DIVERS OM ...........

◗ DORTMUND-OM: ILRESTE DES PLACES...
Hier, le quota de places allouées à l’OM pour le déplacement à
Dortmund n’avait pas été entièrement écoulé. Quelque
2000supporters étaient certains d’effectuer le - long- déplacement
jusque dans la Ruhr. Il reste donc 337 places. Les dirigeants
olympiens et les associations de supporters espéraient
qu’elles trouvent preneur aujourd’hui

Blagues, sourires, grimaces, mimiques,
référence à Michael J. Fox: Jürgen
Klopp a encore fait le show, hier,
à l’occasion de sa conférence de presse
d’avant-match. Il y a (un peu) de
José Mourinho en lui, ce qui ôte le profond
ennui et la vacuité que génère
souvent cet exercice, royaume de la
langue de bois. Le technicien du Borussia
Dortmund avait bien plus de
choses à dire que le joueur sacrifié
sur l’autel médiatique, Henrikh Mkhitaryan,
bien plus à l’aise balle au pied
que face aux micros.
Lunettes à monture épaisse, barbe
soigneusement taillée, "Kloppo", quarante-
six ans et suspendu ce soir, a
d’abord joué au chat et à la souris
avec les médias, avides de savoir
d’où il allait suivre le choc face à
l’OM: "Je connais ma place, mais je
me garderai bien de vous le dire car
tout le monde va se positionner pour
me filmer. Mais tout est prêt et je sais
que je verrai bien le match". Puis il a
évoqué celui-ci. Avec sérieux. Mais
toujours avec un zeste de décontraction
et de second degré.
1Vous allez suivre la rencontre face
à l’OM depuis les tribunes. Votre
absence va-t-elle handicaper vos
joueurs ?
(Il rit) Pour un match, le fait que
l’entraîneur ne soit pas sur le banc
n’est pas si problématique que ça, car
l’influence est réduite. Si je prends cette
décision comme une sanction personnelle,
elle ne sera pas préjudiciable
pour mon équipe. En revanche, j’aurais
vraiment aimé pouvoir aller aux vestiaires.
Mais il y a toujours moyen
d’échanger des petites choses avec
mon adjoint.
2Votre assistant saura-t-il prendre
les bonnes décisions au bon moment?
C’est un expert du foot, il connaît très
bien la Bundesliga et la Ligue des champions.
Le seul problème, c’est qu’il
n’aime pas le cirque qui entoure le
monde du foot. Il n’a donc pas voulu
être à cette conférence... Quoi qu’il en
soit, on sait déjà ce qu’il conviendra de
faire demain (aujourd’hui) face à Marseille.
En cas de contre-performance,
on ne se retranchera pas derrière cette
excuse.
3Que vous inspire cette équipe de
l’OM?
Malheureusement pour nous, l’OM est
un adversaire de très bonne qualité,
très costaud, très dur. Je m’attends à
une rencontre extrêmement difficile face
à un rival qui a bien démarré son
championnat. J’ai visionné ses cinq dernières
rencontres, notamment celle face
à Arsenal en Ligue des champions.
Je me suis aperçu que cette équipe
jouait rapidement, était forte dans les
duels, effectuait des transmissions de
qualité. Le Borussia devra mettre tous
les ingrédients pour s’imposer. La bonne
nouvelle, c’est qu’on n’est pas franchement
mauvais, non plus. La pression
est peut-être plus sur l’OM

6
Cela fait six matches de Ligue
des champions que le Borussia
Dortmund est invaincu à domicile.
La dernière équipe à s’être
imposée au Signal Iduna Park...
est l’OM, le 6 décembre 2011
(2-3). L’an passé, le Real Madrid
(par deux fois, en poules et en
demi-finale), Manchester City,
l’Ajax Amsterdam, le Shakhtar
Donetsk et Malaga se sont cassé
les dents sur le mur jaune

