CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
+2
domenico belli
JUDAS
6 participants
Page 7 sur 26
Page 7 sur 26 • 1 ... 6, 7, 8 ... 16 ... 26
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
À AUBAGNE
Salaires ou
charges: il
faut choisir
Huit mois . C’est le délai
moyen de paiement des fournisseurs
du centre hospitalier
d’Aubagne. De quoi plomber les
trésoreries de ces entreprises,
souvent des PME. "La réglementation
nous impose de régler
nos factures dans les 50 jours.
Mais nous ne pouvons pas faire
a u t r e m e n t . E t c e l a v a
s’aggraver", explique Alain Teiss
i e r , l e d i r e c t e u r d e
l’établissement, qui ne parvient
plus à joindre les deux bouts.
Faute de crédits bancaires,
l’hôpital a renoncé à des invest
i s s e m e n t s : tr a v a u x
d’entretien des bâtiments, remplacement
d’ascenseurs vieux
de 40 ans, renouvellement de
certains équipements médicaux.
"Cela représente 1,5 million
d’euros, ce qui n’est pas
une somme faramineuse. Nous
avons fait la tournée des banques.
Aucune n’a accepté de
nous prêter le moindre centime",
fulmine le directeur.
Mais l’urgence à Aubagne,
c’est d’assurer la paye du personnel
et d’honorer les factures
des fournisseurs. L’hôpital va
devoir différer le versement de
ses charges sociales et fiscales.
Avec, à la clé, des pénalités de
retard qui vont alourdir ses dépenses.
Endetté à plus de 8%
de son budget, l’établissement
qui ne dispose plus de capacité
d’autofinancement, vivait
jusqu’à présent sous perfusion
bancaire. En 2011, l’hôpital
d’Aubagne a néanmoins gagné
4,5% d’activité. Mais sans investissement
pourra-t-il continuer
à faire face à la concurrence
féroce de la clinique privée
voisine (La Casamance), et à la
proximité de l’offre médicale
marseillaise ?
Salaires ou
charges: il
faut choisir
Huit mois . C’est le délai
moyen de paiement des fournisseurs
du centre hospitalier
d’Aubagne. De quoi plomber les
trésoreries de ces entreprises,
souvent des PME. "La réglementation
nous impose de régler
nos factures dans les 50 jours.
Mais nous ne pouvons pas faire
a u t r e m e n t . E t c e l a v a
s’aggraver", explique Alain Teiss
i e r , l e d i r e c t e u r d e
l’établissement, qui ne parvient
plus à joindre les deux bouts.
Faute de crédits bancaires,
l’hôpital a renoncé à des invest
i s s e m e n t s : tr a v a u x
d’entretien des bâtiments, remplacement
d’ascenseurs vieux
de 40 ans, renouvellement de
certains équipements médicaux.
"Cela représente 1,5 million
d’euros, ce qui n’est pas
une somme faramineuse. Nous
avons fait la tournée des banques.
Aucune n’a accepté de
nous prêter le moindre centime",
fulmine le directeur.
Mais l’urgence à Aubagne,
c’est d’assurer la paye du personnel
et d’honorer les factures
des fournisseurs. L’hôpital va
devoir différer le versement de
ses charges sociales et fiscales.
Avec, à la clé, des pénalités de
retard qui vont alourdir ses dépenses.
Endetté à plus de 8%
de son budget, l’établissement
qui ne dispose plus de capacité
d’autofinancement, vivait
jusqu’à présent sous perfusion
bancaire. En 2011, l’hôpital
d’Aubagne a néanmoins gagné
4,5% d’activité. Mais sans investissement
pourra-t-il continuer
à faire face à la concurrence
féroce de la clinique privée
voisine (La Casamance), et à la
proximité de l’offre médicale
marseillaise ?
