CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Règlement de comptes chez Generali, le DG Perissinotto ne rend pas les armes
Plusieurs grands actionnaires de Generali comptaient débarquer samedi le directeur général de l'assureur italien lors d'un conseil d'administration sous haute tension mais, criant à l'injustice, Giovanni Perissinotto était bien décidé à se battre jusqu'au bout.
Convoqués en urgence jeudi soir, les membres du conseil d'administration sont réunis au siège milanais du "Lion de Trieste" depuis 08H30 GMT.
En colère face à la chute de l'action et des résultats, Mediobanca, premier actionnaire avec 13,24% du capital, et le groupe des grands actionnaires privés (le fondateur de Luxottica Leonardo Del Vecchio, l'éditeur De Agostini et le groupe de construction Caltagirone) veulent remplacer M. Perissinotto par Mario Greco, membre du comité exécutif de l'assureur suisse Zurich Insurance Group.
Le Français Vincent Bolloré, vice-président de Generali, se serait rangé de leur côté.
Giovanni Perissinotto n'est plus le manager "approprié pour gérer Generali depuis longtemps" comme l'ont montré la "modestie" des résultats et son "manque total de vision stratégique", a dénoncé vendredi M. Del Vecchio, qui détient 3% de Generali.
Le bénéfice net de Generali a fondu de près de 50% en 2011. L'action a chuté de son côté d'environ 30% depuis le début de l'année mais a rebondi vendredi, portée par la probable éviction du patron.
Convoqué mercredi par la direction de Mediobanca, le directeur général de Generali, à la tête du groupe depuis 2001, a refusé de démissionner et a imposé la mise au vote d'une motion de défiance pour le chasser.
Criant à l'injustice, M. Perissinotto a assuré vendredi que le groupe était "solide", qu'il disposait d'"indicateurs de performance parmi les meilleurs du marché" et que la chute de l'action n'était pas due à des erreurs de gestion mais à la forte exposition de l'assureur à la dette italienne.
Accusant Mediobanca de mettre "ses propres intérêts" au-dessus de ceux de Generali, il a affirmé que la banque, qui soutient la fusion entre les assureurs FonSai et Unipol, voulait sa démission car il n'avait pas su dissuader le fonds Palladio, de l'un de ses proches, de faire une contre-offre.
Les opposants à Giovanni Perissinotto assurent pouvoir disposer d'une "large majorité" avec "11 ou 12 voix sur 17" au sein du conseil, a assuré samedi matin à l'AFP une source proche du dossier.
Mais M. Perissinotto ne compte pas rendre les armes et "arrivera avec un mémoire en défense", a ajouté cette source, prévoyant un "combat" entre les deux camps.
Selon la presse, le directeur général aurait tenté le tout pour le tout pour rallier des soutiens au sein du conseil.
"Au cours des dernières heures, le contexte serait plus incertain" et "les administrateurs indépendants s'apprêteraient à jouer un rôle clé", souligne samedi le quotidien économique Il Sole 24 Ore.
M. Perissinotto dispose déjà de l'appui du patron de Tod's Diego Della Valle et de l'homme d'affaires tchèque Petr Kellner.
A son arrivée au siège milanais de Generali, M. Della Valle a indiqué vouloir "entendre ceux qui avaient combiné cet imbroglio" et souligné que "quoi qu'il se passe", cette affaire minera "la crédibilité de notre pays sur les marchés internationaux".
Alors que Generali est un pilier du système financier italien ayant des participations dans plusieurs grands groupes du pays, ce nouveau règlement de comptes replonge l'assureur dans la tourmente à peine plus d'un an après l'éviction en avril 2011 de son président Cesare Geronzi, remplacé par Gabriele Galateri di Genola
Plusieurs grands actionnaires de Generali comptaient débarquer samedi le directeur général de l'assureur italien lors d'un conseil d'administration sous haute tension mais, criant à l'injustice, Giovanni Perissinotto était bien décidé à se battre jusqu'au bout.
Convoqués en urgence jeudi soir, les membres du conseil d'administration sont réunis au siège milanais du "Lion de Trieste" depuis 08H30 GMT.
En colère face à la chute de l'action et des résultats, Mediobanca, premier actionnaire avec 13,24% du capital, et le groupe des grands actionnaires privés (le fondateur de Luxottica Leonardo Del Vecchio, l'éditeur De Agostini et le groupe de construction Caltagirone) veulent remplacer M. Perissinotto par Mario Greco, membre du comité exécutif de l'assureur suisse Zurich Insurance Group.
Le Français Vincent Bolloré, vice-président de Generali, se serait rangé de leur côté.
Giovanni Perissinotto n'est plus le manager "approprié pour gérer Generali depuis longtemps" comme l'ont montré la "modestie" des résultats et son "manque total de vision stratégique", a dénoncé vendredi M. Del Vecchio, qui détient 3% de Generali.
Le bénéfice net de Generali a fondu de près de 50% en 2011. L'action a chuté de son côté d'environ 30% depuis le début de l'année mais a rebondi vendredi, portée par la probable éviction du patron.
Convoqué mercredi par la direction de Mediobanca, le directeur général de Generali, à la tête du groupe depuis 2001, a refusé de démissionner et a imposé la mise au vote d'une motion de défiance pour le chasser.
Criant à l'injustice, M. Perissinotto a assuré vendredi que le groupe était "solide", qu'il disposait d'"indicateurs de performance parmi les meilleurs du marché" et que la chute de l'action n'était pas due à des erreurs de gestion mais à la forte exposition de l'assureur à la dette italienne.
Accusant Mediobanca de mettre "ses propres intérêts" au-dessus de ceux de Generali, il a affirmé que la banque, qui soutient la fusion entre les assureurs FonSai et Unipol, voulait sa démission car il n'avait pas su dissuader le fonds Palladio, de l'un de ses proches, de faire une contre-offre.
Les opposants à Giovanni Perissinotto assurent pouvoir disposer d'une "large majorité" avec "11 ou 12 voix sur 17" au sein du conseil, a assuré samedi matin à l'AFP une source proche du dossier.
Mais M. Perissinotto ne compte pas rendre les armes et "arrivera avec un mémoire en défense", a ajouté cette source, prévoyant un "combat" entre les deux camps.
Selon la presse, le directeur général aurait tenté le tout pour le tout pour rallier des soutiens au sein du conseil.
"Au cours des dernières heures, le contexte serait plus incertain" et "les administrateurs indépendants s'apprêteraient à jouer un rôle clé", souligne samedi le quotidien économique Il Sole 24 Ore.
M. Perissinotto dispose déjà de l'appui du patron de Tod's Diego Della Valle et de l'homme d'affaires tchèque Petr Kellner.
A son arrivée au siège milanais de Generali, M. Della Valle a indiqué vouloir "entendre ceux qui avaient combiné cet imbroglio" et souligné que "quoi qu'il se passe", cette affaire minera "la crédibilité de notre pays sur les marchés internationaux".
Alors que Generali est un pilier du système financier italien ayant des participations dans plusieurs grands groupes du pays, ce nouveau règlement de comptes replonge l'assureur dans la tourmente à peine plus d'un an après l'éviction en avril 2011 de son président Cesare Geronzi, remplacé par Gabriele Galateri di Genola
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SAINT-ANTOINE
Elledénonceunviol et
uneséquestrationimaginaires
La jeune fille mythomane a d’abord été soignée aux urgences
de l’hôpital Nord
Cinq ou six fonctionnaires
mobilisés à plein temps depuis
le tout début de matinée. Un
jeune homme réveillé au petit
matin, chez lui et placé en garde
à vue, pour rien. À l’origine
de ce gaspillage de moyens humains,
il y a une jeune fille de
25 ans, qui s’est glissée dans la
peau d’une victime de viol,
sans n’avoir jamais été agressée.
Son mensonge a débuté peu
avant minuit, vendredi soir.
Des riverains du boulevard du
Bosphore (15e) la trouvent en
pleurs, sur le trottoir. Elle paraît
choquée.Àceux qui viennent la
soutenir, la présumée victime
explique d’abord qu’elle a été
séquestrée, dans un squat, avec
sa soeur. Puis arrive un véhicule
et le conducteur lui demande
de monter. La soi-disant victime
se montre encore plus inquiète
et refuse catégoriquement.
Elle est finalement
conduite à l’hôpital et le numéro
de la voiture est relevé par les
témoins. En soins, la jeune femmeavoue
aussi qu’elle a été violée.
Mais elle refuse l’examen
gynécologique. La police lance
néanmoins ses investigations.
La version de la jeune femme
paraît sincère. Mais le lendemain
matin, quand le jeune
homme repéré la veille est arrêté,
toute l’histoire commence à
vaciller. Il explique d’abord aux
fonctionnaires qu’il n’est autre
que le petit ami et qu’il n’a rien
commis de répréhensible. Interrogée
à son tour, celle qui affirme
avoir été abusée se montre
très peu coopérative. Jusqu’à
avouer son mensonge, hier aux
environs de 16h. Elle a tout inventé,
dit-elle, parce qu’elle se
trouve dans une situation très
difficile depuis le décès de sa
mère.
D’abord placée en garde à
vue à son tour pour dénonciationdedélit
imaginaire, elle a finalement
été laissée libre,
avant d’éventuelles poursuites.
Elledénonceunviol et
uneséquestrationimaginaires
La jeune fille mythomane a d’abord été soignée aux urgences
de l’hôpital Nord
Cinq ou six fonctionnaires
mobilisés à plein temps depuis
le tout début de matinée. Un
jeune homme réveillé au petit
matin, chez lui et placé en garde
à vue, pour rien. À l’origine
de ce gaspillage de moyens humains,
il y a une jeune fille de
25 ans, qui s’est glissée dans la
peau d’une victime de viol,
sans n’avoir jamais été agressée.
Son mensonge a débuté peu
avant minuit, vendredi soir.
Des riverains du boulevard du
Bosphore (15e) la trouvent en
pleurs, sur le trottoir. Elle paraît
choquée.Àceux qui viennent la
soutenir, la présumée victime
explique d’abord qu’elle a été
séquestrée, dans un squat, avec
sa soeur. Puis arrive un véhicule
et le conducteur lui demande
de monter. La soi-disant victime
se montre encore plus inquiète
et refuse catégoriquement.
