KARIM BENZEMA 1987

Real Madrid-Benzema: "Je voulais jouer"








Karim Benzema était tout à son bonheur samedi, même s'il n'a pas marqué lors de la finale de Ligue des champions et qu'il est sorti à la 79e minute (l'Atletico menait encore 1-0). "On est très fiers de cette grosse saison, lâche le Français sur Infosport+. Quand j'ai signé à Madrid, c'était pour gagner la Ligue des champions. Je suis très fier de notre parcours. Ça a été difficile au début, on savait que ça allait être un match difficile. On s'est parlés à la mi-temps, on s'est dit qu'il restait 45 minutes et qu'il ne fallait rien lâcher. Finalement, on marque à la 90e minute." Le Real s'est imposé 4-1 en prolongation, Sergio Ramos égalisant exactement à la 93e. "J'ai tout fait pour jouer, je voulais jouer, conclut Benzema. Après, je n'étais pas à 100%, j'avais des gênes. Mais le plus important, c'est qu'on ait gagné."

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11:25 PM - 24 Mai 2014
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Félicitations à Raphaël Varane et Karim Benzema pour leur victoire en finale de la Ligue des Champions. Plus qu'à aller chercher un autre titre le 13 juillet !




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France-Benzema: ''J'ai encore un peu mal''








Karim Benzema a soulevé sa première coupe aux grandes oreilles samedi soir à Lisbonne après le succès 4-1 en prolongation du Real Madrid contre l'Atletico. Incertain toute la semaine qui a précédé ce match à cause d'une douleur à l'adducteur gauche, le Lyonnais de 26 ans était finalement titulaire au coup d'envoi, avant d'être remplacé par Alvaro Morata à la 79e minute de jeu. "J'ai encore un peu mal à l'adducteur, a avoué l'international français à la fin de la rencontre, cité par L'Équipe. Là, j'ai trois semaines, il faut que je me repose bien pour être opérationnel (pour la Coupe du monde au Brésil, NDLR)." L'avant-centre du Real et des Bleus est attendu à Clairefontaine mercredi, tout comme son coéquipier Raphaël Varane.

Real Madrid: Benzema s'affiche sur Twitter avec sa nouvelle conquête








Karim Benzema est un homme heureux. Le buteur français a de quoi l'être après avoir participé à la conquête de la dixième Ligue des champions remportée par le Real Madrid, tombeur samedi de son voisin de l'Atlético (4-1) à Lisbonne, théâtre de la finale. Nouveau venu sur Twitter, le Tricolore de 26 ans a posté une photo le montrant soulever la coupe aux grandes oreilles, dimanche sur le réseau social, pour fêter "la Décima", cette dixième C1 attendue depuis douze ans par les fans de la Maison Blanche.

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La voila la Décima !!! Here is the Décima !!! Aqui esta la Décima !!!
7:04 PM - 25 Mai 2014
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Mondial 2014. Benzema et Varane sont arrivés
France - 28 Mai
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• Karim Benzema Raphaël Varane, ici avec Zinedine Zidane et Raul, ont rejoint leurs partenaires de l'équipe de France. | AFP
  

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L'attaquant et le défenseur, sacrés champions d'Europe avec le Real Madrid, ont rejoint l'équipe de France, désormais au complet pour son stage de préparation.

Les deux joueurs, qui ont eu droit à trois jours de repos après leur victoire en Ligue des champions samedi contre l'Atletico Madrid (4-1 a.p.), sont les derniers à rejoindre l'équipe de France.
Le sélectionneur Didier Deschamps dispose ainsi de son groupe de 23 joueurs convoqués pour la Coupe du monde puisque les six réservistes (Perrin, Trémoulinas, Schneiderlin, Gonalons, Lacazette, Cabella) ont quitté le Centre national du football plus tôt dans la journée.




