INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!

LA FFF AU BOUT DU BOUT ........ .

Blaquart suspendu !

Le ministère des Sports a suspendu de ses fonctions avec effet immédiat François Blaquart, le directeur technique national de la FFF. Une annonce faite par le ministère et la FFF qui «réaffirme (n'avoir) envisagé une politique de quotas au recrutement de ses centres de formation».

Cette décision fait suite aux accusations du site Mediapart dénonçant jeudi des «quotas discriminatoires» raciaux mis en place par la Fédération Française de football, et la publication du dialogue, samedi, entre les plus hauts cadres techniques de la FFF, dont le sélectionneur Laurent Blanc et le DTN François Blaquart (

«Chantal Jouanno, ministre des Sports et Fernand Duchaussoy, président de la Fédération française du football (FFF), ont décidé d'un commun accord que soient suspendues, avec effet immédiat, les fonctions de Directeur technique national (DTN) de M. François Blaquart, ceci dans l'attente des conclusions des enquêtes menées par la FFF (dirigée par M. Patrick Braouezec, président de la Fondation du Football) et par l'IGJS (Inspection générale de la jeunesse et des sports), qui rendront leurs conclusions sous huit jours, ont indiqué les deux instances dans un communiqué.

La FFF réaffirme (...) qu'aucune de ses instances dirigeantes élues n'a validé, ni même envisagé une politique de quotas au recrutement de ses centres de formation.»

Blaquart «meutri»

«Je trouve la décision extrêmement injuste sur le fond, c'est évident, mais probablement logique sur la forme, compte tenu de mon double attachement au ministère et à la FFF, a réagi Blaquart sur RTL après la décision de sa suspension. Si la commission d'enquête aboutit rapidement, j'en attendrais ses résultats avec beaucoup d'impatience mais aussi beaucoup de sérénité. Je suis meurtri.

J'ai eu quelques contacts avec Fernand Duchaussoy qui m'a un peu réconforté. Si je me sens piégé ? Pas mal. C'est toute la DTN qui a été piégée sur ce projet-là, parce que, qu'une réunion comme ça soit enregistrée, déjà, et mis sur le banc public, et surtout dans ces conditions, c'est scandaleux.»

«Ça pose aussi le problème de l'intégrité d'un certain nombre de personnes dans l'équipe dont j'avais la mission d'assumer la direction, ajoute Blaquart. Si je sers de fusible ? Je n'en suis pas là. Je ne suis pas du tout raciste, s'amuse-t-il. Ceux qui connaissent ma carrière... Il faut aller chercher des témoignages... Je ne le suis vraiment pas.

J'ai travaillé partout dans le monde avec toutes les équipes nationales, dans des centres de formation, avec des équipes de jeunes... J'ai créé des écoles de foot très mixtes à l'âge de 18 ans et tout... Je ne le suis vraiment vraiment pas (raciste, ndlr). Je me sens déjà offensé quand on me pose la question. Le problème, c'est l'amalgame. Le mot quota a été associé à des problèmes ethniques, etc, alors que ce n'était pas du tout le cas. C'était un problème de statut de joueurs par rapport au problème des binationalités. D'autant plus que la raison nous a vite amené à ne pas prendre de décisions sur ce type d'action, alors que de toutes façons, ça n'avait aucune connotation raciale, ethnique ou quoique ce soit. Je suis complètement relativement anéanti moralement, très déçu avec l'impression d'une manipulation assez forte. En revanche, je m'estime assez serein intellectuellement et en conformité avec mes idées, donc c'est le principal.»

Il démentait vendredi

«On peut s'organiser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit», indiquait notamment Blaquart dans le dialogue publié samedi par Mediapart.

Celui qui a été officiellement nommé DTN le 25 février après le départ de Gérard Houllier pour Aston Villa avait démenti vendredi la mise en place de quotas discriminatoires à la FFF. «Bien sûr que je démens, avait-il expliqué. Venez voir toutes nos actions. C'est une évidence. Ni centre de formation, ni Pôle espoirs (n'ont reçu de telle consigne de quotas). Notre seul problème, c'est celui des doubles nationalités (formés en France et qui jouent ensuite pour d'autres sélections à l'étranger). Ça intègre des joueurs de toutes les origines. Rien à voir avec la couleur de peau. Il y a aussi des gens originaires des pays de l'Est ou des Latins qui se trouvent dans les mêmes conditions». «Quant à la couleur de peau, nous n'avons qu'à rappeler le lien extrêmement fort avec les départements d'Outre-mer», avait-il conclu.