Elle est finalement
conduite à l’hôpital et le numéro
de la voiture est relevé par les
témoins. En soins, la jeune femmeavoue
aussi qu’elle a été violée.
Mais elle refuse l’examen
gynécologique. La police lance
néanmoins ses investigations.
La version de la jeune femme
paraît sincère. Mais le lendemain
matin, quand le jeune
homme repéré la veille est arrêté,
toute l’histoire commence à
vaciller. Il explique d’abord aux
fonctionnaires qu’il n’est autre
que le petit ami et qu’il n’a rien
commis de répréhensible. Interrogée
à son tour, celle qui affirme
avoir été abusée se montre
très peu coopérative. Jusqu’à
avouer son mensonge, hier aux
environs de 16h. Elle a tout inventé,
dit-elle, parce qu’elle se
trouve dans une situation très
difficile depuis le décès de sa
mère.
D’abord placée en garde à
vue à son tour pour dénonciationdedélit
imaginaire, elle a finalement
été laissée libre,
avant d’éventuelles poursuites.
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Mise à jour : lundi 4 juin 2012 08:43 | Par AFPDoux en redressement judiciaire: le gouvernement pose ses conditions à la direction
Le gouvernement va poser ses conditions pour venir en aide au volailler Doux, leader européen du secteur placé vendredi en redressement judiciaire, a indiqué lundi le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, en renouvelant ses critiques contre le patron du groupe.
Groupe familial basé à Châteaulin (Finistère) et connu pour sa marque "Père Dodu", Doux a été placé à sa demande vendredi en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Quimper.
Cette décision, vivement critiquée par le gouvernement et la banque Barclays, a été prise par Charles Doux, patron du groupe, alors qu'une solution était semble-t-il en cours de finalisation avec la banque pour apporter une bouffée d'air de 35 millions d'euros.
"Vu ce qu'il s'est passé, je pourrais considérer quand même qu'il y a là une discussion qui aura lieu", a déclaré Stéphane Le Foll, interrogé sur Europe 1 pour savoir si M. Doux était encore l'homme de la situation.
"On ne peut pas dire que depuis des années et des mois, il ait montré beaucoup de pertinence dans ses choix industriels, dans ses choix stratégiques et il va falloir qu'il comprenne que, aujourd'hui, si on doit venir en aide (...) ça se fera à des conditions, comme on le dit souvent, du donnant-donnant", a affirmé M. Le Foll. "Nous ferons tout pour faire en sorte d'éviter une catastrophe (...) économique, sociale, et industrielle" et "pour donner une pérennité à l'emploi et à l'élevage (de volailles) dans le grand Ouest", a-t-il assuré.
Avec le groupe désormais placé en redressement judiciaire, "c'est peut-être plus compliqué mais ça permet de remettre les choses à plat", a poursuivi M. Le Foll, soulignant que 40% des poulets consommés en France étaient importés.
Il a précisé que la mission des deux émissaires qui devaient se rendre lundi au chevet du groupe serait avant tout de s'occuper de la situation des éleveurs, la "responsabilité immédiate" du gouvernement, avec ces questions: "Est-ce qu'ils seront payés, les contrats qui ont été signés ont-ils été respectés ou pas?".
Le groupe Doux, plombé par une dette estimée à plus de 430 millions d'euros, emploie 3.400 personnes en France.
Le gouvernement va poser ses conditions pour venir en aide au volailler Doux, leader européen du secteur placé vendredi en redressement judiciaire, a indiqué lundi le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, en renouvelant ses critiques contre le patron du groupe.
Groupe familial basé à Châteaulin (Finistère) et connu pour sa marque "Père Dodu", Doux a été placé à sa demande vendredi en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Quimper.
Cette décision, vivement critiquée par le gouvernement et la banque Barclays, a été prise par Charles Doux, patron du groupe, alors qu'une solution était semble-t-il en cours de finalisation avec la banque pour apporter une bouffée d'air de 35 millions d'euros.
"Vu ce qu'il s'est passé, je pourrais considérer quand même qu'il y a là une discussion qui aura lieu", a déclaré Stéphane Le Foll, interrogé sur Europe 1 pour savoir si M. Doux était encore l'homme de la situation.
"On ne peut pas dire que depuis des années et des mois, il ait montré beaucoup de pertinence dans ses choix industriels, dans ses choix stratégiques et il va falloir qu'il comprenne que, aujourd'hui, si on doit venir en aide (...) ça se fera à des conditions, comme on le dit souvent, du donnant-donnant", a affirmé M. Le Foll. "Nous ferons tout pour faire en sorte d'éviter une catastrophe (...) économique, sociale, et industrielle" et "pour donner une pérennité à l'emploi et à l'élevage (de volailles) dans le grand Ouest", a-t-il assuré.
Avec le groupe désormais placé en redressement judiciaire, "c'est peut-être plus compliqué mais ça permet de remettre les choses à plat", a poursuivi M. Le Foll, soulignant que 40% des poulets consommés en France étaient importés.
Il a précisé que la mission des deux émissaires qui devaient se rendre lundi au chevet du groupe serait avant tout de s'occuper de la situation des éleveurs, la "responsabilité immédiate" du gouvernement, avec ces questions: "Est-ce qu'ils seront payés, les contrats qui ont été signés ont-ils été respectés ou pas?".
Le groupe Doux, plombé par une dette estimée à plus de 430 millions d'euros, emploie 3.400 personnes en France.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mardi 5 juin 2012 19:32 | Par AFPLe maire de Toulouse saisit Montebourg pour sauver le site Freescale
Le maire socialiste de Toulouse Pierre Cohen est intervenu mardi auprès du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg pour empêcher la fermeture complète de l'usine Freescale et sauver une partie des centaines d'emplois en jeu.
Dans un courrier que l'AFP a consulté, le maire presse le ministre de faire en sorte "que le gouvernement examine à nouveau toutes les possibilités envisageables pour éviter la fermeture du site".
Il demande aussi une table ronde avec tous les acteurs concernés "pour débattre de l'avenir de cette entreprise qui constitue un enjeu majeur pour la communauté urbaine".
Il semble s'agir davantage de soutenir un projet de reprise que d'empêcher le départ de Freescale, qui paraît une affaire entendue.
Freescale, géant américain des semi-conducteurs né de la scission des activités de Motorola, a annoncé le 22 avril 2009 la fermeture de son atelier de fabrication toulousain, qui employait alors 821 salariés à la production de composants pour l'industrie automobile et pour les réseaux de communication.
Freescale maintient en revanche à Toulouse son activité Recherche et Développement, qui emploie environ 500 personnes.
La fermeture de l'unité de production a été repoussée à plusieurs reprises pour satisfaire des commandes. Elle est désormais prévue le 10 août. C'est le dernier site de production de Freescale en Europe.
Selon la CGT, syndicat majoritaire sur le site, 572 titulaires travaillent encore à la production, auxquels s'ajoutent environ 500 intérimaires.
L'entreprise fait des bénéfices, mais la production est rapatriée aux Etats-Unis par choix stratégique et financier, dit la CGT.
Dans son courrier, le maire de Toulouse souligne qu'il existe un projet de reprise et que le gouvernement Fillon avait accepté de le soutenir avec 50 millions d'euros d'aide. M. Cohen interroge M. Montebourg sur son évaluation de la faisabilité de ce projet.
Ce projet ne préserverait plus que 235 emplois sur le site, dit Didier Zerbib, de la CGT.
La CGT défend néanmoins ce plan, mais celui-ci se heurte à la mauvaise volonté de Freescale qui n'a pas intérêt à favoriser l'émergence d'un concurrent, selon M. Zerbib.
Quant à la démarche du maire de Toulouse, M. Zerbib a indiqué que la CGT avait écrit à François Hollande et M. Montebourg il y a plusieurs jours, et que M. Cohen était toujours resté sourd aux demandes de rencontre avec les représentants du syndicat.
.
Le maire socialiste de Toulouse Pierre Cohen est intervenu mardi auprès du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg pour empêcher la fermeture complète de l'usine Freescale et sauver une partie des centaines d'emplois en jeu.
Dans un courrier que l'AFP a consulté, le maire presse le ministre de faire en sorte "que le gouvernement examine à nouveau toutes les possibilités envisageables pour éviter la fermeture du site".
Il demande aussi une table ronde avec tous les acteurs concernés "pour débattre de l'avenir de cette entreprise qui constitue un enjeu majeur pour la communauté urbaine".
Il semble s'agir davantage de soutenir un projet de reprise que d'empêcher le départ de Freescale, qui paraît une affaire entendue.
Freescale, géant américain des semi-conducteurs né de la scission des activités de Motorola, a annoncé le 22 avril 2009 la fermeture de son atelier de fabrication toulousain, qui employait alors 821 salariés à la production de composants pour l'industrie automobile et pour les réseaux de communication.
Freescale maintient en revanche à Toulouse son activité Recherche et Développement, qui emploie environ 500 personnes.
La fermeture de l'unité de production a été repoussée à plusieurs reprises pour satisfaire des commandes. Elle est désormais prévue le 10 août. C'est le dernier site de production de Freescale en Europe.
Selon la CGT, syndicat majoritaire sur le site, 572 titulaires travaillent encore à la production, auxquels s'ajoutent environ 500 intérimaires.
L'entreprise fait des bénéfices, mais la production est rapatriée aux Etats-Unis par choix stratégique et financier, dit la CGT.
Dans son courrier, le maire de Toulouse souligne qu'il existe un projet de reprise et que le gouvernement Fillon avait accepté de le soutenir avec 50 millions d'euros d'aide. M. Cohen interroge M. Montebourg sur son évaluation de la faisabilité de ce projet.
Ce projet ne préserverait plus que 235 emplois sur le site, dit Didier Zerbib, de la CGT.
La CGT défend néanmoins ce plan, mais celui-ci se heurte à la mauvaise volonté de Freescale qui n'a pas intérêt à favoriser l'émergence d'un concurrent, selon M. Zerbib.
Quant à la démarche du maire de Toulouse, M. Zerbib a indiqué que la CGT avait écrit à François Hollande et M. Montebourg il y a plusieurs jours, et que M. Cohen était toujours resté sourd aux demandes de rencontre avec les représentants du syndicat.
