STEVE MANDANDA LA PANTHERE

Sa manchette, sur une reprise de
la tête quasiment à bout portant
de Cristiano Ronaldo, fut l’une
des images fortes de la victoire de
l’équipe de France contre le Portugal,
samedi soir. Une parade dont Steve
Mandanda a le secret, un geste de classe
internationale qui lui a valu le surnom
d’Il fenomeno parmi les fidèles
du stade Vélodrome. Un retour chez
les Bleus par la grandeportepour le capitaine
olympien après une saison
chaotique, ponctuée par son terrible
choc avec le Guingampais Mustapha
Yatabaré -qui le priva du voyage au
Brésil- et par uneprise de poids conséquente
qui altéra logiquement ses performances.
"Il a retrouvé son meilleur
niveau, mais aussi un physique plus
adapté au plus haut niveau, glissait
d’ai l leurs Didier Deschamps.
Aujourd’hui, le football de très haut niveau
demande d’avoir un corps
d’athlète."
Unmessage reçupar SteveMandanda.
Mais aussi par André-Pierre Gignac,
revenu métamorphoséde ses vacances
en Tanzanie. Les deux hommes
sont loin d’être étrangers au début
de saison canon de l’OM. Mais
comment en étaient-ils arrivés là ? "Ça
peut aller très vite, note Jean-PierrePapin,
qui n’a jamais connu une telle situation
tout au long de sa prolifique
carrière. Certains peuvent manger
n’importe quoi sans qu’il y ait de conséquences,
ce qui était un peu mon cas. Et
d’autres prennent du poids au moindre
excès. Mais en tant que professionnel,
on se doit d’avoir un comportement
exemplaire et l’hygiène de vie qui va
avec. On ne peut pas faire n’importe
quoi au niveau de la nourriture même
quand on ne joue pas ou quand on est
en vacances !"
Les conséquences sont ainsi payées
cash sur le terrain. "Forcément, les performances
ne peuvent qu’être altérées,
poursuit JPP. Du surpoids chez un
joueur, ça joue à tous les niveaux: sur
les blessures, car le physique est mis à
rude épreuve, sur le sommeil et donc
sur la récupération... D’autant que là,
on ne parle pas que d’un ou deux kilos
(André-Pierre Gignac a perdu cinq kilos,
Steve Mandanda six). C’est énorme,
et je m’étonne qu’une telle situation
n’est pas été détectée par le staffmédical
avec les moyens désormais mis en
place, d’autant que je connais bien le
docteur Baudot..."
"Ces situations étaient connues"
Du côté de l’OM, justement, la situation
était bien connue. Depuis son intronisation,
Marcelo Bielsa soumet
d’ailleurs chaque jour ses joueurs au rituel
de la balance afin de contrôler
leur poids. Si André-Pierre Gignac est
réapparu affûté comme jamais lors de
la reprise de l’entraînement, le cas du
gardien olympien a soulevé des inquiétudes
et pas mal d’interrogations au
sein du nouveau staff technique.
"Ces situations étaient connues dans
le cadre d’une optimisation de la performance,
explique-t-on au sein du secteur
médical du club. Pour y remédier,
il n’y avait pas de recette miracle. Il y a
toujours eu un suivi par un diététicien,
par le staff, avec une courbe de poids à
respecter... Mais il y a surtout eu une
prise de conscience individuelle des
joueurs, induite par divers paramètres.
Leur implication est totale, mais la clé
pour réussir à tenir les engagements de
perte de poids résidait en la coopération
entre les staffs médicaux, physique
et technique."
"Steve s’est affiné, l’arrivée de Stéphane
Cassard lui a beaucoup apporté, insiste
André-Pierre Gignac. Le poids est
très important. Personnellement,
j’avais ce type de problème durant ma
carrière, et avec des kilos en trop, on ne
se sent pas bien dans son corps et dans
ses performances. Là, je revois le Mandanda
qu’on a connu. Et cette année, il
ne coûte plus de points à l’OM, il en gagne
!"
Le Fosséen aussi. S’il a dû se contenter
de quelques secondes sur la pelouse
du stade de France samedi, APG
aura sans doute l’occasion de montrer
sa valeur demain, à l’occasion du déplacement
en Arménie. Et dimanche,
avec la réception de Toulouse au stade
Vélodrome. "Autant je ne m’étais pas
rendu compte du problème chez Steve,
autant le changement est impressionnant
pour Dédé, relève Jean-Pierre Papin.
Là, avec un maillot hyper moulant,
on devine ses abdos! Qu’importe
le temps que ça lui a pris pour prendre
conscience de l’importance de cet aspect
du métier ; l’essentiel est qu’il ait
pris conscience de l’importance de son
corps dans sa profession."
Les résultats ne peuvent que les inciter
à poursuivre sur cette voie...