SUJET COMPLEXE

Ce qui s'est dit sur les quotas

Après la publication jeudi d'un article dénonçant des «quotas discriminatoires» raciaux mis en place par la Fédération Française de football, Mediapart publie samedi matin le verbatim de la fameuse réunion du 8 novembre 2010.

Cette réunion officielle se déroule en présence d'une vingtaine de cadres, responsables de la Direction technique nationale et entraîneurs nationaux. Le sélectionneur des Bleus, Laurent Blanc, est présent tout comme François Blaquart (DTN), Erick Mombaerts (sélectionneur des Espoirs) et Francis Smerecki (sélectionneur des moins de 20 ans). La future politique sportive du foot français doit être élaborée mais le débat bloque sur les jeunes joueurs à la double nationalité, formés à Clairefontaine, qui choisissent par la suite d'évoluer sous les couleurs d'une équipe étrangère.

Un choix qui ne plaît pas du tout à Laurent Blanc. Alors que Mombaerts évoque les dernières statistiques issus de l'INF de Clairefontaine indiquant la formation de 4 internationaux français A et 26 internationaux étrangers, Blanc souligne être choqué par de tels chiffres. «Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité? Oui ? Non ?

Donc, auquel cas, on est obligé de le faire sous le coude. C'est-à-dire on est obligé de le faire... Mais est-ce qu'il faut le faire. Je pense que tout le monde doit être concerné, là», questionne Mombaerts. «Moi j'y suis tout à fait favorable. Sincèrement, ça me dérange beaucoup. Ce qui se passe dans le football actuellement, ça me dérange beaucoup. A mon avis, il faut essayer de l'éradiquer. Et ça n'a aucune connotation raciste ou quoi que ce soit. Quand les gens portent les maillots de l'équipe nationale des 16 ans, 17 ans, 18 ans, 19 ans, 20 ans, Espoirs, et qu'après ils vont aller jouer dans des équipes nord-africaines ou africaines, ça me dérange énormément. Ça, il faut quand même le limiter. Je dis pas qu'on va l'éradiquer mais le limiter dans ces pôles-là... », répond Blanc.

«Donc il faut 30% ? Un tiers de gamins qui peuvent changer (de nationalité) ?

», interroge Mombaerts, ce à quoi Blaquart rétorque : «Même pas». «Faut faire un projet. (...) L'idéal effectivement, c'est de dire, mais pas officiellement : de toute façon on ne prend pas plus de tant de gamins qui sont susceptibles de changer (de nationalité, NDLR) à terme», ajoute le DTN.

Vif échange Blanc-Smerecki

«On peut baliser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit. Ça reste vraiment que de l'action propre. Bon voilà, on fait attention. On a les listes, à un moment donné...», dit encore Blaquart. «Moi c'est pas les gens de couleur qui me posent un problème. C'est pas les gens de couleur, c'est pas les gens nord-africains. Moi j'ai aucun problème avec eux. Mais le problème, c'est que ces gens-là doivent se déterminer et essayer qu'on les aide à se déterminer. S'il n'y a que des - et je parle crûment - que des blacks dans les pôles (de jeunes, NDLR) et que ces blacks-là se sentent français et veulent jouer en équipe de France, cela me va très bien», explique plus loin Laurent Blanc qui a ensuite un vif échange avec Smerecki qui dénonce une politique discriminatoire.

«Si le mec a envie d'être international, c'est quand même normal qu'il aille vers un pays où il va pouvoir jouer. Je pense que c'est humain quand même», dit Smerecki qui ajoute plus loin : «Première chose, c'est discriminatoire. Et si on enlève la totalité des gens qui peuvent choisir, pour une autre sélection (étrangère, NDLR) éventuellement, je ne sais pas si on a une division. Parce que quelque part, même s'ils vont jouer dans un autre pays, il y a des clubs de Ligue 2 qui vivent avec ces joueurs-là.» «Ce qui me gêne sur le fond, c'est (qu'il y a) celui qui a la possibilité d'être français-français et d'aller avec Laurent, et celui, parce qu'il n'a pas assez d'aptitudes et de talent pour aller avec Laurent et qui va aller dans un autre pays, et c'est celui-là que vous voudriez éliminer. C'est impossible», envoie encore Smerecki à Mombaerts.