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Copé donne"rendez-vous
après les législatives"
Le nº1de l’UMPs’adresseauxélecteursduFN

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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mercredi 6 juin 2012 20:54 | Par AFPBouches-du-Rhône: Chassain (UMP) favorable à un dialogue avec le FN pour battre Vauzelle #circo1316
L'UMP Roland Chassain, candidat dans la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône, appelle à s'entendre avec le FN pour faire battre son adversaire socialiste Michel Vauzelle dans des propos à l'hebdomadaire Minute, qu'il a maintenus mercredi soir à l'AFP.
"Ma position est très claire. Il suffit de lire mes propositions pour voir que je suis plus proche de Marine Le Pen que du PS. Si Mme Laupies (Valérie Laupies, candidate du FN, NDLR) est en mesure de gagner, il n'y aura pas de front républicain. Pour moi, c'est tout sauf Vauzelle!", déclare-t-il.
"Il faut que les responsables de l'UMP regardent les choses en face, il faut que les +Parisiens+ sortent de leurs bureaux dorés, qu'ils arpentent les rues et les quartiers... Alors ils comprendront que l'UMP et le FN sont amenés à se côtoyer pour reprendre le pouvoir!", poursuit-il.
Interrogé par l'AFP, le maire des Saintes-Maries-de-la-Mer a
refusé d'évoquer à ce stade un éventuel désistement,
convaincu qu'il ne figurera "pas en troisième position" au soir du premier tour.
IL SEMBLE BIEN QUE L" UMP SANS PROGRAMME EN DEROUTE VA DISPARAITRE SOUS PEU
SOUS LES ANNONCES EXTREMISTES DE SES MEMBRES DESORIENTES

"J'attendrai le 10 au soir et sachez qu'on fera tout pour que Michel Vauzelle ne soit pas élu", a-t-il toutefois répété.
"J'ai toujours été très à droite de la droite, quand je lis le programme de la candidate du FN - non au vote des immigrés, non à l'assistanat... -, c'est mon programme! En Provence, où le Front national est très fort, si on ne dialogue pas, on n'aura demain plus aucun député, plus aucune ville. Il faut qu'on arrête à Paris de nous prendre pour des imbéciles", affirme-t-il encore.
Roland Chassain avait vigoureusement attaqué en février M. Vauzelle sur le terrain des affaires, parfois vieilles de 30 ans, dans une lettre ouverte à Martine Aubry. Il avait battu le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) aux législatives de 2002, avant que celui-ci ne retrouve son siège de député en 2007.
Suite à ces déclarations, Michel Vauzelle tiendra jeudi une conférence de presse en fin de matinée à Marseille, aux côtés de la conseillère générale Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée chargée des personnes handicapées.
.
L'UMP Roland Chassain, candidat dans la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône, appelle à s'entendre avec le FN pour faire battre son adversaire socialiste Michel Vauzelle dans des propos à l'hebdomadaire Minute, qu'il a maintenus mercredi soir à l'AFP.
"Ma position est très claire. Il suffit de lire mes propositions pour voir que je suis plus proche de Marine Le Pen que du PS. Si Mme Laupies (Valérie Laupies, candidate du FN, NDLR) est en mesure de gagner, il n'y aura pas de front républicain. Pour moi, c'est tout sauf Vauzelle!", déclare-t-il.
"Il faut que les responsables de l'UMP regardent les choses en face, il faut que les +Parisiens+ sortent de leurs bureaux dorés, qu'ils arpentent les rues et les quartiers... Alors ils comprendront que l'UMP et le FN sont amenés à se côtoyer pour reprendre le pouvoir!", poursuit-il.
Interrogé par l'AFP, le maire des Saintes-Maries-de-la-Mer a
refusé d'évoquer à ce stade un éventuel désistement,
convaincu qu'il ne figurera "pas en troisième position" au soir du premier tour.
IL SEMBLE BIEN QUE L" UMP SANS PROGRAMME EN DEROUTE VA DISPARAITRE SOUS PEU
SOUS LES ANNONCES EXTREMISTES DE SES MEMBRES DESORIENTES

"J'attendrai le 10 au soir et sachez qu'on fera tout pour que Michel Vauzelle ne soit pas élu", a-t-il toutefois répété.
"J'ai toujours été très à droite de la droite, quand je lis le programme de la candidate du FN - non au vote des immigrés, non à l'assistanat... -, c'est mon programme! En Provence, où le Front national est très fort, si on ne dialogue pas, on n'aura demain plus aucun député, plus aucune ville. Il faut qu'on arrête à Paris de nous prendre pour des imbéciles", affirme-t-il encore.
Roland Chassain avait vigoureusement attaqué en février M. Vauzelle sur le terrain des affaires, parfois vieilles de 30 ans, dans une lettre ouverte à Martine Aubry. Il avait battu le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) aux législatives de 2002, avant que celui-ci ne retrouve son siège de député en 2007.
Suite à ces déclarations, Michel Vauzelle tiendra jeudi une conférence de presse en fin de matinée à Marseille, aux côtés de la conseillère générale Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée chargée des personnes handicapées.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Premier trimestre en perte pour CMA CGM Publié le mercredi 06 juin 2012 à 17H15
Le groupe, n°3 mondial du transport maritime conteneurisé, a acheminé 2,6 millions de conteneurs durant le premier trimestre de 2012. Soit une progression de 13,4% par rapport à la même période de 2011. Son chiffre d'affaires s'établit à 3,6 milliards de dollars (environ 2,8 milliards d'euros). Pour autant, malgré un plan d'économies et des accords de partenariat conclus avec les compagnies MSC et Maersk, le résultat net reste déficitaire de 248 millions de dollars (environ 190 millions d'euros) au terme du premier trimestre. Le groupe, dont le siège social est à Marseille, estime néanmoins que "les perspectives sont en forte amélioration à partir du second semestre". Les taux de fret sont en effet à la hausse et le prix du pétrole est orienté à la baisse
Le groupe, n°3 mondial du transport maritime conteneurisé, a acheminé 2,6 millions de conteneurs durant le premier trimestre de 2012. Soit une progression de 13,4% par rapport à la même période de 2011. Son chiffre d'affaires s'établit à 3,6 milliards de dollars (environ 2,8 milliards d'euros). Pour autant, malgré un plan d'économies et des accords de partenariat conclus avec les compagnies MSC et Maersk, le résultat net reste déficitaire de 248 millions de dollars (environ 190 millions d'euros) au terme du premier trimestre. Le groupe, dont le siège social est à Marseille, estime néanmoins que "les perspectives sont en forte amélioration à partir du second semestre". Les taux de fret sont en effet à la hausse et le prix du pétrole est orienté à la baisse
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
jeudi 7 juin 2012 18:39 | Par AFPL'Afpa, 1er organisme de formation professionnelle, en crise profonde
Les syndicats ont appelé jeudi à "sauver" l'Afpa, alors que ce bras de la formation des salariés et chômeurs, en crise financière et en quête d'une mission claire, est jugé "plus que jamais indispensable" par l'Etat.
Le président de l'Association nationale pour la formation professionnelle des adultes, Jean-Luc Vergne, a annoncé sa démission mercredi au Conseil d'administration de cet organisme majeur de la formation professionnelle (160.000 stagiaires formés en 2011, dont 92.000 demandeurs d'emploi).
Dans le même temps, les 9.000 salariés ont appris que le Comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri), chargé d'aider les entreprises en difficulté, avait été appelé pour accompagner l'Afpa.
L'organisme, cogéré par les partenaires sociaux et l'Etat, a une trésorerie déficitaire et son financement est menacé par les déboires de la banque Dexia.
Le président démissionnaire a expliqué à l'AFP avoir pris cette décision "pour créer un choc psychologique et une prise de conscience" afin "que soit clarifié le pilotage de la formation professionnelle entre l'Etat, les régions et Pôle emploi".
- Démission du président -
L'Etat doit "clairement" dire si l'Afpa, qui n'est plus subventionnée par l'Etat depuis 2009 et dont les syndicats dénoncent le démantèlement progressif, "doit être traitée comme une entreprise concurrentielle". Il a assuré que ses divergences avec le directeur général, Philippe Caïla, n'ont pas pesé dans sa décision.
Pour la CFDT, cette démission "complique un peu plus les choses" et le suivi du Ciri "une première réponse", mais "pas suffisante".
Alors que François Hollande a promis lors de sa campagne d'offrir à chaque chômeur une formation, "ce serait un gâchis que l'Etat, les régions, les syndicats et le patronat ne s'appuient pas sur l'Afpa", estime le syndicat.
"S'appuyer" sur cet organisme pour mettre en oeuvre un "plan d'urgence de formation des demandeurs d'emploi (...) permettrait à l'Afpa de sortir la tête de l'eau", souligne la centrale.
Dans ce moment de turbulence, la direction a jugé que la mobilisation du Ciri était le "signe que l'Etat a décidé d'accompagner la transformation de l'Afpa".
- Etat et régions mobilisés -
Le sursaut espéré par M. Vergne semble s'être produit. Le ministre du Travail, Michel Sapin, et le président de l'Association des régions de France (ARF), Jean-Paul Denanot, ont assuré ensemble que "l'Etat et les régions (étaient) résolus à travailler ensemble" pour que l'Afpa joue "un rôle essentiel pour la qualification des demandeurs d'emploi".
Saluant "l'action déterminée" de M. Vergne pendant quatre ans, ils étrillent "les choix désastreux des gouvernements successifs depuis 2004", en grande partie responsables selon eux des "difficultés importantes de positionnement et de financement" de l'Afpa.
Ils s'engagent à agir d'urgence pour "sécuriser l'accès aux financements" de l'Afpa et promettent d'engager, dans le cadre de la conférence sociale des 9 et 10 juillet, une réflexion sur un "nouveau cadre stratégique" pour l'Afpa, en lien avec une réforme plus globale de la formation.
Le leader de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a demandé jeudi à M. Sapin "une réunion rapide" de tous ces acteurs. "Il n'est pas pensable de laisser mourir l'Afpa" qui "a su depuis plus de 60 ans répondre aux besoins de qualification des salariés et des demandeurs d'emploi", écrit-il.