Le Paris SG vole vers Marseille

Publié le jeudi 03 octobre 2013 à 05H57

En ne faisant qu'une bouchée de Benfica, le PSG a sereinement préparé le clasico de dimanche


Auteur d'un doublé et décisif sur le deuxième but, Zlatan Ibrahimovic a fêté avec quelques heures d'avance son 32e anniversaire.
Photo afp



Et si la solution pour contrer le PSG était de ne pas concéder de corner ?
Lors de la première journée de la Ligue des champions, Olympiakos a explosé sur trois corners parisiens en seconde période. Hier, Benfica a volé en éclat sur trois nouveaux coups de pied de coin, sur lesquels le PSG a fait parler son collectif, sa puissance et son efficacité.
En une petite demi-heure, à peine, la moindre once de suspense avait quitté le Parc des Princes. Olympiakos n'est pas Arsenal, Benfica n'est pas Dortmund. Mais l'aisance avec laquelle Paris a mis K.-O. debout son adversaire portugais, qui a si souvent joué des mauvais tours à l'OM dans un passé récent, a de quoi impressionner.
Le PSG a été taillé pour jouer dans la cour des grands. Il y est largement à sa place. Un constat loin d'être rassurant à seulement trois jours de l'affiche tant attendu à Marseille pour ce qu'il est convenu, désormais, d'appeler le "clasico".
Si l'équipe de Laurent Blanc a fait preuve d'efficacité sur des coups de pied arrêtés - c'est d'ailleurs à la suite d'un coup franc de Thiago Motta que Marquinhos avait fait sauter le verrou toulousain, samedi dernier - la sérénité et la force que dégage le collectif parisien laissent perplexe. Paris n'est plus seulement un assemblage de noms ronflants achetés à prix d'or. À voir Zlatan Ibrahimovic se démener sur le front de l'attaque et déclencher le deuxième but d'une talonnade inspirée pour Marco Verratti, l'équipe enchaîner une séquence de jeu court pour aboutir à l'offrande de Van der Wiel pour le capitaine parisien lors de l'ouverture du score, ou l'écrasante domination dans la possession du ballon (66 %) face à un adversaire réputé pour sa maîtrise technique, il est évident que le PSG a changé de dimension. Et plus seulement sur le plan économique.
Les 24 heures de récupération supplémentaire dont peut profiter l'OM avant le choc de dimanche semblent même désuètes, tant Paris a tranquillement géré son affaire pendant une heure face à des Portugais groggy. Et Blanc en a profité pour préserver Verratti, Lavezzi et Alex, dont la cuisse endolorie l'avait privé des deux dernières journées de Ligue 1.
Élie Baup, en spectateur avisé, a dû tirer des enseignements. Mais il a sans doute aussi dû retenir les propos de Gabriel Heinze, qui a témoigné lors de la pause sur le clasico à venir depuis son club de Newell's Old Boys : "Le club le plus riche est souvent est le club qui a le plus de chance de remporter le championnat. Mais le clasico, c'est tout autre chose, ça se joue avec le coeur et avec la tête."
L'Argentin en sait quelque chose. Aux Olympiens de faire basculer ce match dans l'irrationnel.

QUESTIONS à Pierre-Émerick Aubameyang
"Ici, beaucoupd’équipes
vont se casser les dents1Quel est l’écart entre l’OM
et le Borussia ?
Nous avons de gros talents dans
l’équipe qui font la différence
quand on nous la i sse de
l’espace. Nous avons vraiment
réussi notre match. Chez nous,
beaucoup d’équipes vont venir
se casser les dents contre le
mur, avec ce douzième homme
qui apporte beaucoup d’énergie.
Nous sommes difficiles à battre
ici.
2Comment avez-vous jugé
l’opposition marseillaise
mardi soir?
Bonne. Vraiment. Nous en avons
parlé dans le vestiaire, car je
l’avais dit aux gars. Ça n’a pas
été facile, il a fallu mettre beaucoup
de rythme, d’intensité pour
leur faire mal.
3Comment voyez-vous la suite
des événements dans ce
groupe?
Le Borusia a rééquilibré les chopes,
il était important de battre
l’OM. Mais nous devrons continuer
jouer ainsi pour espérer
prendre des points aussi à
l’extérieur