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Cegrattagequi les démange
Dans l’univers des jeux, le grattageaconnu la plus forte hausse en Provence.Oùles buralistes sont heureux mais épuisés
4¤de mise par semaine et par habitant

Le Provençal adore mettre la main à la poche. Ce n’est pas encore le
plus gros parieur de France, les Franciliens et les Nordistes arrivant devant,
mais la tendance pourrait s’inverser. Sur le plan national, la Française
des Jeux a noté une augmentation des mises, tous jeux confondus :
718,1 M¤ en 2010 et 813 M¤ en 2011. Et c’est dans la région Paca que le
chiffre d’affaires a connu la plus forte hausse: 13,3% contre 8,5% de
moyenne nationale. Autre statistique significative, en Provence, on dépense
en moyenne 4¤ pour jouer, par semaine et par habitant, contre
3,3¤ pour la moyenne nationale. Et quand on fait le tri dans les jeux,
c’est le grattage qui prend la part la plus importante du chiffre
d’affaires en France: 37,1% contre 36,7% pour le tirage et 17,1% pour
les paris sportifs. Enfin, preuve que les Provençaux sont des passionnés
: le grattage a augmenté considérablement entre 2010 et 2011. Plus
de 20%de recettes à la Française des Jeux
Dans l’univers des jeux, le grattageaconnu la plus forte hausse en Provence.Oùles buralistes sont heureux mais épuisés
4¤de mise par semaine et par habitant

Le Provençal adore mettre la main à la poche. Ce n’est pas encore le
plus gros parieur de France, les Franciliens et les Nordistes arrivant devant,
mais la tendance pourrait s’inverser. Sur le plan national, la Française
des Jeux a noté une augmentation des mises, tous jeux confondus :
718,1 M¤ en 2010 et 813 M¤ en 2011. Et c’est dans la région Paca que le
chiffre d’affaires a connu la plus forte hausse: 13,3% contre 8,5% de
moyenne nationale. Autre statistique significative, en Provence, on dépense
en moyenne 4¤ pour jouer, par semaine et par habitant, contre
3,3¤ pour la moyenne nationale. Et quand on fait le tri dans les jeux,
c’est le grattage qui prend la part la plus importante du chiffre
d’affaires en France: 37,1% contre 36,7% pour le tirage et 17,1% pour
les paris sportifs. Enfin, preuve que les Provençaux sont des passionnés
: le grattage a augmenté considérablement entre 2010 et 2011. Plus
de 20%de recettes à la Française des Jeux
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
L'action Facebook dévisse à son deuxième jour de cotation
Facebook a plongé lundi, le scepticisme des investisseurs sur sa valorisation astronomique semblant l'emporter dès son deuxième jour de cotation, alors que seul le soutien des banques avait permis vendredi de sauver de l'échec son entrée en Bourse ultra-médiatique.
Chutant d'environ 8% en-dessous de son prix d'introduction à l'ouverture de son deuxième jour de cotation, l'action Facebook a perdu plus de 4 dollars, ou 10,99%, pour finir à 34,03 dollars, après avoir brièvement perdu jusqu'à 13,68% en matinée
FACE DE BOUC
UNE ENTREPRISE VIRTUELLE QUI VA FAIRE PLONGER LES GOGOS ASSOIFFES DE PROFIT
QUI PEUT CROIRE QUE CES ACTIONS PEUVENT GENERER DES PROFITS
QUI PEUT CROIRE AVOIR 300 AMIS QU "IL N A JAMAIS VU
Cette contre-performance de "FB" illustrait pour beaucoup le scepticisme persistant des investisseurs vis-à-vis de la solidité de Facebook, un temps occulté par l'énorme engouement du public pour le géant des réseaux sociaux sur internet.
Alors qu'il y a quelques jours à peine, certains analystes estimaient que Facebook et ses banquiers, au premier rang desquels Morgan Stanley, auraient pu fixer un prix supérieur à la fourchette de prix annoncée, de 28 à 35 dollars, beaucoup finissaient par trouver que les 38 dollars retenus étaient finalement peut-être excessifs.
là on rentre dans la corruption et le delit d'initiés surcoter une action pour flouer des milliers de faibles d'esprit
Facebook a plongé lundi, le scepticisme des investisseurs sur sa valorisation astronomique semblant l'emporter dès son deuxième jour de cotation, alors que seul le soutien des banques avait permis vendredi de sauver de l'échec son entrée en Bourse ultra-médiatique.
Chutant d'environ 8% en-dessous de son prix d'introduction à l'ouverture de son deuxième jour de cotation, l'action Facebook a perdu plus de 4 dollars, ou 10,99%, pour finir à 34,03 dollars, après avoir brièvement perdu jusqu'à 13,68% en matinée
FACE DE BOUC
UNE ENTREPRISE VIRTUELLE QUI VA FAIRE PLONGER LES GOGOS ASSOIFFES DE PROFIT
QUI PEUT CROIRE QUE CES ACTIONS PEUVENT GENERER DES PROFITS
QUI PEUT CROIRE AVOIR 300 AMIS QU "IL N A JAMAIS VU

Cette contre-performance de "FB" illustrait pour beaucoup le scepticisme persistant des investisseurs vis-à-vis de la solidité de Facebook, un temps occulté par l'énorme engouement du public pour le géant des réseaux sociaux sur internet.