La CGT souligne pour sa part "le grave danger qu'il y aurait de précipiter l'association dans une double crise financière et politique" au moment où "les pouvoirs publics n'ont peut-être jamais eu autant besoin du savoir-faire de l'Afpa pour faire face à la multiplication des plans sociaux".
La grande plus-value de l'Afpa est notamment de pouvoir loger ses stagiaires sur des campus spécialement dédiés à la formation
Les syndicats ont appelé jeudi à "sauver" l'Afpa, alors que ce bras de la formation des salariés et chômeurs, en crise financière et en quête d'une mission claire, est jugé "plus que jamais indispensable" par l'Etat.
Le président de l'Association nationale pour la formation professionnelle des adultes, Jean-Luc Vergne, a annoncé sa démission mercredi au Conseil d'administration de cet organisme majeur de la formation professionnelle (160.000 stagiaires formés en 2011, dont 92.000 demandeurs d'emploi).
Dans le même temps, les 9.000 salariés ont appris que le Comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri), chargé d'aider les entreprises en difficulté, avait été appelé pour accompagner l'Afpa.
L'organisme, cogéré par les partenaires sociaux et l'Etat, a une trésorerie déficitaire et son financement est menacé par les déboires de la banque Dexia.
Le président démissionnaire a expliqué à l'AFP avoir pris cette décision "pour créer un choc psychologique et une prise de conscience" afin "que soit clarifié le pilotage de la formation professionnelle entre l'Etat, les régions et Pôle emploi".
- Démission du président -
L'Etat doit "clairement" dire si l'Afpa, qui n'est plus subventionnée par l'Etat depuis 2009 et dont les syndicats dénoncent le démantèlement progressif, "doit être traitée comme une entreprise concurrentielle". Il a assuré que ses divergences avec le directeur général, Philippe Caïla, n'ont pas pesé dans sa décision.
Pour la CFDT, cette démission "complique un peu plus les choses" et le suivi du Ciri "une première réponse", mais "pas suffisante".
Alors que François Hollande a promis lors de sa campagne d'offrir à chaque chômeur une formation, "ce serait un gâchis que l'Etat, les régions, les syndicats et le patronat ne s'appuient pas sur l'Afpa", estime le syndicat.
"S'appuyer" sur cet organisme pour mettre en oeuvre un "plan d'urgence de formation des demandeurs d'emploi (...) permettrait à l'Afpa de sortir la tête de l'eau", souligne la centrale.
Dans ce moment de turbulence, la direction a jugé que la mobilisation du Ciri était le "signe que l'Etat a décidé d'accompagner la transformation de l'Afpa".
- Etat et régions mobilisés -
Le sursaut espéré par M. Vergne semble s'être produit. Le ministre du Travail, Michel Sapin, et le président de l'Association des régions de France (ARF), Jean-Paul Denanot, ont assuré ensemble que "l'Etat et les régions (étaient) résolus à travailler ensemble" pour que l'Afpa joue "un rôle essentiel pour la qualification des demandeurs d'emploi".
Saluant "l'action déterminée" de M. Vergne pendant quatre ans, ils étrillent "les choix désastreux des gouvernements successifs depuis 2004", en grande partie responsables selon eux des "difficultés importantes de positionnement et de financement" de l'Afpa.
Ils s'engagent à agir d'urgence pour "sécuriser l'accès aux financements" de l'Afpa et promettent d'engager, dans le cadre de la conférence sociale des 9 et 10 juillet, une réflexion sur un "nouveau cadre stratégique" pour l'Afpa, en lien avec une réforme plus globale de la formation.
Le leader de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a demandé jeudi à M. Sapin "une réunion rapide" de tous ces acteurs. "Il n'est pas pensable de laisser mourir l'Afpa" qui "a su depuis plus de 60 ans répondre aux besoins de qualification des salariés et des demandeurs d'emploi", écrit-il.
La CGT souligne pour sa part "le grave danger qu'il y aurait de précipiter l'association dans une double crise financière et politique" au moment où "les pouvoirs publics n'ont peut-être jamais eu autant besoin du savoir-faire de l'Afpa pour faire face à la multiplication des plans sociaux".
La grande plus-value de l'Afpa est notamment de pouvoir loger ses stagiaires sur des campus spécialement dédiés à la formation
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
LE RACISME TOUJOURS ET ENCORE
DE DETRAQUES PRIMAIRES SANS CERVEAU
Cris de singe à l'entraînement
Le 08/06/2012 | Mis à jour le 08/06/2012 12:40:57
Van Bommel a affirmé avoir entendu des cris de singe lors d'un entraînement ouvert au public.
C'est la première tâche de cet Euro 2012. Des cris de singe ont été entendus lors d'un entraînement des Pays-Bas ouvert au public dans la semaine.
L'UEFA a indiqué avoir été informée seulement vendredi matin des incidents qui ont émaillé l'entraînement des Pays-Bas mercredi à Cracovie. Elle a également précisé que les Pays-Bas ne déposaient pas plainte. Quelques chants racistes ont été entonnés alors que les Oranje s'entraînaient en public. «On a tous entendu des cris de singe», déclare de son côté Mark Van Bommel, le capitaine de la sélection, dans un entretien accordé vendredi au journal néerlandais de référence De Telegraaf.
Marcin Herra, le chef des organisateurs polonais, a relativisé l'incident dans la foulée, en précisant que ces cris racistes n'étaient le fait que d'une seule personne. «Une personne parmi 25 000 ne peut pas gâcher la fête. Nous allons suivre ce genre d'incidents de façon très attentive, mais il ne faut pas renverser les proportions. Nous allons discuter tranquillement avec l'UEFA de cet incident pour connaître l'ensemble de la situation, afin d'éviter l'escalade de ce genre de sujets, a poursuivi Herra. La Pologne est un pays très hospitalier et ouvert. Selon les gens de l'UEFA, les entraînements des équipes en Pologne sont les plus sympathiques de tous les tournois jusqu'à présents».
La ministre des sports polonaise Joanna Mucha parle elle d'un petit groupe d'individus isolés et espère que les joueurs se souviendront de l'accueil réservé par le reste du public présent lors de cette séance : «Cet incident a été éclipsé par 24 000 supporters qui ne l'ont pas soutenu et qui se sont opposés à ce que faisait un petit groupe. J'espère que c'est justement cela qui a été retenu par les joueurs».
DE DETRAQUES PRIMAIRES SANS CERVEAU
Cris de singe à l'entraînement
Le 08/06/2012 | Mis à jour le 08/06/2012 12:40:57
Van Bommel a affirmé avoir entendu des cris de singe lors d'un entraînement ouvert au public.
C'est la première tâche de cet Euro 2012. Des cris de singe ont été entendus lors d'un entraînement des Pays-Bas ouvert au public dans la semaine.
L'UEFA a indiqué avoir été informée seulement vendredi matin des incidents qui ont émaillé l'entraînement des Pays-Bas mercredi à Cracovie. Elle a également précisé que les Pays-Bas ne déposaient pas plainte. Quelques chants racistes ont été entonnés alors que les Oranje s'entraînaient en public. «On a tous entendu des cris de singe», déclare de son côté Mark Van Bommel, le capitaine de la sélection, dans un entretien accordé vendredi au journal néerlandais de référence De Telegraaf.
Marcin Herra, le chef des organisateurs polonais, a relativisé l'incident dans la foulée, en précisant que ces cris racistes n'étaient le fait que d'une seule personne. «Une personne parmi 25 000 ne peut pas gâcher la fête. Nous allons suivre ce genre d'incidents de façon très attentive, mais il ne faut pas renverser les proportions. Nous allons discuter tranquillement avec l'UEFA de cet incident pour connaître l'ensemble de la situation, afin d'éviter l'escalade de ce genre de sujets, a poursuivi Herra. La Pologne est un pays très hospitalier et ouvert. Selon les gens de l'UEFA, les entraînements des équipes en Pologne sont les plus sympathiques de tous les tournois jusqu'à présents».
La ministre des sports polonaise Joanna Mucha parle elle d'un petit groupe d'individus isolés et espère que les joueurs se souviendront de l'accueil réservé par le reste du public présent lors de cette séance : «Cet incident a été éclipsé par 24 000 supporters qui ne l'ont pas soutenu et qui se sont opposés à ce que faisait un petit groupe. J'espère que c'est justement cela qui a été retenu par les joueurs».
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Solution en vue pour
l’Association provençale
Créée en 1949, l’Association
provençale d’aide familiale
(Apaf) emploie 300 personnes à
Marseille et dans les Bouches-
du-Rhône et en accompagne
un millier d’autres.
À Marseille elle gère notamment
3 crèches (Château Gombert,
Cabot…). Mais des travaux
imprévus et de l’argent
non versé par les institutions
l’ont mise en difficulté. Pour
continuer à verser les salaires,
l’Apaf a cessé de payer les charges
sociales. La solution pour le
président, c’était comme il le disait
dans La Provence du 23
mai, le dépôt de bilan. Le tribunal
doit examiner le 12 juin la situationde
l’association.
Mais une solution s’est profilée
à l’issue de la table ronde
qui s’est tenue hier matin, sous
l’autorité du Conseil général,
en présence des représentants
du personnel et de la direction
de l’Apaf. "La concertationapermis
de trouver des solutions de
redressement possible pour
l’association", indique leDépartement.
LeConseil général a sollicité
le Trésor public au sujet
des règlements des créances
dues à l’Apaf. Le président du
Département a interpellé la Pairie
départementale au sujet des
graves dysfonctionnements
qu’ e l l e r encont r e dans
l’acquittement de ses paiements.
Il s’est engagé à apporter une
aide spécifique à l’Apaf, via une
réflexion tarifaire et la mise à
disposition de son expertise,
pour aider à la viabilité de son
activité, dans un contexte difficile
pour l’ensemble du secteur
médico social. En contrepartie,
la collectivité demande à
l’association de mettre en place
une organisation plus adaptée
aux exigences liées à ses activités.
"L’Apaf n’est pas un cas isolé,
a souligné leDépartement. Une
réforme structurelle du secteur
médical social et de l’aide à domicile
est indispensable pour
aider ces opérateurs publics à
poursuivre leurs activités".
