical face aux Pays-Bas le 5 mars.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Guillaume Hoarau et Djibril Cissé : la France leur manquait tant…
Publié le 29/01/2014 à 03:49 | 1
Ligue 1. Transferts. À trois jours du terme, les clubs français s'activent (enfin) sur le mercato hivernal.
Yohan Cabaye est de retour en Ligue 1 , 3 ans après avoir quitté Lille. / Photo AFP



Le marché des transferts, attendu plutôt «tiède» au vu des lourdes dépenses estivales, commence à s’agiter. Notamment en Ligue 1 où les renforts sont plus ciblés.
À chaque hiver son lot de surprises ! Alors que l’on pensait avoir droit au plus calme des mercatos, tout s’accélère dans les dernières 72 heures. Paris a finalement trouvé le milieu de terrain tant attendu avec Yohan Cabaye (Newcastle, voir encadré). Monaco, après avoir dépensé plus de 166 M€ cet été, pense à Hulk ou Chicharito pour suppléer Falcao. Du côté de Marseille, un échange entre Dja Djédjé et Abdallah a été confirmé hier, dans la soirée. Lyon, Saint-Étienne et Lille n’ont, eux, enregistré aucune arrivée. Qu’en est-il des autres ?
1. Toulouse : jamais 2 sans 3 ?
Le TFC a bien caché son jeu et est finalement l’un des clubs de Ligue 1 les plus actifs sur le marché des transferts. Aucun départ mais pas moins de deux arrivées. Dominik Furman, en provenance du Legia Varsovie, est venu renforcer le milieu de terrain avec sa polyvalence comme atout. Au poste de gardien, le jeune et explosif Havrais, Zacharie Boucher, a débarqué chez les Violets. Dusan Veskovac, défenseur central des Young Boys de Berne, devrait clore les transferts toulousains.
2. Bordeaux offre une 2e chance à Hoarau. Le nouveau numéro 13 des Girondins de Bordeaux, c’est lui. Guillaume Hoarau. Libre de tout contrat après un exil raté en Chine, dans le club Dalian Aerbin, l’attaquant français revient au bercail pour une durée de 6 mois. Côté départ, Ben Khalfallah file à Troyes pour un an et demi tandis que Sacko est prêté au Havre jusqu’à la fin de la saison.
3. Bastia : Cissé et Yatabaré en renfort. À 32 ans, Djibril Cissé revient en Ligue 1, 6 ans après l’avoir quitté. Le SC Bastia l’a engagé pour une durée de 18 mois. C’est le 10e club de sa carrière. Autre élément majeur du recrutement bastiais : Sambou Yatabaré (Olympiakos). Le milieu défensif de 24 ans est arrivé début janvier en prêt.
4. Sochaux : pour espérer le maintien. Jordan Ayew a quitté l’OM en faveur du club doubiste sous la forme d’un prêt (6 mois). Il a rapidement été rejoint par Sunzu et Sinkala, du club congolais du Tout Puissant Mazembe, respectivement défenseur central et milieu défensif. Très courtisé, Corchia a finalement choisi Lille et va prochainement parapher un contrat de 4 ans et demi.
5. Rennes réactive la filière suédoise. En fin de contrat avec le PSV Eindhoven au terme de la saison, Toivonen s’est engagé avec le Stade Rennais pour 3 ans et demi. Le 6e Suédois de l’histoire du club. Le 1er depuis le départ de Petter Hansson en 2010. Grosicki, l’ailier polonais du Sivasspor, est également venu grossir les rangs du club breton, en attendant l’arrivée de l’Auxerrois Ntep pour 3 ans et demi.
6. Niang : le gros coup de Montpellier. Muet avec le Milan AC en 28 apparitions, Mbaye Niang, a été prêté au club héraultais pour 6 mois. Il a déjà inscrit 3 buts sous ses nouvelles couleurs.
Publié le 29/01/2014 à 03:49 | 1
Ligue 1. Transferts. À trois jours du terme, les clubs français s'activent (enfin) sur le mercato hivernal.

Yohan Cabaye est de retour en Ligue 1 , 3 ans après avoir quitté Lille. / Photo AFP



