CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF

Belle victoire de rentrée

Equipe de France
04/09/2014

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Pour son match de rentrée, l’équipe de France s’est imposée face à l’équipe d’Espagne (1-0), grâce à une réalisation de Loïc Rémy.
France
-
Espagne
: 1-0
Après une Coupe du Monde satisfaisante au Brésil (éliminée en ¼ de finale par l’Allemagne, future gagnant de la compétition), l’équipe de France accueillait l’Espagne au Stade de France devant près de 75.000 spectateurs. Si Didier Deschamps faisait confiance en grande partie aux Mondialistes, le sélectionneur espagnol devait lui remodeler son équipe avec les retraites internationales de Xavi et Xabi Alonso et la blessure d'Iniesta.
La première période était assez équilibrée et si De Gea devait se coucher par deux fois sur des tentatives de Benzema (9^e) et Pogba (10^e), les Ibériques terminaient mieux et une frappe déviée de Fabregas flirtait avec la barre transversale de Lloris (28^e).
Au retour des vestiaires, Benzema concluait une superbe action engagée côté droit, mais le but du Madrilène était refusé pour hors-jeu (48^e). Ce n’était que partie remise car, sur une très belle action française, Rémy ouvrait le score. Valbuena sollicitait le une-deux avec Benzema. Le nouveau joueur du Dynamo Moscou profitait d’une déviation de Sissoko pour déborder et centrer en retrait pour le nouvel attaquant de Chelsea qui inscrivait-là son 6^e but sous le maillot tricolore (1-0, 73^e). Les deux entraîneurs décidaient alors de faire tourner leur effectif comme souvent en début de saison, mais les Bleus tenaient bon et étaient même les plus dangereux en contres en fin de rencontre.
Avec ce succès, la France met un terme à 6 ans de match sans victoire en août, son dernier succès de rentrée datait d’août 2008 avec une victoire 3-2 en terre suédoise avec un doublé de Govou et un but de Benzema.
L’équipe de France affrontera la Serbie dimanche pour un nouveau match amical pour préparer l’Euro 2016.
Feuille de match :
France – Espagne 1-0 (mi-temps 0-0)
But : Rémy (73e) pour la France
Les équipes :
France : Lloris (cap.) - Debuchy, Varane, Sakho, Evra (Digne, 67e) - Matuidi (Cabaye, 67e), Pogba - Sissoko (Schneiderlin, 78e), Valbuena (Cabella, 74e), Griezmann (Rémy, 58e) -  Benzema
Sélectionneur : Didier Deschamps
Espagne : De Gea - Carvajal, Sergio Ramos (cap.), San José, Azpilicueta - Busquets (Iturraspe, 46e), Fabregas (Pedro, 67e) - Raul Garcia (Silva, 58e), Koke, Cazorla (Isco, 78e) - Diego Costa (Alcacer, 67e) Sélectionneur : Vicente Del Bosque

Football : retrouvailles joyeuse pour l'équipe de France face à l'Espagne
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Publié le 05/09/2014 à 06h00 , modifié le 05/09/2014 à 07h46 par 
Frédéric Laharie

Dans un match décousu mais plein d’envie, les Bleus ont prolongé l’élan de la Coupe du monde en battant l’Espagne pour la première fois depuis huit ans jeudi soir (1-0

Loïc Rémy, félicité par Sissoko et Digne, a inscrit le but français à un quart d'heure de la fin du match© PHOTO 
AFP FRANCK FIFE








L
e public français a retrouvé ses Bleus à peu près comme il les avait quittés au début du mois de juin lors d'une série de matchs de préparation qui annonçaient un Mondial réussi. Deux mois après son élimination en quart de finale contre l'Allemagne à Rio (1-0), [size=13]l'équipe de France a renoué le lien avec ses supporters de la meilleure des manières jeudi soir et attaqué du bon pied la très longue préparation à l'Euro 2016 que le pays organise.
Un match imparfait bien sûr, souvent décousu en raison du manque de compétition de la plupart des joueurs, mais plein d'envie de la part des Bleus. Une victoire de prestige et pour l'histoire : ils n'avaient plus battu l'Espagne depuis quatre confrontations et le 8e de finale du Mondial 2006 en Allemagne (3-1).

Raphael Varane à la lutte avec Paco Alcacer© PHOTO AFP MIGUEL MEDINA

La veille, Vicente Del Bosque avait reconnu que les rôles « avaient peut-être changé » entre la France et l'Espagne, comprenez que les Bleus étaient les favoris de ce match de rentrée face à l'Espagne éliminée dès le premier tour au Brésil. Un peu de sincérité et beaucoup de diplomatie de la part du sélectionneur espagnol ? Sûrement. Mais c'est vrai que jeudi soir, après 25 minutes, les rôles semblaient avoir été inversés par rapport aux deux dernières visites de la Roja au Stade de France (0-2 en mars 2010 et 0-1 en mars 2013).

Pressing haut

Le temps, en fait, de combustion du réservoir bleu. En mettant en place un pressing haut au coup d'envoi, pour tenter d'étouffer le fameux jeu de passes courtes espagnol, les joueurs de Didier Deschamps ont pu récupérer des ballons intéressants pour le jeu direct et vertical qui fait leur force depuis leur qualification au Mondial. Avec dix titulaires du quart de finale perdu contre l'Allemagne - seul Sissoko a remplacé Cabaye - mais un système en 4-2-3-1 différent, les automatismes n'ont pas tardé à se (re) mettre en place autour de l'inévitable Mathieu Valbuena.
Pas d'occasions très franches mais des tentatives de Benzema (9e, 39e) ou un raté de l'avant-centre madrilène en position idéale sur un service de Paul Pogba (25e) pour récompenser ce désir d'aller de l'avant et de mettre en joie un public du Stade de France heureux de les retrouver.

Karim Benzema a inscrit un but, injustement refusé pour hors-jeu© PHOTO AFP MIGUEL MEDINA

Malheureusement pour eux, la flamme s'est assez vite éteinte. Même privée de Xabi Alonso, Xavi Hernandez (retraite internationale) et Andrés Iniesta (blessé), rien que ça, l'Espagne reste experte dans l'art du redoublement de passes et du jeu placé. Sans dommage pour Hugo Lloris mais assez pour reprendre le contrôle du ballon avant la pause, atteinte avec 60 % de possession.

Rémy, entrée décisive

Mais cette Roja en reconstruction n'a pas la maîtrise de celle qui a dominé le football mondial de 2008 à 2012, d'autant que Del Bosque faisait assez rapidement tourner son effectif dans la perspective du déplacement en Macédoine lundi pour l'ouverture des qualifications à l'Euro. Sans un lever de drapeau litigieux de l'arbitre assistant, elle aurait été punie dès la 49e minute sur une action à une touche de balle sur le côté droit pour un but refusé à Benzema. La sanction venait un gros quart d'heure plus tard. Car le coaching de Deschamps avait lui apporté l'accélération souhaitée. Entré à la place d'un Antoine Griezmann transparent sur son côté gauche, Loïc Rémy transformait une passe en retrait en or de Valbuena sur un jeu à trois avec Benzema à l'initiative et une subtile déviation de Sissoko devant la surface.