Alors qu'il y a quelques jours à peine, certains analystes estimaient que Facebook et ses banquiers, au premier rang desquels Morgan Stanley, auraient pu fixer un prix supérieur à la fourchette de prix annoncée, de 28 à 35 dollars, beaucoup finissaient par trouver que les 38 dollars retenus étaient finalement peut-être excessifs.
là on rentre dans la corruption et le delit d'initiés surcoter une action pour flouer des milliers de faibles d'esprit
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
ouimaisbonIl y a 13 heures
elle ne produit rien mais elle gagne du pognon quand même.
druugaaIl y a 13 heures
une entreprise qui ne produit rien... ils s'attendaient à quoi ?????
roby64Il y a 13 heures
Le cauchemard commence,dans l'enfer de Wall-street...
elle ne produit rien mais elle gagne du pognon quand même.
druugaaIl y a 13 heures
une entreprise qui ne produit rien... ils s'attendaient à quoi ?????
roby64Il y a 13 heures
Le cauchemard commence,dans l'enfer de Wall-street...
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Volley-ball : la DNACG refuse la montée d'Avignon en Ligue A Publié le lundi 21 mai 2012 à 19H17
Après avoir gagné sportivement sa place en élite, en finissant premier du championnat, le 20 avril dernier, l'Avignon volley-ball a été sanctionné, aujourd'hui, par l'instance de contrôle et de gestion des clubs professionnels. N'ayant pas présenté un budget à l'équilibre au 30 juin prochain, l'AVB n'a pas reçu le feu vert administratif pour accéder en Ligue A. Le club a dix jours pour faire appel de cette décision. Par la voix de ses présidents Thierry Minssen et Frédéric Villaescusa, il a annoncé ce soir sa volonté d'engager cette procédure avec des arguments favorables en sa possession, pour obtenir finalement gain de cause.
Après avoir gagné sportivement sa place en élite, en finissant premier du championnat, le 20 avril dernier, l'Avignon volley-ball a été sanctionné, aujourd'hui, par l'instance de contrôle et de gestion des clubs professionnels. N'ayant pas présenté un budget à l'équilibre au 30 juin prochain, l'AVB n'a pas reçu le feu vert administratif pour accéder en Ligue A. Le club a dix jours pour faire appel de cette décision. Par la voix de ses présidents Thierry Minssen et Frédéric Villaescusa, il a annoncé ce soir sa volonté d'engager cette procédure avec des arguments favorables en sa possession, pour obtenir finalement gain de cause.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
FACE DE BOUC UN MONDE VIRTUEL
QUI CROIT RAPPORTER DU FRIC AUX SPECULATEURS
LA ON RENTRE DANS UN MONDE DE MAFFIA
Facebook: le titre poursuit sa glissade, pluie de critiques sur l'entrée en Bourse ratée
Le titre Facebook poursuivait sa glissade mardi, au troisième jour de sa cotation, poussant plusieurs analystes à critiquer le pilotage de l'entrée en Bourse par les banques.
Le cours du champion des réseaux communautaires a plongé de 8,90% à 31,00 dollars mardi à la clôture dans un marché en léger repli, après avoir touché un plancher à 30,94 dollars en séance. Au total, l'action "FB" a perdu 18,42% de sa valeur depuis son introduction en Bourse vendredi.
Ainsi, en moins de quatre jours, la valorisation du site aux 900 millions d'utilisateurs a baissé de quelque 19 milliards de dollars.
Beaucoup parlent déjà d'échec et mettent en cause les banques qui ont organisé l'opération, principalement Morgan Stanley, mais aussi JPMorgan Chase et Goldman Sachs, qui avaient les premiers rôles parmi onze banques mobilisées. "Elles se sont complètement plantées", lâche Michael Pachter, analyste chez Wedbush Securities. Selon lui, elles ont sans doute mis trop d'actions sur le marché trop cher.
Mardi, une nouvelle polémique est apparue, des médias assurant que les analystes des trois principales banques impliquées avaient revu en baisse leurs attentes pour les résultats du site internet dans les jours précédant l'entrée en Bourse, et en avaient averti certains de leurs clients qui du coup auraient perdu de l'intérêt pour le titre.
"Si ces accusations sont vraies, elles sont du ressort de la Finra et de la SEC", deux des principales agences de réglementations des firmes financières aux Etats-Unis, a indiqué un porte-parole de la Finra.
Selon la chaîne financière CNBC, l'Etat du Massachusetts (est) a cité Morgan Stanley à comparaître sur l'affaire. Morgan Stanley s'est défendue dans un communiqué en affirmant "avoir suivi les mêmes procédures pour l'offre d'actions Facebook que pour toutes les autres introductions boursières", assurant qu'elles sont "conformes à toutes les réglementations".