: Marseille : Finalement, Mandanda veut rester


Au début du mois, Steve Mandanda avait jeté un certain froid en laissant planer le doute sur son avenir, ce qui avait laissé la porte ouverte aux rumeurs les plus folles quant à un éventuel départ dès le prochain mercato hivernal. Finalement, il n'en sera rien.

Dans des propos rapportés par France Football, le gardien de but qui a ajouté deux sélections en équipe de France à son CV ces derniers jours, a déclaré ceci : "Je ne partirai pas en janvier, je n’ai pas envie de partir, mais oui tout peut se passer, on n’est jamais à l’abri d’un transfert, de se retrouver remplaçant et blessé. Mais dans ma tête, je ne suis pas partant, non." L'ancien Havrais a néanmoins expliqué que la bonne forme actuelle de son club motivait clairement ses propos.

[size=32]Mandanda : "Contre Toulouse, ça va être compliqué"[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE SAMEDI 18/10/2014 À 09H22





En conférence de presse hier, Steve Mandanda a indiqué que le match contre Toulouse, ce dimanche à 14 heures, risquait d'être difficile à jouer : "Toulouse est une bonne équipe, qui dérange beaucoup d'autres équipes dans ce championnat. On sait que ça va être compliqué mais on est prévenu."
Le gardien de l'OM redoute également l'horaire du match qui pourrait compliquer les conditions de jeu : "En plus à 14h il risque de faire très chaud... Ce sont des éléments qu'on prend en compte pour faire un bon match."