Le Conseil général souhaite
organiser à la rentrée des assises
consacrées à ces métiers de
l’aide à domicile et aux personnes.
l’Association provençale
Créée en 1949, l’Association
provençale d’aide familiale
(Apaf) emploie 300 personnes à
Marseille et dans les Bouches-
du-Rhône et en accompagne
un millier d’autres.
À Marseille elle gère notamment
3 crèches (Château Gombert,
Cabot…). Mais des travaux
imprévus et de l’argent
non versé par les institutions
l’ont mise en difficulté. Pour
continuer à verser les salaires,
l’Apaf a cessé de payer les charges
sociales. La solution pour le
président, c’était comme il le disait
dans La Provence du 23
mai, le dépôt de bilan. Le tribunal
doit examiner le 12 juin la situationde
l’association.
Mais une solution s’est profilée
à l’issue de la table ronde
qui s’est tenue hier matin, sous
l’autorité du Conseil général,
en présence des représentants
du personnel et de la direction
de l’Apaf. "La concertationapermis
de trouver des solutions de
redressement possible pour
l’association", indique leDépartement.
LeConseil général a sollicité
le Trésor public au sujet
des règlements des créances
dues à l’Apaf. Le président du
Département a interpellé la Pairie
départementale au sujet des
graves dysfonctionnements
qu’ e l l e r encont r e dans
l’acquittement de ses paiements.
Il s’est engagé à apporter une
aide spécifique à l’Apaf, via une
réflexion tarifaire et la mise à
disposition de son expertise,
pour aider à la viabilité de son
activité, dans un contexte difficile
pour l’ensemble du secteur
médico social. En contrepartie,
la collectivité demande à
l’association de mettre en place
une organisation plus adaptée
aux exigences liées à ses activités.
"L’Apaf n’est pas un cas isolé,
a souligné leDépartement. Une
réforme structurelle du secteur
médical social et de l’aide à domicile
est indispensable pour
aider ces opérateurs publics à
poursuivre leurs activités".
Le Conseil général souhaite
organiser à la rentrée des assises
consacrées à ces métiers de
l’aide à domicile et aux personnes.
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ANGELA L"AUSTERE COPINE DE SARKO PERD SES VERS HEU..


Zone euro: Moody's pourrait abaisser la note de plusieurs pays, dont l'Allemagne
Angela Merkel le 8 juin 2012 à Berlin L'évolution de la situation de la Grèce et de l'Espagne pourrait inciter Moody's à abaisser la note de nombreux pays de la zone euro, y compris celle de pays bénéficiant de la note maximale Aaa comme la France ou l'Allemagne, a prévenu l'agence de notation financière vendredi.
"Les récents développements en Espagne et en Grèce pourraient mener à des mesures sur les notes de beaucoup de pays de la zone euro", a indiqué Moody's dans un communiqué.
En particulier, une sortie de la Grèce de la zone euro pourrait mener à des pressions supplémentaires sur les notes des pays de la région, poursuit l'agence de notation.
Elle se traduirait par des pertes substantielles pour les investisseurs en titres grecs, à la fois directement à cause de la conversion de l'euro en devise locale et aussi indirectement à cause des fortes perturbations macroéconomiques qui s'ensuivraient, estime Moody's.
Le risque d'une sortie de la Grèce de la zone euro menace particulièrement les notes de crédit de Chypre (Ba1, perspectives négatives), du Portugal (Ba3, perspectives négatives), de l'Irlande (Ba1, perspectives négatives), de l'Italie (A3, perspectives négatives) et de l'Espagne (A3, perspectives négatives).
Si la Grèce devait sortir de l'euro, menaçant la survie même de la monnaie unique, Moody's "examinerait toutes les notes des pays de la zone, y compris celle des pays notés Aaa", la note la plus élevée, comme l'Allemagne et la France.
Les autres pays de la zone euro bénéficiant de la note maximale Aaa chez Moody's sont l'Autriche, la Finlande, le Luxembourg et les Pays-Bas.
A l'inverse, selon Moody's, "le problème bancaire de l'Espagne est largement spécifique et ne devrait pas représenter une source majeure de contagion vers d'autres pays de la zone euro, à l'exception de l'Italie, qui dépend elle aussi de plus en plus de la Banque centrale européenne pour son financement à travers ses banques".
Jeudi, l'agence de notation Fitch, concurrente de Moody's, avait infligé une lourde sanction à l'Espagne en abaissant sa note de trois crans, à BBB.
Une réunion samedi de hauts fonctionnaires de la zone euro, consacrée à un plan de recapitalisation européen des banques espagnoles, était dans l'air à Bruxelles.
Lundi, le Fonds monétaire international (FMI) devrait publier un rapport chiffrant selon les médias à 40 milliards d'euros les besoins des banques espagnoles.
Du côté de la Grèce, les partenaires et bailleurs de fonds du pays, UE et FMI, ont multiplié ces dernières semaines les avertissements contre un reniement par Athènes de ses engagements de rigueur, menaçant de lui couper les vivres, alors que le pays se rend à nouveau aux urnes le 17 juin.
La chancelière allemande Angela Merkel a répété vendredi que pour que la Grèce reste dans l'euro, "la condition est que le prochain gouvernement grec respecte le mémorandum signé avec le FMI, la BCE et la Commission européenne".
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Préavis de grève à la SNCM et à la Méridionale pour le 15 juin
Le syndicat CGT des marins de la SNCM et de la Méridionale a déposé un préavis de grève de 24 heures pour le 15 juin "dans tous les ports de la continuité territoriale ainsi que Toulon, Nice, Marseille, et également pour toutes autres destinations", a-t-on appris samedi.
Ce préavis de grève, lancé à l'appel de la Fédération des syndicats maritimes CGT, est justifié par le refus du nouveau ministre des Transports et de l'Economie maritime, Frédéric Cuvillier, de répondre aux sollicitations du syndicat, précise la CGT dans un communiqué.
Le syndicat ajoute que, malgré la grève du 2 mai (qui avait duré sept jours, NDLR), "le déplacement d'une centaine de marins à Paris le 4 mai", "l'engagement du parti socialiste (...) d'une rencontre avec les personnages les plus importants en matière maritime le 9 mai, puis le 15 mai" (avant d'être reportée pour cause d'investiture présidentielle, NDLR), aucune date de réunion ne leur a été à ce jour proposée.
De plus, le syndicat critique l'attitude de M. Cuvillier concernant la proposition de loi déposée au Sénat le 22 mars dernier par le groupe communiste républicain et citoyen, imposant le pavillon français de premier registre à toutes les compagnies françaises basées en France qui opèrent dans les secteurs de navigation exclus du Registre International Français. Le ministre avait déclaré qu'il fallait "vérifier son euro-comptabilité", en parlant "d'une politique de l'emploi au-delà du pavillon", dans une interview du 25 mai au journal Le Marin.
La CGT réclame l'application des lois sociales françaises à bord des navires de la compagnie privée Corsica Ferries, battant pavillon italien et dont les équipages sont multinationaux. En mai, la grève à la SNCM (Société nationale Corse Méditerranée) et à la Méridionale (ex-CMN) avait paralysé le trafic entre Corse et continent pendant sept jours, affectant environ 26.000 passagers et empêchant le transport de 2.000 remorques pour une perte de revenus comprise entre 2 et 3 millions d'euros, selon ces deux compagnies maritimes.
.
Le syndicat CGT des marins de la SNCM et de la Méridionale a déposé un préavis de grève de 24 heures pour le 15 juin "dans tous les ports de la continuité territoriale ainsi que Toulon, Nice, Marseille, et également pour toutes autres destinations", a-t-on appris samedi.
Ce préavis de grève, lancé à l'appel de la Fédération des syndicats maritimes CGT, est justifié par le refus du nouveau ministre des Transports et de l'Economie maritime, Frédéric Cuvillier, de répondre aux sollicitations du syndicat, précise la CGT dans un communiqué.
Le syndicat ajoute que, malgré la grève du 2 mai (qui avait duré sept jours, NDLR), "le déplacement d'une centaine de marins à Paris le 4 mai", "l'engagement du parti socialiste (...) d'une rencontre avec les personnages les plus importants en matière maritime le 9 mai, puis le 15 mai" (avant d'être reportée pour cause d'investiture présidentielle, NDLR), aucune date de réunion ne leur a été à ce jour proposée.
De plus, le syndicat critique l'attitude de M. Cuvillier concernant la proposition de loi déposée au Sénat le 22 mars dernier par le groupe communiste républicain et citoyen, imposant le pavillon français de premier registre à toutes les compagnies françaises basées en France qui opèrent dans les secteurs de navigation exclus du Registre International Français. Le ministre avait déclaré qu'il fallait "vérifier son euro-comptabilité", en parlant "d'une politique de l'emploi au-delà du pavillon", dans une interview du 25 mai au journal Le Marin.
La CGT réclame l'application des lois sociales françaises à bord des navires de la compagnie privée Corsica Ferries, battant pavillon italien et dont les équipages sont multinationaux. En mai, la grève à la SNCM (Société nationale Corse Méditerranée) et à la Méridionale (ex-CMN) avait paralysé le trafic entre Corse et continent pendant sept jours, affectant environ 26.000 passagers et empêchant le transport de 2.000 remorques pour une perte de revenus comprise entre 2 et 3 millions d'euros, selon ces deux compagnies maritimes.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Copé se réjouit du "score" de l'UMP
Union des Mauvais Perdants UMP

delphine98Il y a 5 heuresj'y comprend rien il est toujours content la droite a perdu les élections national mais lui il a jamais perdu il est très content ! aux législatives l'ump n'a pas la majorité au 1er tour et il a encore gagné et il est très content ! Et la semaine prochaine si la droite n'a pas la majorité lui il n'aura toujours pas perdu il sera encore très très content !! c'est pas beau sa et ça veut se présenter aux présidentielle en 2017 y a quant même du mauvais sang a se faire !!
L'UMP emporte un score qui, d'après les estimations, est supérieur à celui du Parti socialiste", a déclaré M. Copé sur France 2. "Les choses ne sont peut-être pas aussi simples et binaires que l'on veut le dire en ce début de soirée".