Les Français ont évolué dans un stade comble et acquis à leur cause© PHOTO AFP FRANCK FIFE

Deschamps offrait une sortie sous l'ovation à Valbuena, Pogba régalait le Stade de France de quelques facilités techniques dont il a le secret et David Silva faisait passer un dernier frisson (83e) : ce n'était finalement pas si mal comme retrouvailles avant le déplacement en Serbie dimanche soir.
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France - Espagne. Les réactions[/size]
France - 04 Septembre - 0
écouter

• Didier Deschamps. | Philippe Renault
  

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Retrouvez les réactions des Français après leur succès face à l'Espagne (1-0).

Didier Deschamps (sélectionneur de l'équipe de France) : « Il y avait beaucoup de fatigue avec beaucoup de changements mais ils ont mis plus de qualité sur les passes en profondeur notamment sur un petit jeu. Mais c'est bien, on s'est accroché, on a fait les efforts. C'est bien de gagner pour notre rentrée. On sait ce qu'a fait l'équipe d'Espagne. Ils ont gagné deux championnats d'Europe et une Coupe du monde. Elle a régné sur l'Europe et sur le monde. Même s'il y a des changements, il y a encore beaucoup de qualité. Je suis satisfait même si on peut avoir plus de justesse. On garde cette envie et cet enthousiasme de faire les choses ensemble. »
Loïc Rémy (attaquant et buteur de l'équipe de France) : « On avait à cœur de se retrouver, parce qu'on a vécu une belle aventure sur le plan humain durant la Coupe du monde. Comme l'a dit le coach avant le match, même si on ne joue pas de qualification, ce genre de victoire peut nous permettre de grandir. »
Antoine Griezmann (attaquant de l'équipe de France) : « J'ai essayé de donner le meilleur de moi-même, comme d'habitude. On sait qu'on peut faire la différence à tout moment. Aujourd'hui, ce sont les remplaçants qui ont brillé. Ca prouve qu'on n'est pas qu'un groupe de onze joueurs. Physiquement, je progresse avec l'Atlético Madrid et je commence à reprendre le dessus. Ca risque de chambrer en rentrant en Espagne. »
Paul Pogba (milieu de l'équipe de France) : « On avait nos supporters avec nous, aujourd'hui on est tous contents. C'est une belle victoire, la première personnellement contre l'Espagne. Ca faisait huit ans qu'on n'avait pas gagné contre l'Espagne, c'est vraiment important. Est-ce qu'on a changé de statut, non; c'est vrai que le groupe a progressé ensemble, on a un très bon état d'esprit, et on le montre sur le terrain. Je me suis régalé parce que l'équipe s'est régalée. On m'a toujours dit de prendre du plaisir, après, il ne faut pas trop en faire, c'est mon plus grand défaut, dans ces détails-là, je peux progresser. Ce poste, j'y ai déjà joué avec les U18 et U19, c'est des petits détails qui changent, je suis plus défensif, c'était pas mal. Il fallait défendre, récupérer des ballons, il ne faut pas oublier que ce sont de très grands joueurs, avec une technique exceptionnelle, la meilleure au monde je pense. Peut-être qu'il y aura un coup de relâchement, il ne faut pas oublier qu'on est une équipe, on peut perdre, on ne va pas toujours gagner. On sait qu'on a la confiance des supporters, de la France, ce serait bien qu'on continue comme ça. »
Vicente Del Bosque (entraîneur de l'Espagne) : « Ça a été un match équilibré. Eux ont été bons dans les transitions, rapides. Ils ont su trouver les espaces. C'est une équipe très puissante physiquement. Pour notre part, nous avons davantage été dans le contrôle. Il est vrai que nous n'avons pas eu d'occasions nettes, mais nous avons eu des situations dangereuses. On a affiché une bonne attitude. On avait un certain nombre de doutes car on était peut-être un peu sonnés après ce qui s'était passé au Brésil, et puis, on jouait contre une bonne équipe, mais les comportements ont été bons et nous avons fait un bon match dans l'ensemble. Les nouveaux arrivants ont montré qu'ils avaient le niveau et, globalement, nous avons montré que nous avions une bonne équipe. Je suis également satisfait des connexions avec Diego Costa. »

LE PROGRAMME DES BLEUS Dimanche
Serbie - France
......à Belgrade, 20h45, TF1
Samedi 11 octobre
France - Portugal ...............
Mardi 14 octobre
Arménie - France ...............
Vendredi 14 novembre
France - Arménie .à Lorient
Dimanche 29 mars 2015
France - Danemark ............
Samedi 13 juin
Albanie - France .................
Vendredi 4 septembre
Portugal - France ...............
Lundi 7 septembre
France - Serbie ...................
Jeudi 8 octobre
France - Arménie

Euro-2016/Amical: Serbie-France, c'est l'heure de faire tourner
06/09/2014 23:42
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Les joueurs de l'équipe de France s'entraînent le 6 septembre 2014 sur la pelouse de stade Partizan où aura lieu l'amical contre la Serbie - AFP
L'équipe de France, largement remaniée après son beau succès contre l'Espagne (1-0), va tenter dimanche en Serbie, de sauvegarder la dynamique et l'élan de ces derniers mois tout en testant ses ressources cachées dans l'optique de l'Euro-2016.

Les Bleus n'ont pas vraiment eu le choix de l'adversaire, celui-ci leur ayant été imposé par le tirage au sort des qualifications du Championnat d'Europe qui les a intégrés dans la poule I (avec le Portugal, le Danemark, l'Arménie et l'Albanie) sans que leurs résultats soient pris en compte.
Le futur pays-hôte du tournoi continental, qualifié d'office, va donc revenir à l'ordinaire, loin de cette sortie de gala face à la Roja au Stade de France, qui a idéalement lancé sa campagne préparatoire. Il s'agira d'un avant-goût du menu routinier qui l'attend dans les prochains mois avec une litanie de rencontres sans enjeu et à l'intérêt sportif fort discutable.
Comment sensibiliser ses troupes à ce déplacement, trois jours seulement après s'être offert le scalp des ex-champions du monde espagnols? Didier Deschamps a en partie réglé la question en déclarant dès le coup de sifflet final, jeudi, qu'il alignerait en Serbie "une équipe bien différente", histoire de concerner et de garder en éveil tout son groupe. "Je veux voir tous les joueurs qui sont là en action", a expliqué le sélectionneur.
"DD" ne veut surtout pas galvauder ce court voyage à Belgrade et ne souhaite sûrement pas voir les quart de finalistes de la Coupe du monde ternir leur belle série actuelle (1 défaite sur les 11 derniers matches). Mais le but sera surtout d'effectuer un état des lieux du réservoir à sa disposition et de sonder le potentiel des Bleus en dehors du onze habituel.
Au total, le sélectionneur devrait procéder à 7 changements par rapport à jeudi avec les rentrées de Bacary Sagna, Jérémy Mathieu, Lucas Digne, Yohan Cabaye, Morgan Schneiderlin, Loïc Rémy et Rémy Cabella, selon la mise en place tactique de samedi effectuée à huis-clos.
Une hiérarchie difficile à bousculer
La victoire de jeudi a montré que venir bousculer la hiérarchie sera très délicat pour des éléments extérieurs aux 23 actuels. En interne, si Deschamps tient sa colonne vertébrale (Lloris, Varane-Sakho, Pogba-Matuidi, Valbuena, Benzema), rien n'est en revanche figé à certains postes.
Sur le côté gauche de la défense, le Parisien Lucas Digne peut titiller le trentenaire Patrice Evra (33 ans) et en attaque, Loïc Rémy, auteur du but vainqueur contre l'Espagne et récemment transféré à Chelsea, a une carte à jouer avec la retraite internationale de Franck Ribéry, Antoine Griezmann paraissant pour le moment trop tendre pour endosser la relève.
Malgré le caractère amical du match, se frotter aux Serbes et à la chaude ambiance du stade du Partizan ne sera pas inutile pour des joueurs à l'expérience internationale encore limitée.
Lors de la Coupe du monde, les remplaçants français n'avaient pas franchement brillé au 1er tour face à l'Equateur (0-0). Sauront-ils cette fois relever le défi? Même si la Serbie n'a plus participé à une phase finale depuis le Mondial-2010, elle sera d'un tout autre calibre que les Sud-Américains, surtout à domicile.
Dirigée par Dick Advocaat, elle s'appuie sur quelques individualités capables de maltraiter les Bleus comme les joueurs de Chelsea Branislav Ivanovic et Nemanja Matic, Aleksandar Kolarov (Manchester City) ou l'attaquant Lazar Markovic (Liverpool).
C'est une équipe de France new-look qui se dressera sur sa route et il faudra avoir un peu d'indulgence pour les suppléants en cas de défaillance. Mais avant d'accueillir le Portugal de Cristiano Ronaldo, le 11 octobre, il serait dommage de gâcher le paysage.

