CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LES PRINCIPALES PRÉCÉDENTES AFFAIRES DE PARIS TRUQUÉS
.........................................TENNIS.........................................
Le Serbe David Savic, 659e mondial, et l’Autrichien
Daniel Köllerer, ancien 55e mondial, suspendus à vie en 2011
pour leur implication dans des matches truqués.
Le Russe Nikolay Davydenko, N.4 mondial, a également été
lourdement soupçonné après un montant très élevé de paris
sur son match du deuxième tour du tournoi de Sopot
(Pologne), le 2 août 2008. Il n’a cependant jamais été
condamné.
........................................CRICKET .......................................
Salman Butt, ancien capitaine de l’équipe du Pakistan,
Mohammad Asif et Mohammad Aamer, trois vedettes
du cricket pakistanais, sont condamnés respectivement
à deux ans et demi, un an et six mois de prison ferme pour
avoir manqué volontairement plusieurs lancers lors d’un
match entre l’Angleterre et le Pakistan en août 2010 à
Londres. Leur agent, Mazhar Majeed, a écopé de deux ans
et huit mois de prison pour avoir organisé la tricherie,
en lien avec des parieurs.
.....................................FOOTBALL ......................................
Le football italien est secoué par le scandale des matches
truqués par des parieurs, appelé "Calcioscommesse".
Plusieurs joueurs ont même fait de la prison, comme
le capitaine de la Lazio Rome, Stefano Mauri. Antonio Conte,
entraîneur de la Juventus Turin championne d’Italie en titre,
est suspendu dix mois pour des faits remontant à la saison
2010-2011, quand il entraînait Sienne.
En 2011, Ante Sapina, ressortissant croate installé en
Allemagne et cerveau d’un réseau de paris truqués
et de manipulations de matches dans le football européen,
est condamné à cinq ans et six mois de prison par le tribunal
de Bochum. En pariant sur ces matches, essentiellement
en Asie, il aurait réalisé un bénéfice de 2,4 M¤.
......................................HIPPISME ......................................
En décembre 2011, quatre jockeys britanniques et deux
propriétaires de chevaux sont suspendus pour 66 ans
au total dans le cadre d’une affaire de courses truquées.
Ils avaient retenu volontairement leurs chevaux lors de dix
courses entre janvier et août 2009 et livré illégalement
des informations à des parieurs.
HAND À LA LUTTE AVEC CESSON POUR ÉVITER LA DESCENTE
Istres, dindon de la farce?
Et si... Et si Montpellier s’était imposé en Ille-
et-Vilaine? Et si Cesson avait été alors contraint
à jouer sa peau lors de la dernière journée comme
l’ont fait les Istréens à Ivry? "Tout cela, on ne le
saura jamais, note, pragmatique, le président
Louis Morales. Dans le cas de figure où Cesson
aurait deux points en moins, nous serions tout de
même relégués à la différence de buts particulière.
Mais ce qui est certain, c’est que cela a faussé notre
fin de saison si tout cela est bien avéré (Istres
jouait et s’inclinait d’un but à Créteil le lendemain
du fameux match Cesson-Montpellier, ndlr). Nous
sommes dans le virtuel. Je suis incrédule, j’ai du
mal à croire que des joueurs avec ce renom, qui
gagnent plutôt bien leur vie, se mettent comme cela
en danger." Dans les rangs istréens, pas question
de pousser plus loin dans les démarches. "Cela
serait sorti immédiatement après, nous y aurions
songé, mais là, le temps est passé. C’est très compliqué
d’autant plus que tout est encore au conditionnel.
Nous ne nous prenons pas la tête. Ce qui
me dérange le plus, c’est l’image qui va rejaillir sur
notre sport. Depuis ce matin (lire hier), je suis assommé
par tout ce que j’entends. Cela fait mal, on
verra le résultat. Mais quelque part, le mal est déjà
fait", ajoute, désabusé, le président istréen.
Les Provençaux, candidats à la remontée immédiate
en D1, pensent avant tout à leur saison qui
est très mal embarquée avec déjà deux défaites
lors des trois premières journées.
.........................................TENNIS.........................................
Le Serbe David Savic, 659e mondial, et l’Autrichien
Daniel Köllerer, ancien 55e mondial, suspendus à vie en 2011
pour leur implication dans des matches truqués.
Le Russe Nikolay Davydenko, N.4 mondial, a également été
lourdement soupçonné après un montant très élevé de paris
sur son match du deuxième tour du tournoi de Sopot
(Pologne), le 2 août 2008. Il n’a cependant jamais été
condamné.
........................................CRICKET .......................................
Salman Butt, ancien capitaine de l’équipe du Pakistan,
Mohammad Asif et Mohammad Aamer, trois vedettes
du cricket pakistanais, sont condamnés respectivement
à deux ans et demi, un an et six mois de prison ferme pour
avoir manqué volontairement plusieurs lancers lors d’un
match entre l’Angleterre et le Pakistan en août 2010 à
Londres. Leur agent, Mazhar Majeed, a écopé de deux ans
et huit mois de prison pour avoir organisé la tricherie,
en lien avec des parieurs.
.....................................FOOTBALL ......................................
Le football italien est secoué par le scandale des matches
truqués par des parieurs, appelé "Calcioscommesse".
Plusieurs joueurs ont même fait de la prison, comme
le capitaine de la Lazio Rome, Stefano Mauri. Antonio Conte,
entraîneur de la Juventus Turin championne d’Italie en titre,
est suspendu dix mois pour des faits remontant à la saison
2010-2011, quand il entraînait Sienne.
En 2011, Ante Sapina, ressortissant croate installé en
Allemagne et cerveau d’un réseau de paris truqués
et de manipulations de matches dans le football européen,
est condamné à cinq ans et six mois de prison par le tribunal
de Bochum. En pariant sur ces matches, essentiellement
en Asie, il aurait réalisé un bénéfice de 2,4 M¤.
......................................HIPPISME ......................................
En décembre 2011, quatre jockeys britanniques et deux
propriétaires de chevaux sont suspendus pour 66 ans
au total dans le cadre d’une affaire de courses truquées.
Ils avaient retenu volontairement leurs chevaux lors de dix
courses entre janvier et août 2009 et livré illégalement
des informations à des parieurs.
HAND À LA LUTTE AVEC CESSON POUR ÉVITER LA DESCENTE
Istres, dindon de la farce?
Et si... Et si Montpellier s’était imposé en Ille-
et-Vilaine? Et si Cesson avait été alors contraint
à jouer sa peau lors de la dernière journée comme
l’ont fait les Istréens à Ivry? "Tout cela, on ne le
saura jamais, note, pragmatique, le président
Louis Morales. Dans le cas de figure où Cesson
aurait deux points en moins, nous serions tout de
même relégués à la différence de buts particulière.
Mais ce qui est certain, c’est que cela a faussé notre
fin de saison si tout cela est bien avéré (Istres
jouait et s’inclinait d’un but à Créteil le lendemain
du fameux match Cesson-Montpellier, ndlr). Nous
sommes dans le virtuel. Je suis incrédule, j’ai du
mal à croire que des joueurs avec ce renom, qui
gagnent plutôt bien leur vie, se mettent comme cela
en danger." Dans les rangs istréens, pas question
de pousser plus loin dans les démarches. "Cela
serait sorti immédiatement après, nous y aurions
songé, mais là, le temps est passé. C’est très compliqué
d’autant plus que tout est encore au conditionnel.
Nous ne nous prenons pas la tête. Ce qui
me dérange le plus, c’est l’image qui va rejaillir sur
notre sport. Depuis ce matin (lire hier), je suis assommé
par tout ce que j’entends. Cela fait mal, on
verra le résultat. Mais quelque part, le mal est déjà
fait", ajoute, désabusé, le président istréen.
Les Provençaux, candidats à la remontée immédiate
en D1, pensent avant tout à leur saison qui
est très mal embarquée avec déjà deux défaites
lors des trois premières journées.
bienvenou- Admin
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Affaire Guérini : un ancien cadre du Conseil général en garde à vue Publié le lundi 01 octobre 2012 à 17H15
Après la construction de la caserne des sapeurs-pompiers de La Ciotat ou celle du centre administratif de Berre, les enquêteurs de l’affaire Guérini s’intéressent à un nouveau chantier : celui de la cantine du collège Monticelli, qui a démarré fin 2007. Selon nos informations, un ancien cadre du Conseil général a été placé aujourd'hui en garde à vue. D’autres personnes ont été entendues ces dernières semaines, certaines travaillant toujours au CG 13, et des documents ont été saisis.
De nouveau, on retrouve ABT, une société de travaux liée au Milieu : implantée à Gardanne, elle aurait obtenu dans des conditions douteuses un marché public de 665 000 euros pour "un lot de gros œuvre et de terrassement". Avec toutefois une nouveauté de taille : contrairement aux précédents, ce chantier était piloté directement par le CG 13. Les travaux s'étaient très mal passés, provoquant d'importants problèmes de sécurité pour les collégiens et entraînant des surcoûts. Confronté à près d'un an de retard sur la conduite du chantier, le CG 13 avait fini par rompre le marché.