Il évolue à l’OM depuis 2007. Aussi,
Steve Mandanda est dans son jardin
au Vélodrome. Le gardien international
(29 ans, 18 sélections) a tout
connu dans ce stade: des victoires
inoubliables, des parades exceptionnelles,
des revers, des blessures comme
au printemps dernier, juste avant
de rejoindre l’équipe de France pour
la coupe du monde au Brésil. "Il Fenomeno"
nous raconte le Vélodrome. Sa
propre histoire, tout compte fait.
❚ Le stade Vélodrome, qu’est-ce que
ça vous évoque d’emblée ?
Ah, le Vélodrome! Pour moi, c’est un
stade mythique avec une ambiance extraordinaire.
Avant d’arriver à l’OM,
j’avais déjà entendu pas mal de choses
à son sujet. À la télévision, j’avais pu
mesurer la ferveur qui pouvait y régner.
Eh bien, en rejoignant le club, j’ai
eu immédiatement la confirmation de
ce que j’avais pu voir par télé interposée.
J’ai même été surpris, car lors de
certains matches -que ce soit un clasico
OM-PSG, des rencontres de coupe
d’Europe et des confrontations importantes
ou décisives pour le titre en
championnat ou les coupes nationales
-, l’ambiance était encore plus extraordinaire
que je l’avais imaginée.
❚ Plus jeune, à Évreux (où vous avez
grandi), puis au Havre (où vous avez été
formé), vous regardiez attentivement
les matches de l’OM à la télé...
Oh, oui ! C’était l’époque de Basile Boli.
J’étais gamin (8 ans), mais je vivais ça
à fond. Je voyais cet engouement avec
mes yeux d’enfant et j’étais impressionné.
Du coup, au fil des années, même
vu de loin, j’ai pris en compte le contexte
très singulier et toujours bouillant
du stade Vélodrome.
❚ Vous souvenez-vous avec précision
de votre premier match au Vel’ ?
(Sans la moindre hésitation) Bien sûr !
C’était en août 2007 (le 29) contre
l’OGC Nice en championnat. On avait
commencé la saison avec Cédric (Carrasso)
dans les buts.Mais il s’était blessé
au cours de la semaine qui suivait la
4e journée de Ligue 1. J’avais donc découvert
ce niveau pour le match suivant
à Caen avant la réception de Nice,
donc, quelques jours plus tard. Pour
cette grande première au Vélodrome,
le contexte était un peu particulier. Je
n’avais pas forcément savouré la rencontre.
En plus, on s’était inclinés (0-2)
sur deux coups de pied arrêtés.
Pour le reste, j’étais complètement
concentré sur ma propre performance.
Pour mes grands débuts ici, je veillais
exclusivementàêtre le plus décisif possible.
Dans ces conditions, on ne peut
pas véritablement apprécier la situation
hors football à sa propre valeur. Je
n’ai pas vécu ce moment-là comme on
peut éventuellement rêver de le faire.
❚ Aviez-vous éprouvé de la frustration
?
Ce n’était pas de la frustration, car c’est
assez normal de réagir ainsi. Ceci
étant, j’avais quand même pu capter
quelques moments importants à
l’échauffement surtout, ou à la
mi-temps.
❚ À ce jour, quel est votre meilleur souvenir
au Vélodrome?
(Instantanément) Lematch contre Rennes
(3-1), un succès qui officialisait notre
titre de champion de France (le 5
mai 2010). Pour ma génération, c’était
une formidable première. Dès lors, cela
ne peut être quemon meilleur souvenir
ici. Il y avait une ambiance fantastique.
Et pour cause : pour l’OM, c’était
la fin d’une longuedisette (le dernier titre
du club remontait à 1993, ndlr). Et
pour notre équipe, c’était une forme
d’aboutissement.
❚ Est-ce que vous vous rappelez de cette
folle soirée au Vel’ en détails ?
(Il sourit) Gaby (Heinze) avait ouvert la
marque (à la 4e minute) et Jimmy
(Briand) avait égalisé pour le Stade Rennais.
Ensuite, Mamad’ (Niang) avait redonné
l’avantage à notre équipe (76) et
quand Lucho a mis le troisième but
(78), on avait su que le titre ne pouvait
pas nous échapper. C’était fini; on
était champions au Vélodrome!
❚ Et l’ambiance, reste-t-elle ancrée
dans votre mémoire?
Parfaitement! C’était de la folie. Personnellement,
j’avais vécu le ’truc’ à fond,
cette fois. Depuis, j’ai eu l’occasion de
revoir les images et l’émotion était intacte.
❚ À l’inverse, quel est votre pire souvenir
dans ce stade ?
(Il hésite) Peut-être notre match face à
l’AC Ajaccio (3-1), la saison dernière.
Car il fut joué dans un contexte compliqué
(les tribunes étaient très clairsemées
et malgré la victoire, les Olympiens
étaient sortis sous les huées). Des
matches, on en a malheureusement
perdu beaucoup au Vélodrome, mais
le climat lourd et pesant de cette rencontre
fut difficile à vivre.
❚ En fait, c’est ça, le Vélodrome: un
stade qui peut être volcanique ou glacial...
(Il acquiesce) C’est vrai. Au Vel’, onaun
public de passionnés et de connaisseurs.