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En route pour Clairefontaine ;-) @equipedefrance #CM2014
6:09 PM - 28 Mai 2014
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Ribéry et Benzema, stars françaises de la Coupe du monde 2014

Ribéry-Benzema-Varane : c'est grave docteur ?
31/05/2014 05:32



Karim Benzema et Franck Ribéry, deux éléments majeurs du système des Bleus, seront-ils à 100 % pour le Mondial ? - (AFP)

A dix-sept jours du premier match de l'équipe de France au Mondial contre le Honduras, l'état de forme incertain de Ribéry et de Benzema, les deux atouts maîtres des Bleus, ainsi que la fragilité de Varane, parti pour être titulaire en défense, interpellent.
> Ribéry en a-t-il plein le dos ? Les jours passent et toujours pas de Francky sur le terrain. Ou presque. Depuis son arrivée il y a bientôt dix jours à Clairefontaine, les seules fois où Ribéry a foulé la pelouse, c'était pour signer des autographes aux supporteurs. Aussi, le mystère demeure. En est-il encore à soigner son dos douloureux ou est-il vraiment en phase de réathlétisation, comme l'a indiqué Didier Deschamps ? Le sélectionneur a déclaré ne vouloir en aucun cas « brusquer » le retour à la compétition de son attaquant, qui « traîne ça depuis trois semaines, un mois ». L'impatience de Ribéry devrait grandir un peu plus s'il devait, comme c'est probablement la tendance, déclarer forfait pour le match préparatoire à Nice contre le Paraguay demain.
> Benzema : l'adducteur, ça prend du temps. Pour Karim Benzema, les données paraissent plus limpides. Il souffre de l'adducteur gauche depuis plus de deux semaines. Une blessure qui nécessite du temps pour disparaître. Or, accaparé par la fin de saison chargée du Real Madrid, il n'en a guère eu pour se soigner. « Ça va mieux, il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Je me soigne bien, ça évolue bien. Il ne faut pas être inquiet ». Hier, le buteur des Bleus est donc passé entre les mains du staff médical qui sait qu'une blessure à un adducteur prend du temps à se résorber. « Pour dimanche ce sera un peu juste, je pense plutôt reprendre avec le groupe mercredi », a-t-il confié.
> Varane, une fragilité à consolider. Contrairement à Benzema, Raphaël Varane a joué l'intégralité de la finale à Lisbonne, sans montrer de signes de douleur à la jambe droite qui l'a régulièrement handicapé cette saison. C'est logiquement fatigué qu'il est arrivé à Clairefontaine, avant de passer des tests médicaux le lendemain. Lui aussi va suivre un programme de régénération individualisé, ce qui rend incertaine sa participation au match contre le Paraguay.

: «Je me sens fort»
Arrivé mercredi à Clairefontaine, quatre jours après avoir remporté la Ligue des champions avec le Real Madrid (4-1 a.p. contre l'Atlético), Karim Benzema (26 ans) est venu rassurer tout le monde quant à sa blessure aux adducteurs. Il est aussi revenu sur sa saison, sa «meilleure» depuis qu'il est au Real. 1ere partie de notre interview.

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Karim Benzema s'est montré rassurant vendredi sur l'état de son adducteur. (L'Equipe)




«Karim Benzema, comment va votre adducteur gauche ?
Ça va mieux, il n’y a pas d’inquiétude à avoir. Je me soigne bien. J’ai repris la course. Il faut que je continue à travailler. Mais il ne faut pas être inquiet, c’est beaucoup mieux que contre l’Atlético. Cet après-midi, je vais faire du physique. Pour dimanche (pour le match amical contre le Paraguay), ce sera un peu juste. Mais je devrais reprendre l’entraînement collectif mercredi. Je n’ai plus mal. Après, les adducteurs, c’est toujours un peu compliqué. Il y a toujours un peu la peur de tirer, de frapper.



«Je dois montrer l'exemple aux plus jeunes, je peux apporter mon expérience. » Quel bilan faites-vous de votre saison au Real ?
Pour moi, et pour toute l’équipe, ça a été une saison exceptionnelle. On a gagné cette Ligue des champions et quand on gagne des titres... Ça fait longtemps que je n’avais pas fait une saison entière comme titulaire. On peut dire que c’est ma meilleure saison depuis que je suis au Real.

Est-ce qu’aujourd’hui, vous vous sentez plus fort ?
J’ai progressé, je me sens fort. Cette saison, il y a eu des critiques, des belles choses, des mauvaises choses... Après, je fais partie des plus anciens en équipe de France. Je dois montrer l’exemple aux plus jeunes, je peux apporter mon expérience. Après, on est un groupe, on a besoin de tout le monde, pas que d’un seul joueur.