"Les jeux ne sont pas si faits que cela", a relevé M. Copé, appelant à la "mobilisation générale des Françaises et des Français qui ne veulent pas que tous les oeufs soient mis dans le même panier".
En ce qui concerne le second tour, le patron de l'UMP a rappelé qu'il n'y aurait "pas d'alliance avec le Front national du point de vue électoral, ça c'est clair".
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
L'Etat condamné pour sa justice trop lente Publié le lundi 11 juin 2012 à 17H22
Le tribunal de Tarascon a condamné l'Etat à verser 5000 euros plus 500 euros au titre de l'article 700 du code de procédure civile à chacun des 18 ex-salariés de la société Linpac située à Tarascon. Ces derniers contestant leur licenciement avaient saisi le Conseil des prud'hommes d'Arles 28 juillet 2009.
Les magistrats ont estimé que les 16 mois écoulés entre l'audience devant le juge départiteur et le procès verbal de partage des voix, et plus de 26 mois après la saisine du Conseil, n'était pas raisonnable, soulignant les conséquences directes d'une telle attente sur des personnes en situation précaire
Le tribunal de Tarascon a condamné l'Etat à verser 5000 euros plus 500 euros au titre de l'article 700 du code de procédure civile à chacun des 18 ex-salariés de la société Linpac située à Tarascon. Ces derniers contestant leur licenciement avaient saisi le Conseil des prud'hommes d'Arles 28 juillet 2009.
Les magistrats ont estimé que les 16 mois écoulés entre l'audience devant le juge départiteur et le procès verbal de partage des voix, et plus de 26 mois après la saisine du Conseil, n'était pas raisonnable, soulignant les conséquences directes d'une telle attente sur des personnes en situation précaire
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Les Rangers proches de la liquidation
Le 12/06/2012 | Mis à jour le 12/06/2012 18:47:00
Le fisc britannique, qui a un contentieux avec les Glasgow Rangers pour des sommes qui pourraient atteindre 75 millions de livres, a rejeté en début de semaine le plan de reprise du club présenté par l'homme d'affaires Charles Green. «Une liquidation offre les meilleures perspectives de protection des contribuables en permettant de se retourner contre les responsables des finances de la compagnie ces dernières années. Les Rangers pourraient prendre un nouveau départ», ont expliqué les autorités fiscales dans un communiqué.
Green, ancien président de Sheffield United, devrait maintenant racheter les actifs du club pour 5,5 millions de livres (6,85 millions d'euros) et créer une nouvelle société pour que l'équipe puisse survivre. «Cette transaction sera effectuée dans les prochains jours», a déclaré Paul Clarke, l'un des co-administrateurs du club depuis son placement en redressement judiciaire en février dernier. Dans ce cas, le maintien des Rangers dans l'élite du football écossais serait soumis à l'approbation des autres clubs de la Scottish Premier League. Ils seraient par ailleurs exclus des compétitions européennes pendant trois ans
Le 12/06/2012 | Mis à jour le 12/06/2012 18:47:00
Le fisc britannique, qui a un contentieux avec les Glasgow Rangers pour des sommes qui pourraient atteindre 75 millions de livres, a rejeté en début de semaine le plan de reprise du club présenté par l'homme d'affaires Charles Green. «Une liquidation offre les meilleures perspectives de protection des contribuables en permettant de se retourner contre les responsables des finances de la compagnie ces dernières années. Les Rangers pourraient prendre un nouveau départ», ont expliqué les autorités fiscales dans un communiqué.
Green, ancien président de Sheffield United, devrait maintenant racheter les actifs du club pour 5,5 millions de livres (6,85 millions d'euros) et créer une nouvelle société pour que l'équipe puisse survivre. «Cette transaction sera effectuée dans les prochains jours», a déclaré Paul Clarke, l'un des co-administrateurs du club depuis son placement en redressement judiciaire en février dernier. Dans ce cas, le maintien des Rangers dans l'élite du football écossais serait soumis à l'approbation des autres clubs de la Scottish Premier League. Ils seraient par ailleurs exclus des compétitions européennes pendant trois ans
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
: jeudi 14 juin 2012 06:12 | Par AFPMoody's abaisse la note l'Espagne, au bord de la catégorie spéculative, et celle de Chypre
L'agence d'évaluation financière Moody's a abaissé mercredi la note d'endettement de long terme de l'Espagne de trois crans, à "Baa3", juste au-dessus de la catégorie "spéculative", et a également dégradé celle de Chypre.
Moody's a prévenu que cette note pourrait tomber dans cette catégorie à l'issue d'une nouvelle période d'examen qui doit durer au maximum trois mois.
L'agence a invoqué dans un communiqué le plan d'aide européen de 100 milliards d'euros pour le secteur bancaire espagnol, décidé vendredi, qui selon elle "accroîtra encore le poids de la dette supporté par le pays".
De plus, a souligné Moody's, "l'Etat espagnol a un accès très limité aux marchés financiers, comme le montrent à la fois le fait qu'il compte sur le FESF et le MES [les mécanismes anticrise de la zone euro, ndlr] pour ses fonds de recapitalisation et sa dépendance croissance vis-à-vis de ses banques nationales comme acheteurs prioritaires de ses émissions obligataires, lesquelles à leur tour obtiennent leurs financements de la BCE" (Banque centrale européenne).
Enfin, "la faiblesse persistante de l'économie espagnole fait de la dégradation de la solidité financière du gouvernement et de sa vulnérabilité croissante à un arrêt soudain des financements, une inquiétude bien plus grave que s'il y avait un espoir raisonnable de croissance économique vigoureuse dans les quelques années à venir", a considéré Moody's.
La décision de Moody's est une sanction sévère envers le gouvernement du conservateur Mariano Rajoy, qui s'est battu depuis sa prise de fonctions en décembre pour faire la preuve de sa capacité à ne pas faire appel à l'aide internationale.
Quand M. Rajoy a pris le pouvoir, la note de l'Espagne chez Moody's était de cinq crans supérieure, à "A1".
Quant à Chypre, Moody's a abaissé de deux crans la note d'endettement de long terme à "Ba3", l'enfonçant encore plus loin en catégorie "spéculative".
Moody's a prévenu que la note de Chypre restait sous examen en vue d'un éventuel abaissement. L'agence veut "évaluer les risques substantiels pour le secteur bancaire et l'Etat provenant d'une sortie de la Grèce de la zone euro", après les élections législatives grecques prévues dimanche.
"La raison principale du changement de note aujourd'hui [mercredi] est la hausse concrète de la probabilité d'une sortie de la Grèce de la zone euro, et de ce fait l'augmentation du montant probable du soutien que le gouvernement pourrait devoir accorder aux banques chypriotes", a expliqué l'agence.
La note de "Ba3" correspond à un emprunteur pouvant faire face à ses engagements dans des circonstances normales mais présentant certains risques pour les créanciers.
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L'agence d'évaluation financière Moody's a abaissé mercredi la note d'endettement de long terme de l'Espagne de trois crans, à "Baa3", juste au-dessus de la catégorie "spéculative", et a également dégradé celle de Chypre.
Moody's a prévenu que cette note pourrait tomber dans cette catégorie à l'issue d'une nouvelle période d'examen qui doit durer au maximum trois mois.
L'agence a invoqué dans un communiqué le plan d'aide européen de 100 milliards d'euros pour le secteur bancaire espagnol, décidé vendredi, qui selon elle "accroîtra encore le poids de la dette supporté par le pays".
De plus, a souligné Moody's, "l'Etat espagnol a un accès très limité aux marchés financiers, comme le montrent à la fois le fait qu'il compte sur le FESF et le MES [les mécanismes anticrise de la zone euro, ndlr] pour ses fonds de recapitalisation et sa dépendance croissance vis-à-vis de ses banques nationales comme acheteurs prioritaires de ses émissions obligataires, lesquelles à leur tour obtiennent leurs financements de la BCE" (Banque centrale européenne).
Enfin, "la faiblesse persistante de l'économie espagnole fait de la dégradation de la solidité financière du gouvernement et de sa vulnérabilité croissante à un arrêt soudain des financements, une inquiétude bien plus grave que s'il y avait un espoir raisonnable de croissance économique vigoureuse dans les quelques années à venir", a considéré Moody's.
La décision de Moody's est une sanction sévère envers le gouvernement du conservateur Mariano Rajoy, qui s'est battu depuis sa prise de fonctions en décembre pour faire la preuve de sa capacité à ne pas faire appel à l'aide internationale.
Quand M. Rajoy a pris le pouvoir, la note de l'Espagne chez Moody's était de cinq crans supérieure, à "A1".
Quant à Chypre, Moody's a abaissé de deux crans la note d'endettement de long terme à "Ba3", l'enfonçant encore plus loin en catégorie "spéculative".
Moody's a prévenu que la note de Chypre restait sous examen en vue d'un éventuel abaissement. L'agence veut "évaluer les risques substantiels pour le secteur bancaire et l'Etat provenant d'une sortie de la Grèce de la zone euro", après les élections législatives grecques prévues dimanche.
"La raison principale du changement de note aujourd'hui [mercredi] est la hausse concrète de la probabilité d'une sortie de la Grèce de la zone euro, et de ce fait l'augmentation du montant probable du soutien que le gouvernement pourrait devoir accorder aux banques chypriotes", a expliqué l'agence.
La note de "Ba3" correspond à un emprunteur pouvant faire face à ses engagements dans des circonstances normales mais présentant certains risques pour les créanciers.
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mercredi 13 juin 2012 13:26 | Par AFPLa Cour des comptes enquête sur la gestion de Sciences-Po Paris
La Cour des comptes a déclenché fin 2011 un contrôle sur la gestion de Sciences-Po Paris, mais a jugé "très prématurées" les conclusions révélées mercredi par le Monde faisant état d'une mauvaise gestion de l'équipe de l'ancien directeur Richard Descoing, décédé début avril.
La Cour des compte a indiqué à l'AFP, par l'intermédiaire de son service de presse, qu'il n'y avait à l'heure actuelle "pas de rapport" de la Cour des comptes, et qu'aucune date n'était connue pour une éventuelle remise de rapport, et encore moins pour une publication.