Football : Euro-2016/Amical - la France obtient le nul en Serbie (1 - 1)
Le 07 septembre à 16h57 | Mis à jour il y a 10 heures
Le sélectionneur de des Bleus donne ses directives au défenseur Lucas Digne. PHOTO/AFP FRANCK FIFE
L'équipe de France de football a fait match nul contre la Serbie 1 à 1 en match amical dimanche à Belgrade, trois jours après un succès de prestige contre l'Espagne (1-0).

Dès la 14e minute, Paul Pogba ouvrait le score au second poteau après un corner tiré par Rémy Cabella. Les Serbes, qui n'ont plus participé à une phase finale depuis le Mondial-2010, peinaient à se procurer de franches occasions de buts. Mais à la 80e, le gardien français Hugo Lloris ne pouvait rien faire sur une frappe puissante du gauche d'Aleksandar Kolarov après un coup franc indirect aux 25 m (1-1). A la 88e, Lloris sauvait le nul grâce à un bel arrêt après une tête d'Ivanovic.

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Le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps avait procédé à sept changements par rapport aux vainqueurs de la Roja jeudi au Stade de France avec les titularisations de Bacary Sagna, Jérémy Mathieu, Lucas Digne, Yohan Cabaye, Morgan Schneiderlin, Loïc Rémy et Rémy Cabella. L'UEFA a inclus la France, qualifiée d'office pour l'Euro-2016 en tant que pays-hôte, dans le groupe I en compagnie du Portugal, de la Serbie, du Danemark, de l'Arménie et de l'Albanie, mais ses résultats ne sont pas comptabilisés.

Le prochain match des Bleus est programmé le 11 octobre contre le Portugal au Stade de France.

Pour revivre la rencontre c'est ci-dessous.
EURO-2016 : Serbie-France



Dimanche 7 Septembre 2014, à 20h45


Serbie
France
















































































1
















































































1

Score à la Mi-temps  0 -  1



Eliminatoires
Euro
Stade Du Partizan - Belgrade -  spectateurs
Arbitre : Wolfgang Stark

• 
  Actions
  
  
• 
  Compos
  
  
• 
  Face à Face
  
  
• 
  Direct
  
  
  

1
Buts
1


80' Kolarov
Pogba 13'




Passe(s) décisive(s)



80' Ivanovic
Cabella 13'


2
CARTONS
2


64' Nastasic
Cabaye 66'



76' Djuricic
Pogba 72'



REMPLACEMENTS



61' Kuzmanovic
Benzema 60'



61' Gudelj
Remy 60'



61' Djuricic
Lacazette 62'



61' Tadic
Cabella 62'



75' Mitrovic
Matuidi 74'



75' Djordjevic
Pogba 74'



86' Ljajic
Valbuena 82'



86' Markovic
Sissoko 82'


Les titulairesLes titulaires
26,0  ans
1,84  m
78,8  kg
1  buts
25,8  ans
1,83  m
75,9  kg
0  buts
25,9  ans
1,83  m
75,8  kg
1  buts
27,5  ans
1,79  m
72,4  kg
0  buts
4-2-3-1 4-3-3




















































































