STADE VELODROME

Bielsa : Le Top 5 de ses coups de folie
L'OM lance sa saison de L1 samedi (21h00) à Bastia avec sur son banc Marcelo Bielsa, alias El Loco (le fou). «Mon surnom, je le dois à mon comportement parfois extrême», expliquait sobrement l'Argentin il y a quelques années. Illustration à travers cinq exemples épicés.

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Marcelo Bielsa, à son arrivée à Marseille. (L'Equipe/Felix Golesi)




1 - Une grenade pour recevoir les supporters

L’anecdote aurait pu tourner au fait divers ; elle date de février 1992 et a définitivement associé le surnom d’El Loco au patronyme de Bielsa. Jeune entraîneur de 37 ans, l’Argentin dirige depuis deux années Newell's Old Boys, qu’il a menés à des titres en 1990 et 1991. Mais à la suite d’une lourde défaite concédée en Copa Libertadores face à San Lorenzo (0-6), des dizaines de supporters du club de Rosario s’en prennent à lui, se présentant – menaçant – à son domicile. El Loco les accueillit une grenade à la main. «Si vous ne partez pas, je vous fais exploser», ordonna en substance le technicien, le doigt sur la goupille. Les supporters s’en allèrent prestement. Bielsa et Newell's atteignirent quelques mois plus tard la finale de la Libertadores et furent seulement battus aux tirs au but par le Sao Paulo FC de Telê Santana.



2 - Retard = altercation



Vingt ans plus tard, on retrouve un Bielsa sans arme, mais toujours aussi sanguin du côté de Bilbao. Le natif de Rosario sort d’une première année convaincante avec le club basque (10e en Liga, finaliste de la Coupe du Roi et de la Ligue Europa). Il part quelques jours en Argentine puis revient en Espagne pour préparer la nouvelle saison. Mais les travaux de rénovation du centre d'entraînement de l’Athletic ne sont pas aussi avancés que prévu. Fou de rage, Bielsa s’en prend au chef de chantier qu’il attrape à la gorge. Le lendemain, El Loco se dénonce lui-même à la police. «Je suis responsable de tout ce qui s'est passé mais il s'agissait d'une escroquerie, d'un vol et d'une tromperie, assurera-t-il plus tard à la presse. Effectuer la préparation d'avant-saison dans ces conditions me discrédite dans mon rôle d'entraîneur (…) Lorsqu'on planifie des travaux, on respecte les dates.»



3 - Prêt à se «couper un doigt»

Pas de violence physique cette fois, juste une certaine idée de l’importance de la victoire pour le coach au survêtement. Défenseur découvert par Bielsa, Fernando Gamboa a raconté des années plus tard le dialogue qu’il avait eu avec son entraîneur en 1990, à la veille d’un derby entre newell's et Rosario Central. «C'était un dimanche après la sieste. J'étais dans le couloir, je jouais à Pacman quand Bielsa est venu me voir. Il a commencé à me parler, je continuais à jouer. Il m'a alors interrompu. "Regarde-moi, je parle... Que serais-tu prêt à faire pour remporter le Clasico ?" Je lui ai répondu que j'étais prêt à me jeter tête la première pour éviter un but. Il m'a dit : "plus, il faut donner plus". Il m'a alors montré sa main. "Si on m'assurait de la victoire, je pourrais me couper un doigt". Je l'ai regardé. Il ne plaisantait pas.»



4 - Téléphone interdit (sauf en cas d'extrême urgence)

L’implication est un facteur essentiel de réussite pour Bielsa. Quitte à donner des consignes pour le moins rigides à ses joueurs. Ainsi, alors qu’il avait pris les rênes de Newell's Old Boys depuis peu, El Loco décida de mettre en place les mises au vert de son équipe dans un lycée militaire. Un lieu à l’abri des sollicitations, où n’était installé qu’un seul téléphone à l’utilisation quasi inexistante. «J’ai dit à ma femme, qui est sur le point d’accoucher, d’appeler son père s’il se passait quoi que ce soit, lança l’entraîneur. Ce téléphone ne doit servir qu’en cas d’extrême urgence.»