Àpartir du moment où son équipe
se donne à fond sur le terrain, lui
aussi donne tout; il est derrière nous,
même si le résultat favorable n’est pas
au bout. En revanche, quand il sent
que ses joueurs ne sont pas dans le
coup, il exprime son mécontentement
à juste titre car encore une fois, il ne
cesse de nous soutenir, même à
l’extérieur. Du coup, cet agacement est
compréhensible. Mais c’est sûr, ce
n’est pas toujours évident pour nous,
joueurs.
❚ Le contexte du Vélodrome, justement,
vous transcende-t-il ou vous inhibe-
t-il vraiment ?
C’est clair, ça joue un rôle très important.
Dans l’ancien Vélodrome, on sentait
les supporters près du terrain, proche
de nous. Il en est de même avec le
nouveau stade. Du coup, quand le public
est bien fougueux (sourire), on s’en
rend compte. C’est un peu plus difficile.
Dans ces conditions, on joue avec
un peu plus de retenue. Ce n’est pas facile,
c’est particulier. Mais en même
temps, c’est ce qui fait la beauté du Vélodrome.
❚ En dehors de l’effervescence liée au
public, qu’est-ce qui rend ce stade si particulier?
Selon vous, pourquoi est-il à
part, vous qui avez joué dans pratiquement
tous les grands stades d’Europe?
Le Vélodrome est un stade à part avant
tout grâce aux supporters. Si ce lieu est
mythique, c’est par rapport à
l’ambiance générée par ce public exceptionnel.
Les chants et les cris des inconditionnels
de l’OM y sont ainsi
pour beaucoup. Ils se transmettent de
génération en génération. Pour expliquer
le caractère unique du Vélodrome,
c’est vraiment la base. Et puis,
quand tu entres dans ce stade, tu sens
réellement qu’il y a une âme; une histoire.
Aumêmetitre qu’à San Siro (à Milan)
ou à Santiago-Bernabeu (à Madrid).
❚ Personnellement, comment appréhendez-
vous un match dans cette enceinte
?
Aujourd’hui, je suis naturellement
moins surpris. C’était différent à mes
débuts. Quand vous venez du Havre et
que vous jouez à Marseille, tout est
multiplié par cinq. Dorénavant, je suis
tout autant heureux d’évoluer au Vélodrome.
Mais je m’y suis davantage familiarisé.
❚ Avez-vous des rituels au Vélodrome?
Pas trop. Par exemple, je vais rarement
voir la pelouse dès que j’arrive au stade,
mais c’est également mon habitude
sur terrain adverse. En fait, en fonction
des jours, j’ai plus ou moins envie
d’y aller. Concernant l’échauffement,
je me prépare toujours du même côté,
au bas du virage Nord. Je le salue en
premier. Ça oui, c’est un petit rite. Avec
la nouvelle configuration du Vélodrome,
ça le reste, même si, désormais, on
pénètre sur la pelouse par un tunnel
central et non plus à proximité du virage
Nord.
❚ Dans ce stade,une chanson vous est
dédiée ("Il Fenomeno"). C’est rare qu’un
stade entonne spécialement un chant
pour un joueur !
Cela me touche vraiment, car dans
l’histoire de l’OM, il y a eu énormément
de très grands joueurs et de super
gardiens. J’ai la chance d’avoir une
chanson qui m’est exclusivement
consacrée. C’est une attention qui me
marquera à vie.
❚ Justement, quelque part, vous faites
partie de l’histoire du Vélodrome et
celui-ci fait également partie de la vôtre...
Le jour où vous arrêterez votre carrière,
considérerez-vous ce stade comme
un lieu essentiel dans votre vie de
joueur, dans votre vie d’homme tout
court ?
Le Vélodrome, comme l’OM, restera,
c’est sûr, un endroit à part dans mon
existence. Je dispute ma huitième saison
à Marseille; eh bien, je sais déjà
que je ne jouerai pas autant d’années
dans un autre club. J’ai tout vécu ici :
des périodes très délicates, des crises,
des moments de joie et de bonheur.
❚ Vous y avez même joué avec l’équipe
de France, en février 2009, contre
l’Argentine de Lionel Messi dirigée par
Diego Maradona (0-2)...
Même si ce match amical avait été programmé
au Vélodrome, le contexte
était différent par rapport avec ce que
j’avais l’habitude de vivre ici avec
l’OM. Il n’empêche, jouer dans ce stade
avec l’équipe nationale, c’était fort
pour moi.
❚ Quel est votre avis sur le nouveau Vélodrome?
Il estmagnifique. C’est un ouvrage parfaitement
réussi. Un stade fermé, c’est
fabuleux.
❚ Cela influe-t-il directement sur
l’ambiance générale quand on est sur la
pelouse?
Tout à fait. Il y a une résonance beaucoup
plus importante. Sur le terrain,
on s’entend encore moins qu’avant. Le
bruit est encore plus fort. C’est impressionnant.
On est dans un stade de foot,
vraiment!
❚ Est-ce que cette configuration peut
constituer un atout de poids pour l’OM à
domicile ?
(Catégorique) C’est clair, oui. Avec un
tel outil et avec nos supporters, ce Vélodrome
est unest un douzième homme en
puissance!