Après la construction de la caserne des sapeurs-pompiers de La Ciotat ou celle du centre administratif de Berre, les enquêteurs de l’affaire Guérini s’intéressent à un nouveau chantier : celui de la cantine du collège Monticelli, qui a démarré fin 2007. Selon nos informations, un ancien cadre du Conseil général a été placé aujourd'hui en garde à vue. D’autres personnes ont été entendues ces dernières semaines, certaines travaillant toujours au CG 13, et des documents ont été saisis.
De nouveau, on retrouve ABT, une société de travaux liée au Milieu : implantée à Gardanne, elle aurait obtenu dans des conditions douteuses un marché public de 665 000 euros pour "un lot de gros œuvre et de terrassement". Avec toutefois une nouveauté de taille : contrairement aux précédents, ce chantier était piloté directement par le CG 13. Les travaux s'étaient très mal passés, provoquant d'importants problèmes de sécurité pour les collégiens et entraînant des surcoûts. Confronté à près d'un an de retard sur la conduite du chantier, le CG 13 avait fini par rompre le marché.
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Plusieurs policiers de la Bac nord de Marseille interpellésPublié le :
02/10/2012 à 10h23Par J.Darras
Share on emailShare on facebookShare on google_plusoneMore Sharing ServicesPlusieurs policiers de la Bac nord de Marseille ont été interpellés mardi par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN - "police des polices"), outre la perquisition menée dans ses locaux depuis le début de la matinée, a annoncé à l'AFP la Direction générale de la police nationale (DGPN).
Selon son porte-parole, Pascal Garibian, les enquêteurs de l'IGPN ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire pour notamment "vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants".
RIPOUX N 'est pas mort loin de là
02/10/2012 à 10h23Par J.Darras
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Selon son porte-parole, Pascal Garibian, les enquêteurs de l'IGPN ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire pour notamment "vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants".
RIPOUX N 'est pas mort loin de là
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LA MINISTRE DE LA JUSTICE ET LE PDG DES CASINOS
CA SENT LE SOUFRE CETTE AFFAIRE ....................

.Desseigne assigné en justice par Rachida Dati pour "reconnaissance de paternité"
Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière, a été assigné en justice par l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati pour "reconnaissance de paternité", a dit mardi à l'AFP une porte-parole du groupe, confirmant une information du Point.fr, tandis que Mme Dati dément.
M. Desseigne ne souhaite pas faire d'autres déclarations pour le moment, l'information judiciaire étant en cours, a ajouté la porte-parole.
Contactée par l'AFP, Rachida Dati, maire UMP du VIIe arrondissement de Paris, a démenti l'information: "C'est faux", a-t-elle dit.
Selon le Point.fr, Mme Dati a assigné M. Desseigne devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité" de sa fille Zohra, née le 2 janvier 2009, et dont elle a toujours tu l'identité du père.
A la mi-journée, l'ex-ministre de la Justice (2007-2009) a fait part, dans un communiqué, de son indignation d'être "harcelée" depuis tôt le matin par "des journalistes à propos de (sa) fille et de sa vie privée, à l'affût d'un ragot ou de détails inappropriés".
"Je suis outrée par ces comportements (...) je suis particulièrement déçue que des femmes journalistes se prêtent également à ces pratiques malsaines d'intrusion par la force dans la vie intime d'une petite fille de 3 ans et demi", a-t-elle écrit, en demandant que "tout cela cesse".
Le groupe Lucien Barrière (GLB) que dirige Dominique Desseigne, comprend 37 casinos, 15 hôtels de luxe et près de 130 restaurants et bars, dont le célèbre Fouquet's à Paris. Son chiffre d'affaires 2011 s'est établi à près de 1,1 milliard d'euros.
.
CA SENT LE SOUFRE CETTE AFFAIRE ....................

.Desseigne assigné en justice par Rachida Dati pour "reconnaissance de paternité"
Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière, a été assigné en justice par l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati pour "reconnaissance de paternité", a dit mardi à l'AFP une porte-parole du groupe, confirmant une information du Point.fr, tandis que Mme Dati dément.
M. Desseigne ne souhaite pas faire d'autres déclarations pour le moment, l'information judiciaire étant en cours, a ajouté la porte-parole.
Contactée par l'AFP, Rachida Dati, maire UMP du VIIe arrondissement de Paris, a démenti l'information: "C'est faux", a-t-elle dit.
Selon le Point.fr, Mme Dati a assigné M. Desseigne devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité" de sa fille Zohra, née le 2 janvier 2009, et dont elle a toujours tu l'identité du père.
A la mi-journée, l'ex-ministre de la Justice (2007-2009) a fait part, dans un communiqué, de son indignation d'être "harcelée" depuis tôt le matin par "des journalistes à propos de (sa) fille et de sa vie privée, à l'affût d'un ragot ou de détails inappropriés".
"Je suis outrée par ces comportements (...) je suis particulièrement déçue que des femmes journalistes se prêtent également à ces pratiques malsaines d'intrusion par la force dans la vie intime d'une petite fille de 3 ans et demi", a-t-elle écrit, en demandant que "tout cela cesse".
Le groupe Lucien Barrière (GLB) que dirige Dominique Desseigne, comprend 37 casinos, 15 hôtels de luxe et près de 130 restaurants et bars, dont le célèbre Fouquet's à Paris. Son chiffre d'affaires 2011 s'est établi à près de 1,1 milliard d'euros.
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Bettencourt: avec Courroye, les juges évaluent le rôle de l'Elysée
Le juge bordelais Jean-Michel Gentil a fait mener mardi une rafale d'auditions de témoins, l'ex-procureur de la République de Nanterre Philippe Courroye en tête, qui pourraient lui permettre de vérifier si l'Elysée, sous Nicolas Sarkozy, a tenté de peser sur l'affaire Bettencourt.

M. Courroye, pour lequel cette affaire vire au cauchemar - il a fait l'objet de poursuites judiciaires, aujourd'hui annulées, et disciplinaires pour avoir fait saisir des "fadettes" (liste d'appels téléphoniques, ndlr) de journalistes du Monde, et a été muté à Paris comme avocat général contre son gré - était convoqué mardi à Bordeaux pour y être entendu par Cécile Ramonatxo, l'une des juges qui instruit le dossier au côté de M. Gentil.
Il est arrivé à 10H00 pile, en costume gris et cravate bleue, un demi-sourire aux lèvres, sans faire de déclaration, et est reparti discrètement vers 16h30. De source proche du dossier, il aurait été interrogé davantage sur le financement de l'UMP que sur d'éventuelles tentatives de l'Elysée de s'immiscer dans la gestion du dossier.
Pendant ce temps, à la brigade financière à Paris, M. Gentil faisait procéder à l'audition de proches professionnels de M. Sarkozy, son avocat, Me Thierry Herzog, l'ancien secrétaire général de l'Elysée, Xavier Musca, et deux anciens conseillers de M. Sarkozy pour la justice, Patrick Ouart et Jean-Pierre Picca. Les auditions de MM. Herzog et Ouart, au moins, étaient terminées vers 19h00.
M. Courroye s'était chargé de l'enquête préliminaire qui avait suivi la révélation, à la mi-2010, des enregistrements que réalisait depuis un an le majordome de Liliane Bettencourt dans le salon de sa patronne. L'affaire avait été transférée à Bordeaux le 17 novembre 2010, en raison de l'ambiance délétère qui régnait à Nanterre autour de cette affaire.
Avec ces auditions, a estimé une source proche du dossier, les juges espèrent obtenir des recoupements d'agendas des protagonistes, alors que les propres agendas de M. Sarkozy pour les dernières années auraient été saisis lors de perquisitions menées à son domicile et à son bureau le 3 juillet.
Les enregistrements du majordome ont montré que l'Elysée paraissait peu ou prou associé aux tentatives de Mme Bettencourt et de son entourage de faire classer la plainte pour abus de faiblesse déposée fin 2007 par la fille de la milliardaire, Françoise, visant l'artiste François-Marie Banier.
A cet égard, le juge dispose par exemple d'un enregistrement de juillet 2009 où on entend l'homme de confiance de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, dire à celle-ci que le conseiller (justice) de M. Sarkozy à l'Elysée, "que je vois régulièrement pour vous", "l'avait appelé" pour lui dire que M. Courroye allait "annoncer le 3 septembre" que la plainte était irrecevable.
Mais le plus embarrassant pour l'ancien président Sarkozy avait été les déclarations de l'ancienne comptable des Bettencourt, Claire Thibout. A l'été 2010, interrogée dans la foulée de la révélation des enregistrements, elle avait évoqué un possible financement illégal de la campagne de M. Sarkozy en 2007 par des fonds rapatriés de Suisse par M. de Maistre, et remis à l'ancien trésorier de l'UMP et ex-ministre Eric Woerth.
Ces deux derniers ont été mis en examen dans cette affaire.
Les semaines suivantes, elle avait été questionnée à de multiples reprises par les policiers, à la demande de M. Courroye, "un véritable harcèlement policier mené par le procureur", selon l'avocat Antoine Gillot.
Il s'est félicité qu'aujourd'hui "la crédibilité et la bonne foi de (s)a cliente soient reconnues et admises par tous", notamment par le juge Gentil qui a qualifié lui-même Mme Thibout de "crédible" dans un procès verbal d'audition de M. Woerth publié lundi par Le Monde
Le juge bordelais Jean-Michel Gentil a fait mener mardi une rafale d'auditions de témoins, l'ex-procureur de la République de Nanterre Philippe Courroye en tête, qui pourraient lui permettre de vérifier si l'Elysée, sous Nicolas Sarkozy, a tenté de peser sur l'affaire Bettencourt.