La banque d'investissement souligne que Facebook avait "publié des prévisions additionnelles le 9 mai (...) et "une copie en a été transmise à tous les investisseurs", sans compter que cette mise à jour des prévisions de Facebook a été "largement couverte par la presse".
Le site aux 900 millions d'utilisateurs avait alors indiqué que son chiffre d'affaires continuait à croître moins vite que le nombre de ses utilisateurs - révélant la poursuite d'une tendance qu'il avait déjà évoquée. Ces nouvelles prévisions ont incité "un nombre conséquent d'analystes (...) à réduire leurs prévisions de résultats" et elles ont été "prises en compte dans la fixation du prix" de lancement de l'action, conclut Morgan Stanley.
Certains analystes soulignaient par ailleurs à quel point il est difficile de fixer le niveau de prix d'une entreprise qui comme Facebook suscite un énorme intérêt auprès du grand public. "C'est vraiment difficile de comprendre véritablement la vraie demande des investisseurs pour un titre, parce que les investisseurs ne disent pas aux banques le nombre exact d'actions qu'ils veulent", remarque Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund.
Selon lui, les difficultés techniques du marché électronique Nasdaq pour gérer le volume d'ordres au premier jour, vendredi, n'ont fait qu'ajouter aux difficultés inhérentes à ces opérations, tout comme la décision du constructeur General Motors, annoncée le 15 mai, de ne plus faire de publicité sur Facebook.
Pour autant, M. Kerner reste optimiste sur le "potentiel" de Facebook: d'ici 6 à 12 mois, "les échanges d'aujourd'hui ne seront plus que du bruit de fond".
Rick Summer, du cabinet d'analyste Morningstar, est plus prudent: "nous pensons que l'entreprise a des difficultés à court terme. Le ralentissement du chiffre d'affaire et les pressions sur les marges d'exploitation pourraient encore pousser le cours à la baisse", prévient-il.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mercredi 23 mai 2012 23:12
Fillon lance la guerre des chefs en défiant Copé pour le contrôle de l'UMP
François Fillon a lancé la guerre des chefs à l'UMP en affirmant qu'il n'y avait "plus de leader naturel" dans l'ancien parti majoritaire, mettant fin au semblant d'unité que Jean-François Copé et les ténors de droite voulaient afficher jusqu'aux législatives.
"Depuis le départ de ce povre battu Sarko ,les masques tombent

il n'y a plus, à l'UMP, de leader naturel. Donc, il y aura une compétition. Mais la compétition ne signifie pas la division", déclare l'ancien Premier ministre dans un entretien au Figaro Magazine à paraître vendredi.
En faisant un pas très clair vers une candidature à la tête du parti -"je prendrai toute ma part, avec d'autres, à cette compétition"- M. Fillon défie ouvertement son rival Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, déjà candidat, et lui signifie qu'il faudra compter avec lui pour 2017.
Le poste de président de l'UMP a été "gelé" pendant le bail élyséen de Nicolas Sarkozy

. Selon ses statuts, l'UMP a quatre à six mois après la défaite du chef de l'Etat pour organiser un congrès et faire élire par les militants son président.
"La France a besoin d'une droite républicaine qui donne de l'espoir et qui rassemble", a encore lâché M. Fillon, dans une critique implicite à M. Copé, jugé trop "clanique" par ses opposants.
La réponse de son rival, en déplacement mercredi dans le Bas-Rhin pour soutenir les candidats UMP alsaciens aux législatives, n'a pas tardé. M. Copé, qui ne s'attendait pas à ce que M. Fillon sorte du bois aussi vite, a répliqué sur le ton de l'ironie, invitant "tous (ses) amis de l'UMP" à "la sagesse" et à ne "se mobiliser que pour les législatives".
Alors que François Fillon est souvent accusé par ses détracteurs de manquer de courage, le numéro un de l'UMP a encore lâché: "La principale vertu d'un responsable politique, c'est le courage !".
"Il faut être courageux pour prendre des décisions, pour animer des équipes et le faire de manière collective", a déclaré le député de Seine-et-Marne, qui répète à l'envi, en privé, que M. Fillon est un homme sans troupes et que l'attelage qu'il a décidé de former avec Xavier Bertrand n'est qu'un "couple de circonstance".
Depuis la mise en place, au lendemain de la défaite de Nicolas Sarkozy, d'un "comité stratégique" de pilotage de la campagne des législatives regroupant tous les ténors de l'UMP, nul ne se faisait guère d'illusion sur cette unité de façade. "Ca va durer jusqu'à fin mai? Jusqu'au premier tour? Jusqu'au second?", ironisait un ex-ministre.