Le marché des transferts, attendu plutôt «tiède» au vu des lourdes dépenses estivales, commence à s’agiter. Notamment en Ligue 1 où les renforts sont plus ciblés.
À chaque hiver son lot de surprises ! Alors que l’on pensait avoir droit au plus calme des mercatos, tout s’accélère dans les dernières 72 heures. Paris a finalement trouvé le milieu de terrain tant attendu avec Yohan Cabaye (Newcastle, voir encadré). Monaco, après avoir dépensé plus de 166 M€ cet été, pense à Hulk ou Chicharito pour suppléer Falcao. Du côté de Marseille, un échange entre Dja Djédjé et Abdallah a été confirmé hier, dans la soirée. Lyon, Saint-Étienne et Lille n’ont, eux, enregistré aucune arrivée. Qu’en est-il des autres ?
1. Toulouse : jamais 2 sans 3 ?
Le TFC a bien caché son jeu et est finalement l’un des clubs de Ligue 1 les plus actifs sur le marché des transferts. Aucun départ mais pas moins de deux arrivées. Dominik Furman, en provenance du Legia Varsovie, est venu renforcer le milieu de terrain avec sa polyvalence comme atout. Au poste de gardien, le jeune et explosif Havrais, Zacharie Boucher, a débarqué chez les Violets. Dusan Veskovac, défenseur central des Young Boys de Berne, devrait clore les transferts toulousains.
2. Bordeaux offre une 2e chance à Hoarau. Le nouveau numéro 13 des Girondins de Bordeaux, c’est lui. Guillaume Hoarau. Libre de tout contrat après un exil raté en Chine, dans le club Dalian Aerbin, l’attaquant français revient au bercail pour une durée de 6 mois. Côté départ, Ben Khalfallah file à Troyes pour un an et demi tandis que Sacko est prêté au Havre jusqu’à la fin de la saison.
3. Bastia : Cissé et Yatabaré en renfort. À 32 ans, Djibril Cissé revient en Ligue 1, 6 ans après l’avoir quitté. Le SC Bastia l’a engagé pour une durée de 18 mois. C’est le 10e club de sa carrière. Autre élément majeur du recrutement bastiais : Sambou Yatabaré (Olympiakos). Le milieu défensif de 24 ans est arrivé début janvier en prêt.
4. Sochaux : pour espérer le maintien. Jordan Ayew a quitté l’OM en faveur du club doubiste sous la forme d’un prêt (6 mois). Il a rapidement été rejoint par Sunzu et Sinkala, du club congolais du Tout Puissant Mazembe, respectivement défenseur central et milieu défensif. Très courtisé, Corchia a finalement choisi Lille et va prochainement parapher un contrat de 4 ans et demi.
5. Rennes réactive la filière suédoise. En fin de contrat avec le PSV Eindhoven au terme de la saison, Toivonen s’est engagé avec le Stade Rennais pour 3 ans et demi. Le 6e Suédois de l’histoire du club. Le 1er depuis le départ de Petter Hansson en 2010. Grosicki, l’ailier polonais du Sivasspor, est également venu grossir les rangs du club breton, en attendant l’arrivée de l’Auxerrois Ntep pour 3 ans et demi.
6. Niang : le gros coup de Montpellier. Muet avec le Milan AC en 28 apparitions, Mbaye Niang, a été prêté au club héraultais pour 6 mois. Il a déjà inscrit 3 buts sous ses nouvelles couleurs.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Le week-end des Français
Franck Ribéry, de retour de blessure, effectuait ses premiers pas cette année avec le Bayern Munich. En toute logique, le jeu du Bayern, qui avait paru grippé cette semaine en match retard à Stuttgart (1-2) en a pleinement profité, puisque le Boulonnais n'a jamais paru devoir retrouver un quelconque rythme face à Francfort, éreinté 5-0. Ainsi, l'ailier français, qui a disputé toute la rencontre, s'est montré une nouvelle fois intenable, inscrivant le deuxième but de son équipe sur un ballon contré de Mandzukic (2-0, 44e), son 60e en Bundesliga et son 17e toutes compétitions confondues cette saison, a touché la barre sur une merveille de lob (58e) avant d'offrir sur corner son premier but cette saison au Brésilien Dante (4-0, 69e). Bref un nouveau récital pour le numéro 7 bavarois.
Ce fut plus compliqué pour les deux autres Français impliqués ce week-end, à savoir Jonathan Schmid et Francis Coquelin. Le premier, très bon la semaine dernière contre Leverkusen (3-2, un but, une passe), était bien sûr titulaire sur l'aile droite de Fribourg, qui se déplaçait à Mayence. Mais il n'a jamais réussi à aider son équipe à éviter une nouvelle défaite (2-0). Pas plus que son collègue ancien Gunner, entré à la pause à la place du Tchèque Pilar, au milieu. Leurs coéquipiers, Christopher Jullien, Charles-Elie Laprevotte et Mounir Bouziane ne faisaient pas partie du groupe. De son côté, Anthony Modeste n'est pas sorti du banc d'Hoffenheim face à Hambourg, son équipe n'ayant pas vraiment besoin de ses services (3-0). Enfin, à noter le départ cet hiver d'un historique de la Bundesliga, Mathieu Delpierre, à Utrecht (Pays-Bas), après une année passée en réserve.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Futsal - Ba El Maarouf KERROUMI en équipe de France U21
La sélection Futsal U21 sera réunie en stage en Ligue Rhône Alpes du lundi 10 au jeudi 13 février. A cette occasion, les joueurs de Raphaël Reynaud disputeront deux matches amicaux face à l'Ukraine, le mardi 11 (19h00) à Châtillon sur Chalaronne puis le mercredi 12 (19h30) à Vaulx en Velin.
La sélection Futsal U21 sera réunie en stage en Ligue Rhône Alpes du lundi 10 au jeudi 13 février. A cette occasion, les joueurs de Raphaël Reynaud disputeront deux matches amicaux face à l'Ukraine, le mardi 11 (19h00) à Châtillon sur Chalaronne puis le mercredi 12 (19h30) à Vaulx en Velin.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Les Français d'Arsenal, balayés à Liverpool (5-1), sont passés à côté de leur sujet. Tout comme la charnière Mexès-Rami avec l'AC Milan.
Depuis qu'il est arrivé à Valence en 2009, Jérémy Mathieu en est, lui, à quatre buts. Le dernier en date est venu ce samedi, face au Betis Seville. En bon capitaine, celui qui joue désormais en défense centrale a montré la voie à ses coéquipiers en ouvrant le score de la tête sur corner. Il a ensuite pu apprécier le festival offensif de son équipe (5-0). Une "manita" qui vient valider l'exploit réalisé au Camp Nou la semaine dernière (3-2) et qui permet au club ché de rester à trois longueurs de l'Athletic Bilbao, quatrième, qui se déplace sur la pelouse du Celta Vigo ce lundi (22h).
Flops : Naufrage collectif à Arsenal
En retard sur les deux premiers buts de Martin Skrtel et pris de vitesse par Daniel Sturridge sur le quatrième, Laurent Koscielny a sombré avec toute la défense d'Arsenal, samedi à Liverpool (5-1). Devant, Olivier Giroud aussi est passé à côté de son match. Averti pour contestation au retour des vestiaires, l'ancien Montpelliérain n'a jamais pesé sur la défense des Reds et a logiquement été sorti par Arsène Wenger à l'heure de jeu. Il a ensuite reconnu sur Twitter que «c'était vraiment une très mauvaise performance de [sa] part aujourd'hui».
En Italie, Adil Rami et Philippe Mexès, qui avaient été alignés mi-janvier en huitième de finale de la Coupe, ont débuté ensemble pour la première fois en Championnat ce samedi. Solide en début de rencontre, la charnière franco-française a ensuite pris l'eau face au Napoli et le talent de son buteur Gonzalo Higuain, auteur d'un doublé (3-1). Entré en jeu pour Newcastle suite à la blessure à la cheville de Debuchy, Mapou Yanga Mbiwa n'a pu sauver les meubles face à Chelsea (3-0). Il a même concédé le penalty du 3-0 en "plaquant" Samuel Eto'o sur un corner.
Depuis qu'il est arrivé à Valence en 2009, Jérémy Mathieu en est, lui, à quatre buts. Le dernier en date est venu ce samedi, face au Betis Seville. En bon capitaine, celui qui joue désormais en défense centrale a montré la voie à ses coéquipiers en ouvrant le score de la tête sur corner. Il a ensuite pu apprécier le festival offensif de son équipe (5-0). Une "manita" qui vient valider l'exploit réalisé au Camp Nou la semaine dernière (3-2) et qui permet au club ché de rester à trois longueurs de l'Athletic Bilbao, quatrième, qui se déplace sur la pelouse du Celta Vigo ce lundi (22h).
Flops : Naufrage collectif à Arsenal
En retard sur les deux premiers buts de Martin Skrtel et pris de vitesse par Daniel Sturridge sur le quatrième, Laurent Koscielny a sombré avec toute la défense d'Arsenal, samedi à Liverpool (5-1). Devant, Olivier Giroud aussi est passé à côté de son match. Averti pour contestation au retour des vestiaires, l'ancien Montpelliérain n'a jamais pesé sur la défense des Reds et a logiquement été sorti par Arsène Wenger à l'heure de jeu. Il a ensuite reconnu sur Twitter que «c'était vraiment une très mauvaise performance de [sa] part aujourd'hui».
En Italie, Adil Rami et Philippe Mexès, qui avaient été alignés mi-janvier en huitième de finale de la Coupe, ont débuté ensemble pour la première fois en Championnat ce samedi. Solide en début de rencontre, la charnière franco-française a ensuite pris l'eau face au Napoli et le talent de son buteur Gonzalo Higuain, auteur d'un doublé (3-1). Entré en jeu pour Newcastle suite à la blessure à la cheville de Debuchy, Mapou Yanga Mbiwa n'a pu sauver les meubles face à Chelsea (3-0). Il a même concédé le penalty du 3-0 en "plaquant" Samuel Eto'o sur un corner.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