4
 Raphaël Varane DéfenseurFrance1 matches0 buts
Ent. :  
Ent. :  
Les remplaçants Les remplaçants
 




















































































0
GStojkovic
 




















































































0
DIvanovic
 




















































































0
DKolarov
 




















































































0
DMitrovic
 




















































































0
DNastasic
 




















































































0
MGudelj
 




















































































0
MMatic
 




















































































0
MTosic
 




















































































0
ADjordjevic
 




















































































0
AMarkovic
 




















































































0
ATadic
 




















































































1
GLloris
 




















































































4
DVarane
 




















































































15
DSagna
 




















































































17
DDigne
 




















































































21
DMathieu
 




















































































6
MCabaye
 




















































































7
MCabella
 




















































































18
MSissoko
 




















































































19
MPogba
 




















































































22
MSchneiderlin
 




















































































20
ARemy
 




















































































0
GBrkic
 




















































































0
DRukavina
 




















































































0
DTomovic
 




















































































0
DTosic
 




















































































0
MBasta
 




















































































0
MIgnjovski
 




















































































0
MJojic
 




















































































0
MKuzmanovic
 




















































































0
MLjajic
 




















































































0
ADjuricic
 




















































































0
AMitrovic
 




















































































16
GMandanda
 




















































































23
GRuffier
 




















































































2
DDebuchy
 




















































































3
DÉvra
 




















































































5
DSakho
 




















































































13
DMangala
 




















































































8
MValbuena
 




















































































12
MMavuba
 




















































































14
MMatuidi
 




















































































9
ALacazette
 




















































































10
ABenzema
 




















































































11
AGriezmann



Direct commenté
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90+3'	C'est terminé à Belgrade ! Au terme d'une partie animée, les deux équipes se quittent sur un score de parité plutôt logique, Kolarov ayant répondu à l'ouverture du score de Pogba. Français comme Serbes auront eu leurs temps forts et les Bleus peuvent se satisfaire de ce résultat. Les Tricolores poursuivront leur campagne de préparation à l'Euro 2016 en octobre avec deux nouvelles rencontres amicales face au Portugal et à l'Arménie.
90+1'	Il y aura trois minutes de temps additionnel.
90'	Les Bleus jettent leurs dernières forces dans la bataille et multiplient les combinaisons dans le camp serbe sans toutefois trouver l'ouverture. France
88'	Occasion pour Serbie Superbe jeu à trois des Serbes côté gauche. Kolarov parvient à centrer mais Varane, bien placé, repousse en corner. Sur le coup de pied de coin, au second poteau, Ivanovic place une tête piquée mais Lloris, au prix d'un arrêt de très grande classe, sauve les Bleus avec l'aide de son poteau gauche ! Serbie
86'	Markovic a cédé sa place à Ljajic dans les rangs locaux. Serbie
84'	Lacazette ne se ménage pas depuis son entrée en jeu et obtient deux coups francs d'affilée. Les Bleus, loin d'être sonnés, semblent déterminés à essayer d'aller chercher la victoire. Lacazette | France
82'	Valbuena est entré à la place de Sissoko pour la fin de partie. Valbuena | France
82'	Les Serbes ont été récompensés de leurs efforts et vont désormais chercher à enflammer les débats au cours des dix dernières minutes. Les Bleus vont devoir se méfier de l'orage !
80'	But pour Serbie Ivanovic décale, du talon, le ballon pour Kolarov. Le latéral de Manchester City décoche un missile à mi-hauteur qui s'en va tromper Lloris, impuissant, sur sa gauche ! Quel coup de canon ! Serbie 11
78'	Tosic, déséquilibré par Schneiderlin, obtient un bon coup franc à 25 mètres dans l'axe. Serbie
76'	Carton jaune pour Djuricic intervient en retard et par derrière sur Digne, écopant logiquement d'un avertissement. Serbie
75'	Côté serbe, Djordjevic, complètement muselé par la charnière française, a été remplacé par Mitrovic. Serbie
74'	Pogba, une nouvelle fois déterminant ce soir, vient de laisser sa place à Matuidi. Matuidi | France
72'	Carton jaune pour Pogba Kuzmanovic enrhume Pogba qui commet la faute côté gauche. Le milieu de la Juve est averti. Pogba | France
71'	Les Serbes ont repris le commandement des opérations et sont en train de hausser le ton alors qu'il reste 20 minutes à disputer.
69'	La partie est rythmée dans cette seconde période. Les Serbes appuient sur l'accélérateur pour tenter de revenir au score mais les Bleus, loin de se laisser faire, parviennent à se mettre en évidence à la faveur de combinaisons intéressantes en attaque.
67'	Occasion pour Serbie Le coup franc qui suit, placé à 30 mètres plein axe, est frappé par Kolarov. Le ballon passe l'obstacle du mur et prend la direction de la lucarne mais Lloris s'envole sur sa droite pour préserver sa cage inviolée ! Serbie
66'	Carton jaune pour Cabaye Au tour de Cabaye de voir jaune pour une intervention irrégulière sur Markovic. Cabaye | France
64'	Carton jaune pour Nastasic a écopé d'un avertissement pour une intervention trop virulente. Serbie
63'	Occasion pour Serbie Kuzmanovic, lancé sur la gauche de la surface, temporise devant Varane avant de solliciter Kolarov en retrait. Le latéral de Manchester City frappe sans contrôle mais Lloris, parfaitement sur ses appuis, réalise l'arrêt sans relâcher le ballon. Serbie
62'	La valse des changements se poursuit avec l'entrée de Lacazette pour suppléer Cabella. Lacazette | France
61'	Djuricic a quant à lui pris la place de Tadic

Euro-2016/Amical: léger coup d'arrêt pour les Bleus accrochés en Serbie
08/09/2014 07:48
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Le milieu français Paul Pogba (N.19), buteur contre la Serbie, le 7 septembre 2014 au stade Partizan à Belgrade - AFP
L'équipe de France, profondément remaniée, n'a pas réussi à capitaliser sur son beau succès de jeudi contre l'Espagne et a subi un petit coup d'arrêt en concédant le nul en Serbie (1-1), dimanche à Belgrade en amical.
<a href="http://memorix.sdv.fr/5c/www.lanouvellerepublique.fr/sports/football_articles/L52/1395973828/Position1/Web66/GDF_RESULTATS_W66_ACTU_300x250_080914/article_gdf_030314.html/5538314f394649322b4f6f41444d6a49" target="_blank"><img src="http://memorix.sdv.fr/RealMedia/ads/Creatives/Web66/GDF_RESULTATS_W66_ACTU_300x250_080914/300x250_GDFSUEZ.gif/1409906232" width="300" height="250" alt="" style="border:0px black solid;" /></a>
Trois jours à peine après s'être offerts le scalp des ex-champions du monde espagnols au Stade de France (1-0), les Bleus n'ont pas démérité. Mais les nombreux changements (7) effectués par le sélectionneur Didier Deschamps ont fait leur effet et après une ouverture du score rapide signée Paul Pogba (14e), un missile d'Aleksander Kolarov (80e) les a empêchés de quitter la Serbie sur une victoire.
Pas de quoi ternir la belle dynamique française sur la route de l'Euro-2016 organisé à la maison, les "coiffeurs" n'ayant pas été ridicules. Mais il leur a peut-être manqué un peu de réserve physique et un zeste de concentration pour repartir victorieux de Belgrade.
Appliqués, sérieux et rarement pris de panique, il n'a tenu à pas grand chose pour que l'élan des derniers mois et de la Coupe du monde (quart de finale) soient sauvegardés.
Hormis la défaite en quart de finale du Mondial contre le futur vainqueur allemand (1-0), personne n'a pu résister aux Bleus sur leurs 12 dernières rencontres: c'est sans doute ce que retiendra le sélectionneur à l'heure de quitter Belgrade.
Pogba s'affirme encore
Deschamps avait pris un petit risque en faisant souffler la plupart de ses titulaires et en faisant pas moins de sept modifications par rapport à la formation qui avait dominé la Roja. Longtemps, cela ne s'est pas trop vu face aux Serbes de Dick Advocaat, qui avaient eux aligné leur onze-type.
La petite ambiance de l'enceinte du Partizan de Belgrade, à moitié remplie (environ 20.000 spectateurs), n'avait, il faut dire, pas de quoi effrayer les remplaçants bleus, qui n'ont été réellement secoués que sur quelques coups de pied arrêtés ou des tentatives lointaines, comme ce beau coup franc de Stefan Mitrovic (66e), détourné par Hugo Lloris en corner, avant le coup de canon fatal de Kolarov.
Le but rapide inscrit par Pogba, la nouvelle star du football français et l'un des quatre rescapés de jeudi au coup d'envoi (avec le capitaine Lloris, le défenseur Raphaël Varane et le milieu Moussa Sissoko), avait donné le ton et parfaitement lancé les Français, coupant d'entrée les jambes serbes, qui auront mis une bonne heure à s'en remettre.
En dépit du nul concédé, tout n'est pas à jeter sur cette rencontre. La 4e réalisation en 18 capes de Pogba, une reprise seul au second poteau à la suite d'un corner de Rémy Cabella, a ainsi prouvé que celui-ci commençait à s'imposer comme le boss de cette équipe de France lancée dans un long marathon préparatoire en vue de l'Euro.
Son but ne doit rien à un exploit technique mais il est le symbole de sa prise de pouvoir en sélection, déjà visible jeudi au SDF.
Rémy trop timide
L'aisance de Pogba n'est pas à proprement parler une surprise. Voir des jeunes comme Rémy Cabella (3e sélections) ou Morgan Schneiderlin (4e sélection) faire preuve d'autant de facilité n'allait en revanche pas forcément de soi, même si le caractère sans enjeu du match a facilité leur intégration.
Le bilan de Loïc Rémy est plus mitigé. L'unique buteur contre l'Espagne a cette fois eu le privilège de commencer. Mais le tout frais attaquant de Chelsea n'a pas saisi l'occasion de prouver qu'il pouvait être autre chose qu'un joker.
Deschamps avait réclamé samedi plus d'agressivité de sa part. Il n'a pas été totalement entendu, Rémy, malgré quelques occasions (9e, 55e), ayant été un peu trop timide pour mettre en danger la cage serbe.
Jérémy Mathieu a été l'autre "remplaçant" à tirer son épingle du jeu. Lancé en défense centrale, le néo-Barcelonais a fait oublier sa dernière cape, le 9 juin 2013 au Brésil où il avait été asphyxié côté gauche par le surpuissant Hulk (défaite 3-0 en amical). Ce qui fait de l'ancien joueur de Valence une alternative crédible en dehors du quatuor de "mondialistes" Varane, Sakho, Koscielny, Mangala.
Dommage que ce but de Kolarov soit venu quelque peu gâcher ce beau tableau