M. Courroye, pour lequel cette affaire vire au cauchemar - il a fait l'objet de poursuites judiciaires, aujourd'hui annulées, et disciplinaires pour avoir fait saisir des "fadettes" (liste d'appels téléphoniques, ndlr) de journalistes du Monde, et a été muté à Paris comme avocat général contre son gré - était convoqué mardi à Bordeaux pour y être entendu par Cécile Ramonatxo, l'une des juges qui instruit le dossier au côté de M. Gentil.
Il est arrivé à 10H00 pile, en costume gris et cravate bleue, un demi-sourire aux lèvres, sans faire de déclaration, et est reparti discrètement vers 16h30. De source proche du dossier, il aurait été interrogé davantage sur le financement de l'UMP que sur d'éventuelles tentatives de l'Elysée de s'immiscer dans la gestion du dossier.
Pendant ce temps, à la brigade financière à Paris, M. Gentil faisait procéder à l'audition de proches professionnels de M. Sarkozy, son avocat, Me Thierry Herzog, l'ancien secrétaire général de l'Elysée, Xavier Musca, et deux anciens conseillers de M. Sarkozy pour la justice, Patrick Ouart et Jean-Pierre Picca. Les auditions de MM. Herzog et Ouart, au moins, étaient terminées vers 19h00.
M. Courroye s'était chargé de l'enquête préliminaire qui avait suivi la révélation, à la mi-2010, des enregistrements que réalisait depuis un an le majordome de Liliane Bettencourt dans le salon de sa patronne. L'affaire avait été transférée à Bordeaux le 17 novembre 2010, en raison de l'ambiance délétère qui régnait à Nanterre autour de cette affaire.
Avec ces auditions, a estimé une source proche du dossier, les juges espèrent obtenir des recoupements d'agendas des protagonistes, alors que les propres agendas de M. Sarkozy pour les dernières années auraient été saisis lors de perquisitions menées à son domicile et à son bureau le 3 juillet.
Les enregistrements du majordome ont montré que l'Elysée paraissait peu ou prou associé aux tentatives de Mme Bettencourt et de son entourage de faire classer la plainte pour abus de faiblesse déposée fin 2007 par la fille de la milliardaire, Françoise, visant l'artiste François-Marie Banier.
A cet égard, le juge dispose par exemple d'un enregistrement de juillet 2009 où on entend l'homme de confiance de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, dire à celle-ci que le conseiller (justice) de M. Sarkozy à l'Elysée, "que je vois régulièrement pour vous", "l'avait appelé" pour lui dire que M. Courroye allait "annoncer le 3 septembre" que la plainte était irrecevable.
Mais le plus embarrassant pour l'ancien président Sarkozy avait été les déclarations de l'ancienne comptable des Bettencourt, Claire Thibout. A l'été 2010, interrogée dans la foulée de la révélation des enregistrements, elle avait évoqué un possible financement illégal de la campagne de M. Sarkozy en 2007 par des fonds rapatriés de Suisse par M. de Maistre, et remis à l'ancien trésorier de l'UMP et ex-ministre Eric Woerth.
Ces deux derniers ont été mis en examen dans cette affaire.
Les semaines suivantes, elle avait été questionnée à de multiples reprises par les policiers, à la demande de M. Courroye, "un véritable harcèlement policier mené par le procureur", selon l'avocat Antoine Gillot.
Il s'est félicité qu'aujourd'hui "la crédibilité et la bonne foi de (s)a cliente soient reconnues et admises par tous", notamment par le juge Gentil qui a qualifié lui-même Mme Thibout de "crédible" dans un procès verbal d'audition de M. Woerth publié lundi par Le Monde
bienvenou- Admin
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Sachant qu'il devraient être aussi réprimandés par la FFHB, laquelle parle de «tolérance zéro», et que cela pourrait impacter la présence en équipe de France de son joueur n°1 Nikola Karabatic. Tout comme celle de Samuel Honrubia, mis en examen mais qui a la possibilité de reprendre l'entraînement avec le PSG Handball. Car pendant ce temps, Claude Onesta revient à la source : «Le jour où j'ai compris que les paris sportifs allaient arriver, j'ai compris que les emmerdes allaient venir en parallèle.»
bienvenou- Admin
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Douze policiers marseillais en garde à vue Publié le mardi 02 octobre 2012 à 10H22
Une enquête de la police des polices vise la brigade anti-criminalité du nord de la ville. D'autres interpellations sont encore prévues
Les enquêteurs de l'IGPN ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire de deux juges marseillais, Patricia Krumenacker et Caroline Charpentier, pour notamment "vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants".
Mise à jour à 19h05 : Huit autres policiers marseillais ont été mis en garde à vue dans le cadre de cette enquête. Au total, douze policiers sont donc maintenant en garde à vue.
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Quatre policiers marseillais ont été interpellés ce mardi et des perquisitions menées dans leurs locaux dans le cadre d'une enquête judiciaire portant sur le vol ou l'extorsion d'argent, de stupéfiants et de cigarettes de contrebande, a-t-on appris de sources policière et judiciaire. Le porte-parole de la Direction générale de la police nationale (DGPN), Pascal Garibian, a indiqué que des fonctionnaires de la brigade anti-criminalité (BAC) du nord de Marseille avaient été interpellés par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la "police des polices").
Le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest, a précisé à la presse que quatre fonctionnaires, des enquêteurs de l'équipe de jour de la BAC, qui ne sont pas des officiers de police judiciaire, avaient été placés en garde à vue et que d'autres interpellations étaient prévues. Selon une source proche de l'enquête, sept policiers sont visés au total. Cette descente de l'IGPN intervient dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en février pour "vols en bande organisée, extorsion en bande organisée, infractions à la législation sur les stupéfiants", qui fait encourir aux suspects jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle. Leur garde à vue peut durer 96 heures. Ils sont soupçonnés d'avoir volé ou extorqué de l'argent ou des produits à des dealers et des vendeurs de cigarettes à la sauvette, selon M. Dallest. "Un certain nombre d'entre eux, apparemment, se payaient sur la bête ou prélevaient leur dîme en espèces ou en nature à des fins sans doute personnelles, ou peut-être pour accomplir leur travail d'infiltration du milieu délinquant", a affirmé le procureur, évoquant "une pratique assez répandue au sein de ce service et depuis assez longtemps".
L'affaire a débuté en novembre 2011 quand la justice a eu vent, via le préfet de police de l'époque, Alain Gardère, et la délégation régionale de l'IGPN à Marseille, de "faits troublants" et de "renseignements assez convergents" concernant des fonctionnaires de la BAC nord. Une enquête préliminaire était ouverte par le parquet et des écoutes confortaient ces éléments, conduisant à l'ouverture d'une information judiciaire le 22 février, confiée à la juge Patricia Krummenacker. Si la suite des investigations fait apparaître des faits de corruption, "ils feront l'objet d'un réquisitoire supplétif", a dit M. Dallest, en soulignant qu'à ce stade de l'enquête, la hiérarchie n'était pas impliquée.
Cette affaire survient alors que les têtes viennent de changer au sommet de la police marseillaise, avec l'arrivée d'un nouveau directeur départemental de la Sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, d'un nouveau préfet de police des Bouches-du-Rhône, Jean-Paul Bonnetain, et d'un nouveau directeur de la police judiciaire, Christian Sainte. Pour David-Olivier Reverdy, représentant zonal adjoint du syndicat de policiers Alliance,"il est urgent d'attendre maintenant le résultat de l'enquête. S'il y a une tâche dans un service, on ne peut jeter l'opprobre sur toute la police marseillaise comme on a souvent tendance à le faire". Une opération "mains propres" avait déjà eu lieu dans la police marseillaise à l'été 2010 sur fond de coup de filet dans le milieu du grand banditisme.
Selon une source proche du dossier à Marseille, cette affaire renvoie à des dénonciations faites dans la presse locale par un policier d'une trentaine d'années, révoqué en mars pour avoir relâché un dealer qu'il avait interpellé avec des produits stupéfiants, "sans en informer ni sa hiérarchie, ni le parquet". Début septembre, un homme se présentant comme cet ex-policier de la BAC Nord, avait témoigné sur France 3 Alpes-Provence, de dos et la voix modifiée, évoquant des vols d'argent, de drogue ou de scooters. "L'argent coule à flot dans les cités et au lieu de faire notre boulot de flic, on va récupérer des jeunes dans des cités qui ont des sacoches ou de l'argent, puis on passe des petits deals: on les laisse repartir et on garde l'argent pour soi", avait-il dit notamment, indiquant avoir subi "des menaces" pour avoir voulu dénoncer ces faits.
Une enquête de la police des polices vise la brigade anti-criminalité du nord de la ville. D'autres interpellations sont encore prévues
Les enquêteurs de l'IGPN ont agi dans le cadre d'une commission rogatoire de deux juges marseillais, Patricia Krumenacker et Caroline Charpentier, pour notamment "vols et extorsions en bande organisée, violences aggravées, acquisition et transport de stupéfiants".
