ALL BLACKS DE NOUVELLE ZEELAND

Le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande,

Ricki Herbert, a annoncé ce lundi le groupe de 23 joueurs retenus pour la Coupe du monde 2010

Le défenseur de Blackburn Ryan Nelsen sera le capitaine de cette équipe qui comprendra six autres joueurs évoluant en Europe : Rory Fallon (Plymouth/ANG/D2), Chris Killen (Middlesbrough/ANG/D2), Michael McGlinchey (Motherwell/ECO), Winston Reid (FC Midtjylland/DAN), Tommy Smith (Ipswich Town/ANG/D2) et Chris Wood (West Bromwich Albion/ANG/D2).

Les Néo-Zélandais rejoindront l'Afrique du Sud le 6 juin avant d'entamer le Mondial au sein d?un groupe F comprenant également la Slovaquie, l'Italie et le Paraguay.


La sélection néo-zélandaise
GARDIENS : James Bannatyne (Team Wellington), Glen Moss (Melbourne Victory/AUS), Mark Paston (Wellington Phoenix).
DEFENSEURS : Andy Boyens (New York Red Bulls/USA), Tony Lochhead (Wellington Phoenix), Ryan Nelsen (Blackburn Rovers/ENG, capitaine), Winston Reid (FC Midtjylland/DEN), Ben Sigmund (Wellington Phoenix), Tommy Smith (Ipswich Town/ENG/D2), Ivan Vicelich (Auckland City).
MILIEUX DE TERRAIN : Andy Barron (Team Wellington), Leo Bertos (Wellington Phoenix), Tim Brown (Wellington Phoenix), Jeremy Christie (FC Tampa Bay/USA), Aaron Clapham (Canterbury United), Simon Elliott (sans club), Michael McGlinchey (Motherwell/SCO), David Mulligan (sans club).
ATTAQUANTS : Jeremy Brockie (Newcastle Jets/AUS), Rory Fallon (Plymouth/ENG/D2), Chris Killen (Middlesbrough/ENG/D2), Shane Smeltz (Gold Coast United/AUS), Chris Wood (West Bromwich Albion/ENG/D2).

VICTOIRE SURPRENANTE DES ALL BLACKS 29/05 Amical : Serbie - Nouvelle-Zélande : 0-1

NOUVELLE-ZÉLANDE
● Les Kiwis s’offrent la Serbie!
Et si les All Whites étaient la
surprise de ce Mondial? Hier,
en Autriche, les petits Poucet
de la prochaine compétition
ont battu la Serbie (1-0), qui
avait pourtant donné du fil à
retordre aux Bleus lors des éliminatoires.
C’est Shane
Smeltz (21), le buteur de Gold
Coast United, qui a offert ce
succès inattendu à la Nouvelle-
Zélande.

LES ALL BLACKS DECULOTTENT LES AIGLES BLANCS



La Nouvelle-Zélande étonne
La Serbie, qui avait tenue la dragée haute aux Bleus, s'est fait surprendre par la Nouvelle-Zélande en préparation pour la Coupe du monde (0-1).

Les All Whites (en noir) ont fait plier la Serbie de Nemanja Vidic.
Un match amical, d'accord, mais une surprise quand même. La Nouvelle-Zélande, l'un des Petit Poucet des 32 qualifiés pour la Coupe du monde, a réussi la performance de s'imposer samedi en Autriche face à la Serbie, l'un des cadors des qualifications en zone Europe - la France en sait quelque chose (1-0). Les Serbes, 15es au classement FIFA, étaient certes privés de leur capitaine, l'attaquant de l'Inter Milan Dejan Stankovic, puis leur défenseur Ivan Obradovic a dû céder sa place (21e), mais ils n'ont jamais été réellement dangereux, malgré une possession de balle largement supérieure. Les All Whites les ont fait plier sur un but de Shane Smeltz (21e), tandis que le défenseur Neven Subotic a gâché la meilleure occasion serbe sur un coup de tête manqué (38e).