«Parfois, j'ai l'impression que quand si je fais des très, très grands matches, le lendemain, on dit que j'ai fait un "bon match".» Dans une interview à paraître samedi dans l’Equipe Mag, vous estimez qu’on en attend trop de vous...
Parfois, j’ai l’impression que quand si je fais des très, très grands matches, le lendemain, on dit que j’ai fait un "bon match". De toute façon, je sais quand j’ai été bon ou quand je ne l’ai pas été. L’essentiel, c’est que je continue à travailler et que je me fixe des objectifs... Là, c’est d’être performant pendant la Coupe du monde.

Sur quels critères évaluez-vous vos propres performances alors ?
Les passes, les appels de balle, libérer des espaces. Pour moi, un attaquant, ce n’est pas que marquer des buts, c'est quelqu'un qui donne des bons ballons. Si j’ai pas touché la balle et que je marque à la 85e, après le match, je ne serai pas forcément content.»

Lire la suite de l'interview de Karim Benzema

«Karim Benzema, quels sont les objectifs pour cette Coupe du monde ?
On ne sait jamais. Si je dis que je n’ai pas envie d’aller en finale ou de gagner la Coupe du monde, je serais un fou ! On a une très bonne équipe, il y en a des très grosses. Mais il ne faut sous-estimer l’équipe de France, il faut bien entrer dans la compétition et se qualifier. Après...

Sentez-vous à nouveau l’engouement du public à l’égard de l’équipe de France ?
Bien sûr, on le sent. Après, c’est toujours pareil, ça vient aussi des perfs des joueurs... Il faut démontrer à chaque match, mettre des buts, avoir de l'envie. C'est ce qu’on a fait ces derniers matches. Aujourd’hui, ils sont avec nous. Après sur le terrain, on donne tout pour eux, pour nos familles, pour nos supporters.



«Aujourd'hui, bien sûr, on est obligés de repenser à cette soirée (contre l'Ukraine) pendant les matches» Cette réconciliation a commencé avec le barrage retour contre l’Ukraine (3-0)...
C’était un match très important. Pas beaucoup de personnes nous donnaient gagnants. On s’est surpassés. Aujourd’hui, bien sûr, on est obligés de repenser à cette soirée pendant les matches. Ça permet de nous dire qu’on peut faire quelque chose d’extraordinaire.

Quels conseils vous a donné Zinedine Zidane ?
C’est quelqu’un de proche des joueurs, qui parle, qui donne des conseils. Il a tout gagné. Pour la Coupe du monde, il m’a juste dit que c’était quelque chose d’extraordinaire et m’a souhaité bonne chance.»

France-Benzema: "Il faut que je fasse la différence"








A peine arrivé de Madrid où il a fêté la Ligue des Champions gagnée samedi par le Real, Karim Benzema est revenu sur son état de santé, vendredi, à Clairefontaine. "Je suis en période de récupération, j'ai couru hier, a déclaré l'avant-centre des Bleus. Cet après midi, je vais faire du physique. ça risque d'être juste pour dimanche. Je pourrais reprendre l'entraînement collectif mercredi. Je n'ai plus mal." L'ancien Lyonnais a aussi donné des nouvelles de Raphaël Varane: "Il est jeune, il récupère vite. Son genou va bien et il est bien dans sa tête", mais aussi de Franck Ribéry: "Il est un peu contrarié d'être blessé mais rien de grave". Pour conclure, l'attaquant des Merengues s'est exprimé sur son statut de cadre et les attentes sur ses performances. "Il faut que je fasse la différence, je n'ai pas le choix. Un attaquant ne doit pas que mettre des buts, il doit participer au jeu. Marquer à la 85e et ne pas avoir touché une balle, je ne serais pas content", a-t-il expliqué.

J MOINS 11
«Je n'ai plus mal»
Hier, Karim Benzema s'est voulu rassurant concernant sa blessure.
Comment va votre adducteur ?
Ça va mieux, il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Je me soigne bien, j'ai déjà repris la course, je travaille avec les kinés, ça évolue bien. Il ne faut pas être inquiet même si ce sera juste pour demain face au Paraguay. Je pense pouvoir reprendre mercredi avec le groupe.
Avez-vous mal ?
Non, mais j'ai pour l'instant peur de frapper.
Vous sentez-vous capable d'assumer votre rôle de leader en bleu ?
J'ai progressé. Il y a eu des critiques, des bonnes et mauvaises. Je fais partie des plus anciens et je dois montrer l'exemple. Même si on a besoin de tout le groupe, je pense pouvoir apporter mon expérience.