Dans le camp Fillon, on avait vécu aussi comme une agression les récentes déclarations de M. Copé se proclamant "chef de guerre" de la droite face au "chef de clan" socialiste François Hollande... donc clairement en futur chef de l'opposition.
"Le moteur de Fillon, c'est l'amour propre. Il en veut terriblement à Copé de l'avoir empêché de faire campagne pendant la présidentielle", affirme un de ses partisans, qui prédit un "duel à mort" entre les deux hommes.
Pas mécontent de voir son rival apparaître comme l'agresseur, Jean-François Copé, lui, savourait la situation, sous un radieux soleil alsacien: "C'est inespéré... Je savais que ce voyage en Alsace se déroulerait bien. Je ne suis pas déçu !"
Mercredi soir, dans le TGV qui le ramenait vers Paris, il a assuré être "tombé du placard" en découvrant l'interview de M. Fillon. "C'est pas chic, c'est une faute vis-à-vis des militants", a-t-il confié à des journalistes en assurant avoir reçu "plein d'appels de députés" UMP lui disant "C'est pas convenable" ou encore "Ne tombe pas dans ce piège".
Jeudi dans un entretien au Figaro, Henri Guaino, ancien conseiller spécial de M. Sarkozy, souligne qu'au sein des "talents qui peuvent prétendre remplir (le) rôle" de leader naturel de l'UMP, M. Copé "occupe une place éminente".
Quant à Rachida Dati, proche de M. Copé, elle s'est dit "agacée" par M. Fillon qui "mine de rien, crée de la division", une attitude "pas très loyale" à ses yeux.
Fillon lance la guerre des chefs en défiant Copé pour le contrôle de l'UMP
François Fillon a lancé la guerre des chefs à l'UMP en affirmant qu'il n'y avait "plus de leader naturel" dans l'ancien parti majoritaire, mettant fin au semblant d'unité que Jean-François Copé et les ténors de droite voulaient afficher jusqu'aux législatives.
"Depuis le départ de ce povre battu Sarko ,les masques tombent

il n'y a plus, à l'UMP, de leader naturel. Donc, il y aura une compétition. Mais la compétition ne signifie pas la division", déclare l'ancien Premier ministre dans un entretien au Figaro Magazine à paraître vendredi.
En faisant un pas très clair vers une candidature à la tête du parti -"je prendrai toute ma part, avec d'autres, à cette compétition"- M. Fillon défie ouvertement son rival Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, déjà candidat, et lui signifie qu'il faudra compter avec lui pour 2017.
Le poste de président de l'UMP a été "gelé" pendant le bail élyséen de Nicolas Sarkozy

. Selon ses statuts, l'UMP a quatre à six mois après la défaite du chef de l'Etat pour organiser un congrès et faire élire par les militants son président.
"La France a besoin d'une droite républicaine qui donne de l'espoir et qui rassemble", a encore lâché M. Fillon, dans une critique implicite à M. Copé, jugé trop "clanique" par ses opposants.
La réponse de son rival, en déplacement mercredi dans le Bas-Rhin pour soutenir les candidats UMP alsaciens aux législatives, n'a pas tardé. M. Copé, qui ne s'attendait pas à ce que M. Fillon sorte du bois aussi vite, a répliqué sur le ton de l'ironie, invitant "tous (ses) amis de l'UMP" à "la sagesse" et à ne "se mobiliser que pour les législatives".
Alors que François Fillon est souvent accusé par ses détracteurs de manquer de courage, le numéro un de l'UMP a encore lâché: "La principale vertu d'un responsable politique, c'est le courage !".
"Il faut être courageux pour prendre des décisions, pour animer des équipes et le faire de manière collective", a déclaré le député de Seine-et-Marne, qui répète à l'envi, en privé, que M. Fillon est un homme sans troupes et que l'attelage qu'il a décidé de former avec Xavier Bertrand n'est qu'un "couple de circonstance".
Depuis la mise en place, au lendemain de la défaite de Nicolas Sarkozy, d'un "comité stratégique" de pilotage de la campagne des législatives regroupant tous les ténors de l'UMP, nul ne se faisait guère d'illusion sur cette unité de façade. "Ca va durer jusqu'à fin mai? Jusqu'au premier tour? Jusqu'au second?", ironisait un ex-ministre.
Dans le camp Fillon, on avait vécu aussi comme une agression les récentes déclarations de M. Copé se proclamant "chef de guerre" de la droite face au "chef de clan" socialiste François Hollande... donc clairement en futur chef de l'opposition.