«Les Espagnols n'ont pas ces problèmes-là»

Une heure plus tard, Blanc relance le débat : «On veut pas éliminer les étrangers, pas du tout, mais faire en sorte que les pôles Espoirs ou les pôles de la DTN testent sur des critères mieux définis pour pouvoir attirer d'autres personnes, parce que si on a toujours les mêmes critères, y aura toujours les mêmes personnes. (...) Parce que je suis sur les terrains tous les samedis, je vois quelques centres de formation: on a l'impression qu'on forme vraiment le même prototype de joueurs: grands, costauds, puissants. (...) Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants? Les blacks. Et c'est comme ça. C'est un fait actuel. Dieu sait que dans les centres de formation, dans les écoles de football, ben y en a beaucoup. Je crois qu'il faut recentrer, surtout pour des garçons de 13-14 ans, 12-13 ans, avoir d'autres critères, modifiés avec notre propre culture (...) Les Espagnols n'ont pas ces problèmes-là. (...) Ils m'ont dit : «Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas.»

Mombaerts conclut : «Est-ce qu'on peut essayer de proposer avant la fin de l'année un projet, quelque chose de différent .(...) Dire: voilà on va s'attaquer à ça. Bon, on a compris aussi qu'on a besoin d'ouverture, de proposer quelque chose et qu'on peut s'attaquer à quelques croyances bien établies, notamment le jeu, hein, le jeu, au détriment peut-être de l'individu. Mais le jeu, forcément, ça va être d'intégrer d'autres types de joueurs. Parce que le jeu, c'est l'intelligence, donc c'est d'autres types de joueurs. Donc tout est lié, tout est lié !»

L’article publié ce vendredi par Médiapart, sur les supposés quotas discriminatoires voulus par certains cadres de la FFF, n’a pas fini de faire du bruit. François Blaquart, Francis Smerecki et Laurent Blanc, présentés comme faisant partie des principaux interlocuteurs de la fameuse discussion se sont exprimés hier. En sa qualité de ministre des Sports, Chantal Jouanno avait aussi pris la parole. C’est désormais au tour des femmes et hommes politiques de tous horizons de s’emparer de l’affaire.


Martine Aubry (Première secrétaire du PS) : « C'est inacceptable, c'est terrifiant, c'est imbécile. Laurent Blanc a fait part un peu tardivement de ses regrets ».


Manuel Valls (député PS, au micro de Canal +) : « C'est très maladroit, ça laisse quelque chose de gênant et de profondément amer. L'idée qu'il puisse y avoir du racisme, qu'on choisisse les sportifs en fonction de leur origine, c'est insupportable. J'ai le sentiment qu'il y a eu beaucoup de maladresse, des apprentis sorciers ».


Jean-Louis Debré (président du Conseil constitutionnel, au micro de Radio J) : « Je ne sais pas si c'est vrai. Le fait même de ce quota et de ce que vous dites me choque profondément. La France est un pays ouvert, la Constitution dit qu'il n'y a pas de races ou de religion privilégiée ».


Chantal Jouanno (Ministre des Sports, hier, au micro de RTL) : « Les propos qui ont été publiés ce (samedi) matin sont graves. Les allégations, les propos publiés par Mediapart sont quand même assez lourds ».


Nicolas Dupont-Aignan (président de Debout la République) : « L'empressement du ministère des Sports et de la Fédération française de football à mettre à pied le DTN est ahurissant. Ce dernier a tout bonnement été sacrifié sur l'autel de la bien-pensance. Voilà la dernière victime d'une nouvelle inquisition prompte à crier à tort et à travers au racisme alors même que toute l'histoire du football français est un modèle d'intégration ».


Louis Alliot (vice-président du FN) : « Je suis surpris de voir que les dirigeants du football français en sont réduits à mettre des quotas de blancs. Je trouve ça choquant. Ce sont les qualités sportives qui doivent être prises en compte ».

INDISCRET
Carla Bruni enceinte…
un secret de Polichinelle?