Mise à jour à 19h05 : Huit autres policiers marseillais ont été mis en garde à vue dans le cadre de cette enquête. Au total, douze policiers sont donc maintenant en garde à vue.
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Quatre policiers marseillais ont été interpellés ce mardi et des perquisitions menées dans leurs locaux dans le cadre d'une enquête judiciaire portant sur le vol ou l'extorsion d'argent, de stupéfiants et de cigarettes de contrebande, a-t-on appris de sources policière et judiciaire. Le porte-parole de la Direction générale de la police nationale (DGPN), Pascal Garibian, a indiqué que des fonctionnaires de la brigade anti-criminalité (BAC) du nord de Marseille avaient été interpellés par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la "police des polices").
Le procureur de la République à Marseille, Jacques Dallest, a précisé à la presse que quatre fonctionnaires, des enquêteurs de l'équipe de jour de la BAC, qui ne sont pas des officiers de police judiciaire, avaient été placés en garde à vue et que d'autres interpellations étaient prévues. Selon une source proche de l'enquête, sept policiers sont visés au total. Cette descente de l'IGPN intervient dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en février pour "vols en bande organisée, extorsion en bande organisée, infractions à la législation sur les stupéfiants", qui fait encourir aux suspects jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle. Leur garde à vue peut durer 96 heures. Ils sont soupçonnés d'avoir volé ou extorqué de l'argent ou des produits à des dealers et des vendeurs de cigarettes à la sauvette, selon M. Dallest. "Un certain nombre d'entre eux, apparemment, se payaient sur la bête ou prélevaient leur dîme en espèces ou en nature à des fins sans doute personnelles, ou peut-être pour accomplir leur travail d'infiltration du milieu délinquant", a affirmé le procureur, évoquant "une pratique assez répandue au sein de ce service et depuis assez longtemps".
L'affaire a débuté en novembre 2011 quand la justice a eu vent, via le préfet de police de l'époque, Alain Gardère, et la délégation régionale de l'IGPN à Marseille, de "faits troublants" et de "renseignements assez convergents" concernant des fonctionnaires de la BAC nord. Une enquête préliminaire était ouverte par le parquet et des écoutes confortaient ces éléments, conduisant à l'ouverture d'une information judiciaire le 22 février, confiée à la juge Patricia Krummenacker. Si la suite des investigations fait apparaître des faits de corruption, "ils feront l'objet d'un réquisitoire supplétif", a dit M. Dallest, en soulignant qu'à ce stade de l'enquête, la hiérarchie n'était pas impliquée.
Cette affaire survient alors que les têtes viennent de changer au sommet de la police marseillaise, avec l'arrivée d'un nouveau directeur départemental de la Sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, d'un nouveau préfet de police des Bouches-du-Rhône, Jean-Paul Bonnetain, et d'un nouveau directeur de la police judiciaire, Christian Sainte. Pour David-Olivier Reverdy, représentant zonal adjoint du syndicat de policiers Alliance,"il est urgent d'attendre maintenant le résultat de l'enquête. S'il y a une tâche dans un service, on ne peut jeter l'opprobre sur toute la police marseillaise comme on a souvent tendance à le faire". Une opération "mains propres" avait déjà eu lieu dans la police marseillaise à l'été 2010 sur fond de coup de filet dans le milieu du grand banditisme.
Selon une source proche du dossier à Marseille, cette affaire renvoie à des dénonciations faites dans la presse locale par un policier d'une trentaine d'années, révoqué en mars pour avoir relâché un dealer qu'il avait interpellé avec des produits stupéfiants, "sans en informer ni sa hiérarchie, ni le parquet". Début septembre, un homme se présentant comme cet ex-policier de la BAC Nord, avait témoigné sur France 3 Alpes-Provence, de dos et la voix modifiée, évoquant des vols d'argent, de drogue ou de scooters. "L'argent coule à flot dans les cités et au lieu de faire notre boulot de flic, on va récupérer des jeunes dans des cités qui ont des sacoches ou de l'argent, puis on passe des petits deals: on les laisse repartir et on garde l'argent pour soi", avait-il dit notamment, indiquant avoir subi "des menaces" pour avoir voulu dénoncer ces faits.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
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Cumul : Robert Assante à géométrie variable Publié le mercredi 03 octobre 2012 à 16H30
Alors que le débat sur le cumul des mandats agite la classe politique, Robert Assante a adressé un courrier à tous les conseillers municipaux pour leur faire part de sa position. Le maire centriste des 11e et 12e arrondissements défend ainsi l’idée du mandat unique pour les députés et les eurodéputés : "Qu’apporte un parlementaire à la décision d’installer des potelets dans une rue, à la propreté de notre voirie ou à des subventions en faveur d’associations locales ?", s’interroge-t-il.
En revanche, Robert Assante propose que les sénateurs conservent un mandat local... celui de conseiller communautaire. Lequel devrait pour lui être obtenu au suffrage universel direct.
Cumul : Robert Assante à géométrie variable Publié le mercredi 03 octobre 2012 à 16H30
Alors que le débat sur le cumul des mandats agite la classe politique, Robert Assante a adressé un courrier à tous les conseillers municipaux pour leur faire part de sa position. Le maire centriste des 11e et 12e arrondissements défend ainsi l’idée du mandat unique pour les députés et les eurodéputés : "Qu’apporte un parlementaire à la décision d’installer des potelets dans une rue, à la propreté de notre voirie ou à des subventions en faveur d’associations locales ?", s’interroge-t-il.
En revanche, Robert Assante propose que les sénateurs conservent un mandat local... celui de conseiller communautaire. Lequel devrait pour lui être obtenu au suffrage universel direct.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Selon une information "RTL", a police des Police aurait retrouvé du hahschich, de l'argent liquide et des bijoux cachés dans les faux-plafonds dans les locaux de la brigade anti-criminalité (BAC) du nord de Marseille, lors des perquisitions menées mardi 2 octobre dans le cadre d'une enquête judiciaire portant sur le vol ou l'extorsion d'argent, de stupéfiants et de cigarettes de contrebande.
Douze policiers toujours en garde à vue
Douze policiers suspectés d'avoir volé ou extorqué de l'argent et des produits stupéfiants étaient toujours en garde à vue mercredi à Marseille, a-t-on également indiqué de source judiciaire, sans en dire davantage sur un défèrement éventuel de ces fonctionnaires devant le juge.
Membres de la BAC du nord de la ville, ils ont été interpellés mardi sur commission rogatoire d'une juge d'instruction qui enquête depuis février sur des faits de vol et d'extorsion qu'ils auraient commis en bande organisée auprès de dealers ou de vendeurs de cigarettes de contrebande.
Le parquet a indiqué que leur garde à vue pouvait durer jusqu'à 96 heures.
Premiers défèrements vendredi
Les suspects sont entendus par les enquêteurs de l'Inspection générale de la police nationale dans les locaux de la caserne de la gendarmerie à Marseille, "un gage de neutralité" dans cette affaire, selon une source proche du dossier qui s'attend à de premiers défèrements vendredi devant le magistrat instructeur.
Dans le cas où ces fonctionnaires seraient mis en examen et placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer, voire écroués, les effectifs de la BAC nord, qui compte environ 70 personnes, s'en trouveraient sensiblement réduits.
Douze policiers toujours en garde à vue
Douze policiers suspectés d'avoir volé ou extorqué de l'argent et des produits stupéfiants étaient toujours en garde à vue mercredi à Marseille, a-t-on également indiqué de source judiciaire, sans en dire davantage sur un défèrement éventuel de ces fonctionnaires devant le juge.
Membres de la BAC du nord de la ville, ils ont été interpellés mardi sur commission rogatoire d'une juge d'instruction qui enquête depuis février sur des faits de vol et d'extorsion qu'ils auraient commis en bande organisée auprès de dealers ou de vendeurs de cigarettes de contrebande.
Le parquet a indiqué que leur garde à vue pouvait durer jusqu'à 96 heures.
Premiers défèrements vendredi
Les suspects sont entendus par les enquêteurs de l'Inspection générale de la police nationale dans les locaux de la caserne de la gendarmerie à Marseille, "un gage de neutralité" dans cette affaire, selon une source proche du dossier qui s'attend à de premiers défèrements vendredi devant le magistrat instructeur.
Dans le cas où ces fonctionnaires seraient mis en examen et placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer, voire écroués, les effectifs de la BAC nord, qui compte environ 70 personnes, s'en trouveraient sensiblement réduits.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Bac Nord : 18 nouveaux fonctionnaires suspendus Publié le lundi 08 octobre 2012 à 13H55
La police nationale a décidé samedi la suspension de 18 nouveaux policiers en poste à la Bac de jour de Marseille, après l'enquête menée pour vols extorsions et trafic de stupéfiants, pour laquelle 7 fonctionnaires ont déjà été écroués, a-t-on appris auprès de La direction centrale de la sécurité publique (Dcsp), confirmant une information du site le Figaro.fr.
La dcsp précise que "des éléments graves" pèsent sur ces policiers. Ils avaient tous déjà été entendus sous le statut de témoins au moment des treize gardes à vue concernant leur collègue et ils auraient également été impliqués dans les malversations présumées.