France - Paraguay, à 21 h sur TF1.
la phrase
« J'ai progressé. Je fais partie des plus anciens en équipe de France et je dois montrer l'exemple. Je peux apporter mon expérience. »
KarimBenzema, l'attaquant numéro 1 de l'équipe de France, aborde les prochaines échéances dans la peau d'un leader. Le récent vainqueur de la Ligue des champions, encore touché aux adducteurs, ne pourra pas tenir sa place ce soir contre le Paraguay. Mais il se sent prêt et en pleine forme pour la Coupe du monde. Très souvent titulaire et auteur d'une très belle saison collective et individuelle avec son club, le Real Madrid, Karim Benzema souhaite conclure en beauté sa saison au Brésil et apporter toute l'expérience emmagasinée cette année.

Benzema à l’entraînement
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Publié le 05/06/2014 à 06h00










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K
arim Benzema a effectué hier son premier entraînement collectif avec l'ensemble du groupe de l'équipe de France, en préparation pour le Mondial

France/Monde
Benzema propulsé en première ligne
08/06/2014 05:35
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Le forfait de Ribéry change la donne. Karim Benzema se retrouve dans la peau du joueur n° 1 de l'équipe de France. - (AFP)

Répétition jamaïquaine

Avec la défection de Franck Ribéry pour le Mondial, Karim Benzema, de retour en équipe de France contre la Jamaïque, doit désormais se faire violence et assumer un rôle de patron technique inhabituel pour lui en bleu.
L'attaquant du Real Madrid (26 ans, 65 sélections, 19 buts), enfin remis de ses soucis à l'adducteur gauche, fait figure de dernière bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher.
A l'issue de sa saison la plus aboutie sous le maillot du Real Madrid, marquée par le succès en Ligue des champions et 24 buts inscrits toutes compétitions confondues, Benzema se savait attendu pour sa toute première expérience en Coupe du monde. « J'ai progressé. Il y a eu des critiques, des bonnes et mauvaises. Je fais partie des plus anciens en équipe de France et je dois montrer l'exemple. Je peux apporter mon expérience. »
Mais le contexte a singulièrement évolué avec le forfait de Ribéry et le voilà propulsé en première ligne, seul à pouvoir porter l'encombrante étiquette de « crack ».
Jusque-là, les phases finales n'ont pas vraiment réussi à Benzema. Muet lors des Euro 2008 et 2012, il n'avait pas été convoqué par Raymond Domenech pour le Mondial 2010.
Le fiasco et le déshonneur dans lesquels les Bleus ont plongé à Knysna ont de quoi lui ôter tout regret de ne pas avoir été du voyage en Afrique du Sud. Cette fois, il ne pourra pas se dérober face à ses responsabilités.
Devenu international à 19 ans en 2007, le surdoué était voué à détenir un jour les clefs de la maison bleue.
Le Real prépondérant dans sa métamorphose
Encore fallait-il qu'il s'en donne les moyens et gomme ce surnom peu avantageux de « chat » dont l'avait affublé José Mourinho au Real en raison de son incapacité à se muer en « tueur », aussi bien devant le but et dans le vestiaire.
Cette époque est révolue, et il est maintenant considéré comme un joyau à Madrid, avec ses deux compères Cristiano Ronaldo et Gareth Bale. L'arrivée de Carlo Ancelotti au Real à l'été 2013 et le poids grandissant de Zinédine Zidane dans l'encadrement ont joué un rôle prépondérant dans cette métamorphose, lui permettant d'évoluer enfin libéré de toute pression et de ne pas être uniquement focalisé sur son rendement chiffré.
Une sorte d'incompréhension a en effet toujours prévalu au sujet de ce joueur à la finesse technique indéniable mais pas vraiment fait pour rester immobile dans la surface de réparation. Benzema aime décrocher, participer à la construction d'une action et ne doit pas être seulement jugé à l'aune de ses statistiques, finalement assez moyennes pour un avant-centre de son niveau (une seule saison à plus de vingt buts en championnat, en 2011-2012 avec le Real Madrid).
Ses 1.222 minutes passées sans marquer en équipe de France (du 5 juin 2012 au 11 octobre 2013) ont ainsi sérieusement écorné son statut. Mais le déclic a fini par se produire. Lundi, c'est dans la peau d'un incontestable n° 1 en attaque qu'il s'envolera vers le Brésil. Voire un peu plus avec les malheurs de Ribéry…

Benzema : «De belles choses»
Auteur d'un doublé et de trois passes décisives ce dimanche contre la Jamaïque (8-0), Karim Benzema a signé une belle prestation à un poste qui n'est pas le sien habituellement. Réactions.