Samedi 11 octobre
France - Portugal...................................................
Mardi 14 octobre
Arménie - France...................................................
Vendredi 14 novembre
France - Arménie ....................................à Lorient
Dimanche 29 mars 2015
France - Danemark................................................
Samedi 13 juin
Albanie - France ....................................................
Vendredi 4 septembre
Portugal - France...................................................
Lundi 7 septembre
France - Serbie .....................................................
Jeudi8 octobre
France - Arménie...................................................

France : En amical face à la Suède à Marseille ?
Benzema, ici face à la Suède à l'Euro 2012


Depuis dimanche, l'équipe de France a débuté sa série de matchs amicaux face aux formations du groupe I de qualifications pour l'Euro 2016.
, quatre jours après le match qui sera disputé face à l'Albanie (14 novembre), la France pourrait rencontrer la Suède. Ce match amical serait disputé à Marseille, dans le nouveau stade Vélodrome. La FFF finalise actuellement l'organisation de la rencontre. A suivre.

[size=32]Football : France - Suède au stade Vélodrome[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE VENDREDI 12/09/2014 À 16H30



C'était dans l'air, c'est désormais officiel : le stade Vélodrome accueillera l'équipe de France le mardi 18 novembre à l'occasion d'un match amical contre la Suède. L'accord vient d'être signé entre Arema, qui gère l'exploitation du stade Vélodrome, et la Fédération française de football. Zlatan Ibrahimovic défiera donc les Bleus de Didier Deschamps à Marseille.
La dernière venue de l'équipe de France au stade Vélodrome remonte au 11 février 2009, avec une défaite contre l'Argentine (0-2). Une nouvelle dont s'est félicité l'adjoint au maire de Marseille délégué aux Grands événements, Maurice Di Nocera.

[size=33]Équipe de France. Les Bleus face à la Suède le 18 novembre à Marseille[/size]
Marseille - 12 Septembre
écouter

• Zlatan Ibrahimovic devrait recevoir un accueil glacial au stade Vélodrome... | Photo : AFP
  

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Le Parisien Zlatan Ibrahimovic va donc fouler la pelouse du Vélodrome avec sa sélection.

L'équipe de France jouera en amical contre la Suède de Zlatan Ibrahimovic le mardi 18 novembre au Stade Vélodrome, à Marseille, a annoncé vendredi la Fédération française de football (FFF). Le coup d'envoi sera donné à 21 h.
Le prochain match (déjà prévu de longue date celui-là) en amical de la France, qualifiée d'office pour l'Euro 2016 en tant que pays hôte, aura lieu le samedi 11 octobre au Stade de France, à Saint-Denis, contre le Portugal de Cristiano Ronaldo.

FOOTBALL CONTRE LA SUÈDE D’IBRAHIMOVIC LE 18 NOVEMBRE
Les Bleus de retour au Vélodrome Le 11 février 2009, le projet de rénovation du stade
Vélodrome n’est pas encore lancé quand
l’équipe de France de Raymond Domenech
prend ses quartiers à Marseille pour défier
l’Argentine. Un rendez-vous loin d’avoir marqué
les esprits des Bleus ; les 60 000 spectateurs
n’avaient eu d’yeux que pour Diego Maradona,
nouveau sélectionneur de l’Albiceleste, et Lionel
Messi, dont l’éclair de génie venait ponctuer une
soirée rendue glaciale par un mistral capricieux.
Un sentiment de frustration qui pourra
s’effacer le mardi 18 novembre. Hier, Arema, qui
gère l’exploitation de l’enceinte fraîchement rénovée
du boulevard Michelet, a conclu un accord
avec la FFF pour organiser un match amical entre
les Bleus et la Suède (21h). Une nouvelle accueillie
avec satisfaction par la Mairie.
Ce sera l’occasion pour les Bleus de prendre
leurs marques dans ce stade qu’ils retrouveront à
l’occasion de l’Euro 2016, le 15 juin pour le deuxième
match de poule et peut-être en quart et/ou en
demi-finale.
Deschamps et Valbuena de retour
Cela constituera aussi des retrouvailles attendues
entre le public marseillais et Didier Deschamps,
mais aussi l’opportunité, sans doute, de
voir Mathieu Valbuena évoluer à nouveau sur
une pelouse où il a si souvent brillé. Lors de sa dernière
liste, pour les rencontres face à l’Espagne et
en Serbie, Deschamps n’avait retenu qu’un seul
Olympien: Steve Mandanda. D’ici-là, Gignac,
Thauvin ou Payet pourraient taper à la porte des
Bleus. Et, contrairement à l’Argentine, grandement
soutenueàMarseille il y acinq ans, la Suède
se présentera en terre hostile; la présence de Zlatan
Ibrahimovic ne sera pas étrangère à cela

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[size=33]Football. Amical - France-Portugal à guichets fermés[/size]
France - 02 Octobre
écouter

• Karim Benzema et les Bleus affronteront le Portugal dans un Stade de France plein comme un œuf. | Photo : Ouest-France / Philippe Renault
  

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Trois jours après cette rencontre, les Bleus se déplaceront à Erevan pour y disputer mardi un match contre l'Arménie.

Le match amical entre l'équipe de France et le Portugal, samedi 11 octobre au Stade de France, se déroulera à guichets fermés, a annoncé jeudi la Fédération Française de Football.