◗
TURPIN AU SIFFLET
L’arbitre bourguignon a été

désigné pour diriger le choc

entre l’OM et le PSG. C’est

la première fois de la saison

qu’il arbitrera les deux

formations

Marquinhos, toujours plus haut

Publié le vendredi 04 octobre 2013 à 06H06

Thiago Silva blessé, le jeune Brésilien s'impose dans la défense du PSG. Découverte avant le choc




Ses premiers pas hésitants sous le maillot parisien semblent déjà loin. C'était pourtant il y a moins d'un mois, le mardi 17 septembre. Après avoir vécu depuis le banc de touche le début de saison du club de la capitale, le gamin de 19 ans, recruté à prix d'or (31,4 millions d'euros) par le PSG, est plongé dans l'enfer du stade Karaïskaki du Pirée. Le grand écart pour un joueur encore totalement inconnu il y a un an, quand il a débarqué presque dans l'anonymat général du côté de l'AS Roma. Et de quoi faire naître quelques doutes, conséquences d'un petit pont subi dans sa surface de réparation par le virevoltant slovaque d'Olympiakos Vladimir Weiss sur l'action de l'égalisation.
Trop tendre, ce Brésilien ? Erreur de casting d'un club qui ne regarde pas à la dépense ? Ces doutes, il les a balayés aussi rapidement qu'ils ont vu le jour. Et pas seulement d'un coup de tête pour signer le 4e but de la victoire parisienne en Grèce. "Après le match contre l'Olympiakos, vous étiez tous sceptiques sur son niveau, a d'ailleurs rappelé Laurent Blanc, mercredi soir. Les blessures m'ont obligé à l'envoyer à tous les matches. Il avait besoin de compétition et est en train de prouver que c'est un joueur d'avenir."
Suppléant d'Alex à Olympiakos puis contre Monaco, il est resté dans le onze parisien depuis la blessure de Thiago Silva face à l'ASM. Et il sera désormais bien difficile de l'en déloger, tant il dégage de l'assurance et de l'aisance au fil des rencontres. "Après la coupe du Monde 2014, il deviendra un titulaire indiscutable de la Seleçao", prophétise d'ailleurs Walter Sabatini. Le directeur sportif de l'AS Roma est bien placé pour savoir de quoi il parle : c'est lui qui, le premier, a senti l'immense potentiel de l'enfant de Sao Paulo.
Dans son club formateur des Corinthians, Marquinhos était prédestiné à prendre la succession de Leandro Castan, en partance pour la capitale italienne. Mais l'oeil des recruteurs romains, au moment de superviser Castan, a aussi - et surtout - été attiré par le talent du capitaine des U17 de la Seleçao. "La cellule de recrutement de l'AS Roma est très active et un bout de match du championnat brésilien ne nous a pas échappé, nous a ainsi expliqué Walter Sabatini. Ce ne fut que vingt minutes de jeu, mais pendant celles-ci, Marquinhos a montré toutes ses qualités et son énorme potentiel."
Bingo. Leandro Castan a bien atterri à Rome l'été dernier en qualité de nouveau patron de la défense. Mais, en catimini, Marquinhos a également traversé l'Atlantique, au grand dam des fans des Corinthians. Les tifosi sont surpris de voir débarquer cet échalas au timide sourire bagué, avec la bouille d'un gamin en pleine adolescence. Ils ne se doutent pas alors qu'ils lui trouveront un surnom quelques mois plus tard : "Le Monument".
Un risque mesuré pour le club de la Louve : il est prêté moyennant 1,5 M€, avec option d'achat à 3 M€ s'il dispute huit rencontres d'au moins 45 minutes. Un transfert vite entériné. Lancé dans le grand bain de la Serie A le 16 septembre 2012 - quasiment un an jour pour jour avant ses débuts avec Paris... -, il ne quitte plus le onze giallorossi, poussant l'Argentin Nicolas Burdisso sur le banc de touche. Si la Roma déçoit - Zdenek Zeman est débarqué en cours de saison, le club termine en 6e de la Serie A -, Marquinhos crève l'écran par sa sérénité et son sens de l'anticipation. "Sa qualité principale est la vitesse, insiste Walter Sabatini. Mais il doit encore s'améliorer dans la capacité d'attention tout au long des 90 minutes."
Pas de quoi refroidir les ardeurs des grosses écuries européennes. Manchester City et Chelsea font monter les enchères, Barcelone suit le dossier. L'AS Roma se montre inflexible. Jusqu'à l'offre du PSG. "Si Paris a misé une telle fortune sur lui, ce n'est pas pour rien", nous a confié Vincent Candela, observateur avisé de l'actualité du club romain. "Il pourra devenir le meilleur défenseur du monde car il possède d'extraordinaires qualités techniques et athlétiques et en outre, il a une grande facilité d'apprentissage, assure de son côté Walter Sabatini. Et je ne pense pas que le PSG ne soit qu'une étape dans sa carrière ;ça pourrait être l'étape définitive, car le PSG est en train de devenir un des cinq premiers clubs d'Europe."
Paris a confirmé son statut mercredi en dévorant Benfica en seulement une demi-heure. Et la performance de Marquinhos, impressionnant sur le plan défensif et auteur du deuxième but - déjà son troisième avec le PSG ! - est loin d'être étrangère à tout ça. Thiago Silva, son modèle, blessé, la relève est déjà assurée. L'OM va devoir contourner un autre monument