"Je suis bouche cousue pour
protéger quelque chose et pour
protéger tout le travail qu’il (Nicolas
Sarkozy) fait", a expliqué
Carla Bruni-Sarkozy au journal
Le Parisien, sans, donc, confirmer
ou démentir les rumeurs de
sa grossesse. Et lorsque le journaliste
lui demande si "on en
saura plus dans six mois", elle répond:
"Oui. J’aimerais bien être
plus tranquille avec ces questions-
là. Mais c’est la fonction de
mon mari qui multiplie les choses
par 100000 et qui fait d’une
espèce de petit poisson une baleine".
Malgré des réponses détournéesaux multiples questions
sur cette éventuelle grossesse, ilsemblerait bien que l’épouse du Président, âgée de 43 ans, attende un deuxième enfant.
Qui
pourrait voir le jour le 11 septembre 2011
Pour le lancement de la campagne de Nicolas Sarkozy?
ou pour les 10 ans de l'attaque des tours americaines le 11 septembre 2001?
allez savoir;;;;;;;;;;;;;

ON VOUS INVITE DONC A VENIR MONTRER VOTRE HUMOUR ICI

PUISQUE C "EST THERAPEUTIC

DEPUIS 6 ANS LE PAKISTAN SAVAIT
QUE DANS UNE MAISON AVEC BARBELES ET DOUBLE MURAILLE EN BETON
CE N ETAIT PAS UN HABITAT TRADITIONNEL ET DONC COMPLICES ...



Flash InfoBarenboïm et un orchestre européen enchantent Gaza pour la première foisPortugal: accord avec l'UE et le FMI sur une aide de 78 milliards de dollarsLigue des Champions: Barcelone écarte Madrid de la finaleDiffusion d'une photo de Ben Laden mort: les USA pèsent le pour et le contreSyrie: manifestation à Banias, les Etats-Unis parlent de "barbarie" à DeraaLe crash Rio-Paris en passe d'être élucidé, tentative de remontée de corpsAffaire des quotas: auditions à la FFF, compte à rebours enclenchéLa maison de couture de Jean Paul Gaultier passe sous pavillon espagnolMort de Ben Laden: le ton monte entre Etats-Unis et PakistanLibye: inquiétude à Misrata à l'expiration d'un ultimatum de Kadhafi
AFP, Mise a jour : 3 mai 2011
Mort de Ben Laden: le ton monte entre Etats-Unis et Pakistan
Le Pakistan a dénoncé mardi le raid américain engagé sur son sol pour éliminer Oussama Ben Laden, deux jours après la mort du chef d'Al-Qaïda, tandis que les Etats-Unis avouaient avoir tenu leur allié à l'écart de l'opération par crainte qu'il ne donne l'alerte.




AFP
"Le Pakistan exprime sa vive préoccupation et ses réserves sur la manière dont le gouvernement américain a mené à bien cette opération sans information ni autorisation préalables du gouvernement pakistanais", a fait savoir le ministère des Affaires étrangères pakistanais.

De telles "actions unilatérales non autorisées" ne doivent pas devenir la règle", y compris pour les Etats-Unis, a martelé la diplomatie pakistanaise, estimant que de tels raids "minent la coopération et représentent parfois aussi une menace pour la paix et la sécurité internationales".

L'élimination du chef d'Al-Qaïda tend des relations déjà difficiles entre les deux alliés.

Les Etats-Unis n'ont pas informé le Pakistan de l'opération contre Ben Laden car ce pays "aurait pu alerter" le chef d'Al-Qaïda de l'imminence du raid, a déclaré le directeur de la CIA, Leon Panetta, dans un entretien au magazine Time.

"Nous avons décidé qu'une collaboration avec les Pakistanais risquait de mettre en péril la mission", a affirmé le patron de l'agence de renseignement responsable de la longue traque de l'instigateur des attentats du 11-Septembre.

Le Pakistan est soupçonné de double-jeu dans la lutte antiterroriste. Des accusations renforcées par le fait que Ben Laden a été localisé, après des mois de traque, à Abbottabad, une ville de garnison située à 80 km à peine d'Islamabad.

Londres a "des questions" à poser au Pakistan après la mort de Ben Laden, a déclaré le Premier ministre britannique David Cameron. "Le fait que Ben Laden ait vécu dans une grande maison dans un quartier résidentiel montre qu'il devait avoir un réseau de soutien au Pakistan".

Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a jugé que la position du Pakistan manquait "de clarté", soulignant avoir "un peu de mal à imaginer que la présence d'une personne comme Ben Laden (...) ait pu passer complètement inaperçue".

Le président pakistanais Asif Ali Zardari a rejeté ces soupçons dans une tribune publiée par le Washington Post, affirmant que l'élimination de Ben Laden était le résultat "d'une décennie de coopération et de partenariat entre les Etats-Unis et le Pakistan".