[size=14]Beaucoup de supporters portugais

80 000 spectateurs sont donc attendus pour ce choc. Avec évidemment beaucoup de supporters portugais.
Ce match s'inscrit dans le cadre du groupe I des qualifications à l'Euro 2016, mais le résultat ne sera pas officiellement comptabilisé, la France étant qualifiée d'office pour ce tournoi qu'elle organisera dans deux ans.
Trois jours après cette rencontre, les Bleus se déplaceront à Erevan pour y disputer mardi un match contre l'Arménie.[/size]

LE PROGRAMME

SAMEDI 11 OCTOBRE
France - Portugal.......20h45, SdF
MARDI 14 OCTOBRE
Arménie - France ......18h, Erevan
VENDREDI 14 NOVEMBRE
France-Albanie ...20h45, Lorient
MARDI 18 NOVEMBRE
France - Suède.......21h, Marseille
DIMANCHE 29 MARS
France - Danemark............20h45

Le programme des Bleus




 





0.25

0.5

0.75

1

1.25

1.5

1.75

2

2.25

2.5

2.75

3

3.25

3.5

3.75

4

4.25

4.5

4.75

5

0








dimanche 5 octobre 2014 - 10:25 - Antonio Mesa




Lundi 6 octobre

[*]
12h00 : Rassemblement des joueurs au CNF de Clairefontaine
[*]
16h00 : Point presse de Didier Deschamps
[*]
16h30 : Entretiens individuels (sur rendez-vous uniquement)
[*]
18h00 : Entraînement (Stade Pierre-Pibarot)


Mardi 7 octobre

[*]
16h30 : Point presse joueurs
[*]
18h00 : Entraînement (Stade Pierre-Pibarot)


Mercredi 8 octobre

[*]
Journée à huis-clos


Jeudi 9 octobre

[*]
16h30 : Point presse des joueurs
[*]
18h00 : Entraînement (Stade Pierre-Pibarot)


Vendredi 10 octobre

[*]
16h30 : Conférence de presse de Didier Deschamps et d'un joueur, au  Stade de France
[*]
17h30 : Entraînement, ouvert le premier quart d’heure aux médias
[*]
18h00 : Conférence de presse de Fernando Santos et d'un joueur, au Stade de France
[*]
19h00 : Entraînement de l’équipe du Portugal, ouvert le premier quart d’heure aux medias


Samedi 11 octobre

[*]
20h45 : France - Portugal, au Stade de France


Dimanche 12 octobre

[*]
14h00 : Départ du Bourget pour Erevan
[*]
21h00* : Arrivée à Erevan et installation à l’hôtel Marriott


Lundi 13 octobre

[*]
17h00 : Conférence de presse de Didier Deschamps et d'un joueur, au Republican Stadium de Erevan
[*]
18h00 : Entraînement, ouvert le premier quart d’heure aux médias

Mardi 14 octobre

[*]
20h00 : Arménie - France, au Republican Stadium de Erevan
[*]
Retour en France aussitôt après le match


*A partir de ce point, les horaires sont donnés en heure locale. Pour l’horaire français, compter - 2 heures.



Retrouvez le détail du programme des Bleus dans le cadre du match amical France-Portugal à Saint-Denis et du déplacement en Arménie.

[size=30]Le match a déjà commencé[/size]
07/10/2014 05:35
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Karim Benzema, auteur d'un doublé il y a deux jours avec le Real Madrid, va se retrouver samedi face à son coéquipier portugais Cristiano Ronaldo, qui a lui inscrit un… triplé ! - (AFP)
Le match amical du 11 octobre contre le Portugal de Cristiano Ronaldo a constitué hier le fil rouge de la conférence de presse de Didier Deschamps.

Sur la longue route qui doit mener les Bleus à l'Euro 2016, il y aura aussi un rendez-vous le 14 octobre en Arménie, mais c'est naturellement la venue des Lusitaniens, samedi au Stade de France, qui a été le sujet principal traité par le sélectionneur au moment de lancer ce stage de l'équipe de France à Clairefontaine.
« C'est un classique, une affiche, ça fait partie des matchs prestigieux à jouer, a expliqué Deschamps. On s'est souvent rencontré, que ce soit en amical ou en compétition, et ça reste une nation forte sur le plan européen et mondial. »
Duel à distance Ronaldo - Benzema
Entre deux rencontres sans trop de saveur contre la Serbie (1-1, le 7 septembre à Belgrade) et l'Arménie, les Français, qualifiés d'office pour le championnat d'Europe mais reversés pour du beurre dans le groupe I des éliminatoires, salivent à l'idée de se frotter au Portugal. Un pays qui ne les a plus battus depuis le 26 avril 1975 mais dont la réception va quelque peu égayer la litanie de matchs sans enjeu au menu des Bleus d'ici l'Euro. En attendant d'autres nations majeures à glisser dans le calendrier (Allemagne, Italie, Angleterre) selon le vœu de la Fédération française de football, il faudra cette fois résoudre une équation loin d'être évidente pour ne pas rompre la belle série face au Portugal : comment stopper la menace représentée par Ronaldo ?
« C'est compliqué, difficile, a reconnu Deschamps à propos d'un joueur qui est dans une forme étincelante en ce début de saison (13 buts en 7 journées de Liga et 2 réalisations en Ligue des champions avec le Real Madrid). Il a une très grande efficacité, même si elle est plus importante avec son club. Il fait des différences en un contre un. Les gens qui vont venir au stade vont être contents de le voir même si je ne sais pas combien de temps il va jouer car les Portugais ont un match trois jours après (au Danemark, NDLR). »
Le match pourrait ainsi se résumer à un duel à distance entre Ronaldo et son coéquipier au Real Karim Benzema. Auteur d'un doublé face à l'Athletic Bilbao (5-0), le Français est dans une belle forme actuellement et a d'ailleurs reçu les louanges de la star portugaise qui l'a qualifié de « meilleur attaquant de la Liga ». 
Après son Mondial mi-figue mi-raisin (3 buts au premier tour, aucun en huitième et en quart), Benzema est somme toute resté l'un des éléments essentiels du front offensif madrilène malgré les arrivées du Colombien James Rodriguez et du Mexicain « Chicharito » Hernandez. Samedi au Stade de France, Ronaldo et Benzema risquent toutefois de laisser les compliments de côté pour ce dernier choc de l'année pour les Bleus avant deux aimables sorties face à l'Albanie et la Suède en novembre.

[size=30]DEUX ANS DE VACANCES ? PAS SÛR...[/size]
FOOTEQUIPE DE FRANCE


L'équipe de France ne va disputer que des matches amicaux pendant deux ans, jusqu'à l'Euro 2016. Un handicap ? Pas vraiment. Il y a des matches amicaux qui ont été fondateurs. Coup d'oeil dans le rétro. 26

[size=36]France-Portugal : petit match entre amis…[/size]

Publié le 10/10/2014 à 03:49

Football - Amateurs - Face-à-face. Coéquipiers en club au Real Madrid, ils seront opposés avec leur sélection, au Stade-de-France, pour la soirée de gala.

29 ans, 1m84-83kg Ailier gauche
Son CV est long comme deux bras. Alors, on se contentera de ses récompenses individuelles – encore les plus «marquantes» : double Ballon-d'Or (dont 2013), Soulier européen et goleador du cham-pionnat d'Espagne ; triple meilleur buteur de la C1. Un constat, le joueur a l'habitude de remporter tout… deux fois. Depuis ses débuts virevoltants au Sporting Portugal sous les ordres de Bölöni.
PROFIL.