LESSUPPORTERS
Plus de 250 fans du PSG Interdits de déplacementàMarseille depuis 2009, les fans du
PSG ont effectué leur retour au Vel’ la saison passéeQuand on aime, on ne compte
pas. Au PSG, c’est encore plus
vrai. 285 supporters du club parisien
(sur le volant de 400 places)
ont ainsi réservé leur billet
pour assister au match contre
l’OM, demain soir. Et, pour assurer
le transfert de leurs ouailles
dans les meilleures conditions,
les dirigeants qataris ont affrété
deux avions.
Les fans parisiens seront
donc fouillés à leur arrivée à
l’aéroport de Marignane, le
Hall7 duParc Chanot étant toujours
réquisitionné pour la Foire
de Marseille. Ils seront ensuite
escortés jusqu’au stade Vélodrome,
où la vigilance sera accrue
à leur arrivée pour prévenir
tout risque de caillassage.
Pour rappel, l ’ a c c è s à
l’enceinte marseillaise devrait
être compliqué. Le club
conseille donc aux supporters
olympiens de venir tôt afin "de
p r o f i t e r p l e i n e m e n t d e
l’avant-match et éviter toute attente
aux portes d’accès du stade"..

OM-PSG : avec Pastore, sans Ménez

Marseille / Publié le samedi 05 octobre 2013 à 14H52





Laurent Blanc a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Marseille, demain soir. Comme prévu, Thiago Silva est forfait. Après son coup de colère, mercredi contre Benfica, Jérémy Ménez a été écarté de l'effectif parisien. En revanche, Javier Pastore, incertain à cause d'une blessure à la cuisse, est de retour.

Le groupe du PSG :

Gardiens : Sirigu, Douchez
Défenseurs : Alex, Camara, Digne, Jallet, Marquinhos, Maxwell, Van der Wiel
Milieux : Matuidi, Motta, Pastore, Rabiot, Verratti
Attaquants : Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi, Lucas, Ongenda

Absents : Ménez (choix), Thiago Silva (blessure)

OM-PSG : plus de 250 supporters parisiens

Marseille / Publié le samedi 05 octobre 2013 à 13H03





Quand on aime, on ne compte pas. Au PSG, c'est encore plus vrai. 285 supporters du club parisien (sur le volant de 400 places) ont ainsi réservé leur billet pour assister au match contre l'OM, demain soir. Et, pour assurer le transfert de leurs ouailles dans les meilleures conditions, les dirigeants qataris ont affrété deux avions.