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Karim Benzema a signé un match plein. (L'Equipe)




Karim Benzema (attaquant de l'équipe de France) : «Une victoire c'est ce qu'il y a de mieux avant de partir. C'est de la confiance, dans la continuité des matches qu'on a pu faire donc tout le monde est content. C'est bien que tous les attaquants aient marqué, mais c'est aussi grâce au travail des milieux et des défenseurs. On a montré de belles choses. Il y a longtemps (deux ans ndlr) que je n'ai pas joué à gauche, ce n'est pas mon poste de prédilection. J'ai essayé de bouger un peu partout, ça fait partie du jeu. Je peux aussi jouer un peu plus décroché. (Association avec Giroud) Ca a été. On a essayé de bouger, de se trouver mais il ne faut pas se focaliser sur ça et ne penser qu'à jouer ensemble. On a combiné, c'est passé, surtout en deuxième mi-temps donc c'est bien, il faut continuer.»

Le 13/06/2014 à 23:05:00 | Mis à jour le 13/06/2014 à 23:30:48
FOOT
[size=40]BLEUSBenzema, idole de Ribeirao Preto

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A deux jours de leur entrée en lice face au Honduras, les Bleus se sont entraînés au complet, ce vendredi après-midi, au stade du Botafogo FC. Pour cette deuxième séance ouverte au public, un peu moins de 5 000 spectateurs s’étaient massés en tribunes. Après s’être échauffés, Mathieu Valbuena et ses équipiers ont enchaîné par un toro avant de travailler en ateliers : coup francs pour les uns ; reprises de volée pour les autres.

Cet exercice -auquel s’est prêté Didier Deschamps dans le rôle du centreur– a une nouvelle fois permis de constater que l’efficacité de Karim Benzema était intacte tout comme sa cote de popularité à Ribeirao Preto. A l’instar de mardi dernier, une poignée de supporters a passé la séance à chanter des «Ben-ze-ma». Avec chacune des lettres de son nom peinte sur le torse. La fin de l’entraînement a été marquée par l’intrusion sur la pelouse d’un supporter, vite intercepté par la sécurité des Bleus.

GROUPE ABRE CRO MEX CAM GROUPE BESP HOL CHL AUS GROUPE CCOL GRE CIV JAP GROUPE DURU CRC ANG ITA GROUPE ESUI EQU FRA HND GROUPE FARG BOS IRN NGA GROUPE GALL POR GHA USA GROUPE HBEL ALG RUS CDS


Le 15/06/2014 à 08:00:00
Foot
Bleus Benzema, le monde l'attend
En l'absence de Franck Ribéry, forfait, Karim Benzema incarne le principal atout offensif des Bleus durant le Mondial. A confirmer dès ce dimanche (21h00) face au Honduras.

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En l'absence de Franck Ribéry, Karim Benzema sera le leader offensif des Bleus au Brésil. (L'Equipe)





La star de l’équipe de France, c’est lui : Karim Benzema. Pour s’en convaincre, il suffit de constater l’engouement que suscite l’attaquant du Real Madrid depuis l’arrivée des Bleus à Ribeirao Preto. Lors des deux entraînements ouverts au public, l’ancien Lyonnais a été acclamé par les milliers de supporters brésiliens qui se sont massés dans le vétuste stade du Botafogo FC. «C’est légitime, souligne Blaise Matuidi. Karim est un joueur de classe mondiale, le buteur du Real Madrid, l’équipe qui a gagné la Ligue des champions.» Disponible, Benzema a tout fait pour soigner sa popularité : il a été le seul à offrir son maillot au public à l’issue du premier entraînement, avant de faire fondre en larmes une adolescente à qui il avait accepté de dédicacer une paire de chaussures.