La contre-performance de leur équipe n'a pas été du goût des supporters serbes, très nombreux parmi les 14 000 spectateurs présent à Kalengfurt. Ils ont allumé des feux de bengale et jeté des projectiles sur la pelouse en seconde période. Certains ont même pénétré sur le terrain, obligeant le capitaine serbe, Nemanja Vidic à faire la police pour ramener l'ordre. L'étonnante Nouvelle-Zélande a montré que son système de jeu pouvait dérouter ses adversaires. Ils évoluent en 3-4-3 qui se transforme parfois en 5-4-1. Lundi, contre l'Australie, ils avaient déjà fait mieux que se défendre, en concédant une courte défaite (1-2) dans le temps additionnel.

Avant d'entrer en lice en Af'Sud contre la Slovaquie (15 juin), les Néo-Z doivent encore affronter en préparation la Slovénie (4 juin). La Serbie a enore elle aussi un match amical à son programme pré-Mondial (contre la Pologne le 2 juin) et disputera sa première rencontre dans le groupe D contre le Ghana le 13 juin

la Slovénie a de nouveau inscrit trois buts,
ce vendredi à Maribor, contre la Nouvelle-Zélande (3-1). Une victoire acquise au repos par Valter Birsa et ses coéquipiers.

but de Novakovic (7e) égalisation par le mileu néo-zélandais Fallon (20e).
reprise de l'avantage slovenie par Novakovic (30e) et Kirm (44e).

Les Kiwis, de leur côté, redescendent sur terre après leur surprenante victoire face à la Serbie (1-0), le 29 mai
Les All Whites débuteront leur Mondial contre la Slovaquie, le 15 juin et ces 2 matchs amicaux slovenie et serbie
seront des indicatifs du jeu de leurs prochains adversaires

le sélectionneur néo-zélandais Herbert a enfin souri
samedi 05 juin 2010

Ricki Hebert était en 1982 l'un des défenseurs de la première sélection néo-zélandaise jamais qualifiée pour phase finale de Coupe du monde. Désormais sur le banc des All Whites, le sélectionneur est parvenu à offrir à son pays un deuxième ticket pour le Mondial.

AUCKLAND - Il fallait bien une qualification pour la Coupe du monde pour qu'il laisse enfin transparaître ses émotions.
Richard "Ricki" Herbert, 49 ans, affiche en toutes circonstances un visage de marbre mais en cette soirée de novembre, la victoire contre le Bahrein en barrage de la zone Asie/Océanie a eu raison de son flegme.

Le sélectionneur néo-zélandais, porté par la houle d'un Westpac Stadium de Wellington en délire, leva les bras au ciel et poussa un rugissement de plaisir digne du Haka des rugbymen néo-zélandais.

Le cri traduisait aussi un soulagement profond après quatre années passées à la tête d'une sélection néo-zélandaise qui n'avait plus été à pareille fête depuis 1982 et la qualification pour le 'Mundial' espagnol.

Herbert est bien placé pour avoir trouvé le temps long. Il faisait lui-même partie de la première équipe des All Whites jamais qualifiée pour une phase finale de Coupe du monde.

Alors âgé de 21 ans, ce rugueux défenseur central, qui totalise 61 sélections, avait participé aux 15 matches de qualification des Néo-Zélandais et avait débuté deux des trois matches perdus par la sélection lors du Mondial.

Les All Whites avaient encaissé la bagatelle de 12 buts en trois rencontres contre l'Ecosse, le Brésil et l'Union soviétique, n'en inscrivant que deux.

Est-ce le souvenir douloureux de cet épisode ou son penchant naturel pour la défense? Toujours est-il que Herbert a longtemps privilégié la solidité de son équipe à toute velléité offensive.

Critiqué pour sa frilosité, il a peu à peu fait évoluer son discours, jusqu'à promettre en public à ses joueurs de leur donner carte blanche pour l'attaque lors de la Coupe du monde.
"Nous avons acquis le respect du pays. Nous devons donner aux joueurs les moyens de gagner un match", dit-il, satisfait de son groupe et de la profondeur de l'effectif.