Dans son édition de jeudi, Le Monde indique que "selon des informations confidentielles, l'enquête (de la Cour des comptes) remet gravement en cause la gestion de l'ancienne équipe et (souligne) notamment des avantages en nature indus (comme la mise à disposition de logements, des frais de déplacements trop élevés, etc.)".
La Cour des comptes n'a pas voulu confirmer ces informations, qu'elle a jugé "très prématurées", soulignant simplement que ses contrôles passent par plusieurs étapes de rapports provisoires, et sont soumis à la contradiction avant d'être validés.
Elle rappelle que ce contrôle est une procédure normale, qu'il n'a pas été commandité, et qu'il fait suite à un précédent contrôle réalisé "il y a sept ou huit ans".
Ces informations interviennent alors que les candidats à la succession de Richard Descoings, mort le 3 avril à New York d'une crise cardiaque, ont jusqu'à vendredi pour présenter leur candidature, l'école souhaitant pourvoir le poste avant octobre.
Parmi les candidats, devrait notamment se trouver le directeur adjoint de Sciences-Po Paris, Hervé Crès, 44 ans, nommé administrateur provisoire de l'établissement.
D'autres noms circulent: Dominique Reynié, professeur à l'IEP, l'historien Benjamin Stora et l'actuel directeur général de l'enseignement scolaire au ministère de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer.
L'institution parisienne avait connu des remous fin 2011, lorsque le site Mediapart avait révélé que des primes d'un montant total de 292.000 euros avaient été versées en 2011 aux onze membres du comité exécutif de Sciences Po, dont Richard Descoings.
Ce dernier avait finalement expliqué quelques semaines plus tard qu'il gagnait 24.000 euros nets par mois, plus une prime dont il avait refusé de dévoiler le montant.
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La Cour des comptes a déclenché fin 2011 un contrôle sur la gestion de Sciences-Po Paris, mais a jugé "très prématurées" les conclusions révélées mercredi par le Monde faisant état d'une mauvaise gestion de l'équipe de l'ancien directeur Richard Descoing, décédé début avril.
La Cour des compte a indiqué à l'AFP, par l'intermédiaire de son service de presse, qu'il n'y avait à l'heure actuelle "pas de rapport" de la Cour des comptes, et qu'aucune date n'était connue pour une éventuelle remise de rapport, et encore moins pour une publication.
Dans son édition de jeudi, Le Monde indique que "selon des informations confidentielles, l'enquête (de la Cour des comptes) remet gravement en cause la gestion de l'ancienne équipe et (souligne) notamment des avantages en nature indus (comme la mise à disposition de logements, des frais de déplacements trop élevés, etc.)".
La Cour des comptes n'a pas voulu confirmer ces informations, qu'elle a jugé "très prématurées", soulignant simplement que ses contrôles passent par plusieurs étapes de rapports provisoires, et sont soumis à la contradiction avant d'être validés.
Elle rappelle que ce contrôle est une procédure normale, qu'il n'a pas été commandité, et qu'il fait suite à un précédent contrôle réalisé "il y a sept ou huit ans".
Ces informations interviennent alors que les candidats à la succession de Richard Descoings, mort le 3 avril à New York d'une crise cardiaque, ont jusqu'à vendredi pour présenter leur candidature, l'école souhaitant pourvoir le poste avant octobre.
Parmi les candidats, devrait notamment se trouver le directeur adjoint de Sciences-Po Paris, Hervé Crès, 44 ans, nommé administrateur provisoire de l'établissement.
D'autres noms circulent: Dominique Reynié, professeur à l'IEP, l'historien Benjamin Stora et l'actuel directeur général de l'enseignement scolaire au ministère de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer.
L'institution parisienne avait connu des remous fin 2011, lorsque le site Mediapart avait révélé que des primes d'un montant total de 292.000 euros avaient été versées en 2011 aux onze membres du comité exécutif de Sciences Po, dont Richard Descoings.
Ce dernier avait finalement expliqué quelques semaines plus tard qu'il gagnait 24.000 euros nets par mois, plus une prime dont il avait refusé de dévoiler le montant.
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Clinique des 3 Lucs : les grévistes obtiennent satisfaction Publié le vendredi 15 juin 2012 à 08H46
Après 25 jours d'une grève tendue mais très mobilisatrice, les salariés de la Clinique privée des 3 Lucs ont finalement réussi à infléchir les positions de leur direction. "Devant la détermination du personnel, qui a compté près de 100 % de soignants mobilisés, le groupe Orpéa Clinéa a été obligé d'ouvrir des négociations sur les revendications des personnels", raconte l'intersyndicale FO-CGT. Et de se féliciter : "Nous avons obtenu satisfaction sur l'ensemble des points soulevés ! Dont le maintien de l'organisation en binôme avec un aide-soignant et un infirmier pour mener nos missions et la présence de cinq personnes chaque nuit dans la clinique". De plus", insiste encore l'intersyndicale, "la Direction s'est engagée à associer les représentants du personnel à l'élaboration d'une nouvelle organisation". Hier matin, les salariés ont donc repris le travail, tout en promettant de "rester vigilants".
Après 25 jours d'une grève tendue mais très mobilisatrice, les salariés de la Clinique privée des 3 Lucs ont finalement réussi à infléchir les positions de leur direction. "Devant la détermination du personnel, qui a compté près de 100 % de soignants mobilisés, le groupe Orpéa Clinéa a été obligé d'ouvrir des négociations sur les revendications des personnels", raconte l'intersyndicale FO-CGT. Et de se féliciter : "Nous avons obtenu satisfaction sur l'ensemble des points soulevés ! Dont le maintien de l'organisation en binôme avec un aide-soignant et un infirmier pour mener nos missions et la présence de cinq personnes chaque nuit dans la clinique". De plus", insiste encore l'intersyndicale, "la Direction s'est engagée à associer les représentants du personnel à l'élaboration d'une nouvelle organisation". Hier matin, les salariés ont donc repris le travail, tout en promettant de "rester vigilants".
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION

Morano piégée par Dahan et taclée par Fillon
canular
Nadine Morano, candidate à Toul./ L'humoriste Gérald Dahan a piégé hier Nadine Morano sur l'antenne de Sud Radio en se faisant passer pour Louis Aliot, le numéro deux du Front national. L'ex-ministre de Nicolas Sarkozy déclare notamment reconnaître « beaucoup de talents à Marine Le Pen » et tient des propos virulents sur la gauche : « Ils vont nous foutre la France dans une merde comme jamais, ils vont nous mettre le droit de vote des étrangers, vous vous rendez compte ? J'ai pas envie que ça devienne le Liban chez moi ! »
Dénonçant un « montage » et une « opération politique », Nadine Morano a annoncé son intention de porter plainte contre l'imitateur, qui est à ses yeux un « militant socialiste ». Gérald Dahan avait annoncé publiquement en mars qu'il voterait François Hollande à la présidentielle.
L'ancien Premier ministre François Fillon a estimé hier sur son compte Twitter que « Nadine Morano aurait dû raccrocher tout de suite car on ne parle pas aux dirigeants du FN ».
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
UN JEUNE DE 15 ANS QUI VIOLE UNE MAMIE DE 83 ANS .. HONTE A LUI
SI JE SUIS DE LA FAMILLE DE CETTE MAMIE
JE LUI MET UNE BALLE DANS LA TETE ILLICO ..SANS PROCES
RETABLIR LA PEINE DE MORT POUR CE TYPE DE MEFAIT .. MOI JE DIS OUI
mineur soupçonné de viol a été mis en examen samedi 16 juin 2012 à 17H38
L’adolescent âgé de 15 ans, soupçonné d’avoir violé une octogénaire le 3 juin dernier, à Belsunce, dans le centre-ville a été mis en examen hier. Il est poursuivi pour "viol sur personne vulnérable" et "vol aggravé par violence sur personne vulnérable". Le Parquet de Marseille a requis son incarcération à l’établissement pénitentiaire pour mineurs de La Valentine à Marseille. Le suspect avait été interpellé vendredi matin, à proximité du domicile de ses parents, dans le centre-ville. Selon le procureur adjoint, Michel Raffin, "un certain nombre d’éléments, dont des traces ADN", auraient permis de confondre l’adolescent, identifié grâce au fichier national des empreintes génétiques.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Le coup de gueule des salariés de Fralib1 contribution Publié le lundi 18 juin 2012 à 10H14
Hier, les syndicats CGT CFE-CGC, élus et représentants au CE Fralib Gémenos, ont demandé à France Info de diffuser un droit de réponse au P.-d.g d'Unilever. "Nous avons pris connaissance de l'interview accordée par le P.-d.g. d'Unilever France sur l'antenne de France Info, le vendredi 15 juin.
"Nous sommes scandalisés qu'un homme ayant des responsabilités aussi importantes dans un groupe international de la dimension d'Unilever puisse accumuler en si peu de temps autant de contre-vérités, d'omissions et de mensonges. Nous demandons à France Info le droit de réponse et donc de pouvoir intervenir dans les mêmes conditions pour rétablir les réalités vécues par les salariés de Fralib et rétablir les vérités et les raisons concernant notre projet de Scop."
Hier, les syndicats CGT CFE-CGC, élus et représentants au CE Fralib Gémenos, ont demandé à France Info de diffuser un droit de réponse au P.-d.g d'Unilever. "Nous avons pris connaissance de l'interview accordée par le P.-d.g. d'Unilever France sur l'antenne de France Info, le vendredi 15 juin.
"Nous sommes scandalisés qu'un homme ayant des responsabilités aussi importantes dans un groupe international de la dimension d'Unilever puisse accumuler en si peu de temps autant de contre-vérités, d'omissions et de mensonges. Nous demandons à France Info le droit de réponse et donc de pouvoir intervenir dans les mêmes conditions pour rétablir les réalités vécues par les salariés de Fralib et rétablir les vérités et les raisons concernant notre projet de Scop."
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Carrefour: CGT et CFDT s'invitent à l'assemblée générale des actionnaires
Les syndicats CGT et CFDT de Carrefour se sont invités lundi à Paris à l'assemblée générale des actionnaires du groupe français de distribution pour faire part de leurs inquiétudes et dénoncer le "démantèlement progressif du groupe au seul profit des actionnaires".