«Il est dans une phase de sa carrière où il est très bien. Il marque but sur but. Physiquement, il est très costaud, très affûté.» Cet élan autour du buteur tricolore n’offre aucune garantie sportive. Mais il témoigne malgré tout de son ‘‘mieux-être’’. Après avoir touché le fond avec les Bleus pendant 1222 minutes entre juin 2012 et octobre 2013, Benzema sort, de son propre aveu, de «sa meilleure saison» en club : 17 buts en 35 matches de Liga ; 5 buts en 10 matches de Ligue des champions. En sélection, il est entré dans le top 10 des meilleurs buteurs de l’histoire de l’équipe de France à la faveur de son doublé inscrit lors du dernier match de préparation face à la Jamaïque (21 buts en 66 sélections). «Il est dans une phase de sa carrière où il est très bien, témoigne Loïc Rémy. Il marque but sur but. Physiquement, il est très costaud, très affûté. Moi qui ai grandi avec lui, je l’ai vu évoluer. Il peut encore progresser, mais il va nous faire énormément de bien pendant la compétition.» Sous-réserve qu’il soit «comme actuellement», poursuit Matuidi, «au top de sa forme».



«Karim, c'est la classe mondiale»

Ce n’est pas la première fois que Benzema suscite une telle attente. Lors de l’Euro 2008, puis lors du Championnat d’Europe 2012, il avait déjà focalisé l’attention. Et il avait à chaque fois traversé la compétition comme une ombre. A entendre ses équipiers ou le préparateur physique des Bleus Eric Bédouet, il paraît toutefois peu concevable aujourd’hui que la situation se répète. «Karim, c’est la classe mondiale, s’enflamme Ruffier. Il est mobile, il prend bien les espaces, il sait faire jouer les autres. Et il a cette qualité que l’on demande à tous les attaquants : c’est un finisseur.» «Il se comporte vraiment comme un leader d'équipe, poursuit Bédouet. C'est vraiment un très grand joueur. On le voit à l'entraînement : il a une grande fluidité dans sa technique, il a une explosivité, il voit juste, c'est un joueur top-mondial.» Dont on attend qu’il pèse, sur ce Mondial.

80' Les Bleus mènent désormais 3 buts à 0 après le deuxième but personnel de Karim Benzema.





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Mondial : Deschamps et Benzema savourent la victoire
Publié le Dimanche 15/06/2014 à 23H27



Didier Deschamps était forcément heureux après le beau succès des Bleus face au Honduras (3-0) : "On est tombés face à une équipe très agressive, on a été patients. On a fait un très bon début, pendant la préparation on avait fait de bonnes choses mais là c'est la compétition. Gagner aujourd'hui c'est un très bon départ. Gagner 3-0 en coupe du monde, ce n'est jamais évident. Quand il y a victoire au bout il n'y a rien de plus beau, le plaisir est total. Félicitations à eux, on va récupérer et on remet ça dans 5 jours."

Karim Benzema au micro de TF1 : "C'est une belle vitoire. Ca a été difficile pendant 10 minutes, après le penalty ça a été mieux, on a profité des espaces."

Festival des Bleus !

Equipe de France
08/06/2014

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Les 49.600 spectateurs du stade Pierre-Mauroy de Lille ont assisté à un magnifique spectacle de la part des Bleus avec un succès 8-0 face à la Jamaïque.