"Le moteur de Fillon, c'est l'amour propre. Il en veut terriblement à Copé de l'avoir empêché de faire campagne pendant la présidentielle", affirme un de ses partisans, qui prédit un "duel à mort" entre les deux hommes.
Pas mécontent de voir son rival apparaître comme l'agresseur, Jean-François Copé, lui, savourait la situation, sous un radieux soleil alsacien: "C'est inespéré... Je savais que ce voyage en Alsace se déroulerait bien. Je ne suis pas déçu !"
Mercredi soir, dans le TGV qui le ramenait vers Paris, il a assuré être "tombé du placard" en découvrant l'interview de M. Fillon. "C'est pas chic, c'est une faute vis-à-vis des militants", a-t-il confié à des journalistes en assurant avoir reçu "plein d'appels de députés" UMP lui disant "C'est pas convenable" ou encore "Ne tombe pas dans ce piège".
Jeudi dans un entretien au Figaro, Henri Guaino, ancien conseiller spécial de M. Sarkozy, souligne qu'au sein des "talents qui peuvent prétendre remplir (le) rôle" de leader naturel de l'UMP, M. Copé "occupe une place éminente".
Quant à Rachida Dati, proche de M. Copé, elle s'est dit "agacée" par M. Fillon qui "mine de rien, crée de la division", une attitude "pas très loyale" à ses yeux.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
L'Elysée a commandé pour 9,4 millions d'euros de sondages entre 2007 et 2012 , selon un écologiste
L'Elysée a commandé durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy pour 9,4 millions d'euros de sondages et études, a dévoilé jeudi Raymond Avrillier, le militant écologiste grenoblois qui en a obtenu les factures après un recours en justice.
Sur les plus de 300 sondages et études commandés, 66 l'ont été entre début 2010 et le 30 avril 2012, parmi lesquels figurent des sondages réalisés à une fréquence hebdomadaire.
Ces 66 sondages ont été facturés 3,04 millions d'euros à l'Elysée, et viennent s'ajouter aux 264 sondages commandés entre 2007 et 2009 pour un montant de 6,35 millions d'euros, que le militant écologiste, également maire adjoint honoraire de Grenoble, avait rendu publics en avril.
Les sondages commandés entre 2010 et 2012 relèvent "pour partie du financement par une personne morale (l'Elysée, ndlr) de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy", ce qui représente un délit puni par le code électoral, a estimé M. Avrillier jeudi au cours d'une conférence de presse.
Il a notamment cité un sondage de février 2011 interrogeant les Français sur l'intervention au journal télévisé de France 2 de Dominique Strauss-Kahn, alors probable candidat à l'élection présidentielle.
L'Elysée a commandé pour 9,4 millions d'euros de sondages entre 2007 et 2012 , selon un écologiste
"A-t-il été convaincant?", "diriez-vous que DSK se situe très à gauche, à gauche, au centre gauche, etc.?" ou "diriez-vous qu'au cours de cette émission DSK vous a paru avoir changé en bien?", sont quelques-unes des questions posées par ce sondage et consultées par l'AFP.
D'autres sondages commandés par l'Elysée portent sur une intervention télévisée de Marine Le Pen, sur l'électorat écologiste ou sur "les sympathisants socialistes et la question de l'islam".
"Je ne remets pas en cause le fait que l'Elysée commande des sondages mais c'est leur démesure et la thématique des sondages réalisés qui pose problème", a considéré M. Avrillier.
Il a indiqué avoir saisi la Commission nationale des comptes de campagne pour qu'elle intègre une partie des sondages commandés par l'Elysée dans les comptes de campagne du candidat Sarkozy.
M. Avrillier a obtenu la liste des sondages commandés entre 2010 et 2012 à la suite d'une saisine de la Commission d'accès aux documents administratifs. Il avait déjà obtenu une partie des factures de sondages réalisés entre 2007 et 2009 grâce à un jugement du tribunal administratif de Paris du 17 février dernier.
L'Elysée a commandé durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy pour 9,4 millions d'euros de sondages et études, a dévoilé jeudi Raymond Avrillier, le militant écologiste grenoblois qui en a obtenu les factures après un recours en justice.
Sur les plus de 300 sondages et études commandés, 66 l'ont été entre début 2010 et le 30 avril 2012, parmi lesquels figurent des sondages réalisés à une fréquence hebdomadaire.
Ces 66 sondages ont été facturés 3,04 millions d'euros à l'Elysée, et viennent s'ajouter aux 264 sondages commandés entre 2007 et 2009 pour un montant de 6,35 millions d'euros, que le militant écologiste, également maire adjoint honoraire de Grenoble, avait rendu publics en avril.