A l'appel de la CGT, près d'une centaine de salariés ont manifesté au Carrousel du Louvre devant l'entrée de l'assemblée générale annuelle. Tous vêtus d'un tee-shirt rouge, avec l'inscription "Halte aux restructurations destructrices - actionnaires voraces ça suffit" et munis de vuvuzelas, les manifestants ont accueilli très bruyamment les actionnaires du géant de la grande distribution.
"Le bilan du précédent PDG, Lars Olofsson, est assez catastrophique et la nouvelle stratégie du groupe va se décider aujourd'hui. Nous réclamons une politique de +long terme+ pour que le groupe retrouve enfin une stabilité commerciale, économique et sociale", a dit à l'AFP Claudette Montoya, déléguée centrale CGT.
"Que M. Oloffson parte avec une retraite chapeau, après seulement trois ans à la tête du groupe, et 1,5 million d'euros d'indemnités liées à une clause de non-concurrence, est insupportable vu ses résultats", a ajouté Mme Montoya.
La CGT, qui réclame une table ronde sur l'emploi, a aussi dénoncé "le démantèlement progressif au seul profit des deux actionnaires de référence: Bernard Arnault du groupe LVMH et Sébastien Bazin de Colony Capital".
Selon Mme Montoya, Georges Plassat, le nouveau PDG du groupe, va solliciter le vote de confiance des actionnaires lors de l'assemblée générale.
Débauché en début d'année du groupe Vivarte, M. Plassat a été nommé PDG le 24 mai, quatre semaines avant la date initialement prévue, à la suite de la démission surprise du titulaire du poste Lars Olofsson.
De son côté, la CFDT a pris la parole lors de l'assemblée générale pour dénoncer les "erreurs de stratégie du conseil d'administration" qui se sont traduites par "10.000 pertes d'emplois en France en trois ans, une modération salariale, des réorganisations incessantes, inefficaces et coûteuses engendrant une perte de confiance et des pertes de marché".
Le syndicat a déploré la scission l'année dernière de Dia, "opérée contre la volonté des employés" et qui a "amputé" le groupe de sa branche hard-discount "au mépris de toute logique commerciale et organisationnelle".
Le groupe Carrefour, qui compte quelque 471.000 collaborateurs dans le monde, dont 115.000 en France et qui est le numéro deux mondial du secteur, a vu son bénéfice net chuter de 14,3% en 2011.
Il n'a cessé de perdre des parts de marché dans l'Hexagone face à ses rivaux Casino et Leclerc, son nouveau concept d'hypermarchés "Planet", lancé par le prédécesseur de M. Plassat, n'ayant pas convaincu. Le déploiement des nouveaux hypermarchés a depuis été gelé.
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Les syndicats CGT et CFDT de Carrefour se sont invités lundi à Paris à l'assemblée générale des actionnaires du groupe français de distribution pour faire part de leurs inquiétudes et dénoncer le "démantèlement progressif du groupe au seul profit des actionnaires".
A l'appel de la CGT, près d'une centaine de salariés ont manifesté au Carrousel du Louvre devant l'entrée de l'assemblée générale annuelle. Tous vêtus d'un tee-shirt rouge, avec l'inscription "Halte aux restructurations destructrices - actionnaires voraces ça suffit" et munis de vuvuzelas, les manifestants ont accueilli très bruyamment les actionnaires du géant de la grande distribution.
"Le bilan du précédent PDG, Lars Olofsson, est assez catastrophique et la nouvelle stratégie du groupe va se décider aujourd'hui. Nous réclamons une politique de +long terme+ pour que le groupe retrouve enfin une stabilité commerciale, économique et sociale", a dit à l'AFP Claudette Montoya, déléguée centrale CGT.
"Que M. Oloffson parte avec une retraite chapeau, après seulement trois ans à la tête du groupe, et 1,5 million d'euros d'indemnités liées à une clause de non-concurrence, est insupportable vu ses résultats", a ajouté Mme Montoya.
La CGT, qui réclame une table ronde sur l'emploi, a aussi dénoncé "le démantèlement progressif au seul profit des deux actionnaires de référence: Bernard Arnault du groupe LVMH et Sébastien Bazin de Colony Capital".
Selon Mme Montoya, Georges Plassat, le nouveau PDG du groupe, va solliciter le vote de confiance des actionnaires lors de l'assemblée générale.
Débauché en début d'année du groupe Vivarte, M. Plassat a été nommé PDG le 24 mai, quatre semaines avant la date initialement prévue, à la suite de la démission surprise du titulaire du poste Lars Olofsson.
De son côté, la CFDT a pris la parole lors de l'assemblée générale pour dénoncer les "erreurs de stratégie du conseil d'administration" qui se sont traduites par "10.000 pertes d'emplois en France en trois ans, une modération salariale, des réorganisations incessantes, inefficaces et coûteuses engendrant une perte de confiance et des pertes de marché".
Le syndicat a déploré la scission l'année dernière de Dia, "opérée contre la volonté des employés" et qui a "amputé" le groupe de sa branche hard-discount "au mépris de toute logique commerciale et organisationnelle".
Le groupe Carrefour, qui compte quelque 471.000 collaborateurs dans le monde, dont 115.000 en France et qui est le numéro deux mondial du secteur, a vu son bénéfice net chuter de 14,3% en 2011.
Il n'a cessé de perdre des parts de marché dans l'Hexagone face à ses rivaux Casino et Leclerc, son nouveau concept d'hypermarchés "Planet", lancé par le prédécesseur de M. Plassat, n'ayant pas convaincu. Le déploiement des nouveaux hypermarchés a depuis été gelé.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Écosse: uncalendrier sans les
Rangers. Les Glasgow Rangers
ne figurent pas dans le calendrier
du championnat d’Écosse
publié hier. Le fisc britannique,
quia un contentieux avec le
club pour des sommes qui pourraient
atteindre 93,5M¤, a rejeté
la semaine dernière un plan de
reprise présenté par l’homme
d’affaires Charles Green
Rangers. Les Glasgow Rangers
ne figurent pas dans le calendrier
du championnat d’Écosse
publié hier. Le fisc britannique,
quia un contentieux avec le
club pour des sommes qui pourraient
atteindre 93,5M¤, a rejeté
la semaine dernière un plan de
reprise présenté par l’homme
d’affaires Charles Green
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION

L'inquiétude grandit pour l'avenir du site PSA d'Aulnay-sous-Bois
L'inquiétude grandit autour du site PSA Peugeot Citroën à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), les syndicats et les élus locaux craignant l'annonce dès juillet de la fermeture de cet établissement, depuis longtemps menacé, qui emploie encore plus de 3.000 salariés.
L'avenir de l'usine a fait l'objet mardi d'une rencontre entre le président du directoire de PSA Philippe Varin et le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg. A l'issue de cet entretien, le constructeur automobile et le ministère n'ont fait aucun commentaire sur ce qui s'est dit.
M. Montebourg avait déjà rencontré la veille lors d'une table ronde les différentes parties: syndicats, élus locaux --dont le maire d'Aulnay-- et la direction de PSA représentée par son directeur industriel Denis Martin.
A sa sortie, le maire d'Aulnay et les représentants syndicaux se sont montrés inquiets. "La direction du groupe a indiqué très clairement, et peut-être pour la première fois aussi clairement, qu'elle n'avait pas de solution à la situation des usines françaises et en particulier d'Aulnay", a déploré l'élu socialiste, Gérard Ségura.
"Nous avons une extrême crainte que soit annoncée fin juillet (le 25 ndlr), lors de la présentation des résultats du groupe, la probable fermeture" de l'usine, a-t-il ajouté.
Le président PS du conseil général et député de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone, qui a assisté à cette réunion, s'est lui aussi dit "très préoccupé". "J'espère qu'on va éviter" la fermeture "mais vraiment hier (lundi) nous sommes partis préoccupés", a-t-il déclaré.
Des recherches d'économies
L'enjeu est énorme pour la Seine-Saint-Denis, où PSA est l'un des plus gros employeurs. Le chômage y est déjà élevé (11,9% au 4e trimestre 2011, contre 9,4% en France métropolitaine) et la filière automobile représente près de 9.000 emplois dans le département.
"Au travers de tout ce qu'il nous a dit, on sent que la fermeture va arriver", a renchéri Tanja Sussest, secrétaire du comité d'entreprise d'Aulnay et représentante du syndicat maison, le SIA.
Les 3.300 salariés (dont 300 intérimaires) attendent d'être fixés sur leur sort depuis un an. La CGT avait dévoilé en juin 2011 un document interne prévoyant la fin d'Aulnay en 2014. Depuis, la direction a répété à moult reprises que ce projet était caduc, mais refuse de s'engager par écrit sur l'avenir de l'usine, où sont produites actuellement les Citroën C3.
"La question est posée après 2014 et je ne peux pas vous en dire plus", a encore glissé mardi Frédéric Banzet, directeur de la marque Citroën, à quelques journalistes.
La direction "nous dit qu'il reste 450.000 C3 à produire. Où comptent-ils les produire ? Ils ne répondent pas", a dénoncé Jean-Pierre Mercier de la CGT.
Ce dernier a dit craindre une réduction progressive du nombre de salariés à Aulnay, avec le passage de deux à une équipe. La fin de vie de la C3, aussi fabriquée dans l'usine de Poissy (Yvelines), proche d'Aulnay, est pourtant programmée pour 2016.
"Cela fait longtemps que PSA veut fermer Aulnay", commente Bertrand Rakoto, analyste chez Polk, qui ajoute qu'"il n'y a pas eu d'investissements importants", contrairement à ce qui a été fait dans d'autres usines du groupe.
"PSA a besoin de réduire la voilure", rappelle l'analyste. Le groupe, qui traverse une passe difficile, a renforcé cette année son plan d'économies.
La situation l'a aussi amené à se rapprocher du géant américain General Motors, avec qui il va développer des voitures en 2016.
Les représentants salariaux espèrent en savoir plus lors d'un comité de groupe européen qui se tiendra au siège de PSA le 28 juin, normalement en présence de Philippe Varin, et qui sera précédé la veille d'un comité de liaison.
Une nouvelle réunion tripartite est prévue à Bercy mais "il n'y a pas de calendrier fixé", précise le ministère
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