Les fans parisiens seront donc fouillés à leur arrivée à l'aéroport de Marignane, le Hall 7 du Parc Chanot étant toujours réquisitionné pour la Foire de Marseille. Ils seront ensuite escortés jusqu'au stade Vélodrome, où la vigilance sera accrue à leur arrivée pour prévenir tout risque de caillassage.

Pour rappel, l'accès à l'enceinte marseillaise devrait être compliqué. Le club conseille donc aux supporters olympiens de venir tôt afin "de profiter pleinement de l'avant-match et éviter toute attente aux portes d'accès du stade".

7BUS POUR
LESFANSDUPSG
Ce n’était pourtant pas gagné.
Jeudi, à trois jours du
déplacement, les supporters
parisiens ont appris
que leur réservation de
cars, pour le transfert entre
l’aéroport de Marignane
et le stade Vélodrome,
n’avait pas été confirmée.
Il a donc fallu parer au plus
pressé. La société Cartreize
leur a finalement donné
une réponse positive…hier
matin! Les fans du PSG
(plus de 250) prendront place
dans sept bus

http://www.laprovence.com/actu/om-en-direct/2580130/video-om-mendes-a-du-mal-a-digerer-la-defaite-face-au-psg.html

Malgré la trêve internationale, la défaite des Olympiens face au PSG lors du dernier match de Ligue 1 est encore présente dans la tête des joueurs. Notamment celle de Lucas Mendes. "La défaite face au PSG a été difficile à digérer surtout en raison des circonstances du match", affirme le Brésilien. Ce dernier pense sûrement aux deux buts encaissés alors que l'OM était en supériorité numérique. "C'est une leçon pour que cela n'arrive plus", estime le défenseur olympien. Touché par cette défaite, Lucas Mendes n'a pourtant rien perdu de son ambition. "On cherche à obtenir la première place", a-t-il lancé.


A.B.