Les sondages commandés entre 2010 et 2012 relèvent "pour partie du financement par une personne morale (l'Elysée, ndlr) de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy", ce qui représente un délit puni par le code électoral, a estimé M. Avrillier jeudi au cours d'une conférence de presse.
Il a notamment cité un sondage de février 2011 interrogeant les Français sur l'intervention au journal télévisé de France 2 de Dominique Strauss-Kahn, alors probable candidat à l'élection présidentielle.
L'Elysée a commandé pour 9,4 millions d'euros de sondages entre 2007 et 2012 , selon un écologiste
"A-t-il été convaincant?", "diriez-vous que DSK se situe très à gauche, à gauche, au centre gauche, etc.?" ou "diriez-vous qu'au cours de cette émission DSK vous a paru avoir changé en bien?", sont quelques-unes des questions posées par ce sondage et consultées par l'AFP.
D'autres sondages commandés par l'Elysée portent sur une intervention télévisée de Marine Le Pen, sur l'électorat écologiste ou sur "les sympathisants socialistes et la question de l'islam".
"Je ne remets pas en cause le fait que l'Elysée commande des sondages mais c'est leur démesure et la thématique des sondages réalisés qui pose problème", a considéré M. Avrillier.
Il a indiqué avoir saisi la Commission nationale des comptes de campagne pour qu'elle intègre une partie des sondages commandés par l'Elysée dans les comptes de campagne du candidat Sarkozy.
M. Avrillier a obtenu la liste des sondages commandés entre 2010 et 2012 à la suite d'une saisine de la Commission d'accès aux documents administratifs. Il avait déjà obtenu une partie des factures de sondages réalisés entre 2007 et 2009 grâce à un jugement du tribunal administratif de Paris du 17 février dernier.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
U M P
UNION DES MENTEURS PERDANTS
Qui est le leader de l'UMP ?
Merci d'avoir été parmi les premiers à voter. Les résultats seront disponibles prochainement. Voir les résultats sans voter

Jean-François Copé 22 % Jean-François Copé
14 114 Votes
François Fillon 36 % François Fillon
22 632 Votes
Nicolas Sarkozy 42 % Nicolas Sarkozy
26 055 Votes
Réponses: 62 801
Sondage à valeur non scientifique, mis à jour chaque minute.
UNION DES MENTEURS PERDANTS
Qui est le leader de l'UMP ?
Merci d'avoir été parmi les premiers à voter. Les résultats seront disponibles prochainement. Voir les résultats sans voter

Jean-François Copé 22 % Jean-François Copé
14 114 Votes
François Fillon 36 % François Fillon
22 632 Votes
Nicolas Sarkozy 42 % Nicolas Sarkozy
26 055 Votes
Réponses: 62 801
Sondage à valeur non scientifique, mis à jour chaque minute.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
vendredi 25 mai 2012 18:14 | Par AFPReprise de Petroplus: pas d'offre ferme "en l'état" mais toujours des pistes
Les administrateurs judiciaires de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, près de Rouen, n'ont pas reçu d'offre ferme de reprise "en l'état", alors que le délai de dépôt des dossiers expirait vendredi soir, mais des négociations se poursuivent, a indiqué la direction du site.
Un peu plus tôt dans l'après-midi, l'intersyndicale de la raffinerie avait annoncé avoir recensé "au moins" quatre dossiers "sérieux" de reprise.
Cependant, selon la direction, "les marques d'intérêt reçues à ce jour et demeurant actives n'ont pas permis d'aboutir à une offre ferme en l'état".
Elle a précisé que l'offre du groupe Klesch datant de mars et qui prévoit le maintien de 410 emplois sur 550 restait toujours "valable" et que les discussions, "y compris avec la nouvelle équipe gouvernementale", se poursuivaient pour permettre son aboutissement.
La direction a ajouté que deux autres "pistes", pour lesquelles les candidats ont requis "la confidentialité", continuaient d'être "explorées".
Selon elle, les administrateurs judiciaires pourraient "fixer un nouveau calendrier de dépôt formel des offres en fonction de l'évolution du dossier". Elle a ajouté que des réunions "importantes" devaient se tenir "dans les prochains jours" avec pour objectif de "faire aboutir des projets courant juin".
La direction a rappelé que le tribunal de commerce de Rouen devait statuer le 24 juillet sur l'issue de la période d'observation de six mois ordonnée fin janvier. Il pourra soit "retenir un projet de cession", soit "prononcer l'arrêt de l'activité", soit encore "proroger" cette période.