Washington semblait vouloir éviter une dégradation des relations avec Islamabad, alors même que le Congrès réfléchit à la suppression de l'aide financière américaine massive à cet allié difficile.

"Nous travaillons très dur à ces relations, ce sont des relations importantes et compliquées", a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney.

L'aide au Pakistan "est à la fois dans l'intérêt à long terme du Pakistan et dans l'intérêt national de la sécurité des Etats-Unis", a insisté le porte-parole du département d'Etat, Mark Toner.

Plus de vingt-quatre heures après la mort de "Geronimo", nom de code d'Oussama ben Laden lors du raid américain, les détails sur l'opération de 40 minutes continuaient à filtrer.

Ben Laden n'était pas armé lorsqu'il a été tué, a affirmé le porte-parole de la Maison Blanche.

Pendant l'attaque, "il existait une inquiétude sur le fait que Ben Laden s'opposerait à l'opération de capture et, en effet, il a résisté (...) Ben Laden a été tué par balle. Il n'était pas armé", a déclaré M. Carney lors d'un point de presse.

Depuis l'annonce de l'opération, les détails sur les circonstances de la mort d'Oussama Ben Laden ont fluctué.

Lundi, le principal conseiller du président Barack Obama pour l'antiterrorisme, John Brennan, avait indiqué que Ben Laden s'était servi de sa femme comme bouclier humain. Mais M. Carney a précisé mardi que cette femme avait reçu une balle dans la jambe, mais n'avait pas été tuée.

Alors que certains disent douter de la réalité de la mort de Ben Laden, la Maison Blanche continue à hésiter à publier des photos du corps.

"Je serai franc, la publication des photos d'Oussama ben Laden après cette fusillade est sensible, et nous évaluons la nécessité de le faire", a déclaré M. Carney. La question est de savoir si une telle publication "sert ou dessert nos intérêts, pas seulement ici mais dans le monde entier", a-t-il expliqué. "On peut dire que c'est une photo atroce".

Craignant des représailles de cellules d'Al-Qaïda, la communauté internationale était sur le qui-vive. Les Etats-Unis ont lancé un bulletin d'alerte à leurs forces de l'ordre, tandis que l'ambassade et les consulats américains au Pakistan ont été fermés au public "jusqu'à nouvel ordre".

L'Espagne a entrepris de renforcer la sécurité de ses ambassades dans plusieurs pays sensibles, dont le Pakistan et l'Afghanistan.

Les talibans pakistanais alliés à Al-Qaïda, qui mènent une campagne d'attentats sanglante dans le pays depuis plus de trois ans, ont juré de venger Ben Laden et la sécurité a été considérablement renforcée dès lundi à Islamabad, comme dans les zones sensibles de plusieurs villes.

Des centaines de personnes ont participé à Karachi (sud du Pakistan) à des prières spéciales pour Ben Laden, à l'initiative d'une organisation charitable figurant sur la liste américaine des groupes terroristes.

Au Soudan, un millier de manifestants se sont rassemblés à Khartoum, où Oussama ben Laden a vécu dans les années 1990, saluant dans le chef d'Al-Qaïda un "martyr" et scandant des slogans anti-américains.

En Egypte, Ahmad al-Tayeb, grand imam d'Al-Azhar, la plus haute institution de l'islam sunnite, a estimé que la mort d'Oussama ben Laden ne mettrait pas fin au terrorisme, qui trouve selon lui sa source dans la politique d'Israël.

A propos du Proche-Orient, les Etats-Unis ont jugé que la condamnation par le mouvement palestinien Hamas du raid américain était "scandaleuse".

Le chef du gouvernement du Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, avait condamné lundi le raid américain, y voyant "la poursuite de la politique d'oppression américaine fondée sur l'effusion du sang des Arabes et des musulmans".

A Guantanamo, les détenus de la "guerre contre le terrorisme" ont appris la mort d'Oussama ben Laden "au même moment et de la même manière que le reste du monde" et la nouvelle n'a pas provoqué de perturbation dans la prison, a-t-on appris auprès du Pentagone.

TROP FORT LES AMERLOCKS
LES MODELES DE NOS POLITIQUES FRANCAIS ETRIQUES DU CERVEAU



Mercredi 4 mai, 16h

Deux jours après l'annonce de la mort d'Oussama Ben Laden, le quotidien anglais Daily Telegraph publie des extraits d'un document, dont l'authenticité reste à prouver, présenté comme le testament du chef d'Al-Qaïda.