FOOTBALL
L’équipedeFrance
militairefaceauFCIOP
La réserve professionnelle d'Istres
reçoit l'équipe de France
militaire masculine le 17 février
prochain au stade Entressen à
Istres (coup d'envoi : 10h).
L’équipedeFrance
militairefaceauFCIOP
La réserve professionnelle d'Istres
reçoit l'équipe de France
militaire masculine le 17 février
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Istres (coup d'envoi : 10h).
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Re: DIVERS FOOT BLEU
D17 plein d'Espoirs
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D17, qui a conservé les droits des Bleuets et des féminines pour les quatre saisons à venir, proposera le mardi 4 mars à 20h45 en direct de la MMArena du Mans la rencontre entre l'équipe de France Espoirs et la Biélorussie. Jusqu'à présent, dans ces éliminatoires pour l'Euro 2015, les Bleuets ont réalisé le parcours parfait, avec 5 victoires en 5 matches. On se dit alors que ce match n'offre pas trop de suspense contre le dernier du groupe. Et pourtant ! Il faudra se souvenir que les Espoirs tricolores n'ont plus participé à une phase finale depuis l'Euro 2006 où ils avaient atteint les demi-finales de l'épreuve, défaits par les Pays-Bas (3-2). Le premier de chaque groupe et les 4 meilleurs deuxièmes des 10 groupes sont qualifiés pour les barrages. A Alexandre Delperier et Alain Roche aux commentaires de nous le rappeler.
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D17, qui a conservé les droits des Bleuets et des féminines pour les quatre saisons à venir, proposera le mardi 4 mars à 20h45 en direct de la MMArena du Mans la rencontre entre l'équipe de France Espoirs et la Biélorussie. Jusqu'à présent, dans ces éliminatoires pour l'Euro 2015, les Bleuets ont réalisé le parcours parfait, avec 5 victoires en 5 matches. On se dit alors que ce match n'offre pas trop de suspense contre le dernier du groupe. Et pourtant ! Il faudra se souvenir que les Espoirs tricolores n'ont plus participé à une phase finale depuis l'Euro 2006 où ils avaient atteint les demi-finales de l'épreuve, défaits par les Pays-Bas (3-2). Le premier de chaque groupe et les 4 meilleurs deuxièmes des 10 groupes sont qualifiés pour les barrages. A Alexandre Delperier et Alain Roche aux commentaires de nous le rappeler.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Le centre de Vichy condamné en 2015
La Montagne
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Les vingt-quatre jeunes footballeurs nés en 1999 et 2000 réunis sur la photo de famille avec Alain Ollier, le responsable de la structure, seront les derniers pensionnaires du pôle espoirs.? - photo Elodie Maltet
Le pôle espoirs de football de Vichy, créé en 1994 fermera en juin 2015 en raison de résultats insuffisants selon la FFF. Un coup dur pour l’Auvergne.
Les jours du pôle espoirs de football de Vichy sont comptés. Créé en 1994, il fermera ses portes en juin 2015. François Blaquart, directeur technique national (DTN) de la FFF a fait récemment parvenir une note officielle à la Ligue d'Auvergne pour confirmer une décision qui couvait depuis plusieurs mois déjà.
« Le champ de recrutement réduit du pôle vichyssois ne lui permet plus de répondre aux critères d'excellence requis », justifie le DTN (voir ci-dessous) qui écarte des mesures d'économie pour justifier sa décision.
Vichy sera
le seul pôle supprimé
C'est assurément un coup dur pour la région déjà pauvre en structures de haut niveau en football. Lancé quatre ans après le transfert de l'INF, par Gérard Houiller, sous le nom de centre de préformation fédéral pour des jeunes de 13 et 14 ans il avait pour mission de servir de vivier aux centres de formation des clubs pro.
Vichy était le troisième centre, après ceux de Clairefontaine et Châteauroux. Depuis, neuf pôles espoirs ont vu le jour. Vichy est le seul appelé à être supprimé en France.
À sa création, sa zone de recrutement s'étendait sur douze départements. Aujourd'hui, notamment avec la création de celui de Dijon, son champ d'investigation s'est réduit à six départements seulement : les quatre auvergnats, la Loire et le Rhône. Ce qui l'a conduit à baisser le nombre de stagiaires de 15 à 12 par promotion contre 24 par exemple pour Clairefontaire.
Alain Ollier (57 ans) , responsable du centre depuis douze ans, encaisse difficilement la décision. « Officiellement, je n'ai toujours pas été informé, nous confiait-il en fin de semaine dernière. « Il ne m'appartient pas de commenter la politique de la DTN », poursuit Alain Ollier. Mais contrairement aux chiffres avancés, j'affirme que nous sommes dans la moyenne des centres - hormis Clairefontaine, Châteauroux et Toulouse - en ce qui concerne le taux d'intégration des stagiaires dans les centres de formation. Nous répondons au cahier des charges. En revanche, il est vrai que les jeunes Auvergnats ont du mal à s'imposer ensuite en centre de formation ».
La fermeture du pôle espoirs en 2015 ne sera pas sans conséquence. Pour l'heure de nombreuses questions restent encore sans réponse.
Par exemple où iront à l'avenir les jeunes footballeurs auvergnats susceptibles d'intégrer un pôle espoir ? Quel impact aura sa suppression sur le CREPS de Vichy dont le pôle est un des principaux clients avec une redevance de 150.000 euros par an ? Quel avenir aussi pour Alain Ollier ?
La Montagne
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Les vingt-quatre jeunes footballeurs nés en 1999 et 2000 réunis sur la photo de famille avec Alain Ollier, le responsable de la structure, seront les derniers pensionnaires du pôle espoirs.? - photo Elodie Maltet
Le pôle espoirs de football de Vichy, créé en 1994 fermera en juin 2015 en raison de résultats insuffisants selon la FFF. Un coup dur pour l’Auvergne.
Les jours du pôle espoirs de football de Vichy sont comptés. Créé en 1994, il fermera ses portes en juin 2015. François Blaquart, directeur technique national (DTN) de la FFF a fait récemment parvenir une note officielle à la Ligue d'Auvergne pour confirmer une décision qui couvait depuis plusieurs mois déjà.
« Le champ de recrutement réduit du pôle vichyssois ne lui permet plus de répondre aux critères d'excellence requis », justifie le DTN (voir ci-dessous) qui écarte des mesures d'économie pour justifier sa décision.
Vichy sera
le seul pôle supprimé
C'est assurément un coup dur pour la région déjà pauvre en structures de haut niveau en football. Lancé quatre ans après le transfert de l'INF, par Gérard Houiller, sous le nom de centre de préformation fédéral pour des jeunes de 13 et 14 ans il avait pour mission de servir de vivier aux centres de formation des clubs pro.
Vichy était le troisième centre, après ceux de Clairefontaine et Châteauroux. Depuis, neuf pôles espoirs ont vu le jour. Vichy est le seul appelé à être supprimé en France.
À sa création, sa zone de recrutement s'étendait sur douze départements. Aujourd'hui, notamment avec la création de celui de Dijon, son champ d'investigation s'est réduit à six départements seulement : les quatre auvergnats, la Loire et le Rhône. Ce qui l'a conduit à baisser le nombre de stagiaires de 15 à 12 par promotion contre 24 par exemple pour Clairefontaire.
Alain Ollier (57 ans) , responsable du centre depuis douze ans, encaisse difficilement la décision. « Officiellement, je n'ai toujours pas été informé, nous confiait-il en fin de semaine dernière. « Il ne m'appartient pas de commenter la politique de la DTN », poursuit Alain Ollier. Mais contrairement aux chiffres avancés, j'affirme que nous sommes dans la moyenne des centres - hormis Clairefontaine, Châteauroux et Toulouse - en ce qui concerne le taux d'intégration des stagiaires dans les centres de formation. Nous répondons au cahier des charges. En revanche, il est vrai que les jeunes Auvergnats ont du mal à s'imposer ensuite en centre de formation ».
La fermeture du pôle espoirs en 2015 ne sera pas sans conséquence. Pour l'heure de nombreuses questions restent encore sans réponse.
Par exemple où iront à l'avenir les jeunes footballeurs auvergnats susceptibles d'intégrer un pôle espoir ? Quel impact aura sa suppression sur le CREPS de Vichy dont le pôle est un des principaux clients avec une redevance de 150.000 euros par an ? Quel avenir aussi pour Alain Ollier ?
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Re: DIVERS FOOT BLEU
http://selectiona.free.fr/
http://selectiona.free.fr/
[url=http://selectiona.free.fr/]
1962-2013 : La base de données des Bleus de l'equipe de France de football avec 501 Matchs et 414 Joueurs
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Le nouveau maillot extérieur
4/03 19h29 - Football, EdF
L'équipementier Nike a dévoilé ce mardi le nouveau maillot extérieur de l'équipe de France
Nike Football France ✔ @nikefootfrance
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Un nouvel uniforme pour un nouveau voyage. Découvre le nouveau maillot extérieur de l'@EquipedeFrance : https://www.youtube.com/watch?v=YUFBkZwD7ls … #OSE
7:14 PM - 4 Mars 2014
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Re: DIVERS FOOT BLEU