France
-
Jamaïque
: 8 - 0
Pour son dernier match de préparation à la Coupe du Monde FIFA 2014 au Brésil, l’équipe de France a offert un très beau spectacle à ses supporters en s’imposant 8-0 face à la Jamaïque, qu’elle rencontrait pour la première fois de son histoire. Didier Deschamps décidait de débuter le match avec un 4-3-3 en alignant Giroud et Benzema en pointe. Bien lui en a pris, puisque l’attaquant du Real Madrid s’est montré décisif avec deux buts et deux passes décisives.
Cabaye, le local de l’étape, ouvrait le score au quart d’heure de jeu sur une belle remise de Giroud (1-0, 17^e). Puis son coéquipier au Paris Saint-Germain Blaise Matuidi doublait la mise d’une frappe à ras de terre, sur une passe de Benzema (2-0, 20^e). L’ancien Lyonnais retrouvait ensuite son rôle préféré, celui de buteur, en inscrivant le troisième but français (3-0, 37^e).  A la pause, les hommes de Didier Deschamps avaient déjà fait mieux que la Suisse, futur adversaire durant la Coupe du Monde FIFA 2014, puisque les Helvètes n’avaient battu la Jamaïque qu’en toute fin de match il y a quelques jours (1-0).
Les Bleus n’en restaient pas là et Benzema était bien l’homme de la soirée. Il offrait tout d’abord un nouveau but à son coéquipier de l’attaque Olivier Giroud (4-0, 53^e), donnant ainsi sa 11^e passe décisive en équipe de France avant de tromper une nouvelle fois le portier jamaïcain pour son 21^e but en bleu (5-0, 63^e). Matuidi n’était pas en reste puisque lui aussi inscrivait un doublé après un service d’Evra (6-0, 66^e). Didier Deschamps faisait souffler Giroud en faisant entrer Griezmann. Encore un choix payant puisque l’attaquant de la Real Sociedad trouvait lui aussi le chemin des filets par deux fois en fin de rencontre (7-0, 77^e et 8-0, 79^e), passant à un total de trois buts en quatre sélections.
L’équipe de France termine donc ses matchs de préparation à la Coupe du Monde FIFA 2014 avec un très bon bilan de deux victoires et un match nul, tout comme lors de la préparation de la Coupe du Monde 1998...
Feuille de match :
France - Jamaïque 8-0 (mi-temps : 3-0)
Buteurs :
Cabaye (17e), Matuidi (20e et 66e), Benzema (37e et 63e), Giroud (53e) et Griezmann (77e et 79e) pour la France
France : Lloris - Debuchy (Sagna, 46e), Varane, Sakho, Evra – Cabaye (Mavuba, 59^e), Sissoko, Matuidi (Pogba, 72e) – Valbuena (Rémy, 80e), Giroud (Griezmann, 71^e), Benzema (Schneiderlin, 87e)  - Sélectionneur : Didier Deschamps
Jamaïque : Barrett - Doyley, Morgan, Mariappa, Lawrence (Gray, 46e) - Grant, Austin (cap), Beckett (Campbell, 46e) - Humphrey (Sherrif, 64e), Seaton (Williams, 72e), Dawkins (Edwards, 85e) - Sélectionneur : Winfried Schäfer

Mondial 2014 : Benzema porte la France contre le Honduras


1


Par AFP

Publié le 15/06/2014 à 23h03
Mise à jour : 06h42
L'attaquant français Karim Benzema, double buteur contre le Honduras, le 15 juin 2014 à Porto Alegre (AFP - Luis Costa)
La France a réussi son entrée en lice dans le Mondial en battant le Honduras 3 à 0 dans le groupe E, avec un Benzema auteur d'un doublé pour son premier match en Coupe du monde, dimanche à Porto Alegre.
Le match restera dans l'histoire comme le premier dans lequel un but a été accordé grâce à la technologie sur la ligne.

Les Bleus renouent avec le succès en phase finale d'un Mondial, huit ans après leur demi-finale contre le Portugal (1-0), et peuvent enfin tourner la page d'un Mondial sud-africain catastrophique (1 nul, 2 défaites et une grève de l'entraînement).
Les hommes de Didier Deschamps retrouveront vendredi à Salvador leur plus sérieux rival du groupe E, la Suisse, qui a battu difficilement l'Equateur (2-1). L'enjeu est primordial: le vainqueur de la poule devrait logiquement éviter l'Argentine, promise à la première place du groupe F, en huitièmes de finale.
Dans le stade Beira-Rio de Porto Alegre, les Français sont d'emblée partis à l'assaut du but de Valladares, auteur d'une parade sur une demi-volée de Matuidi (15). La frappe du milieu parisien heurta la barre transversale, tout comme la tête de Griezmann peu après (23).
La "H", modeste 33e au classement Fifa, misait sur sa hargne et une défense regroupée pour couper l'élan des Bleus. Mais l'agressivité hondurienne se transforma en indiscipline, Palacios bousculant Pogba dans la surface.
Double peine pour les "Catrachos": le milieu de Stoke City fut exclu pour un second avertissement et Benzema se chargea de transformer le penalty (45).
L'attaquant du Real Madrid, après la pause, poussa Valladares à la faute pour le 2-0. Le gardien, surpris par un tir sur le poteau de Benzema, repoussa le ballon dans ses cages (48) pour le premier but de l'histoire accordé grâce à la technologie sur la ligne.
Benzema, encore lui, poussa l'avance des Bleus d'une frappe en pleine lucarne (72).