-

Pas compliqué, «CR7» a tout de l'attaquant moderne : puissance , vitesse, frappe des deux pieds (et maître-artificier sur coups francs), jeu de tête. Même s'il est locataire de l'aile gauche, le canonnier merengue est aussi à l'aise en N°9. C'est un monstre physique, car il est avant tout un bourreau de travail – poli à Manchester, serti au Real. Il rend ses coéquipiers de club meilleurs, mais tendrait à les inhiber en sélection.
DERNIER match.

-

Ce week-end, il a offert à Bernabéu un nouveau récital moyennant son 2e triplé (plus 1 quadruplé). éclaboussant de toute son efficacité la partie : 1-0, 2e ; 3-0, 55e ; 5-0, 88e. Son DéBUT de saison…

-

Le natif de Madère a juste été empêché par une douleur derrière la cuisse gauche pour la 2e journée de Championnat. Sinon, c'est du carton plein : 6 titularisations, 6 fois 90min et – résultat des courses et des comptes – 13 buts, déjà. Meilleur réalisateur, il va de soi, reléguant la concurrence à 6 unités (Neymar, 7 buts) et son meilleur ennemi Messi à 7 (6B).
…avec la SELECçãO.

-

Privé pareillement de la réception de l'Albanie et du revers historique 0-1 pour le 1er match des éliminatoires à l'Euro-2016.
Des «mines» du Pas-de-Calais aux paillettes de la Maison blanche en l'espace d'une saison en L1 ! à l'été 2011, son transfert à hauteur de 10M€ entre Lens et Madrid fait sensation. Mais pas pour autant tourner la tête : quinze jours plus tard, Raphaël Varane obtient son baccalauréat. Et, deux mois après, la confiance de l'entraîneur José Mourinho qui lui offre sa 1re apparition en Championnat.
PROFIL.

-

Plus libero libé-ré que stoppeur dur au mal. Plutôt Laurent Blanc que Basile Boli pour mêler, un peu, les générations. Davantage axial droit que côté gauche. Voilà pour les considérations techniques de celui que beaucoup considèrent comme un surdoué. à juste titre, quand on débute en Ligue 1 à 17 ans… Sinon, pêle-mêle : sobriété, lecture et vision du jeu, placement, relance. élégance naturelle.
DERNIER match.

-

Samedi, il a remplacé Sergio Ramos à la pause alors que le score était déjà de 2-0 en faveur du Real devant l'Athletic Bilbao (5-0 au final). Pépère. Son DéBUT de saison…

-

Le Cht'i a disputé 5 des 7 rencontres de Liga (3 titularisations) et
participé aux 2 en Ligue des champions. Après un faux-départ (sur le banc et entré le dernier quart d'heure au 3e match), il a fait d'une pierre deux coups sur et en dehors du terrain : il a prolongé jusqu'en 2020, il a récupéré sa place en charnière centrale au côté de Sergio Ramos.
…chez les BLEUS.

-

Pas de souci en équipe nationale où le N°4 a honoré en intégralité les 2 premiers rendez-vous de l'année. Avec autorité.
Q ui aime bien, châtie bien. La scène se déroule en février der- nier, à l'entraînement du Real Madrid, lors d'un toro (rappel : cercle de joueurs qui se passent le ballon faisant tourner en bourrique celui au centre), sous le regard amusé du coach transalpin Carlo Ancelotti. Varane est le «puni» du jour et Ronaldo s'en donne à cœur joie, multipliant les gestes techniques jusqu'à lui administrer un petit-pont !

Varane : «Cristiano est si pro»

Réponse du berger à la bergère : «Cristiano est un sacré chambreur, il aime me titiller ; on rigole pas mal ensemble.» Sans les blagues de potache, ça donne dans la bouche du jeune international tricolore : «évoluer à ses côtés est bon pour moi, ajoute l'axial. J'apprends beaucoup, il est si pro…»
Adversaires et même au duel un contre un demain soir (le Français est axial droit, le Portugais ailier gauche ; on ne peut faire mieux !), les deux compagnons d'armes madrilènes qui jouent ensemble sous le sacro-saint maillot blanc pour la 4e saison consécutive, s'apprécient.

Ronaldo : «Raphaël a tout du crack»

En témoigne ce que la star dit de l'apprenti : «Pour moi, pronostique le fer de lance, dans quelques années Raphaël sera un des meilleurs centraux au monde. Je n'ai aucun doute. Il est rapide, calme, a une bonne détente. Il est humble et accumule de l'expérience.»
Bref, entre les deux, c'est l'amour foot ! Même si son poste est aux antipodes, Varane marche incontestablement dans les crampons de son grand frère. Comme lui, il a débuté en pros avant la majorité. Comme lui, il n'est resté qu'une saison dans son premier club. Comme lui, il a le charisme qui saute aux yeux. Comme lui, on s'éloigne du pré pour se rapprocher des podiums, c'est un beau gosse.
à l'inverse, si Cristiano Ronaldo arbore la panoplie complète de l'attaquant du futur (plus haut, plus vite, plus fort), Raphaël Varane est le prototype du défenseur à l'ancienne (il reste debout, tacle très peu). De leur duel dépend en grande partie l'issue du combat.
-> Demain, 20h45 sur TF1.
21 ans, 1m91-78kg Défenseur central

---

[size]

Cristiano RONALDO Raphaël VARANE Les Bleus mènent 16 à 5 !

Sur les 22 confrontations entre les deux nations, la France l'emporte largement avec 16 victoires contre 5 défaites (plus 1 nul). Mieux : les Tricolores n'ont plus perdu devant les Lusitaniens depuis avril 1975 (amical) et, en match officiel… jamais ! Puisqu'on parle de phases finales, les Français ont remporté les 3 dernières oppositions qui étaient 3 demi- finales : Mondial-2006 1-0, Euro-2000 2-1 ap (but en or sur penalty de Zidane), Euro-84 3-2 ap (Platini servi par Tigana).
Pour clore le chapitre, notons que la dernière visite de la Selecção en France, à Saint-Denis, le 25 avril 2001, s'était soldée pour les compatriotes de Figo et Pauleta par un cinglant 0-4 (Wiltord 16e, Silvestre 32e, Henry 33e, Djorkaeff 79e). C'était la grande Bleue, où Lemerre avait succédé à Jacquet, qui régnait
sur la planète ronde depuis 1998.[/size]

[size=30]Les paillettes avant l'ennui[/size]
11/10/2014 05:35
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Face à la star portugaise Cristiano Ronaldo, l'équipe de France souhaite poursuivre sur son élan. - (AFP)
Un mois après la réception de l’Espagne, l’équipe de France s’offre un nouveau match amical de prestige contre le Portugal de Cristiano Ronaldo, ce soir.