L1 / OGCN
Mercredi 16 Octobre 2013
DIGARD : "FAVORIS ÇA NE SERT À RIEN"
Le derby de la Méditerranée, le choc des voisins... On vous laisse le choix dans l'appellation de cette rencontre entre l'OGC Nice et l'Olympique de Marseille, vendredi, à 20h30 à l'Allianz Riviera. Rôdé aux grands rendez-vous, c'est le capitaine et milieu de terrain du Gym Didier Digard, de son calme légendaire, qui analyse son adversaire en conférence de presse. Avant de faire monter la pression d'un cran.
Didier, nous sommes à deux jours d'un nouveau gros test à l'Allianz Riviera face à l'OM.
"Ecrire l'histoire au sein d'un nouveau stade ça passe par des émotions et des victoires"
Pour écrire l'histoire au sein d'un nouveau stade ça passe par des émotions et des victoires. C'est ce que nous allons tenter de faire vendredi face à Marseille. Aujourd'hui nous sommes 6ème et pas satisfaits. Ce qui prouve aussi les changements par rapport aux précédentes années. Comme la saison dernière, on ne va pas s'affoler. Le dernier match contre Marseille au Ray c'était la même configuration. Après la défaite, on n'avait rien lâché. Ce match doit permettre de prouver qu'on continue de progresser et qu'on est capable de mieux gérer ces matches face à des adversaires proches au niveau comptable.
Au classement justement, une victoire rapprocherait l'OGC Nice des premières places... Peut-on réellement n'y prêter aucune attention ?
On ne se fixe pas de limites. Nous sommes à trois points du podium et c'est vrai, nous aurions pu encore mieux faire. Donc on va vraiment se focaliser sur ce qu'on veut mettre en place, ne pas négliger notre marque de fabrique : le jeu, la récupération rapide, etc... Si on est trop concentré sur le résultat et le classement, ça ne nous réussit pas. On l'a vu la saison passée sur certains rendez-vous... Mais à la 38ème journée on l'a fait. Ce qui compte c'est d'être présent à la fin. C'est un match important car c'est une grosse équipe, trois points en jeu, un derby. Mais gagner Marseille puis perdre derrière c'est un coup d'épée dans l'eau. Ca déçoit du monde ce discours mais ce n'est qu'un match parmi tant d'autres.
Ton analyse sur l'Olympique de Marseille ? 
"S'il en rajoute, il ne simule pas"
C'est peut-être l'un des meilleurs milieu de terrain de France. Contre le PSG ils sont passés à côté mais c'était vraiment fort. Ils auront donc à coeur de se rattraper. Valbuena, que ce soit dans la passe ou dans une situation de frappe, ça fait souvent mouche, il faudra être attentif. On évoque souvent ces simulations mais même s'il en rajoute il ne simule pas. C'est souvent le problème avec les différences de gabarits. C'est difficile de lui prendre la balle.
Les bookmakers donnent l'OGC Nice légèrement favori contre l'OM
Un milieu également composé de Romao et Imbula...
"Nous avons envie de montrer nos qualités aussi"
Romao on n'en parle pas beaucoup mais depuis qu'il est à Marseille, c'est peut-être le joueur qui a le plus progressé. A la récupération il est vraiment très important et ne sort jamais de l'équipe, il y a une raison. Imbula est capable de perforer les lignes, Valbuena s'intercaler et faire cette relation avec les attaquants puis Romao "à la récup"... Ce sera un gros match pour nous et nous avons envie de montrer nos qualités aussi.
Même les bookmakers donnent Nice favori.
Les costumes de favoris se distribuent et se reprennent. Ca ne sert à rien d'être favoris ce n'est pas trois points assurés. Mais c'est bien ça marque l'évolution du club, nous donner favoris contre l'OM ne serait jamais arrivé avant (rires). L'objectif n'est pas de tenir en échec Marseille mais de l'emporter. On veut continuer notre progression, c'est tout ce qu'on recherche.
Tous les ingrédients sont réunis pour vendredi ?
"On va essayer de leur rendre hommage (rires)"
L'ambiance risque d'être extraordinaire oui. Marseille pourra compter sur ses nombreux supporters, ça va faire du bruit dans le stade. Je n'ai jamais été pour ces interdictions de déplacement, vendredi sera un beau spectacle.

◗ LESNAPOLITAINS AU VÉLODROME
L’équipe de Rafael Benitez découvrira l’enceinte
du boulevard Michelet ce soir, au cours d’une
séance programmée à 19h. Les Olympiens
s’entraîneront, eux, à 17h30 au centre RLD.

LE GROUPE
Gardiens: Rafael, Reina, Colombo.
Défenseurs : Albiol, Armero,
Cannavaro, Fernandez, Maggio,
Mesto, Uvini.
Milieux : Behrami, Dzemaili, Hamsik,
Inler, Insigne, Mertens, Radosevic.
Attaquants: Callejon, Higuain,
Pandev, Zapata.

En déplacement au Vélodrome ce soir à 20h45, en phase de poules de la Ligue des champions, Naples est privé de Britos et Zuniga, et pourrait se passer d'Higuain. Rafael Benitez a affirmé que le successeur de Cavani "est blessé"... indiquant tout de même qu'un point serait fait aujourd'hui. Du bluff pour Baup. Les Italiens devraient donc démarrer la rencontre avec :
Gardien : Reina
Défenseurs : Maggio, Fernandez, Albiol, Armero
Milieux : Behrami, Inler (cap) - Hamsik
Attaquants : Callejon, Insigne - Higuain
Remplaçants : Rafael (g), Cannavaro, Uvini, Dzemaili, Radosevic, Mertens, Mesto, Pandev, Duvan