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#FRAPB Le vestiaire de l'Equipe de France au Stade de France. Arrivée des joueurs à 19h20.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
France: Des maillots bleu nuit pour affronter les Pays-Bas ?
La FFF (Fédération française de football) a publié sur son compte Twitter les maillots que porteront les Bleus ce mercredi soir contre les Pays-Bas au Stade de France, a priori de couleur bleu nuit. Les gardiens quant à

Equipe de France ✔ @equipedefrance
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#FRAPB Les maillots de @benzema et @ms_sisso@ko pour ce soir.
6:30 PM - 5 Mars 2014
eux porteront une tunique jaune et noir.
La FFF (Fédération française de football) a publié sur son compte Twitter les maillots que porteront les Bleus ce mercredi soir contre les Pays-Bas au Stade de France, a priori de couleur bleu nuit. Les gardiens quant à


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6:30 PM - 5 Mars 2014
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Re: DIVERS FOOT BLEU
BEACHSOCCER
La liste
pour affronter
l’Angleterre
Stéphane François a retenu
onze joueurs, en plus
de lui, pour la double
confrontation contre
l’Angleterre, qui aura lieu
les 26 et 27 mars prochains.
Ces deux rencontres
marqueront le début
de la saison de beach.
➔ La liste : Anthony Barbotti,
Salim Ben Boina, Nacer Boucenna,
Stéphane François, Jonathan Herry, Mickaël Pagis, Didier Samoun,
Julien Soares, Ronan Le Crom, Yannick Fischer, Christopher Lauthe,
Léo Grandon.
La liste
pour affronter
l’Angleterre
Stéphane François a retenu
onze joueurs, en plus
de lui, pour la double
confrontation contre
l’Angleterre, qui aura lieu
les 26 et 27 mars prochains.
Ces deux rencontres
marqueront le début
de la saison de beach.
➔ La liste : Anthony Barbotti,
Salim Ben Boina, Nacer Boucenna,
Stéphane François, Jonathan Herry, Mickaël Pagis, Didier Samoun,
Julien Soares, Ronan Le Crom, Yannick Fischer, Christopher Lauthe,
Léo Grandon.
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Nouveau succès face aux Anglais (5-3)
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jeudi 27 mars 2014 - 19:50 - Antonio Mesa
Au Palais des Sports, le cinq de départ tricolore était le suivant : Le Crom - Fischer, Boucenna, Samoun, François, Pagis et Lauthe. De son côté, la formation anglaise était composée au coup de sifflet de Humm - Mitchell, Evans, Lawson et Younie.
Les réalisations françaises ont été signées François, Herry (auteur d'un doublé), Pagis et Barbotti. Bowes a de son côté inscrit les trois buts anglais.
L'année débute donc bien pour les Bleus, qui poursuivront avec deux rencontres amicales en avril à Balaruc, en Ligue de Languedoc-Roussillon, puis deux autres en Hongrie, en mai. Ils enchaîneront avec une étape de l’Euro les 20, 21 et 22 juin, avant la phase finale mi-août. Enfin, du 4 au 14 septembre auront lieu en Italie les éliminatoires du Mondial programmé au Portugal.
Victorieuse 7-5 de l'Angleterre hier à Rennes, la sélection nationale de Beach Soccer retrouvait ce jeudi soir son homologue britannique sur le même terrain. En Ligue de Bretagne, les coéquipiers de Stéphane François se sont de nouveau imposés.
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jeudi 27 mars 2014 - 19:50 - Antonio Mesa
Au Palais des Sports, le cinq de départ tricolore était le suivant : Le Crom - Fischer, Boucenna, Samoun, François, Pagis et Lauthe. De son côté, la formation anglaise était composée au coup de sifflet de Humm - Mitchell, Evans, Lawson et Younie.
Les réalisations françaises ont été signées François, Herry (auteur d'un doublé), Pagis et Barbotti. Bowes a de son côté inscrit les trois buts anglais.
L'année débute donc bien pour les Bleus, qui poursuivront avec deux rencontres amicales en avril à Balaruc, en Ligue de Languedoc-Roussillon, puis deux autres en Hongrie, en mai. Ils enchaîneront avec une étape de l’Euro les 20, 21 et 22 juin, avant la phase finale mi-août. Enfin, du 4 au 14 septembre auront lieu en Italie les éliminatoires du Mondial programmé au Portugal.
Victorieuse 7-5 de l'Angleterre hier à Rennes, la sélection nationale de Beach Soccer retrouvait ce jeudi soir son homologue britannique sur le même terrain. En Ligue de Bretagne, les coéquipiers de Stéphane François se sont de nouveau imposés.
internet34- Messages : 5458
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Re: DIVERS FOOT BLEU
DES BLEUS OFFENSIFS
L'équipe de France de Beach Soccer, dirigée par Stéphane François, sélectionneur-joueur et Conseiller Technique Régional de la Ligue de Méditerranée, a bien négocié ses deux matches face à l'Angleterre disputés mercredi et jeudi à Rennes en amical. Après un premier succès (7-5), les Bleus ont récidivé (5-3) !
http://ligue-mediterranee.fff.fr/cg/6200//www/actualite/2091529.shtml
L'équipe de France de Beach Soccer, dirigée par Stéphane François, sélectionneur-joueur et Conseiller Technique Régional de la Ligue de Méditerranée, a bien négocié ses deux matches face à l'Angleterre disputés mercredi et jeudi à Rennes en amical. Après un premier succès (7-5), les Bleus ont récidivé (5-3) !
http://ligue-mediterranee.fff.fr/cg/6200//www/actualite/2091529.shtml

bienvenou- Admin
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Retrouvez les buts des 8èmes de finale de la Coupe Nationale de Futsal !
https://www.facebook.com/photo.php?v=306911566127869&set=vb.137286033090424&type=2&theater
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Anelka n'a pas oublié Domenech...