Durant les quatre années de la longue campagne de qualification, Herbert, qui entraîne parallèlement le club des Wellington Phoenix, s'est parfois montré dur envers ses joueurs, exigeant d'eux un engagement maximum pour compenser les lacunes techniques de l'équipe.
Il se réjouit aujourd'hui d'avoir donné leur chance à de nombreux jeunes, à l'instar du jeune attaquant de West Bromwich Albion Chris Wood, seulement âgé de 18 ans.
"On peut dire que 90 à 95% de l'équipe sera probablement encore là à la prochaine Coupe du monde" au Brésil. Herbert s'y verrait bien aussi.

les All Whites veulent quitter l'ombre des Blacks

Deux semaines durant, un peu plus s'ils réussissent l'exploit de se qualifier pour le second tour du Mondial en Afrique du Sud, les All Whites seront pour une fois les stars en Nouvelle-Zélande, le pays du rugby roi.


AUCKLAND - Deux semaines durant, un peu plus s'ils réussissent l'exploit de se qualifier, les All Whites seront pour une fois les stars dans le pays du rugby roi.

Les Néo-Zélandais, qui ne jurent traditionnellement que par le ballon ovale, ont l'habitude d'avoir les yeux tournés vers l'Afrique du Sud et les Springboks, les plus grands rivaux de leur All Blacks chéris depuis des années.

Mais, une fois n'est pas coutume, ce sera pour suivre les exploits de leur équipe de football à un an de la Coupe du monde de rugby au pays du Long Nuage blanc.

La première qualification des All Whites pour une phase finale de Coupe du monde depuis 1982 a suscité un engouement nouveau pour le "soccer". Et l'enthousiasme débordant de leur sélectionneur Ricki Herbert.

"C'est stupéfiant. 1982 fut fantastique mais cette fois c'est encore plus incroyable", affirme Herbert, défenseur de la dernière et seule équipe néo-zélandaise mondialiste, il y a 28 ans en Espagne.

"Je pense que depuis (la qualification face au Bahrein), le football n'est plus le troisième ou quatrième sport (en terme de popularité), c'est probablement le numéro un en ce moment", avance-t-il fièrement.

"Il faut applaudir les joueurs pour ce qu'ils ont fait, pour avoir ramené le football à la place qu'il aurait toujours dû occuper."

"MOURIR SUR LE TERRAIN"

Pour entretenir la flamme naissante, les All Whites devront déjouer les pronostics en Afrique du Sud. Les bookmakers les donnent invariablement tout en bas de l'échelle, derrière la Corée du Nord, à 2.000 contre un.

Sortir d'un groupe F composé des champions du monde en titre italiens, du Paraguay et de la Slovaquie s'annonce compliqué.

Mais l'attente dans le pays sera aussi mâtinée d'une plus grande indulgence qu'envers des All Blacks dont les échecs à répétition lors des Coupes du monde de rugby finissent par lasser.

Pour le capitaine Ryan Nelsen, l'impact de la qualification a été similaire à celui d'il y a quatre ans chez le voisin australien, huitième de finaliste en 2006 en Allemagne.

Il en veut pour preuve l'explosion du nombre de journalistes qui suivent désormais les All Whites. "Vous étiez quatre il y a peu. Regardez, maintenant c'est plein (...) Si on devait accueillir l'Australie en Nouvelle-Zélande, on ne trouverait pas un stade suffisamment grand pour accueillir tout le monde."

La perspective de la Coupe du monde ne l'effraie pas. Il l'aborde toutefois avec réalisme, conscient des limites de son équipe composée de quelques "expatriés" en Angleterre, comme lui.

Et puisqu'un Néo-Zélandais a forcément un peu de rugby dans les veines, il en appelle au sens du sacrifice des siens.

"La brutale réalité de la Coupe du monde, c'est que vous pouvez perdre 5-0 à chaque match. Mais la différence avec notre équipe, c'est que nous serons incroyablement combatifs. Il se peut qu'on perde mais nous mourrons sur le terrain pour essayer de gagner

Nouvelle-Zélande (Groupe F): petit poucet
Les Néo-zélandais abordent la Coupe du monde avec pour objectif d'éviter l'humiliation. Pas facile pour l'une des plus faibles équipe de la compétition.


S'ils ont le maillot noir des "All Blacks", les footballeurs de Nouvelle-Zélande sont surnommés les "All Whites".
La Nouvelle-Zélande n'a jamais gagné la Coupe du monde de rugby. En football, ce ne sera pas pour tout de suite. Les Néo-zélandais, 78e nation Fifa, se présentent à la Coupe du monde, dans la position du Petit Poucet. Pour les Kiwis, l'objectif est de ne pas finir atomisé au terme du Mondial.