Une source policière précise qu'ils "pourraient être rapidement auditionnés" par les juges d'instruction qui sont saisis du dossier. Pour l'heure, des effectifs venus de la Bac sud et de la Bac centre assurent l'intérim des patrouilles du nord dont le service a été dissous.
La police nationale a décidé samedi la suspension de 18 nouveaux policiers en poste à la Bac de jour de Marseille, après l'enquête menée pour vols extorsions et trafic de stupéfiants, pour laquelle 7 fonctionnaires ont déjà été écroués, a-t-on appris auprès de La direction centrale de la sécurité publique (Dcsp), confirmant une information du site le Figaro.fr.
La dcsp précise que "des éléments graves" pèsent sur ces policiers. Ils avaient tous déjà été entendus sous le statut de témoins au moment des treize gardes à vue concernant leur collègue et ils auraient également été impliqués dans les malversations présumées.
Une source policière précise qu'ils "pourraient être rapidement auditionnés" par les juges d'instruction qui sont saisis du dossier. Pour l'heure, des effectifs venus de la Bac sud et de la Bac centre assurent l'intérim des patrouilles du nord dont le service a été dissous.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Conférence à New York : êtes-vous choqué par le montant de la rémunération de Nicolas Sarkozy ?
Merci d'avoir été parmi les premiers à voter. Les résultats seront disponibles prochainement. Voir les résultats sans voter
Oui 57 % Oui
43 409 VotesNon 36 % Non
27 573 VotesSans opinion 7 % Sans opinion
5 284 Votes
moi je ne suis^pas choqué mais je me demande quels abrutis sont capables d'ecouter un mec plein de vents raconter des banalités pour 80 000 euros les 2h drole de monde capitalistes
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Un homme recherché intercepté par des gendarmes varois Publié le jeudi 11 octobre 2012 à 21H00
Les gendarmes varois ont intercepté ce matin un hommme faisant l'objet d'un mandat d'arrêt européen en menant une opération dans le 8e arrondissement de Marseille, annonce Var-Matin. En tout, six hommes soupçonnés d'être liés à une affaire d'escroquerie en bande organisée, vers Saint-Cyr, ont été interpellés
Les gendarmes varois ont intercepté ce matin un hommme faisant l'objet d'un mandat d'arrêt européen en menant une opération dans le 8e arrondissement de Marseille, annonce Var-Matin. En tout, six hommes soupçonnés d'être liés à une affaire d'escroquerie en bande organisée, vers Saint-Cyr, ont été interpellés
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
AIX-EN-PROVENCE● La condamnée n’était pas de Pôle emploi.
Pôle emploi, suite à une erreur malheureuse dans l’un de nos
comptes rendus de justice a tenu à apporter cette précision:
"Un article, paru jeudi 11 octobre dans La Provence, fait état d’une
audience du tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence le 8 octobre
dernier. Cet article évoque le détournement d’allocations au détriment
de plusieurs demandeurs d’emploi qui aurait été effectué par
un agent de Pôle emploi.
La direction régionale de Pôle emploi souhaite apporter un démenti
formel à cette information. L’employée mise en cause n’a jamais
travaillé pour Pôle emploi. Elle étaitmise à disposition par la communauté
d’agglomération San Ouest-Provence à laMaison de
l’emploi Ouest-Provence. C’est d’ailleurs grâce à la vigilance des
agents du Pôle emploi d’Istres et de ceux des services prévention des
fraudes et contentieux que cette affaire a pu être mise au jour. Par
ailleurs, dès connaissance de l’escroquerie et sans attendre la décisiondu
tribunal, Pôle emploi a reversé l’intégralité de leurs allocations
aux demandeurs d’emploi lésés. Pôle emploi Paca s’est porté
partie civile dans cette affaire. Pôle emploi dément donc
l’implication d’un de ses salariés dans une escroquerie aux allocations
à Istres."
Pôle emploi, suite à une erreur malheureuse dans l’un de nos
comptes rendus de justice a tenu à apporter cette précision:
"Un article, paru jeudi 11 octobre dans La Provence, fait état d’une
audience du tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence le 8 octobre
dernier. Cet article évoque le détournement d’allocations au détriment
de plusieurs demandeurs d’emploi qui aurait été effectué par
un agent de Pôle emploi.
La direction régionale de Pôle emploi souhaite apporter un démenti
formel à cette information. L’employée mise en cause n’a jamais
travaillé pour Pôle emploi. Elle étaitmise à disposition par la communauté
d’agglomération San Ouest-Provence à laMaison de
l’emploi Ouest-Provence. C’est d’ailleurs grâce à la vigilance des
agents du Pôle emploi d’Istres et de ceux des services prévention des
fraudes et contentieux que cette affaire a pu être mise au jour. Par
ailleurs, dès connaissance de l’escroquerie et sans attendre la décisiondu
tribunal, Pôle emploi a reversé l’intégralité de leurs allocations
aux demandeurs d’emploi lésés. Pôle emploi Paca s’est porté
partie civile dans cette affaire. Pôle emploi dément donc
l’implication d’un de ses salariés dans une escroquerie aux allocations
à Istres."
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Corruption: l'affaire Karachi rebondit en Normandie
vendredi 12 octobre 2012 à 16H41
Le village de Beaumont-en-Auge (crédit)
L'ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy (à Neuilly puis au ministère du budget) Thierry Gaubert possède le Clos Milena, à Beaumont-en-Auge, village de 421 habitants dans le Calvados. L'homme qui est poursuivi dans le volet financier du dossier Karachi passe encore ses week-ends dans l'opulente propriété achetée en 1987 et dans laquelle il a reçu de nombreux protagonistes du dossier Karachi pour de fastueuses réceptions.
Sarkozy, Copé ou Hortefeux: des habitués
Les "people" (Régine, Sophie Davant, Claire Chazal, Patrick Poivre d'Arvor, Philippe Bouvard, Charlotte Rampling...) y trinquaient avec des capitaines d'industrie, comme Serge Dassault ou Dominique Desseigne. Nicolas et Carla Sarkozy, Jean-François Copé et Brice Hortefeux étaient familiers des lieux, alors qu'Edouard Balladur ne serait venu qu'une seule fois chez les Gaubert.
Les armoiries de la ville (crédit)
Or le juge s'intéresse à des travaux effectués par des villageois et pour lesquels ils auraient été payé en liquide. Car Thierry Gaubert est soupçonné d'avoir participé à un système occulte ayant permis de financer la campagne présidentielle de Balladur en 1995, mais aussi son train de vie et celui de responsables politiques de l'époque, grâce à plusieurs contrats d'armement signés par le gouvernement.
Agrandir le plan
Aujourd'hui, les employés s'en vont les uns après les autres, "car M. Gaubert ne paie plus". Le collègue de Renaud Van Ruymbeke, Roger Le Loire, est sur la piste d'investissements en Colombie, où Gaubert a fait bâtir une villa dont un architecte de Bonneville-su-Touques, Jean-Yves Houel, avait dessiné les esquisses pour 30 000 francs à l'époque... somme elle aussi payée en espèces.
Source
vendredi 12 octobre 2012 à 16H41
De l'argent sale pour financer les travaux de la maison calvadosienne de l'ex-collaborateur de Sarkozy ? Nouvel épisode haut-normand dans l'affaire Karachi: après la maison Normande de l'ancien Premier ministre français Edouard Balladur, le juge Van Ruymbeke, qui instruit le volet financier de l'affaire, s'intéresse à une autre maison du secteur selon Le Monde.http://www.paris-normandie.fr/article/beaumont-en-auge/corruption-laffaire-karachi-rebondit-en-normandie
Le village de Beaumont-en-Auge (crédit)
L'ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy (à Neuilly puis au ministère du budget) Thierry Gaubert possède le Clos Milena, à Beaumont-en-Auge, village de 421 habitants dans le Calvados. L'homme qui est poursuivi dans le volet financier du dossier Karachi passe encore ses week-ends dans l'opulente propriété achetée en 1987 et dans laquelle il a reçu de nombreux protagonistes du dossier Karachi pour de fastueuses réceptions.
Sarkozy, Copé ou Hortefeux: des habitués
Les "people" (Régine, Sophie Davant, Claire Chazal, Patrick Poivre d'Arvor, Philippe Bouvard, Charlotte Rampling...) y trinquaient avec des capitaines d'industrie, comme Serge Dassault ou Dominique Desseigne. Nicolas et Carla Sarkozy, Jean-François Copé et Brice Hortefeux étaient familiers des lieux, alors qu'Edouard Balladur ne serait venu qu'une seule fois chez les Gaubert.
Les armoiries de la ville (crédit)
Or le juge s'intéresse à des travaux effectués par des villageois et pour lesquels ils auraient été payé en liquide. Car Thierry Gaubert est soupçonné d'avoir participé à un système occulte ayant permis de financer la campagne présidentielle de Balladur en 1995, mais aussi son train de vie et celui de responsables politiques de l'époque, grâce à plusieurs contrats d'armement signés par le gouvernement.
Agrandir le plan
Aujourd'hui, les employés s'en vont les uns après les autres, "car M. Gaubert ne paie plus". Le collègue de Renaud Van Ruymbeke, Roger Le Loire, est sur la piste d'investissements en Colombie, où Gaubert a fait bâtir une villa dont un architecte de Bonneville-su-Touques, Jean-Yves Houel, avait dessiné les esquisses pour 30 000 francs à l'époque... somme elle aussi payée en espèces.