Nicolas Anelka. (Icon Sport)
Par Thomas Pisselet
Publié le 3 avril 2014 à 22h50
Mis à jour le 3 avril 2014 à 22h51
Si la page de Knysna et de la Coupe du monde 2010 est définitivement tournée, à l’heure où les Bleus préparent leur campagne au Brésil, Nicolas Anelka garde un profond mépris pour le sélectionneur qu’était Raymond Domenech.
Quatre ans après, et alors que la Coupe du monde 2014 approche à grands pas, Nicolas Anelka n’a rien oublié de l’édition précédente en Afrique du Sud. Les Français non plus. La grève de Knysna, la déroute des Bleus, ses insultes à Raymond Domenech: autant de souvenirs auxquels l’attaquant (35 ans) ne pense plus. Sauf quand on lui en reparle. Invité par Metronews.fr à revenir sur cet épisode marquant de sa carrière, l’enfant terrible du football tricolore ne manque pas, une fois de plus, d’égratigner l’ex-sélectionneur.
"Ce qui est arrivé devait arriver !, lâche-t-il. L’insulte dans le vestiaire – et ce ne sont pas les mots mentionnés à la une de L’Equipe ("Va te faire enculer, sale fils de pute", ndlr) –, est la conséquence de notre dialogue quand il m’a rendu visite à Londres. En Afrique du Sud, on savait très bien qu’on allait droit dans le mur. On a provoqué assez de réunions avec lui pour qu’il procède à des changements tactiques. Mais il n’en a fait qu’à sa tête et tout me monde a subi... Quand je l’entends se poser en victime en disant qu’il ne pouvait rien faire, ça me fait tellement rire."
"Domenech ne connait pas la gagne"
Ne comptez donc pas sur l’ex-Parisien, sans contrat depuis le 29 mars dernier et son départ de West Bromwich Albion après l’affaire de la "quenelle", pour exprimer des regrets. "J’ai insulté dans un vestiaire un coach que tout le peuple français insultait déjà, un coach qui n’a jamais rien gagné à part un titre de champion de D2 et le Tournoi de Toulon !, assure-t-il. Il ne connaît pas la gagne. Je respecte l’homme car je pense que c’est une bonne personne mais je n’ai aucun respect pour l’entraîneur. Il n’est pas à la hauteur."
"Quand tu as été dirigé par (Carlo) Ancelotti et d’autres grands, il est très dur de l’être par Domenech !, enchaîne-t-il, lui qui affirme avoir reçu des propositions mais pense ne pas retrouver un club avant la saison prochaine. Cette Coupe du monde (2010) n’est pas une cicatrice et j’assume tout ce qu’il s’est passé. Si je devais le refaire, je le referais car il le méritait à ce moment-là ! Un coach qui demande le respect mais qui est incapable de respecter le meilleur buteur de l’histoire du football français (Thierry Henry, ndlr) ne mérite aucun égard."
Et Didier Deschamps, qui commence seulement à redorer l’image de l’équipe de France après de longues années d’impopularité ? "C’était un gagneur comme joueur, il l’est aussi comme entraîneur, répond l’ancien buteur de Chelsea. Ce n’est pas le hasard. Cela facilite les choses et inspire le respect du groupe. Il a été capitaine, il sait parler aux joueurs, réagir dans les moments délicats. Il faut lui faire confiance. En plus, il entretient de bons rapports avec le président de la fédération {Noël Le Graët, ndlr)."[/size]

Nicolas Anelka. (Icon Sport)
Par Thomas Pisselet
Publié le 3 avril 2014 à 22h50
Mis à jour le 3 avril 2014 à 22h51
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Si la page de Knysna et de la Coupe du monde 2010 est définitivement tournée, à l’heure où les Bleus préparent leur campagne au Brésil, Nicolas Anelka garde un profond mépris pour le sélectionneur qu’était Raymond Domenech.
Quatre ans après, et alors que la Coupe du monde 2014 approche à grands pas, Nicolas Anelka n’a rien oublié de l’édition précédente en Afrique du Sud. Les Français non plus. La grève de Knysna, la déroute des Bleus, ses insultes à Raymond Domenech: autant de souvenirs auxquels l’attaquant (35 ans) ne pense plus. Sauf quand on lui en reparle. Invité par Metronews.fr à revenir sur cet épisode marquant de sa carrière, l’enfant terrible du football tricolore ne manque pas, une fois de plus, d’égratigner l’ex-sélectionneur.
"Ce qui est arrivé devait arriver !, lâche-t-il. L’insulte dans le vestiaire – et ce ne sont pas les mots mentionnés à la une de L’Equipe ("Va te faire enculer, sale fils de pute", ndlr) –, est la conséquence de notre dialogue quand il m’a rendu visite à Londres. En Afrique du Sud, on savait très bien qu’on allait droit dans le mur. On a provoqué assez de réunions avec lui pour qu’il procède à des changements tactiques. Mais il n’en a fait qu’à sa tête et tout me monde a subi... Quand je l’entends se poser en victime en disant qu’il ne pouvait rien faire, ça me fait tellement rire."
"Domenech ne connait pas la gagne"
Ne comptez donc pas sur l’ex-Parisien, sans contrat depuis le 29 mars dernier et son départ de West Bromwich Albion après l’affaire de la "quenelle", pour exprimer des regrets. "J’ai insulté dans un vestiaire un coach que tout le peuple français insultait déjà, un coach qui n’a jamais rien gagné à part un titre de champion de D2 et le Tournoi de Toulon !, assure-t-il. Il ne connaît pas la gagne. Je respecte l’homme car je pense que c’est une bonne personne mais je n’ai aucun respect pour l’entraîneur. Il n’est pas à la hauteur."
[size]Si je devais le refaire, je le referais car il le méritait à ce moment-là !
"Quand tu as été dirigé par (Carlo) Ancelotti et d’autres grands, il est très dur de l’être par Domenech !, enchaîne-t-il, lui qui affirme avoir reçu des propositions mais pense ne pas retrouver un club avant la saison prochaine. Cette Coupe du monde (2010) n’est pas une cicatrice et j’assume tout ce qu’il s’est passé. Si je devais le refaire, je le referais car il le méritait à ce moment-là ! Un coach qui demande le respect mais qui est incapable de respecter le meilleur buteur de l’histoire du football français (Thierry Henry, ndlr) ne mérite aucun égard."
Et Didier Deschamps, qui commence seulement à redorer l’image de l’équipe de France après de longues années d’impopularité ? "C’était un gagneur comme joueur, il l’est aussi comme entraîneur, répond l’ancien buteur de Chelsea. Ce n’est pas le hasard. Cela facilite les choses et inspire le respect du groupe. Il a été capitaine, il sait parler aux joueurs, réagir dans les moments délicats. Il faut lui faire confiance. En plus, il entretient de bons rapports avec le président de la fédération {Noël Le Graët, ndlr)."[/size]
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Re: DIVERS FOOT BLEU
La France 16e
10/04 11h03 - Football, Classement Fifa
L'équipe de France gagne une place au traditionnel classement Fifa, publié ce jour. Les Bleus sont désormais 16es, juste derrière les Pays-Bas. Le classement est toujours dominé par l'Espagne (1460 pts), devant l'Allemagne (1340 pts). A noter que c'est désormais le Portugal qui se place sur la troisième marche du podium (1245 pts). La Grèce fait son entrée dans le Top 10 (10, +3) alors que la Belgique en sort (12e, -2).
10/04 11h03 - Football, Classement Fifa
L'équipe de France gagne une place au traditionnel classement Fifa, publié ce jour. Les Bleus sont désormais 16es, juste derrière les Pays-Bas. Le classement est toujours dominé par l'Espagne (1460 pts), devant l'Allemagne (1340 pts). A noter que c'est désormais le Portugal qui se place sur la troisième marche du podium (1245 pts). La Grèce fait son entrée dans le Top 10 (10, +3) alors que la Belgique en sort (12e, -2).
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Re: DIVERS FOOT BLEU
Beach soccer : deux matchs amicaux France-Espagne à Balaruc (Hérault)