5 - Trois mois au couvent



Marcelo Bielsa est un obsessionnel. Les années qu’il passa à la tête de la sélection argentine, de 1998 à 2004 l’ont logiquement épuisé. Pour remonter la pente, El Loco prit une décision extrême : «Quand j’ai quitté mon poste de sélectionneur, je me suis enfermé dans un couvent, raconta-t-il. J’ai emporté des livres. Je n’avais ni téléphone, ni télévision. J’ai donc beaucoup lu. Je ne crois pas avoir rencontré quelqu’un qui lit autant que moi sur le football. Ça a duré trois mois. J’ai commencé à me parler tout seul. Je crois que je devenais vraiment fou.»

Il va y avoir de l'ambiance même avant les matchs de l'OM les jours de match     :



Universal et l’Olympique de Marseille, deux grands noms de « l’entertainment », s’associent pour un partenariat inédit, qui proposera une nouvelle expérience globale aux supporters du club, et apportera une nouvelle dimension au programme d’animations lors des rencontres du Club à domicile.

L’histoire qui unit l’Olympique de Marseille et Universal est née dès la saison 2007-2008, avec le lancement d’un service mobile à valeur ajoutée : la carte prépayée « OM Mobile » pour téléphone portable.
Fort de ce passé commun, Universal Music et l’Olympique de Marseille ont naturellement décidé de poursuivre cette collaboration fructueuse, et de renforcer leur partenariat en réunissant LES UNIVERS FOOTBALL ET MUSIQUE.

Le partenariat proposera :

- Une communication commune originale (activations digitales notamment) avant les rencontres à domicile, et des animations inédites pendant les matchs, permettant à l’OM de consolider son rayonnement exceptionnel en Europe auprès du grand public.

- L’utilisation de l’aura des artistes nationaux et internationaux en tant que parrains lors de chaque match du Club à domicile via :
• Diffusion des clips de l’artiste en avant 1ère sur les écrans géants,
• Diffusion de playlists de l’artiste,
• Tirage au sort d’un supporter présent dans le stade pendant les matchs avec possibilité de remporter des lots uniques : rencontre avec l’artiste, pack VIP (voyage, hébergement, places de concert) et bien d’autres dotations exceptionnelles !

L’OM et Universal Music sont très fiers de cette association «football et musique », savant mélange de passion et de générosité, qui dépasse le simple échange de visibilité.

Source : om.net

Tommy Allez l'O.M a écrit:Il va y avoir de l'ambiance même avant les matchs de l'OM les jours de match     :



Universal et l’Olympique de Marseille, deux grands noms de « l’entertainment », s’associent pour un partenariat inédit, qui proposera une nouvelle expérience globale aux supporters du club, et apportera une nouvelle dimension au programme d’animations lors des rencontres du Club à domicile.

L’histoire qui unit  l’Olympique de Marseille et Universal  est née dès la saison 2007-2008, avec le lancement d’un service mobile à valeur ajoutée : la carte prépayée « OM Mobile » pour téléphone portable.
Fort de ce passé commun, Universal Music et l’Olympique de Marseille ont naturellement décidé de poursuivre cette collaboration fructueuse, et de renforcer leur partenariat en réunissant LES UNIVERS FOOTBALL ET MUSIQUE.

Le partenariat proposera :

- Une communication commune originale (activations digitales notamment) avant les rencontres à domicile, et des animations inédites pendant les matchs, permettant à l’OM de consolider son rayonnement exceptionnel en Europe auprès du grand public.

- L’utilisation de l’aura des artistes nationaux et internationaux en tant que parrains lors de chaque match du Club à domicile via :
• Diffusion des clips de l’artiste en avant 1ère sur les écrans géants,
• Diffusion de playlists de l’artiste,
• Tirage au sort d’un supporter présent dans le stade pendant les matchs avec possibilité de remporter des lots uniques : rencontre avec l’artiste, pack VIP (voyage, hébergement, places de concert) et bien d’autres dotations exceptionnelles !

L’OM  et Universal Music sont très fiers de cette association «football et musique », savant mélange de passion et de générosité, qui dépasse le simple échange de visibilité.