Entre deux rencontres sans saveur et sans passion face à la Serbie (1-1, le 7 septembre à Belgrade) et l'Arménie, le 14 octobre à Erevan, les Bleus vont encore se frotter à une grosse cylindrée, histoire de sauvegarder les acquis d'un Mondial marqué par leur renouveau (quart de finale) et maintenir l'élan populaire.
Le championnat d'Europe est encore très loin, dans un peu plus de 600 jours, et Didier Deschamps mesure au fil des semaines la difficulté de motiver des joueurs au calendrier surchargé en clubs pour des matchs sans enjeu. Mais la venue de Ronaldo est en soi un événement et a de quoi mobiliser les troupes françaises.
Les tests attendront l'Arménie
Le double Ballon d'or arrive à Paris à la tête d'une formation en crise après une Coupe du monde catastrophique (élimination au premier tour) et un début de qualifications pour l'Euro aux allures d'humiliation contre l'Albanie (défaite 1-0) qui ont coûté sa place au sélectionneur Paulo Bento, remplacé par Fernando Santos. Qu'importe, la star portugaise se suffit à elle-même et au vu de son début de saison exceptionnel, Ronaldo constituera à lui seul un test de poids pour une défense française privée de plusieurs cadres (Lloris, Sakho, Koscielny, Debuchy). 
Après avoir fait largement tourner en Serbie, Deschamps va d'ailleurs aligner d'entrée son onze le plus compétitif du moment, seulement délesté des titulaires indisponibles sur blessure (Lloris, Sakho, Debuchy). Les essais attendront sûrement le voyage à Erevan. 
Une attention particulière sera portée à Karim Benzema. Le coéquipier de Ronaldo au Real n'a plus marqué en sélection depuis le désormais fameux France - Suisse du Mondial (5-2) au premier tour. Leader du secteur offensif depuis la retraite internationale de Franck Ribéry, protégé par Deschamps, Benzema a un statut d'intouchable. Olivier Giroud absent sur blessure jusqu'en janvier, l'ancien Lyonnais n'a même plus de concurrent à son poste.
Les Marseillais veulent faire leur trou
Le revenant André-Pierre Gignac, meilleur buteur de Ligue 1 (neuf réalisations), ne menace pas directement Benzema. Mais il voudra profiter de son retour pour se positionner dans l'optique du championnat d'Europe comme une doublure ou une alternative potentielle. Si la greffe prend contre le Portugal ou en Arménie et que Gignac poursuit sur le même rythme avec Marsille, c'est surtout Giroud qui pourra se faire du souci. 
Dimitri Payet, l'autre Marseillais en pleine forme rappelé par Deschamps, a lui aussi une carte intéressante à jouer parmi les milieux offensifs où seul Mathieu Valbuena est intouchable, même si les « mondialistes » restent logiquement prioritaires aux yeux du sélectionneur. 
A vingt mois de l'Euro, personne ne risque d'être subitement condamné ou adoubé en cas de faillite ou de coups d'éclat. C'est bien là la limite de ces rendez-vous programmés si loin de l'échéance. Heureusement qu'il y a Ronaldo pour y apporter un peu de piment.
France - Portugal, ce soir (20 h 45), en direct sur TF1.

[size=36]France - Portugal : amicalement vôtre ce soir[/size]

Publié le 11/10/2014 à 08:46

Football - Équipe de france. Match de préparation. Les Bleus avec leurs deux Madrilènes accueillent le Portugal de Cristiano Ronaldo.

Karim Benzema, ici aux prises avec l'Espagnol Azpilicueta, le 4 septembre dernier à Saint-Denis./ Photo AFP

Stade-de-France (guichets fermés), à 20h45 et sur TF1
L e bal des revanchards. Que ce soit dans le camp tricolore comme chez les Lusitaniens, derrière, au milieu ou aux avant-postes, plusieurs éléments ont une carte à jouer. Et, plutôt, pas intérêt à se rater – s'ils veulent que le train repasse… C'est comme ça : même amical rime avec capital. Jeu avec enjeux. Revue de détail ou la preuve par trois.

Sagna en outsider, Pepe en appel

Sagna d'un côté, Pepe de l'autre. Pour les deux, la fin de carrière est plus proche que le début, c'est une évidence. à 31 ans, le Citizen Bacary Sagna a changé de club à l'intersaison. De statut, aussi : si avant le Mondial brésilien, il était au coude-à-coude avec l'autre «Anglais» Debuchy ; depuis Rio, il est clairement N°2. Mais l'absence sur longue blessure (3 mois) du nouveau Gunner ouvre à l'ancien Auxerrois une fenêtre inespérée au poste de latéral droit. Sans oublier le revenant Jallet (OL) – dernière cape le 26 mars 2013 – qui n'a pas dit non plus son dernier mot pendant l'intermède.
En face, l'incorrigible stoppeur Pepe (coup de sang contre l'Allemand Müller au premier match de Coupe du monde), même âge (31), ne peut également que ruminer ses remords. D'autant plus qu'il vient de perdre sa place de titulaire au Real aux dépens de… Varane.

Payet doit briller, Moutinho se démasquer

Payet logiquement, Moutinho éternellement. On s'explique : la forme «olympique» du Marseillais Dimitri Payet doit profiter aux Bleus, celle bien moins étincelante du Monégasque João Moutinho enfin se révéler… en France. De toutes les listes entre août 2012 et février 2014, l'ex-Dogue a recouvré sous (grâce à) Bielsa son sens de la passe qui en fait un formidable accélérateur de particules. Et confirme une étrange statistique chez le Réunionnais : dans chacun des clubs où il passe, c'est toujours sa deuxième année qui est la meilleure ! Et en bleu ?
Côté portugais, le stratège de l'ASM, même s'il est mieux (c'est lui qui a donné la victoire aux siens face au Bayer Leverkusen en ouverture de la C1), continue de décevoir depuis son arrivée en Principauté il y a maintenant deux saisons. Alors qu'en sélection, il est tout autre : souvenez-vous de ses deux délicieuses ouvertures gagnantes pour Ronaldo en barrage retour pour le Mondial-2014 face à la Suède… L'occasion est ainsi donnée à l'élégant meneur de poche (1m70-61kg) de montrer une bonne fois pour toutes sa véritable valeur.

Benzema, Ronaldo et... Gignac !

Benzema commencera, Gignac terminera ; Ronaldo sera aussi, naturellement, sur le pré – toute la partie a priori. Trois «9» qui ne demandent qu'à flamber. Pour des raisons bien distinctes.
Inconsciemment peut-être, et tandis qu'ils ne se sont sûrement jamais aussi bien entendus sous le maillot merengue qu'à l'heu-re actuelle, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo voudront marquer de leur empreinte la rencontre. L'un par rapport à l'autre. Il ne peut en être autrement quand il s'agit de compétiteurs de cette trempe.
Après, André-Pierre Gignac jouera. C'était une forte probabilité à l'annonce des 23 de Deschamps, c'est devenu une certitude en regard du léger problème à la hanche droite dont souffre l'avant-centre de Madrid et qui lui a fait écourter la séance de mardi. «Je suis dans la meilleure forme de ma carrière», a affirmé hier le «pichichi» de L1 en 2009 (24 buts) sous les couleurs du TFC. Un APG qui a aussi dévoilé un de ses secrets de bonne santé : «Cet été je suis parti en vacances en Tanzanie, à 2.500m d'altitude. Tous les jours, avec les locaux, on faisait un match de 2 fois 45min. Je suis revenu à Marseille affûté.»
Remplaçants : 1. Beto et 22. A. Lopes (gard.) ; 19. Antunes, 4. Cédric, 18. Eliseu, 23. Ivo Pinto ; 20. Adrien, 21. João Mário, 6. William Carvalho ; 9. éder, 11. Ricardo Quaresma, 10. Vieirinha. >AbsentS.