[size=36]lyon-om : le match des gardiens lopes-mandanda
Sports en direct-OM en direct-Région en direct
Samedi 25/10/2014 à 13H51 Marseille[/size]



Les gardiens Anthony Lopes et Steve Mandanda tiendront un rôle important dans le choc OL - OM, demain (21h) à Gerland pour le compte de la 11e journée de Ligue 1.
Mandanda, qui n'a manqué aucune minute en L1 depuis 2010-11, vient de retrouver, grâce à des performances convaincantes, l'équipe de France face au Portugal et à l'Arménie, après avoir manqué la Coupe du monde au Brésil en raison d'une blessure aux cervicales. Sur les six buts encaissés en championnat, un seul peut lui être imputable, contre Bastia (3-3), lors de la 1ère journée.
De son côté, Lopes, toujours très fort sur sa ligne, affiche de réels progrès dans la maîtrise et la concentration notamment sur les sorties aériennes jusqu'à présent son point faible.

Les réactions de Steve Mandanda et André-Pierre Gignac après la défaite face à Lyon.

Steve Mandanda : "On est déçu, on prenant goût à la victoire. Perdre est toujours rageant, surtout conte Lyon. On encaisse ce but au moment où on est le mieux. On est triste mais pas abattu. Il y a des matches derrière. A nous de repartir de l'avant."

"Nous sommes déçusmais
tranquilles. Tristes, oui, abattus,
non, il faut repartir de l’avant"
STEVE MANDANDA

Steve Mandanda : "C’est une victoire pénible.
C’était dur mais on gagne quand même, ce qui
était important car les deux défaites avaient
entamé la confiance. On a subi dans les arrêts
de jeu, on a commis beaucoup d’erreurs
techniques et fait preuve de suffisance par
moments. Le rouge (de Romao) nous a
compliqués la tâche. Mais on a fait preuve de
solidarité et combativité."

OM-Mandanda: "Solidarité et combativité"

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Dimanche soir, si l'Olympique de Marseille a battu le Racing Club de Lens (2-1) en clôture de la 12e journée de Ligue 1, Steve Mandanda n'y est pas étranger, lui qui a sorti un arrêt spectaculaire et décisif en face à face dans les dernières secondes de la partie. "C'est une victoire pénible. C'était dur mais on gagne quand même, ce qui était important car les deux défaites avaient entamé laconfiance, a expliqué le capitaine olympien dans La Provence après la partie. On a subi dans les arrêts de jeu, on a commis beaucoup d'erreurs techniques et fait preuve de suffisance par moments. Le rouge de Romao nous a compliqués la tâche, mais on a fait preuve de solidarité et combativité".

[size=36]om-lens : mandanda, olympien du match
OM en direct-Région en direct
Lundi 03/11/2014 à 16H53 Marseille[/size]



Le sauveur. Celui qui a permis à l'OM de prendre trois points plutôt qu'un seul. Dimanche soir contre le RC Lens, Steve Mandanda a réalisé quelques arrêts déterminants face aux Lensois. Le gardien international s'est notamment imposé en toute fin de match face à Touzghar dans un ultime duel.