Ce document daterait de décembre 2001, au moment où le cerveau du 11 septembre était pourchassé par les troupes américaines à la frontière Afghano-pakistanaise, et sentait, peut-être, que la fin était proche.

Le texte est adressé à sa famille, notamment ses 24 enfants, auprès desquels il s'excuse de ses trop nombreuses absences, qu'il justifie par les "besoins du djihad" et son combat contre "l'Amérique et Israël".
A ses 4 femmes, il demande de ne pas "envisager de se remarier et de se consacrer aux enfants", et l'ennemi public numéro un d'ajouter, "guidez-les sur le bon chemin"...

Enfin, dernier conseil à ses enfants, cette phrase pour le moins surprenante : "Je vous conseille de ne pas rejoindre les activités d'Al-Qaïda
SIGNE ...GEORGES W BUSH

PapaDihouf


04/05/2011 à 19h44

Tiens, puisqu'on ne peut pas parler sur le sujet du CG13 et des perquisitions.
. ce serait bien qui parle un peu de Alba Sécurité, rappelle que c'est la société qui gère les stadiers de l'OM spécialement affectés aux groupes de supporters en virage.
Et notamment en déplacement... et puis peut être qu'en enquêtant vous ferez aussi le lien entre les S.... W.... et Alba sécurité, qui sait... Et là vous comprendrez certaines choses, comme de grands journalistes.

LA VERITABLE DEMOCRATIE
C" EST DE FAIRE CIRCULER DE L"INFORMATION
SUR VOS IDEES ET LEURS OPPOSEES

JUSTES ...NOUS NE DEVRIONS PAS CONNAITRE CE MOT
CAR NOUS DEVRIONS ETRE TOUS COMME EUX ..NORMAUX
BRAVO.. CAR ILS NE SONT PAS COURANT..JUSTEMENT

SALAIRES + RETRAITE A 45 ANS
ELLE EST PAS BELLE LA VIE

Des policiers réservistes rappelés sur les plages8 contributions Publié le vendredi 06 mai 2011 à 07H17


La saison a démarré plus tôt que prévu; les premiers baigneurs profitant dès à présent de températures particulièrement clémentes. Une agitation précoce qui pourrait d'ailleurs expliquer l'étonnante cacophonie qui nous est donnée de constater en terme de communication. Mercredi, en effet, c'est le maire PS du 1er secteur Patrick Mennucci, accompagné du commissaire divisionnaire Georges Gaspérini, chef du service Sécurité proximité, qui a pris tout le monde de vitesse en présentant en avant-première à la presse et aux habitants du quartier le dispositif de sécurisation du littoral, entre la plage des Catalans et la calanque de la Fausse Monnaie.

Car aujourd'hui, c'est Caroline Pozmentier, adjointe UMP déléguée à la sécurité, à la prévention de la délinquance, à la police municipale et à la police administrative, qui monte au créneau pour présenter le "dispositif de médiation du littoral, des Catalans à Malmousque". On se demande dès lors ce que vont bien pouvoir annoncer le maire de Marseille et le préfet de police lors de leur traditionnelle conférence de presse commune du 1er juin, jour de l'ouverture officielle du parc balnéaire phocéen .

Toujours est-il que cette année, la préfecture a décidé d'user de moyens hors du commun pour assurer la tranquillité et la sécurité des Marseillais, procédant notamment au rappel de 40 policiers réservistes. Des fonctionnaires aguerris et connaissant bien le terrain - ils ont pris leur retraite il y a moins de cinq ans - qui vont surtout permettre d'éviter de dégarnir les effectifs des commissariats des quartiers situés à l'intérieur des terres, comme cela avait été le cas l'été dernier

QUEL COURAGE DE VENIR DEFENDRE UN SI MAIGRE BILAN POUR LA DEMOCRATIE
ET SI EPAIS POUR LE CAPITALISME

COURAGE OU INCONSCIENCE POUR FION L"AMI DE MOUBARAK

LA CRISE...BIEN SUR







CONSOMMATION
"Les gens savent qu’on
brade en fin de marché"