Parce qu'à chaque grande compétition, c'est pareil, la Nouvelle-Zélande enchaîne les roustes, les unes après les autres. Pour sa seule participation à la Coupe du monde, en 1982, elle a encaissé 12 buts en trois matchs, dont un 4-0 contre le Brésil de Zico. L'été dernier, lors de la Coupe des confédérations, l'Espagne leur a mis 5-0.

L'équipe manque de talent. Hormis Ryan Nelsen, 33 ans, qui joue à Blackburn, aucun autre joueur n'évolue dans un championnat majeur. Le milieu de terrain Simon Elliott est même au chômage. Ça peut donc très mal tourner pour les "All-Whites".

Toutefois, le Néo-zélandais n'aime pas être trop pris de haut. La Serbie en a fait l'amère expérience en perdant 1-0 en match amical le 29 mai. "C'était sûrement la plus grande victoire en football de notre histoire," jubilait Ricki Herbert, le sélectionneur national. On se contente de ce qu'on a.

11 MEXS BLANCS GRINGALETS QUI FERAIENT LE HAKA ? CA FERAIT PEUR A PERSONNE
ALORS ON LE FAIT PAS



Vingt-huit ans après...
Lundi 14 juin 2010
OthersMalaga, 15 juin 1982 : la Nouvelle-Zélande perd 5:2 contre l'Écosse pour ses débuts en Coupe du Monde de la FIFA.

Rustenburg, 15 juin 2010 : les All Whites rencontrent la Slovaquie pour leur grand retour dans la reine des compétitions après une très longue attente.

Aujourd'hui, 28 ans après l'aventure mondialiste d'un groupe de valeureux amateurs, la Nouvelle-Zélande fête son retour parmi les 32 meilleures équipes du monde. Beaucoup de choses ont changé depuis ce bouillant été 1982, et pas seulement dans le style capillaire. À part quelques joueurs qui évoluent dans le championnat national, la majorité des sélectionnés sont des joueurs professionnels qui émergent dans des clubs européens, étasuniens ou australiens. En outre, presque tous sont nés en Nouvelle-Zélande, ce qui contraste là aussi avec la génération 1982, qui était majoritairement originaire du Royaume-Uni.

En 1982, les Kiwis s'étaient retrouvés dans un groupe très difficile, avec ce premier match face à l'Écosse de Graeme Souness et Kenny Dalglish. S'en étaient suivies deux défaites, 0:3 contre l'URSS d'Oleg Blokhine puis 0:4 face au Brésil d'Eder, Zico et Socrates.

Le tirage de 2010 s'est montré un peu plus clément, bien que la qualification reste un objectif ambitieux pour les All Whites. Après la Slovaquie, ce sont l'Italie, championne du monde en titre, et le Paraguay qui se dresseront sur leur route.

La continuité entre les deux époques est réelle, ce que souligne l'identité du sélectionneur actuel : Ricki Herbert était titulaire en défense lors d'Espagne 1982. Son assistant actuel, Brian Turner, s'était illustré durant la très longue campagne de qualification (15 matches, un record à l'époque). Kevin Fallon, le père du buteur actuel de la sélection Rory Fallon, était alors l'assistant du sélectionneur John Adshead.

C'est Fallon junior qui a marqué l'unique but de la double confrontation de barrage contre Bahreïn pour l'accession à la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010. Sa reprise victorieuse de la tête à la dernière minute de la première mi-temps et la qualité générale de sa performance, il les devait aussi en partie, comme il l'a affirmé plus tard, à l'exemple fourni par ses glorieux aînés.

"J'ai vu l'équipe de 1982 (faire un tour d'honneur) au début de l'échauffement (lors de la deuxième manche du barrage contre Bahreïn) et je me suis dit : 'Il faut qu'on aille à cette Coupe du Monde parce qu'aujourd'hui encore, on se souvient de ce que ces gens-là ont fait. C'est notre plus belle chance d'y arriver nous aussi. On a la possibilité de faire quelque chose de bien et de changer la donne pour ce sport en Nouvelle-Zélande."