Source : om.net

ambiance assuree   

M: L'inauguration du Vélodrome repousséecliquez pour agrandir

voir la photo Une cérémonie officielle devait accompagner l'inauguration du nouveau Stade Vélodrome le 6 septembre prochain. Le quotidien La Provence annonce ce mercredi que la ville de Marseille a décidé de repousser l'événement initialement programmé le 6 septembre prochain à une date ultérieure encore non communiquée. C'est afin que tous les invités prévus, notamment la ministre de la Jeunesse et des Sports Najat Vallaud-Belkacem, soient présents que cette décision a été prise. Cette annonce ne change en rien la programmation du match de la 2e journée de Ligue 1 entre l'OM et Montpellier ce dimanche à 17 heures sur la pelouse du Vélodrome.

[size=48][size=48][size=48]S
[/size][/size][/size]’il est acquis que les travauxde
couverture du stade

Vélodrome sont les

plus importants réalisés dans

l’histoire de l’enceinte, tant au

niveau du coût que de la métamorphose

et de l’ampleur du

chantier, un petit saut dans

l’histoire permet de réaliser

que sans cesse, depuis sa naissance

avant la seconde guerre

mondiale, la vie du Vel’ a été

rythmée par des modifications

en tout genre destinées à le rajeunir.









L’arène avait déjà fière allure

le 13 juin 1937 pour son inaugur

a t i o n . Un m u s t p o u r

l’Olympique de Marseille qui allait

pouvoir jouer devant

35000spectateurs, soit une jauge

bien plus importante que le

stade Fernand-Buisson qui lui

était précédemment alloué au

bord de l’Huveaune. Mais le

club allait, cette fois, devoir partager

l’affiche avec les athlètes

et les cyclistes (d’où le nom du

stade). Fin prêt pour la Coupe

du monde 1938, après un match

inaugural acquis face au Torino

et surtout un premier titre national

remporté de haute lutte, le

Vélodrome accueillera deux

matchs de l’Italie, dont la fameuse

demi-finale victorieuse face

au légendaire Brésil (2-1). Après

des tournois de pétanque, des

exhibitions de patinage, des

matchs de boxe, des arrivées

d’étape du Tour de France

(dont la dernière de Tom Simpson

le 12 juillet 1967 avant son

décès dans le Ventoux le lendemain),

l’heure viendra ensuite

au tout-football. Dès 1970, le stade

sera doté de l’installation

électrique la plus puissante

d’Europe comprenant 224 projecteurs

remplaçant les éclairages

vieillissants des années cinquante.

L’année suivante, en

1971, des "praticables" permettront

aussi de gagner 6 000 places

assises. Il faudra attendre

1984 et le mémorable championnat

d’Europe des nations,

pour retrouver de nouveaux travaux

d’envergure. Adieu vieille

pelouse et bonjour la modernité

qu’incarnera à merveille le

football champagne de ces années-

là, l’OM remonté dans

l’élite et l’équipe de France qui

glanera grâce à Platini et

consorts son premier titre international

après une demi-finale

de f o l i e devant quelque

54848spectateurs en liesse.

Après un nouveau chantier

en 1986, marquant la fin de

l’ère omnisports, la création de

loges, l’aménagement des virages

et une jauge portée à

48000spectateurs, le stade verra

sa dernière rénovation complète

avant sa couverture à

l’orée de la coupe du monde de

1998. Contre 450 millions de

francs, il s’ouvrira aux vents

dans une ellipse aérée, engouffrant

60 000 fauteuils et ouvrant

une voie royale aux Bleus de Zizou

face à l’Afrique du Sud

(3-0). Pas si mal pour un antre

très critiqué, mais à des années

lumière du dernier lifting en date

qui augure de magnifiques

joutes nationales cette année et

européennes en 2016. À moins

que d’ici-là l’OM ne s’illustre

sur la scène continentale.

Stade Vélodrome : 66 500 places accessibles selon Arema

Marseille / Publié le Jeudi 14/08/2014 à 19H21

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L'annonce de l'Olympique de Marseille selon laquelle "l’'affluence du Stade Vélodrome ne pourra excéder 52 500 spectateurs", dimanche à 17 heures à l'occasion de la rencontre de 2e journée de L1 face à Montpellier, n'est pas du tout du goût du gestionnaire du site pour les 35 prochaines années. Arema, par la voix de son président Bruno Botella, vient de faire savoir que 66 500 places seront disponibles dimanche.
"On ne peut pas laisser dire cela, leur annonce n'est pas acceptable et je ne sais pas d'où ils sortent leurs chiffres. Les atermoiements du club en lien avec le loyer ont entraîné une démobilisation de nos équipes et de ce fait un escalier d'une travée de Jean-Bouin nécessitera la neutralisation de 500 places. Pour le reste, il n'est pas possible d'ouvrir le stade sans les garde-corps. S'ils considèrent qu'ils ne peuvent pas vendre ces places, cela les regarde. Qu'ils commencent d'abord par vendre toutes leurs places, en VIP, en loges et en grand public.