Stéphane François, entraîneur-joueur de l'équipe de France.
Trois ans après l’ère “Cantona“, la discipline est en total renouveau. A voir ce mercredi et demain jeudi à 18 h, sur la plage de Balaruc.
En stage à Balaruc-les-Bains, depuis lundi et jusqu’à vendredi, la sélection nationale de beach soccer disputera, MERCREDI ET JEUDI, deux rencontres amicales face à l’Espagne, vice-championne du monde. Une étape importante dans la reconstruction de l’effectif entreprise par Stéphane François car il faudra être compétitif cette année. Le beach vit dans l’ombre du foot professionnel et de ses salaires mirobolants. Il ne peut même plus compter sur Éric Cantona, l’icône du beach qui a dit stop. "En terme de médiatisation, il n’y avait pas mieux qu’Éric. C’est même lui qui a fait connaître cette discipline au-delà de nos frontières. C’était un véritable ambassadeur", reconnaît Stéphane François, son successeur, élogieux envers “Éric the King”.
La fédération française a instauré les premiers diplômes d’entraîneur de beach
Stéphane François, membre de l’effectif depuis 2005 a logiquement pris de la hauteur. Avec la double casquette d’entraîneur-joueur, le “minot du Prado” tente de relancer l’intérêt pour ce sport méconnu du grand public. "Nous menons un travail minutieux sur la formation des jeunes et sur l’élaboration de structure adéquates. C’est un projet qui payera à n’en pas douter dans le futur", assure-t-il Pour concurrencer les grosses écuries de la discipline, la fédération française a instauré les premiers diplômes d’entraîneur de beach. Après l’échec de 2010 et la rétrogradation de la sélection tricolore dans le groupe B, l’effectif s’est rajeuni et la reconstruction commence à porter ses fruits. "Après deux ans sans résultats, on fait désormais partie du bas de la division A. Avec l’apogée des nations de l’Est, devenues professionnelles, nous sommes le petit Poucet de la poule. Comme en coupe de France, l’exploit face à une grosse écurie est possible sur un match. Sur du long terme c’est plus compliqué", ajoute Stéphane François.
"2014 est une année charnière"
Après un stage à Rennes, conclu par deux succès face à l’Angleterre, les Bleus ont donc posé leurs valises à Balaruc pour deux tests grandeur nature face à la “Roja”. Les coéquipiers de Mickaël Pagis, l’ancien buteur de Nîmes et de l’OM, et de Ronan Le Crom, l’ancien gardien pro, n’ont qu’une idée en tête : aborder les qualifications du championnat d’Europe dans les meilleures conditions et être prêts, les 20,21 et 22 juin pour la première étape à Valence (Drôme). Le sélectionneur l’assure : "2014 est une année charnière. Il sera essentiel de finir dans les six premières nations européennes afin de participer aux Jeux européens qui auront lieu à Bakou (Azerbaïdjan). Enfin, en septembre, en Italie, auront lieu les qualifications pour la Coupe du Monde 2015 au Portugal." Sacré programme !

Stéphane François, entraîneur-joueur de l'équipe de France.
Trois ans après l’ère “Cantona“, la discipline est en total renouveau. A voir ce mercredi et demain jeudi à 18 h, sur la plage de Balaruc.
En stage à Balaruc-les-Bains, depuis lundi et jusqu’à vendredi, la sélection nationale de beach soccer disputera, MERCREDI ET JEUDI, deux rencontres amicales face à l’Espagne, vice-championne du monde. Une étape importante dans la reconstruction de l’effectif entreprise par Stéphane François car il faudra être compétitif cette année. Le beach vit dans l’ombre du foot professionnel et de ses salaires mirobolants. Il ne peut même plus compter sur Éric Cantona, l’icône du beach qui a dit stop. "En terme de médiatisation, il n’y avait pas mieux qu’Éric. C’est même lui qui a fait connaître cette discipline au-delà de nos frontières. C’était un véritable ambassadeur", reconnaît Stéphane François, son successeur, élogieux envers “Éric the King”.
La fédération française a instauré les premiers diplômes d’entraîneur de beach
Stéphane François, membre de l’effectif depuis 2005 a logiquement pris de la hauteur. Avec la double casquette d’entraîneur-joueur, le “minot du Prado” tente de relancer l’intérêt pour ce sport méconnu du grand public. "Nous menons un travail minutieux sur la formation des jeunes et sur l’élaboration de structure adéquates. C’est un projet qui payera à n’en pas douter dans le futur", assure-t-il Pour concurrencer les grosses écuries de la discipline, la fédération française a instauré les premiers diplômes d’entraîneur de beach. Après l’échec de 2010 et la rétrogradation de la sélection tricolore dans le groupe B, l’effectif s’est rajeuni et la reconstruction commence à porter ses fruits. "Après deux ans sans résultats, on fait désormais partie du bas de la division A. Avec l’apogée des nations de l’Est, devenues professionnelles, nous sommes le petit Poucet de la poule. Comme en coupe de France, l’exploit face à une grosse écurie est possible sur un match. Sur du long terme c’est plus compliqué", ajoute Stéphane François.
"2014 est une année charnière"
Après un stage à Rennes, conclu par deux succès face à l’Angleterre, les Bleus ont donc posé leurs valises à Balaruc pour deux tests grandeur nature face à la “Roja”. Les coéquipiers de Mickaël Pagis, l’ancien buteur de Nîmes et de l’OM, et de Ronan Le Crom, l’ancien gardien pro, n’ont qu’une idée en tête : aborder les qualifications du championnat d’Europe dans les meilleures conditions et être prêts, les 20,21 et 22 juin pour la première étape à Valence (Drôme). Le sélectionneur l’assure : "2014 est une année charnière. Il sera essentiel de finir dans les six premières nations européennes afin de participer aux Jeux européens qui auront lieu à Bakou (Azerbaïdjan). Enfin, en septembre, en Italie, auront lieu les qualifications pour la Coupe du Monde 2015 au Portugal." Sacré programme !
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Re: DIVERS FOOT BLEU
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Re: DIVERS FOOT BLEU
mile : « Zidane a appelé une personne pour dire qu’il revenait, et c’était moi »
Posté le 23 avril 2014 par ghugo

Henri Émile a noué des liens très forts avec toutes les générations de joueurs qu’il a côtoyé au sein de l’équipe de France (crédit : L’Équipe).

Henri Émile (à gauche) a été le relais du sélectionneur Aimé Jacquet en Bleu (crédit : L’Équipe).

« Riton » a tissé un lien quasi paternel avec certains anciens joueurs des Bleus (crédit : L’Équipe).
Posté le 23 avril 2014 par ghugo