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Dernière édition par bienvenou le Dim 14 Oct - 7:47, édité 1 fois
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Blanchiment: neuf personnes mises en examen dont une élue écolo parisienne
Neuf personnes ont été mises en examen suite au démantèlement d'un important réseau franco-suisse de blanchiment d'argent de la drogue, dont une élue parisienne écologiste.
Il s'agit d'un coup de filet majeur, une source policière faisant valoir auprès de l'AFP que sur les seuls cinq derniers mois, ce réseau, actif depuis plusieurs années, a blanchi la bagatelle de 40 millions d'euros.
Avec huit autres, Florence Lamblin, adjointe EELV au maire du XIIIe arrondissement, est mise en examen pour "blanchiment en bande organisée et association de malfaiteurs", a-t-on appris samedi de source judiciaire. Et huit autres suspects devaient encore être présentés au juge.
L'élue a démenti toute implication: "Elle m'a dit par SMS qu'elle n'y était absolument pour rien", a dit à l'AFP l'écologiste parisien Yves Contassot.
Son avocat, Me Jérôme Boursican, a précisé à l'AFP qu'elle possédait 350.000 euros sur un compte suisse créé en 1920 et provenant d'un héritage familial. Une "personne de confiance" l'a "mise en relation avec quelqu'un qui a rapatrié cet argent en France" et qui "s'est révélé impliqué" dans l'affaire de blanchiment, a-t-il expliqué.
"S'il y avait quelque chose, ce serait tout au plus le fait de ne pas avoir déclaré 350.000 euros à l'ISF", a-t-il avancé.
L'élue a accepté de démissionner de ses fonctions de maire-adjoint, selon le maire du XIIIe, après une demande en ce sens du maire de Paris, Bertrand Delanoë, "consterné" par sa mise en examen.
Un nom "jeté en pâture"
Yves Contassot a dénoncé une "tentative d'instrumentalisation politique": Florence Lamblin est "la seule" dans ce dossier "dont le nom est jeté en pâture (...) Ce n'est pas totalement le fruit du hasard", a-t-il avancé, évoquant la "quasi-instantanéité" des réactions de l'opposition qui a notamment dénoncé la "permissivité" de la gauche.
En tout, 17 personnes ont été interpellées en France cette semaine et trois autres à Genève, et plusieurs millions d'euros en espèces et biens de valeur saisis.
Huit des neuf mis en examen sont sous contrôle judiciaire avec un cautionnement de 80.000 à un million d'euros, selon la source judiciaire. La neuvième personne est en détention provisoire car soupçonnée d'être impliquée dans le trafic de stupéfiants.
Les enquêteurs ont retrouvé 400.000 euros en espèces, en partie au domicile de Florence Lamblin mais surtout dans des coffres, selon plusieurs sources proches du dossier.
Cette élégante quadra, cheveux mi-longs auburn, est architecte et urbaniste de profession. Mère de deux filles d'une vingtaine d'années, c'est une élue "motivée, avec des convictions", dit le député EELV Denis Baupin, "abasourdi".
A Genève, deux frères suisses d'origine marocaine ont été écroués tandis qu'une troisième personne a été remis en liberté. La durée de la détention provisoire, ordonnée en raison de l'importance des charges et des risques de fuite, a été fixée à 3 mois.
Concrètement, l'argent liquide provenant de la vente de la drogue aurait été remis aux clients français d'une société genevoise, "pas forcément au courant des dessous des transactions", selon le quotidien suisse Le Temps. Ces clients, dont "des architectes, des galeristes et autres commerçants", sont des évadés fiscaux.
En recevant l'argent liquide, ces clients évitaient de faire un virement, forcément suspect pour le fisc français, à partir de la société vers leurs comptes en France
Neuf personnes ont été mises en examen suite au démantèlement d'un important réseau franco-suisse de blanchiment d'argent de la drogue, dont une élue parisienne écologiste.
Il s'agit d'un coup de filet majeur, une source policière faisant valoir auprès de l'AFP que sur les seuls cinq derniers mois, ce réseau, actif depuis plusieurs années, a blanchi la bagatelle de 40 millions d'euros.
Avec huit autres, Florence Lamblin, adjointe EELV au maire du XIIIe arrondissement, est mise en examen pour "blanchiment en bande organisée et association de malfaiteurs", a-t-on appris samedi de source judiciaire. Et huit autres suspects devaient encore être présentés au juge.
L'élue a démenti toute implication: "Elle m'a dit par SMS qu'elle n'y était absolument pour rien", a dit à l'AFP l'écologiste parisien Yves Contassot.
Son avocat, Me Jérôme Boursican, a précisé à l'AFP qu'elle possédait 350.000 euros sur un compte suisse créé en 1920 et provenant d'un héritage familial. Une "personne de confiance" l'a "mise en relation avec quelqu'un qui a rapatrié cet argent en France" et qui "s'est révélé impliqué" dans l'affaire de blanchiment, a-t-il expliqué.
"S'il y avait quelque chose, ce serait tout au plus le fait de ne pas avoir déclaré 350.000 euros à l'ISF", a-t-il avancé.
L'élue a accepté de démissionner de ses fonctions de maire-adjoint, selon le maire du XIIIe, après une demande en ce sens du maire de Paris, Bertrand Delanoë, "consterné" par sa mise en examen.
Un nom "jeté en pâture"
Yves Contassot a dénoncé une "tentative d'instrumentalisation politique": Florence Lamblin est "la seule" dans ce dossier "dont le nom est jeté en pâture (...) Ce n'est pas totalement le fruit du hasard", a-t-il avancé, évoquant la "quasi-instantanéité" des réactions de l'opposition qui a notamment dénoncé la "permissivité" de la gauche.
En tout, 17 personnes ont été interpellées en France cette semaine et trois autres à Genève, et plusieurs millions d'euros en espèces et biens de valeur saisis.
Huit des neuf mis en examen sont sous contrôle judiciaire avec un cautionnement de 80.000 à un million d'euros, selon la source judiciaire. La neuvième personne est en détention provisoire car soupçonnée d'être impliquée dans le trafic de stupéfiants.
Les enquêteurs ont retrouvé 400.000 euros en espèces, en partie au domicile de Florence Lamblin mais surtout dans des coffres, selon plusieurs sources proches du dossier.
Cette élégante quadra, cheveux mi-longs auburn, est architecte et urbaniste de profession. Mère de deux filles d'une vingtaine d'années, c'est une élue "motivée, avec des convictions", dit le député EELV Denis Baupin, "abasourdi".
A Genève, deux frères suisses d'origine marocaine ont été écroués tandis qu'une troisième personne a été remis en liberté. La durée de la détention provisoire, ordonnée en raison de l'importance des charges et des risques de fuite, a été fixée à 3 mois.
Concrètement, l'argent liquide provenant de la vente de la drogue aurait été remis aux clients français d'une société genevoise, "pas forcément au courant des dessous des transactions", selon le quotidien suisse Le Temps. Ces clients, dont "des architectes, des galeristes et autres commerçants", sont des évadés fiscaux.
En recevant l'argent liquide, ces clients évitaient de faire un virement, forcément suspect pour le fisc français, à partir de la société vers leurs comptes en France
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Les faux ramoneurs avignonnais sévissaient dans tout le pays Publié le lundi 15 octobre 2012 à 20H05
Quarante plaintes à Paris, Toulouse, Marseille et surtout Avignon. L'entreprise Etoile Ramonage a sévi partout. Toujours selon le même mode opératoire, en 2010, 2011 et 2012. Un homme se présente au domicile des victimes, se disant mandaté par le syndicat de copropriété ou l'agence immobilière. Il explique devoir vérifier le conduit de la cheminée. En quelques minutes, un complice débarque, fait semblant de ramoner, puis réclame un chèque allant de 60 à 180 €. La gérante de la société était jugée hier à Avignon.
Quarante plaintes à Paris, Toulouse, Marseille et surtout Avignon. L'entreprise Etoile Ramonage a sévi partout. Toujours selon le même mode opératoire, en 2010, 2011 et 2012. Un homme se présente au domicile des victimes, se disant mandaté par le syndicat de copropriété ou l'agence immobilière. Il explique devoir vérifier le conduit de la cheminée. En quelques minutes, un complice débarque, fait semblant de ramoner, puis réclame un chèque allant de 60 à 180 €. La gérante de la société était jugée hier à Avignon.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
SOCIAL
Les taxis indépendants
n’en "peuvent plus Indépendants de toute chapelle
syndicale, et, surtout,
(très) en colère. Hier matin, une
trentaine de taxis marseillais
ont fait monter la pression devant
la direction des véhicules
publics, avenue Aviateur Le Brix
(9e). Lassés de traîner une mauvaise
réputation "à cause de
quelques brebis galeuses, comme
il y en a partout, même dans
la police", ces artisans-taxi protestent
contre des conditions de
travail, qui, assurent-ils, n’en finissent
plus "de se dégrader".
"On n’arrive plus à boucler les
fins de mois... grince Bernard
Houaix, leader improvisé de cette
fronde. "On vient de recevoir
une redevance de 400 euros pour
les emplacements, c’est la goutte
de d’eau qui fait déborder le vase!