christom



Finalement, on en conclut que l'OM n'arrive pas à vendre le nombre de places disponibles et veut en attribuer la responsabilité au gestionnaire du stade ?
Hé, les gars, si vous voulez gagner de l'argent, en ce moment, faites-vous avocat sur Marseille, il va y avoir du travail en perspective. Entre les litiges entre l'OM et la Mairie (ou AREMA, je ne sais plus), les litiges entre la direction de l'OM et les joueurs exclus des entraînements et certainement d'autres à venir, travail garanti pendant plusieurs années.

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 23:16

christom



@ marseillais,
Les "garde-corps" sont des rambardes pour éviter les chutes. Tout simplement.

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 23:13

tin



Balbreaker je suis 100 % d'accord avec toi
Quand tu lis
"Les atermoiements du club en lien avec le loyer ont entraîné une démobilisation de nos équipes et de ce fait un escalier d'une travée de Jean-Bouin nécessitera la neutralisation de 500 places"
il devient non crédible le gars d'arema.

Arema / Botella, ils peuvent avoir la concession du stade, ils n'auront jamais le cœur des supporters qui sont l'âme de l'enceinte.

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 19:39

vladumir



Amis Parisiens je vous rassure on est bien à Marseille pays de Pagnol. C'est vraiment grotesque tout ce cinéma
1

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 19:32

McNulty



Arema a donc levé le pied pendant la crise OM-Mairie ! Eh ben c du beau. C'est qui ce Botella, encore un nouveau baron qui pense être le roi de Marseille parce qu'il a mis les marseillais à l'amende pendant 30 ans. Au secours !!!!!!

Arema / Botella, ils peuvent avoir la concession du stade, ils n'auront jamais le cœur des supporters qui sont l'âme de l'enceinte.

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 19:39

vladumir



Amis Parisiens je vous rassure on est bien à Marseille pays de Pagnol. C'est vraiment grotesque tout ce cinéma
1

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Répondre Recommander Alerter 14/08/2014 19:32

McNulty



Arema a donc levé le pied pendant la crise OM-Mairie ! Eh ben c du beau. C'est qui ce Botella, encore un nouveau baron qui pense être le roi de Marseille parce qu'il a mis les marseillais à l'amende pendant 30 ans. Au secours !!!!!!