Sur le marché du Prado dans le 8e à Marseille, le panier du
consommateur a quelque peu changé, ces dernières années. La crise
économique, la hausse du prix du pétrole (et donc du prix des
marchandises) ou même le passage du franc à l’euro, sont autant
de facteurs qui expliquent les changements de comportement des
clients, au moment de faire leurs achats. Du côté des exposants,
on ne fait pas encore grise mine, mais on sent que les consommateurs
ont modifié l’ordre des priorités. Les emplettes sont, désormais,
plus guidées par le prix, l’utilisation facile et le plaisir.
On vient également au marché pour faire des affaires. "On fait
beaucoup plus de clients en fin de marché qu’auparavant, explique
Robert, primeur depuis près de 20 ans. Les gens savent qu’on
brade un peu la marchandise en fin de marché et ils viennent à ce
moment-là, même si les plus beaux produits sont souvent partis."
Il est néanmoins moins pessimiste que ses collègues et n’adhère
pas la thèse de la baisse globale du pouvoir d’achat. "Depuis que je
travaille dans ce secteur, les clients se sont toujours plaints, mais
au final, ils viennent toujours sur les marchés car ils y trouvent un
vrai conseil et une certaine convivialité." On note cependant deux
types de consommateurs bien distincts sur le marché. D’un côté,
les ménagères qui font des courses pour nourrir leur petite famille
et qui vont optimiser ses courses. De l’autre, une clientèle plus
aisée, qui va se diriger vers des produits plus haut de gamme, comme
des légumes de début de saison ou des pièces de viande d’origine
contrôlée. Monique, jeune retraitée, appartient à la seconde catégorie
: "J’ai le supermarché juste à côté de chez moi, mais je préfère
venir sur le marché car je trouve des produits de très haut de
gamme. Quitte à en prendre un peu moins, je me fais plaisir avec
des produits de qualité." Annie, mère de famille, elle, ne fait pas
toutes ses courses sur le marché. "Je dois compléter avec des produits
de grandes surfaces, si je veux m’en tenir à mon budget,"
assure-t-elle. Pour Michelle, poissonnière depuis plus de trente
ans sur les marchés régionaux, "les gens ne sont pas forcément
plus pauvres qu’avant, mais ils ont d’autres priorités. Les jeunes
préfèrent voyager ou se payer des vêtements de marque, quitte à
manger des pâtes toute la semaine." Le plaisir culinaire serait réservé
au troisième âge, comme le confirme Sébastien, jeune boucher
spécialisé dans le haut de gamme. "Il ne faut pas se mentir la
grande majorité ce sont les personnes âgées", explique le jeune
homme. "C’est un peu le dernier plaisir qu’ils leur restent et ils ne
sont pas prêts à transiger sur la qualité. Du coup il faut faire plus
de jours de marché et proposer plus de produits, pour conserver
un chiffre d’affaire correct."

J 'ai l'impression qu'il parle de moi ....
et vous

Emmaüs fait venir la plage
sur les berges de l’Huveaune

en avril 2011 SONDAGES
les cotes au plus bas remontent
SARKO +1 21%
FION +4 34%


elle est pas belle la vie
ca met du beurre dans leurs epinards et ils aiment ca

FAITES VOUS PARTIE DES DECUS DE MAI 81...

MAIS 30 ANS AVANT ... VOS YEUX PLEIN D "EFFLUVES
VOUS AVAIENT EMPECHE DE VOIR LA VRAIE REALITE DE CETTE PHOTO ET DE LA SITUATION
MAINTENANT 30 ANS PLUS TARD
VOUS ETES PLUS PERSPICACES ... ET ON NE PEUT PLUS VOUS BERNER

VOUS Y VOYEZ PLUS CLAIR ...
ASSUREMENT

aladin a écrit:FAITES VOUS PARTIE DES DECUS DE MAI 81...

DESINFORMATION SARKOTF1 AU RALENTI

l Audience:
Laurence Ferrariauralenti Les problèmes
d’audience de Laurence
Ferrari illustrent à eux seuls les
soucis de TF1, qui vient d’atteindre
au mois d’avril son niveau le
plus bas (23,2 % de part
d’audience).
PLUS PERSONNE N" ECOUTE SES BOBARDS...



Lundi soir, l’écart entre
le JT de 20 heures de TF1 et
celui de France 2 n’a jamais été
aussi réduit depuis début 2004.
Alors que l’édition de David Pujadas
se situait dans sa moyenne
habituelle avec 21,6% de part
d’audience, celledeLaurence Ferrari
plafonnait seulement à 24,9%,
contre 27%enmoyennedepuis le
début de l’année.