Henri Émile a noué des liens très forts avec toutes les générations de joueurs qu’il a côtoyé au sein de l’équipe de France (crédit : L’Équipe).
Pour le grand public, il a toujours été l’homme de l’ombre, l’intendant de l’équipe de France des grandes années. Mais pour plusieurs générations de joueurs, de Michel Platini à Zinedine Zidane, il est surtout « Riton », l’homme du staff à qui se confier, sur qui s’appuyer. Henri Émile, pendant plus de 20 ans avec les Bleus (1984-2004, puis 2010-2012), a été bien plus qu’un simple adjoint. S’il s’est chargé d’organiser tous les déplacements des Français, il a aussi été le garant de l’état d’esprit fraternel qui les a fait triompher. Retiré de ses fonctions en équipe de France depuis 2012, il reste aujourd’hui très occupé, entre l’association France 98, le beach soccer, ses fonctions à la DTN… et ses petits-enfants. Mais Henri Émile a accepté de prendre un peu de son temps afin de parler de Coupe du Monde pour Cocorico Carioca. Avec l’accent du Languedoc et la sincérité qu’on lui connaît.
Quelle sont vos premiers souvenirs d’un Mondial ?
J’étais adolescent. C’est la Coupe du Monde 1958. Les Kopa, Jonquet, Fontaine… Ils m’avaient fait vibrer à travers la radio. Eh oui, c’était surtout la radio qu’on écoutait à l’époque ! Cette troisième place avait été une grosse surprise. La qualification n’avait pas été évidente, personne ne parlait trop de cette équipe. Mais le résultat est resté très longtemps dans le cœur des Français.
Aviez-vous des idoles ?
Il y avait certains joueurs qui me plaisaient particulièrement, oui. Raymond Kopa, déjà, le meneur de jeu. Et puis Just Fontaine et son efficacité exceptionnelle… On parlait beaucoup de lui. Son record n’est pas près de tomber.
Quels sont vos meilleurs souvenirs ?
Le plus grand, c’est le premier. Enfin je veux dire, la première aventure que j’ai vécue, au Mexique, en 1986. Je venais d’être champion olympique deux ans plus tôt avec Henri Michel, puis je l’ai suivi quand il a pris les destinées de l’équipe de France, comme adjoint. Ce qu’on a vécu de plus fort avec le groupe, c’est cette victoire contre le Brésil, en quart de finale. Les Brésiliens étaient archi-favoris. Ça a été un moment fantastique, je revois encore le vestiaire, après le match !
Racontez-nous…
Michel Platini était en train de danser, je m’en rappelle très bien. Et je me souviens aussi que Jean Tigana était en train de râler, parce que le cameraman n’était pas là, et il voulait à tout prix que quelqu’un filme Platini en train de faire le pitre (rires). Cette victoire nous a fait vivre des moments très forts. Et elle a eu un grand impact en France, d’après les retours qu’on en a eu.
« Le même type de relation avec toutes les générations »
Vous parlez de cette époque avec nostalgie. Vous êtes ensuite resté chez les Bleus plus de 20 ans. Quelles différences avez-vous remarqué entre les générations ?
Quand je suis arrivé la première fois en équipe A, en 1986, je les connaissais tous car j’avais été entraîneur-adjoint des espoirs pendant 8 ans. Les ayant connus très jeunes, il y a toujours eu un lien très fort entre nous. Mais j’ai quand même pu retrouver le même type de relation avec toutes les générations qui sont arrivées.
Même à votre retour, avec Laurent Blanc, en 2010, après avoir été écarté par Raymond Domenech ?
(Silence) Non. Là, c’est vrai que j’ai découvert un nouveau comportement de la part des joueurs. Beaucoup plus individualiste. Ce n’est que la logique du monde dans lequel on vit : au lieu de partager, on s’isole avec son portable et son casque sur les oreilles. C’est ce qu’on voit avec nos enfants et nos petits-enfants, qui ont une autre manière de vivre. Il y avait moins de partage collectif dans le groupe par rapport avec ce que j’avais connu avant. J’ai un exemple frappant : aujourd’hui, je suis certain qu’on ne voit presque plus personne jouer aux cartes dans les équipes. Avant, on le faisait tout le temps. Ce contact chaleureux s’est perdu au fil du temps. Mais attention, ce n’est pas propre aux footballeurs : c’est le reflet du monde d’aujourd’hui. Il n’y a qu’à aller dans un aéroport, une gare, ou bien prendre le métro, afin de s’en rendre compte. Tout le monde est dans sa bulle et passe le temps, sans regarder le voisin.
De 1984 à 2004, vous avez été l’intendant de l’équipe de France. Quel a été votre rôle exactement ?
(Il coupe) Intendant, on va dire que c’est l’image qui reste dans l’esprit des gens ! Je suis d’abord un technicien. J’ai mon diplôme d’entraîneur professionnel. Et j’ai toujours eu une action sur le terrain. Après, je n’étais pas le numéro un en temps qu’adjoint technique. Moi, ce qui m’a très vite plu, c’est l’organisation et la vie du groupe. Tout ça fait qu’on m’a appelé l’intendant de l’équipe. Mais ce que je faisais dépassait largement ce rôle. J’allais voir beaucoup de matchs de nos Français. Après, j’essayais de rester avec le joueur, avec sa femme… C’est très important de bien se connaître. Et on connaît l’homme à travers sa façon de vivre, et de partager sa vie.
Vous étiez donc un lien entre le staff et les joueurs…
C’est ça. Et c’était encore plus vrai avec Aimé Jacquet. Dès qu’il allait voir un joueur, il voulait que je sois avec lui. Aimé souhaitait faire passer un message : moi, mon rôle était d’entretenir ce message. Avec cette manière de fonctionner, on n’a jamais eu de souci.
Du coup, vous devez garder encore aujourd’hui des liens assez forts avec d’anciens joueurs…
Bien sûr. Les jours où je ne reçois pas un SMS ou un mail de l’un d’entre eux sont très rares. Il y en a beaucoup qui me passent un coup de fil quand ils ont besoin de quelque chose… Quand on voit la période que j’ai passée avec eux, c’est normal.
« Raymond Domenech m’a fait louper ma sortie »
On l’a évoqué tout à l’heure : en 2004, vous êtes écarté par Raymond Domenech après 20 ans de bons et loyaux services. Qu’avez-vous ressenti à l’époque ?
Je vais vous raconter comment ça s’est passé. Quand Jacques Santini a annoncé qu’il allait en Angleterre, et donc qu’il quittait l’équipe de France après l’Euro 2004, Raymond m’a appelé. Il m’a dit : « Je suis candidat à la succession et j’aimerais que tu acceptes de continuer avec moi si je suis désigné ». Pour moi, il n’y avait pas de souci. En plus, Raymond était mon collègue, on est tous les deux entraîneur national. Ce qui est marrant, c’est que l’autre candidat, Jean Tigana, m’avait demandé la même chose. Le président de la fédération avait aussi souhaité que je sollicite Laurent Blanc, pour voir s’il était intéressé par le poste. Donc qui que ce soit qui devait être nommé, c’était dans la logique que je continue.
Après, Raymond a été nommé et on connait la suite. Il a sûrement pensé que j’étais trop proche de certains joueurs que lui voulait écarter, et qu’il fonctionnerait mieux sans moi. Après avoir été désigné, il a mis quelques jours à m’appeler pour me l’annoncer. D’ailleurs, quand il m’a appelé, je savais déjà qu’il ne voulait pas me prendre, par d’autres sources. Bref, ce qui est important, c’est qu’il a pu travailler avec les gens qu’il souhaitait.
Vous lui en voulez ?
Là où je lui en ai voulu, c’est qu’il aurait dû me le dire de suite : « Henri, c’est mieux que nos voies se séparent, je veux me passer de Zidane, de Thuram, et de tel ou tel joueur… ». Là, j’aurais compris la chose et j’aurais pu annoncer mon départ. Il m’a fait louper ma sortie. Je pense que je méritais plus de considération. Mais bon, aujourd’hui, ce n’est plus un problème.
Vous vous êtes recroisés ?
Oui, à la Direction technique nationale. En réunion, à Clairefontaine… C’était « bonjour », « bonsoir », et « vis ta vie, je vis la mienne ». C’est pas la manière dont a toujours vécu la DTN avant cette épisode-là.
Les joueurs dont il voulait se séparer en vous écartant, ce sont eux qui l’emmènent en finale de la Coupe du Monde 2006…
Oui, c’est vrai (rires). Bon, à ce moment-là, c’était vraiment secondaire pour moi. Ce que j’ai vraiment apprécié, c’est qu’en dehors de sa famille, Zidane a appelé une seule personne pour dire qu’il revenait en équipe de France. Et cette personne, c’était moi-même. Cette manière d’être de la part de quelqu’un que j’aime et que j’ai toujours apprécié me suffisait à mon bonheur.
« En 2002, on avait les trois meilleurs buteurs de trois championnats différents, mais ils n’ont pas mis un seul but »
On a parlé des bons souvenirs. Mais quels sont vos plus mauvais souvenirs en Coupe du Monde ?
L’élimination pour le Mondial 1994, au États-Unis. Surtout quand on se rappelle du parcours qui avait été le notre jusqu’à l’élimination. J’avais passé un mois en Amérique, en imaginant tous les tirages possibles, afin qu’on soit l’une des équipes les mieux organisées pour le Mondial. On pensait tous qu’on était qualifié. Même les médias en étaient certains. On avait gagné 4-0 en Israël, et on les recevait, alors qu’ils n’avaient plus gagné un match à l’extérieur depuis plusieurs années. La qualification était acquise, mais malheureusement, on n’est pas passé. C’était plus qu’une déception : une déception à outrance. En plus, les deux pays qui sont passés de notre groupe se sont retrouvés en demi-finales. Donc on avait les moyens, si on s’était qualifié, d’accrocher le podium.
Au rayon des mauvais souvenirs, n’y a-t-il pas aussi 2002 ?
Beaucoup moins. Ce qui a été dur à digérer, en 2002, c’est qu’on avait trois attaquants qui avaient tous terminé la saison meilleur buteur de trois championnats différents (Thierry Henry, David Trézéguet et Djibril Cissé, NDLR). Au Mondial, ils n’ont pas marqué un seul but ! Il y a aussi Zidane, qui se blesse lors d’un match de préparation contre la Corée du Sud… Après avoir été champions du monde et champions d’Europe, 2002 reste comme un goût d’inachevé. On pouvait espérer de faire quelque chose de beaucoup plus fort.