IMBROGLIO

Le nouveau

Vélodrome ne

fera pas le plein

Alors que l’OM dit ne pas pouvoir

commercialiser plus de 52500

places, le stade affiche une jauge de

66500sièges. Explications

MARSEILLE

Le stade

Vélodrome,

déjà géant d’Europe

Le lieu rénové entre désormais dans la cour

des grands stades européens, tant par sa

capacité que sa modernité. Nous avons

interrogé deux spécialistes pour le juger

"On peut être fier
d’avoir un stade
comme ça en France

Que vaut le nouveau Vélodrome
par rapport aux autres
stades européens et même
mondiaux? Pour le savoir, nous
avons questionné deux spécialistes
du ballon rond : Mario Albano,
responsable de la rubrique
football à La Provence et Christophe
Josse qui commentera demain
à 17 heures avec Éric Di
Meco le match OM-Montpellier
(2e journée de Ligue 1) sur BeIn.
"Il est incomparable"
Après avoir sillonné la planète
pour le compte de Canal +, France
Télévisions, M6 et maintenant
BeIn, Christophe Josse pose
un regard d’expert sur les stades
dont il apprécie les lignes. Et
celles du Vel’ ne le laissent pas
de marbre : "Il est incomparable
dans son audace architecturale.
Il m’impressionne, notamment
grâce à cette toiture en forme de
vagues, c’est majestueux et ça ne
laisse personne indifférent. Pour
moi, il va être digne de ses supporters
et ça va faire du bruit. Marseille
tient ainsi son rang et le reste
va suivre".
Auteur de "OM je t’aime", un
abécédaire du club, fin connaisseur
du football phocéen et international
depuis plusieurs décennies,
Mario Albano porte aussi
un regard positif sur la transformation
de l’arène : "On ne l’a
pas encore vu en fonctionnement
mais on peut déjà dire que
l’esthétique est une réussite. Je
l’ai vu l’autre jour depuis la Pointe-
Rouge avec la grande roue
dans la ligne de mire et je me disais
que c’est tout sauf une verrue".
"Après, rappelle le journaliste
de La Provence, une des qualités
principales d’un stade est de
conserver l’ambiance. Je pense
en ce sens que c’est réussi,
d’autant qu’onabeaucoup reproché
à l’ancien de laisser les
chants s’envoler. Dorénavant, on
peut espérer une ambiance chaude
ici, qui nous fait dire que la rénovation
de la Coupe du monde
1998 a été ratée."
"Dans la lignée des stades
allemands"
Christophe Josse et Mario Albano
sont aussi d’accord pour
placer le Vel’ dans le Top 10 européen
(il est classé 21e en terme
de contenance, NDLR). "C’est
un vrai bijou qui en plus ne laisse
pas indifférent, comme à
Saint-Étienne dans un autre genre.
Ce sont des stades qui ont une
âme. En plus, le Vel’ est pratique
et ergonomique, un 5 étoiles à
l’allemande. C’est à l’image de ce
qu’on voulait à Marseille", dit le
premier cité.
Même constat pour le Marseillais
: "Là-bas, tous les stades
ont été réussis avec en plus des
taux de remplissage exceptionnels.
L’avantage du Vélodrome
qui est dans la lignée des stades
allemands, c’est aussi d’être en
ville : il y a de la vie autour
contrairement à l’Allianz Arena
de Munich par exemple."
"Plus impressionnant
que le Maracana"
Envoyés spéciaux au Brésil
pour la 20e Coupe du monde, les
2 journalistes sont unanimes :
"Le Vélodrome est plus impressionnant
que le Maracana", lequel
ovale a perdu toute son
âme au fur etàmesure des transformations
qu’il a subies. En
élargissant la comparaison, Mario
Albano note que " pas un stade
italien ne peut être comparé
au Vélodrome d’aujourd’hui
mais moi j’aime bien le stade Giuseppe-
Meazza à Milan qui me
fait penseràunvrai théâtre. Certains
stades anglais donnent aussi
envie d’aller au spectacle comme
c ’ e s t l e c a s i c i , mais
outre-Manche le touristique a
pris le pas sur le footballistique
avec des tarifs qui ne sont plus
abordables. Ce qui n’est pas le
casàMarseille". Christophe Josse
ne dit pas mieux : "On critique
l’accessibilité mais c’est très
français ça. En la matière, le
must c’est Munich, mais à Madrid
il n’y a pas de parking! Ici,
on peut se débrouiller avec le métro
et quoi qu’il en soit on peut
être fier d’avoir un stade comme
ça en France. Grâce à lui, ona rattrapé
notre retard

[size=32]Vidéo : découvrez le nouveau stade Vélodrome[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE SAMEDI 16/08/2014 À 18H36



L'OM affronte Montpellier ce dimanche à 17h dans un stade Vélodrome tout neuf. Le staff et les joueurs olympiens vous font découvrir l'enceinte marseillaise : les couloirs, les vestiaires et la pelouse.

Les abonnements à l’Olympique de Marseille se divisent en plusieurs

catégories : virages (Sud ou Nord), tribune (Ganay ou

Jean-Bouin) et VIP avec prestations (tribune Ganay ou

Jean-Bouin). Ces abonnements sont valables une saison pour les

matchs de championnat de l’Olympique de Marseille en Ligue 1 à

domicile. Ils octroient aussi une priorité pour l’achat de places

des différentes coupes. Si les premiers tarifs des associations
des virages débutent à 180
¤, cotisations incluses, ils peuvent,
ici ou là, atteindre des sommes bien plus élevées en tribunes,

selon le positionnement dans le stade. Certains abonnements
dépassent ainsi les 1000
¤ : la passion au prix fort.