Les stations sont devenues invisibles
pour les clients! Et pas
seulement à cause des travaux.
Sur le futur Vieux-Port, par
exemple, on sera cachés. À la gare
routière, on est carrément interdits.
Quant à la nouvelle station
de Saint-Charles, elle a été
complètement ratée ! " Et
d’asséner, en secouant la tête
de dépit: "À Lille, pour la capitale
de la culture, on a tout fait
pour que chacun profite de
l’aubaine. Ici, on n’a pas d’élu !
C’est une véritable bouillabaisse..."
Autre grief, formulé par
Philippe, "une concurrence sauvage
des véhicules de tourismes
avec chauffeurs qui nous mangent
40% du chiffre d’affaires".
"Ils stationnent illégalement devant
les grands hôtels et racolent
la clientèle. C’est inadmissible !",
s’irrite-t-il. Avant de se séparer,
les manifestants ont promis
que, s’ils ne sont "pas écoutés",
ils iraient "jusqu’au blocage de
la ville si c’est nécessaire !"
Un début d’incendie à éteindre
Les taxis indépendants
n’en "peuvent plus Indépendants de toute chapelle
syndicale, et, surtout,
(très) en colère. Hier matin, une
trentaine de taxis marseillais
ont fait monter la pression devant
la direction des véhicules
publics, avenue Aviateur Le Brix
(9e). Lassés de traîner une mauvaise
réputation "à cause de
quelques brebis galeuses, comme
il y en a partout, même dans
la police", ces artisans-taxi protestent
contre des conditions de
travail, qui, assurent-ils, n’en finissent
plus "de se dégrader".
"On n’arrive plus à boucler les
fins de mois... grince Bernard
Houaix, leader improvisé de cette
fronde. "On vient de recevoir
une redevance de 400 euros pour
les emplacements, c’est la goutte
de d’eau qui fait déborder le vase!
Les stations sont devenues invisibles
pour les clients! Et pas
seulement à cause des travaux.
Sur le futur Vieux-Port, par
exemple, on sera cachés. À la gare
routière, on est carrément interdits.
Quant à la nouvelle station
de Saint-Charles, elle a été
complètement ratée ! " Et
d’asséner, en secouant la tête
de dépit: "À Lille, pour la capitale
de la culture, on a tout fait
pour que chacun profite de
l’aubaine. Ici, on n’a pas d’élu !
C’est une véritable bouillabaisse..."
Autre grief, formulé par
Philippe, "une concurrence sauvage
des véhicules de tourismes
avec chauffeurs qui nous mangent
40% du chiffre d’affaires".
"Ils stationnent illégalement devant
les grands hôtels et racolent
la clientèle. C’est inadmissible !",
s’irrite-t-il. Avant de se séparer,
les manifestants ont promis
que, s’ils ne sont "pas écoutés",
ils iraient "jusqu’au blocage de
la ville si c’est nécessaire !"
Un début d’incendie à éteindre
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LE DANGER VIENT PAS DES IMMIGRES
MAIS DES BANQUIERS

MAIS DES BANQUIERS

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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
La droite parisienne crie à la trahison après le départ à l'UDI de Jouanno
Les élus UMP de Paris ont dénoncé dimanche la "trahison" de la sénatrice de Paris Chantal Jouanno, après son ralliement surprise à la nouvelle formation politique fondée par Jean-Louis Borloo, l'UDI, ce à quoi l'ex-ministre a réagi en appelant ses détracteurs à la modération
Pour l'importance que cela a.....
....mieux vaut s'intéresser aux migrations des fourmis en Nouvelle Guinée ou à l'évolution des maladies vénèriennes dans le bas clergé breton au 19ème siècle.
Les élus UMP de Paris ont dénoncé dimanche la "trahison" de la sénatrice de Paris Chantal Jouanno, après son ralliement surprise à la nouvelle formation politique fondée par Jean-Louis Borloo, l'UDI, ce à quoi l'ex-ministre a réagi en appelant ses détracteurs à la modération
Pour l'importance que cela a.....
....mieux vaut s'intéresser aux migrations des fourmis en Nouvelle Guinée ou à l'évolution des maladies vénèriennes dans le bas clergé breton au 19ème siècle.

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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
PROCÈS
Le proxénétisme des coulisses
du festival de Cannes dévoilé Son surnom, dans le monde
des escort-girls, c’était "le Docteur".
Mouatassam Kadhafi,
l’un des fils de l’ex-dictateur libyen,
avait cette sale manie de
faire faire une prise de sang aux
jeunes femmes qu’il payait pour
les recevoir dans les chambres
d’hôtels de luxe à Cannes, Monaco
ou dans les cabines du
yacht Savarona, loué 350000 ¤ la
semaine. Mouatassam Kadhafi
est mort avec son père à Misrata,
tué par les rebelles.Mais c’est
dans ses habits de "meilleur
client" d’un réseau international
de proxénétisme de luxe que
le tribunal correctionnel de Marseille
le découvre depuis à
l’examen d’une procédure née
d’un coup de filet, au lendemain
du festival de Cannes 2007.
Considéré comme la tête de ce
réseau, Élie Nahas, patron d’une
agence de mannequins de Beyrouth,
n’a pas fait le déplacement
pour "ne pas ranimer la
tempête médiatique", souligne
son avocat, Me Elissa Hadj Darvish.
Il comptait dans son carnet
d’adresses le Gotha des familles
régnantes du Moyen-Orient et
du Golfe persique. Son interpellation,
en août 2007 à Cannes,
avait levé un vent de panique
dans les palais de cette région
du monde. "Ces familles riches,
régnantes ou non, n’avaient pas
envie d’avoir 36 interlocuteurs
pour remplir le Savarona avec
cinquante filles", résume le président
Patrick Ardid. Nahas se
chargeait de tout. Entendu par
l’Office central de répression de
la traite des êtres humains, un
prince saoudien avait refusé de
répondre. Face au tribunal, ce
sont les petites mains locales
qui comparaissent: un agent de
sécurité du palais des festivals
monnayant ses menus services,
une ex-prostituée en robe soyeuse
et ajourée et le gérant d’une
agence de mannequins de Caracas
(Venezuela).
En mai 2007, en plein festival,
Felix Farias Leon, vu sur Internet
aux côtés de somptueux
mannequins, était refouléàRoissy
où il débarquait de Caracas
avec huit jeunes femmes. Pour
combler le manque sur le Savarona
qui mouillait alors au large
de Cannes, Samira appelait à la
rescousse "(s)a cousine et des copines".
700 ¤ chacune à la clé. Le
président livre les codes: les passes
sont des missions, les filles
sont "ready" ou "no ready" selon
la prestation. "On fait tout
pour gommer la prostitution en
mettant du brillant sur ce qui reste
un peu glauque", explique-
t-il. Les commissions touchées
valent à cette ex-escort
girl de comparaître pour proxénétisme.
Sur une écoute, on
l’entend: "J’ai deux Roumaines".
Le client :"Envoie !"Le président
: "Ça fait un peu maquerelle".
Mais 15000¤ versés en un an sur
ses comptes ne sont que menue
monnaie à côté des sommes
payées à Élie Nahas. En 2004,
l’ambassade de Libye lui verse
1 , 5 M de do l l a r s p o u r
l’organisation, à Marrakech, de
l’anniversaire du fils Kadhafi où
sont invités Enrique Iglesias, Kevin
Costner… Antoine ElKhoury,
45 ans, représente le petit
monde des chauffeurs et
concierges d’hôtels de luxe.
Chargé de la logistique des prostituées,
il rêvait de "porter une
Rolex à 10000 ¤". La policeamis
son rêveàmal.
Le proxénétisme des coulisses
du festival de Cannes dévoilé Son surnom, dans le monde
des escort-girls, c’était "le Docteur".
Mouatassam Kadhafi,
l’un des fils de l’ex-dictateur libyen,
avait cette sale manie de
faire faire une prise de sang aux
jeunes femmes qu’il payait pour
les recevoir dans les chambres
d’hôtels de luxe à Cannes, Monaco
ou dans les cabines du
yacht Savarona, loué 350000 ¤ la
semaine. Mouatassam Kadhafi
est mort avec son père à Misrata,
tué par les rebelles.Mais c’est
dans ses habits de "meilleur
client" d’un réseau international
de proxénétisme de luxe que
le tribunal correctionnel de Marseille
le découvre depuis à
l’examen d’une procédure née
d’un coup de filet, au lendemain
du festival de Cannes 2007.
Considéré comme la tête de ce
réseau, Élie Nahas, patron d’une
agence de mannequins de Beyrouth,
n’a pas fait le déplacement
pour "ne pas ranimer la
tempête médiatique", souligne
son avocat, Me Elissa Hadj Darvish.
Il comptait dans son carnet
d’adresses le Gotha des familles
régnantes du Moyen-Orient et
du Golfe persique. Son interpellation,
en août 2007 à Cannes,
avait levé un vent de panique
dans les palais de cette région
du monde. "Ces familles riches,
régnantes ou non, n’avaient pas
envie d’avoir 36 interlocuteurs
pour remplir le Savarona avec
cinquante filles", résume le président
Patrick Ardid. Nahas se
chargeait de tout. Entendu par
l’Office central de répression de
la traite des êtres humains, un
prince saoudien avait refusé de
répondre. Face au tribunal, ce
sont les petites mains locales
qui comparaissent: un agent de
sécurité du palais des festivals
monnayant ses menus services,
une ex-prostituée en robe soyeuse
et ajourée et le gérant d’une
agence de mannequins de Caracas
(Venezuela).