Marseille-Naples : le match de 2 villes portuaires

Marseille / Publié le Lundi 21/10/2013 à 21H10





Culture, gastronomie, art de vivre propreté, économie... Il n'y a pas que sur le rectangle vert que les deux villes jouent des coudes ! La Provence a effectué un comparatif de ces deux cités portuaires, au maillage social fort.
Impossible d'évoquer les deux cités sans aborder leur fléau majeur : la criminalité et l'emprise du grand banditisme, notamment sur la gestion des déchets.

nous avons été surclassés. Personnellement,
j’ai été nul, c’est une honte de faire une telle
prestation, je le reconnais."
Benoit CHEYROU : "C’est une grosse
déception. C’est notre quatrième défaite
d’affilée. Ça reflète notre valeur dans ce
groupe de Ligue des champions qui est très
difficile. Nous avons fait une meilleure
deuxième mi-temps avec des occasions. Les
trois autres équipes ont six points, donc ça
reste ouvert, il reste une chance
mathématiquement. Nous essaierons de faire
meilleure figure lors des matches retour,
mais il faut d’abord nous concentrer sur
Reims."
Souleymane DIAWARA : "Je suis abattu. On
a envie de bien faire, mais le jour J, on n’y
arrive pas. Je ne comprends pas. On a la
chance de jouer contre des bonnes équipes,
et on ne se donne pas à 100%."
André AYEW : "Le collectif n’a pas été à la
hauteur. Il faut être conscient de ces quatre
défaites, mais on doit les mettre derrière
nous. On doit être solidaires et faire
abstraction de tout ce qui va se passer autour
de nous cette semaine pour ne penser qu’au
match de Reims, samedi à 17h. Ce n’est pas
facile, mais on ne doit pas baisser la tête et
continuer."
Rafael BENITEZ : "Les Olympiens sont des
joueurs de qualité, mais ils ont encaissé deux
buts et n’ont pas su tenir l’intensité durant
toute la rencontre. Notre second but leur a
fait beaucoup de mal.

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FOOTBALL ITALIE
Naples toujours efficace

Publié le Jeudi 31/10/2013 à 06H10





Une semaine avant de recevoir l'OM, Naples a confirmé ses excellentes dispositions en s'imposant à Florence. Rafael Benitez avait pourtant décidé de faire souffler Marek Hamsik, assis sur le banc des remplaçants au coup d'envoi. Mais son effectif ne manque pas de talent. À la réception d'un centre de l'extérieur du droit d'Higuain, Callejon ouvrait le score d'une superbe volée. C'est ensuite le virevoltant belge Mertens qui signait un exploit personnel pour redonner un avantage définitif à Naples. Si la Fiorentina aurait pu bénéficier d'un autre penalty en fin de rencontre, Naples tenait bon sa victoire.

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FOOTBALL
Naples sans souci ?

Marseille / Publié le Samedi 02/11/2013 à 06H11





Naples, qui reçoit l'OM mercredi, impressionne. Et n'exprime "que 75% de son potentiel, estime Rafael Benitez. Mais on s'améliore chaque semaine, l'entente entre les joueurs progresse". L'équipe de l'Espagnol, qui reçoit Catane pour rester dans le sillage de la Roma, sait tout faire : conduire le jeu ou jouer le contre. En face, Catane, qui a chuté à la 18e place et vient de perdre Gonzalo Bergessio (fracture du péroné), aura du mal à empêcher ce Napoli d'avancer.
Arsenal émoussé
Arsenal, leader à la confiance émoussée après deux récents examens de passage ratés (Dortmund et Chelsea), n'est pas très rassuré avant de recevoir Liverpool. Encensés après leur début de saison, les Gunners ne savent plus trop sur quel pied danser. Diminués, ils apparaissent émoussés et les Reds ne demandent qu'à en profiter.
Dortmund cartonne
Après avoir concédé l'ouverture du score, le Borussia a littéralement atomisé Stuttgart (6-1).