Pour les Provençaunautes comme pour les journalistes de La Provence, le portier marseillais mérite amplement d'être élu "meilleur olympien de la rencontre". Le joueur de l'équipe de France obtient une moyenne de 7,3/10 (journalistes sportifs) et de 7,05/10(internautes).

Découvrez toutes les moyennes des Olympiens et notez les joueurs de l'OM

[size=36]OM-Mandanda: "Avec ou sans 'Ibra', ce n'est pas la même chose"[/size]

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Steve Mandanda aimerait beaucoup que Zlatan Ibrahimovic joue dimanche lors de PSG-OM (13e journée de Ligue 1). "Tant mieux s'il est là, ça donnera encore plus de valeur au match", clame ainsi le gardien marseillais au Parisien. "Le PSG avec ou sans lui, ce n'est pas la même chose, estime-t-il également. C'est le meilleur joueur de L1, l'un des meilleurs du monde. Qu'on aime ou pas, il est respecté et reconnu." Le Suédois reste incertain pour le Clasico.

Steve MANDANDA : "Nantes nous a
beaucoup gênés avec son pressingmais
chacun a fait ce qu'il a eu à faire. On était
peut-être un peu moins bien mais on ne
gagnera pas tout nos matches en produisant
du beau jeu. L'important c'est de les gagner.
On n'est pas là pour envoyer des signes à qui
que ce soit, on essaie de rester le plus
longtemps possible leader, c'est important
pour tout le monde ici."

[size=36]om : "rester le plus longtemps leader" (mandanda)
OM en direct-Région en direct
Samedi 29/11/2014 à 09H51 Marseille[/size]




La réaction de Steve Mandanda, après la victoire del'OM ce vendredi contre le FC Nantes au stade Vélodrome (2-0).
"Nantes nous a beaucoup gênés avec son pressing mais chacun a fait ce qu'il a eu à faire. On était peut-être un peu moins bien mais on ne gagnera pas tout nos matches en produisant du beau jeu. L'important c'est de les gagner. On n'est pas là pour envoyer des signes à qui que ce soit, on essaie de rester le plus longtemps possible leader, c'est important pour tout le monde

Steve Mandanda,
ces derniers temps, est
parvenu à transmettre
calme et confiance
à ses partenaires"
MARCELO BIELSA

pressing habituel, Monaco a imposé son
rythme et joué comme il a voulu. Malgré tout,
on a eu des occasions et manqué de réussite,
et de pas mal de choses qui nous ont aidés lors
des matches précédents. On met moins
d’intensité qu’en début de saison, mais on
devrait mieux gérer nos rencontres. Double
déception après la défaite du PSG. Ce
championnat va être serré jusqu’au bout

Sambaplutôt
que Mandanda ? Cette semaine, Marcelo Bielsa
s’est montré mystérieux à
l’évocation de sa composition
d’équipe pour le déplacement
à Grenoble. Aligner
la meilleure possible? Ou offrir
du temps de jeu à ceux
qui en ont le plus besoin? Privé
d’Alessandrini et de Barrada,
l’Argentin n’a pas de multiples
choix. Dans les buts, il
pourrait donner l’occasion à
Brice Samba, excellentàRennes
en coupe de la Ligue, de
se dégourdir les gants.
En défense, Morel pourrait
retrouver une place de titulaire
soit dans l’axe, à la place
de Fanni, soit à gauche,
où il est en concurrence avec
Mendy. Au milieu, Romao,
peu utilisé en fin d’année
2014 (et convoqué le 15 janvier
par la commission de
discipline de la LFP) postule
aussi. Si les futurs "canistes"
Nkoulou et Ayew seront utilisés,
la tentation de maintenir
Batshuayi dans le onze
est grande. Reste à savoir si
ça sera en soutien de Gignac,
comme face à Lille, ou à la
pointe de l’attaque.