En mai 2007, en plein festival,
Felix Farias Leon, vu sur Internet
aux côtés de somptueux
mannequins, était refouléàRoissy
où il débarquait de Caracas
avec huit jeunes femmes. Pour
combler le manque sur le Savarona
qui mouillait alors au large
de Cannes, Samira appelait à la
rescousse "(s)a cousine et des copines".
700 ¤ chacune à la clé. Le
président livre les codes: les passes
sont des missions, les filles
sont "ready" ou "no ready" selon
la prestation. "On fait tout
pour gommer la prostitution en
mettant du brillant sur ce qui reste
un peu glauque", explique-
t-il. Les commissions touchées
valent à cette ex-escort
girl de comparaître pour proxénétisme.
Sur une écoute, on
l’entend: "J’ai deux Roumaines".
Le client :"Envoie !"Le président
: "Ça fait un peu maquerelle".
Mais 15000¤ versés en un an sur
ses comptes ne sont que menue
monnaie à côté des sommes
payées à Élie Nahas. En 2004,
l’ambassade de Libye lui verse
1 , 5 M de do l l a r s p o u r
l’organisation, à Marrakech, de
l’anniversaire du fils Kadhafi où
sont invités Enrique Iglesias, Kevin
Costner… Antoine ElKhoury,
45 ans, représente le petit
monde des chauffeurs et
concierges d’hôtels de luxe.
Chargé de la logistique des prostituées,
il rêvait de "porter une
Rolex à 10000 ¤". La policeamis
son rêveàmal.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Affaire Guérini : l'écoute qui conforte les soupçons sur les marchés du Conseil général Publié le mercredi 24 octobre 2012 à 18H21
D’un montant de plusieurs millions d’euros, les marchés de gardiennage attribués par le Conseil général des Bouches-du-Rhône entre 2002 et 2010 étaient-ils truqués ? Et si oui, de quelle manière Alexandre Guérini est-il intervenu pour favoriser la société Alba Sécurité, qui a travaillé jusqu’à cet été pour le Département ? Elle était contrôlée en sous-main par un de ses proches, Bernard Barresi, alors en cavale après une condamnation par contumace pour un braquage en Alsace.
Ces questions sont au cœur de plusieurs instructions pilotées par les juges Charles Duchaine et Philippe Dorcet. Elles ont entraîné la semaine dernière les gardes à vue de trois cadres du Département, dont le responsable du service "Prévention et Protection". Contacté par "La Provence", il n’a pas souhaité répondre à nos questions. Parmi les éléments qui nourrissent les soupçons des gendarmes, on trouve une écoute téléphonique réalisée en mars 2011.
Il s’agit d’une conversation entre ce cadre et une de ses connaissances. L’écoute montre qu'il savait depuis longtemps que la société avait un profil très particulier : "De toi à moi, Alba Sécurité a toujours été fumante", avoue-t-il en parlant de ce qu’il appelle "les marchés de Barresi".
Créée en 2001, la société Alba Sécurité a obtenu dès l’année suivante son premier contrat du Conseil général, alors qu'elle avait pour seule référence la surveillance d'un restaurant à Plan-de-Campagne. Les instructions judiciaires ont depuis établi qu’elle était un des rouages d’un vaste dispositif international de blanchiment d’argent et de surfacturations.
D’un montant de plusieurs millions d’euros, les marchés de gardiennage attribués par le Conseil général des Bouches-du-Rhône entre 2002 et 2010 étaient-ils truqués ? Et si oui, de quelle manière Alexandre Guérini est-il intervenu pour favoriser la société Alba Sécurité, qui a travaillé jusqu’à cet été pour le Département ? Elle était contrôlée en sous-main par un de ses proches, Bernard Barresi, alors en cavale après une condamnation par contumace pour un braquage en Alsace.
Ces questions sont au cœur de plusieurs instructions pilotées par les juges Charles Duchaine et Philippe Dorcet. Elles ont entraîné la semaine dernière les gardes à vue de trois cadres du Département, dont le responsable du service "Prévention et Protection". Contacté par "La Provence", il n’a pas souhaité répondre à nos questions. Parmi les éléments qui nourrissent les soupçons des gendarmes, on trouve une écoute téléphonique réalisée en mars 2011.
Il s’agit d’une conversation entre ce cadre et une de ses connaissances. L’écoute montre qu'il savait depuis longtemps que la société avait un profil très particulier : "De toi à moi, Alba Sécurité a toujours été fumante", avoue-t-il en parlant de ce qu’il appelle "les marchés de Barresi".
Créée en 2001, la société Alba Sécurité a obtenu dès l’année suivante son premier contrat du Conseil général, alors qu'elle avait pour seule référence la surveillance d'un restaurant à Plan-de-Campagne. Les instructions judiciaires ont depuis établi qu’elle était un des rouages d’un vaste dispositif international de blanchiment d’argent et de surfacturations.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
From: : Tr: Fw: Les faux culs !!! ces journalistes
>
> >
Sujet : les faux culs
Après l'avis d'une ministre sur les retraites :
" Les retraités ne sont pas intouchables !"...
...certains journalistes soutiennent la proposition de la Cour des Comptes de TAXER LES RETRAITES (ou de supprimer l'abattement de 10% ce qui revient au même !...)
...ce n'est pas la presse qui va nous révéler ca !
La presse des faux culs !
REVENU ANNUEL
David PUJADAS …………….. (environ)………240 000 €
Laurence FERRARI ………….(environ)………500 000 €
Michel APATHIE……………... (environ)………500 000 €
Alain DUHAMEL ……………...(environ)………240 000 €
Claire CHAZAL…Hors concours (environ)…... 900 000 €
Tous ces journalistes se gardent bien de parler de leurs avantages fiscaux.
Au-delà de 3 mois de présence les journalistes ont droit à la totalité de la rémunération mensuelle pendant 3 mois, ils ont demandé à François HOLLANDE de porter la durée à 6 mois.
Les journalistes en service, victimes d’accidents du travail, de trajet ou atteints de maladie professionnelle contractée à l’occasion de leur travail, conservent pour tous les arrêts reconnus par la sécurité sociale comme directement liés à l’accident du travail ou à la maladie professionnelle, l’intégralité de leur rémunération dans la limite de 2 ans.
> > > > > > > Ils ont demandé de pousser à 4 ans.
En cas d’incapacité permanente –partielle telle qu’elle est reconnue par la sécurité sociale, le journaliste a droit à une PRIORITE DE RECLASSEMENT dans une fonction compatible avec son état physique, avec maintien de tous ses droits (y compris la déduction fiscale), notamment en matière de salaire.
> > > > > > > A compter de la date de leur engagement, les journalistes atteints d’une affection de longue durée reconnue par la sécurité sociale entraînant momentanément une incapacité totale d’exercer leur fonction, conservent pendant les trois premières années l’intégralité de leur salaire et les avantages fiscaux. Ils ont demandé à François HOLLANDE de porter à 5 ans.
Au cours de la dernière campagne présidentielle :
Les journalistes ont plutôt fait l’apogée de F.-Hollande .
> > > > > > > En France tous les salariés sont exonérés de 10 % sur les revenus.
En France tous les journalistes sont exonérés depuis 1934 d’une réduction supplémentaire de
> > > > > > > 30 % qui s’additionne aux 10 %.
En 1996, un premier ministre a osé tirer un trait sur certaines niches !
Une profession va particulièrement se plaindre « LES JOURNALISTES ».
> > > > > > > Alain LAMBERT ex-rapporteur du budget au Sénat se souvient :
« De la hargne de journalistes et de la trouille des politiques ».
Le premier ministre de l’époque avait tenu bon, mais avait offert une première concession à la profession :
La création d’un fonds budgétaire pour compenser la hausse d’impôt que subiront les journalistes.
Parallèlement, les négociations étaient engagées avec les syndicats.
Elles aboutiront sous JOSPIN, il est décidé :
De rétablir l’avantage fiscal, sous forme un peu plus juste !!!!!
Au lieu de 30 % les journalistes pourront dorénavant retirer soit
7 650 € (50 000 frs de l’époque) de leurs revenus (mesure unique pour les journalistes – et les autres Français ---RIEN---).
> > > > > > > Avant les primaires socialistes :
Les syndicats ont demandé à François HOLLANDE de rétablir les 30% d’abattement (ce qu'avait refusé N. SARKOZY en 2008 ).
42.500 journalistes bénéficieront de cet avantage.
Quand on pense que le gouvernement a défiscalisé les heures supplémentaires pour les ouvriers et employés !...
Savez-vous que des proches des journalistes, (qui ne sont pas journalistes) se déclarent journalistes sans carte de presse.
> > > > > > > Et maintenant des journalistes de l’audiovisuel ont demandé un abattement supplémentaire de
> > > > > > > 10 % pour des frais esthétiques !!!
> > > > > > > Mesdames, Messieurs les journalistes :
Parlez aussi de vos privilèges au JT de 20 heures !
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