"La différence entre 1982 et aujourd'hui, c'est qu'à l'époque il s'agissait de joueurs amateurs – nous sommes presque tous des professionnels. L'équipe de 1982 est probablement partie pour cette Coupe du Monde dans l'idée de s'amuser, de bien y figurer et de ne pas prendre de rouste. Nous, nous y allons pour gagner des matches. C'est une mentalité différente. On a beaucoup de pros expérimentés dans l'équipe."

Capitaine en 1982 et auteur du premier but contre l'Écosse, Steve Sumner croit fermement en les chances de l'équipe actuelle. "J'aime le discours de nos joueurs", a-t-il déclaré, lui qui a reçu la semaine dernière en Afrique du Sud l'Ordre du Mérite FIFA pour sa contribution au football sur le terrain et en-dehors.

"John Adshead nous avait fixé comme objectif de marquer des buts. Nous savions que nous étions capables de défendre correctement. (Cette fois-ci) ils parlent de marquer des points et je leur dis : allez-y, prenez des points et même qualifiez-vous pour le deuxième tour. Rêvez, croyez en vous, vous avez les moyens d'en faire quelque chose sur le terrain. Mon expérience de 1982 me fait dire : allez-y en confiance, serrez-vous les coudes, battez-vous pour les copains."

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Les "All Whites"
rouges de plaisir
Royal Bafokeng Stadium à Rustenburg. Mi-temps : 0-0.
Arbitre : M. Damon (RSA). Spectacteurs : 23871.
Buts - Nouvelle-Zélande : Reid (90+3). Slovaquie : Vittek (50).
Avertissements - Nouvelle-Zélande : Lochhead (42), Reid (90+3).
Slovaquie : Strba (55).
Nouvelle-Zélande: Paston - Reid, Nelsen (cap), Vicelich (Christie, 78), Smith - Elliott,
Bertos, Lochhead - Fallon, Smeltz, Killen (Wood, 72). Entraîneur : Ricki Herbert.
Slovaquie : Mucha - Zabavnik, Durica, Skrtel, Cech - Strba, Weiss (Kucka, 90+1), Hamsik
(cap) - Sestak (Holosko, 80) - Jendrisek, Vittek (Stoch, 84).
Entraîneur : Vladimir Weiss.

Que de regrets pour la Slovaquie... Pour le premier match de
Coupe du monde de son histoire, la sélection emmenée par Vladimir
Weiss a longtemps cru tenir sa première victoire grâce à une
tête décroisée de son buteur attitré, Robert Vittek, juste après la
pause. Malheureusement, malgré une nette domination en seconde
période, les Slovaques ont été contraints de concéder le match
nul. La faute à une autre tête, celle de Winston Reid, qui permet à
la Nouvelle-Zélande d’engranger le premier point de son histoire
lors d’une Coupe du monde.
Après le nul entre l’Italie et le Paraguay, lundi soir, les quatre
équipes de ce groupe F sont donc à égalité parfaite. Les Italiens,
décevants pour leur entrée en lice, ont du souci à se faire : la Slovaquie
joue bien et la Nouvelle-Zélande est décidée à ne rien lâcher.

Le groupe F pourrait aussi réserver une surprise. Si les deux matches s'achèvent sur des matches nuls identiques, l'Italie et la Nouvelle-Zélande seront à égalité parfaite
et devront être départagées au tirage au sort.

lun 14/06/2010 au Cap ITALIE PARAGUAY 1 - 1
mar 15/06/2010 à Rustenburg NOUVELLE-ZELANDE SLOVAQUIE 1 - 1
dim 20/06/2010 à Mangaung/Bloemfontein SLOVAQUIE PARAGUAY 0 - 2
à Nelspruit ITALIE NOUVELLE-ZELANDE 1 - 1
jeu 24/06/2010 à Johannesburg SLOVAQUIE ITALIE 16h00
à Polokwane PARAGUAY NOUVELLE-ZELANDE 16h00


Rang Équipes Points Joués Gagnés Nuls Perdus B. pour B. contre diff.
1 PARAGUAY 4 2 1 1 0 3 1 +2
2 ITALIE 2 2 0 2 0 2 2 0
3 NOUVELLE-ZELANDE 2 2 0 2 0 2 2 0
4 SLOVAQUIE 1 2 0 1 1 1 3 -2