La France n'avait plus gagné 3-0 en Coupe du monde depuis la finale de 1998 gagnée face au Brésil.

France/Monde - Mise à jour : 00:21 - Sport
Mondial: Benzema porte la France contre le Honduras
16/06/2014 00:21
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Les joueurs français fêtent l'un des buts de Karim Benzema contre le Honduras, le 15 juin 2014 à Porto Alegre - AFP Luis Acosta
La France a réussi ses débuts dans le Mondial en dominant le Honduras (3-0), qui a évolué plus d'une période à dix, sur un doublé de Benzema et un but validé pour la première fois de l'histoire par la technologie sur la ligne de but, dimanche à Porto Alegre.

Cela faisait seize ans que les Bleus ne s'étaient pas imposés lors de leur premier match d'un Mondial, ce qui situe l'importance du résultat, même contre un adversaire considéré comme le plus faible du groupe E.
Cette formation jeune et inexpérimentée, dont l'acte de naissance ne date que du 19 novembre et ce barrage retour homérique face à l'Ukraine (3-0), avait besoin d'un déclic pour lancer sa propre histoire, quatre ans après le fiasco de Knynsa. La voilà partie sur de bons rails avant de croiser dans cinq jours à Salvador la Suisse, son concurrent le plus sérieux pour le gain de la première place.
Malgré une préparation sans accroc, hormis le forfait de Franck Ribéry et la polémique qui l'a suivi entre le staff médical des Bleus et celui du Bayern Munich, il fallait le sceau de la compétition pour valider le renouveau et démontrer que les valeurs de groupe et de solidarité, proclamées haut et fort par les joueurs et l'encadrement depuis plusieurs semaines, n'étaient pas des voeux pieux. La mission a été parfaitement remplie.
Passée la tension des premières minutes, les Français sont parvenus à prendre le match à leur compte pour ne plus lâcher leur proie. Le tournant de la rencontre a eu lieu peu avant la pause avec la charge dans le dos de Wilson Palacios sur Paul Pogba, à l'origine de l'ouverture du score de Karim Benzema sur penalty (45) et de l'exclusion du milieu hondurien.
Benzema a répondu présent
La deuxième réalisation des Bleus, oeuvre du gardien Noel Valladares contre son camp après une reprise de Benzema (48), a provoqué un début de confusion dans le stade avant qu'elle soit définitivement validée par la technologie sur la ligne de but mise en place par la Fifa pour la première fois en Coupe du monde.
Mais Benzema a mis tout le monde d'accord en s'offrant un doublé sur une frappe splendide (78, 23e but en 67 sélections).
La France avait auparavant trouvé la barre transversale à deux reprises par Blaise Matuidi (15) et Antoine Griezmann (23), signes d'une domination sans partage qui n'attendait plus que sa confirmation au tableau d'affichage.
Deschamps peut donc respirer et se pencher avec sérénité et tranquillité vers la suite de l'aventure brésilienne de ses troupes. Cette équipe, née à l'automne dernier, a de l'allure avec son trident du milieu Cabaye-Matuidi-Pogba et un Mathieu Valbuena devenu indispensable et encore rayonnant dimanche.
Le sélectionneur peut aussi savourer la prestation de Benzema, qui a été fidèle au rendez-vous en l'absence de Ribéry. En véritable patron et leader technique, il a pris ses responsabilités sur le penalty avant de tuer tout suspense. Il se souviendra forcément de ses deux premiers buts dans une phase finale, démontrant qu'il était réellement dans la forme de sa vie, ce qui en soit est l'une des meilleures nouvelles de la soirée.
Il est encore trop tôt pour savoir jusqu'où ira cette équipe, la faiblesse de l'adversaire, qui n'avait que des coups à donner et peu de jeu à produire, obligeant à une certaine retenue. Mais la dynamique est préservée pour la France, invaincue depuis le 19 novembre, et qui peut enfin relever la tête en attendant les prochaines échéances, quatre ans après avoir été la risée de la planète en Afrique du Sud.