Henri Émile (à gauche) a été le relais du sélectionneur Aimé Jacquet en Bleu (crédit : L’Équipe).
Parlons de votre retour en Bleu, en 2010. Comment s’est-il opéré ?
C’est Laurent Blanc qui m’a demandé de revenir quand il a été nommé sélectionneur. Il m’a dit : « J’aimerais que tu reviennes et que tu sois l’homme que j’ai connu quand j’étais joueur ». Ça s’est fait de manière toute naturelle. J’ai pris beaucoup de plaisir à revenir auprès de lui. Après, avec Deschamps, ça n’a pas continué, malgré son souhait que je reste. C’est monsieur Le Graët qui n’a pas voulu. Il a souhaité réduire le staff.
De cette période-là, plus courte, gardez-vous aussi des contacts avec les joueurs ?
Contrairement à ce que vous pouvez penser, oui ! Sans les citer, il y a au moins trois ou quatre joueurs qui m’appellent régulièrement. Ça me fait plaisir, car je ne les ai vraiment pas connu longtemps.
« J’aurais aimé préparer cette Coupe du Monde au Brésil »
Si vous deviez retenir un seul moment de toutes vos années en équipe de France, ce serait lequel ?
Il y en a beaucoup ! Je pense à la joie qu’on a pu connaître en 1998, et cette remontée des Champs-Élysées, extraordinaire. Malheureusement, on avait dû s’arrêter au trois quarts de la remontée, car c’était devenu trop dangereux. Les gens étaient tellement nombreux et serrés que quelqu’un aurait pu passer sous une roue du bus et ça aurait été dramatique. On ne pouvait plus avancer. Mais le regard des gens, après cette victoire, restera inoubliable. Et le plus fort, c’est que cette joie, cet engouement, n’est pas retombé. On le voit quand on fait des matchs avec France 98. Le dernier tournoi à Montpellier, au mois de novembre, a fait un carton. Il n’y avait plus une seule place de libre une semaine avant, alors que le club de hand de Montpellier, le club phare de la ville, n’a jamais complètement rempli l’Arena.
À l’inverse, y a-t-il quelque chose que vous ne digèrerez pas de toutes ces années ?
(Long silence) Je ne sais pas. Pas grand chose. La défaite fait partie du système : si on ne l’accepte pas, il faut faire un autre métier… Ce que je n’ai pas aimé, c’est l’image qu’on a gardé du passage de Laurent Blanc à la tête de l’équipe de France. On ne garde en souvenir que les deux derniers matchs perdus de l’Euro 2012, contre l’Ukraine et l’Espagne, alors qu’il avait enchaîné plus d’une vingtaine de matchs sans défaite. Et les objectifs qui avaient été fixés étaient atteints. Donc ça m’a fait mal. À part ça, il a bien sûr la déception de l’élimination en 1993. Gérard Houllier avait dû démissionner alors que lui aussi avait fait un très bon parcours.
Vous avez préparé plusieurs Coupe du Monde. Comment ça se passe, à chaque fois ?
Un Mondial se prépare un an avant, même si on n’est pas qualifié. Si on attend la qualification, c’est trop tard, toutes les grandes nations du football ont déjà avancé des pions et pris leur camp de base. Et il ne reste que ce qu’ils n’ont pas voulu. L’important, c’est qu’il y a toujours une pré-compétition un an avant. Aujourd’hui, c’est la Coupe des Confédérations. Il faut y aller pour voir comment ça se passe. En voyant une vraie compétition, on se rend compte de ce que sera la Coupe du Monde qui va suivre. L’idéal, ensuite, est de s’imaginer plusieurs possibilités de tirage au sort, puis de tourner dans tout le pays, voir quel sera le lieu qui conviendra le mieux à la préparation de l’équipe. Il faut être très professionnel.

« Riton » a tissé un lien quasi paternel avec certains anciens joueurs des Bleus (crédit : L’Équipe).
Celle de cet été, au Brésil, auriez-vous aimé la préparer ?
Oui. Je suis déjà allé à trois reprises au Brésil pour le beach soccer. J’avais noué des contacts avec pas mal de gens. Alors oui, j’aurais aimé. Vraiment.
Que représente ce pays, pour vous ?
Le football ! Ils font rêver tout le monde à travers l’expression du jeu, ils se nourrissent de ça. La Coupe du Monde sera une très grande fête.
Comment voyez-vous les Bleus se comporter ?
Les derniers matchs qu’ils ont joués doivent leur amener une prise de confiance. Et aussi de responsabilité pour quelques joueurs. Il y aura deux compétitions : le premier tour, puis la phase à élimination directe. Dans la phase à élimination directe, tout est possible pour eux.
Vous allez les supporter ?
Évidemment. Ce n’est pas parce que je ne suis plus concerné aujourd’hui que je vais tourner le dos à ce maillot qui a fait rêver tant de monde. Et puis j’ai des rapports très forts avec Didier (Deschamps, NDLR) et d’autres membres de son staff. Donc je les suivrai avec beaucoup de plaisir.
Serez-vous sur place ?
Je ne sais pas encore. On ne m’a rien demandé au niveau de la fédération. Je me déciderai d’ici quinze jours. De toute façon, même si je n’y suis pas, le cœur y sera.
Quels sont vos favoris ?
On ne peut pas vraiment se prononcer maintenant. Il faut attendre les matchs amicaux de préparation . C’est là où on se rend vraiment compte des forces en présence. Après, il y a les grands du football : Espagne, Brésil, Allemagne. Mais on pourra se faire une idée plus précise fin mai.
On a beaucoup parlé du passé. Mais que fait Henri Emile, aujourd’hui ?
Je m’occupe de France 98. La Fifa m’a aussi envoyé à Madagascar diriger un stage d’entraineurs de beach soccer. Je suis allé à Tahiti, aussi. J’ai donc encore des missions qui me plaisent. Sinon, je joue au grand-père, en profitant de mes petits-enfants. Et j’essaye de suivre tous les matchs de Montpellier dans la loge de mon ami Loulou Nicollin.
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