Par ailleurs, elle a annoncé que les unités de la raffinerie seront "techniquement" en mesure de fonctionner à nouveau le 7 juin pour honorer un contrat ponctuel conclu avec Shell. "La date effective du redémarrage reste en revanche à fixer, étant dépendante de discussions préalables avec Shell mais également de sa compatibilité avec le calendrier de projets de reprise", a-t-elle précisé.
De son côté, l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC de la raffinerie a dit avoir recensé "au moins" quatre dossiers "sérieux" de reprise de l'entreprise. "Une trentaine d'entreprises intéressées ont ouvert la porte et parmi elles au moins quatre ont un dossier sérieux", a assuré son porte-parole, Yvon Scornet, sans citer de noms.
Selon cette source, les administrateurs judiciaires doivent faire le point la semaine prochaine avec la direction et l'intersyndicale sur ces offres et sur la situation de l'entreprise. Yvon Scornet a rappelé que l'intersyndicale voulait comme repreneur "un industriel sérieux" et pas "un financier qui viendrait pour toucher des aides de l'Etat et qui repartirait quelques mois plus tard".
La raffinerie Petroplus de Petit-Couronne est à l'arrêt depuis début janvier faute d'approvisionnement en brut, à la suite de la faillite de sa maison mère suisse.
.
Les administrateurs judiciaires de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, près de Rouen, n'ont pas reçu d'offre ferme de reprise "en l'état", alors que le délai de dépôt des dossiers expirait vendredi soir, mais des négociations se poursuivent, a indiqué la direction du site.
Un peu plus tôt dans l'après-midi, l'intersyndicale de la raffinerie avait annoncé avoir recensé "au moins" quatre dossiers "sérieux" de reprise.
Cependant, selon la direction, "les marques d'intérêt reçues à ce jour et demeurant actives n'ont pas permis d'aboutir à une offre ferme en l'état".
Elle a précisé que l'offre du groupe Klesch datant de mars et qui prévoit le maintien de 410 emplois sur 550 restait toujours "valable" et que les discussions, "y compris avec la nouvelle équipe gouvernementale", se poursuivaient pour permettre son aboutissement.
La direction a ajouté que deux autres "pistes", pour lesquelles les candidats ont requis "la confidentialité", continuaient d'être "explorées".
Selon elle, les administrateurs judiciaires pourraient "fixer un nouveau calendrier de dépôt formel des offres en fonction de l'évolution du dossier". Elle a ajouté que des réunions "importantes" devaient se tenir "dans les prochains jours" avec pour objectif de "faire aboutir des projets courant juin".
La direction a rappelé que le tribunal de commerce de Rouen devait statuer le 24 juillet sur l'issue de la période d'observation de six mois ordonnée fin janvier. Il pourra soit "retenir un projet de cession", soit "prononcer l'arrêt de l'activité", soit encore "proroger" cette période.
Par ailleurs, elle a annoncé que les unités de la raffinerie seront "techniquement" en mesure de fonctionner à nouveau le 7 juin pour honorer un contrat ponctuel conclu avec Shell. "La date effective du redémarrage reste en revanche à fixer, étant dépendante de discussions préalables avec Shell mais également de sa compatibilité avec le calendrier de projets de reprise", a-t-elle précisé.
De son côté, l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC de la raffinerie a dit avoir recensé "au moins" quatre dossiers "sérieux" de reprise de l'entreprise. "Une trentaine d'entreprises intéressées ont ouvert la porte et parmi elles au moins quatre ont un dossier sérieux", a assuré son porte-parole, Yvon Scornet, sans citer de noms.
Selon cette source, les administrateurs judiciaires doivent faire le point la semaine prochaine avec la direction et l'intersyndicale sur ces offres et sur la situation de l'entreprise. Yvon Scornet a rappelé que l'intersyndicale voulait comme repreneur "un industriel sérieux" et pas "un financier qui viendrait pour toucher des aides de l'Etat et qui repartirait quelques mois plus tard".
La raffinerie Petroplus de Petit-Couronne est à l'arrêt depuis début janvier faute d'approvisionnement en brut, à la suite de la faillite de sa maison mère suisse.
.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Catch UMP
Il est peut-être possible que l'UMP gagne les élections législatives. Il est surtout probable que l'UMP les perde. En tout cas, la droite paraît déboussolée parce qu'il lui manque ce qu'elle a de plus cher : un chef. Or, de tout temps, les partis de la droite française n'ont existé que si, de leurs rangs, émergeait un incontestable leader, de Gaulle, Giscard, Chirac ou Sarkozy. Sans un chef « naturel », la droite patine et se divise.
Quoiqu'il pense de ses capacités à assumer un rôle de leader, Jean-François Copé n'est aujourd'hui que le secrétaire général de l'UMP. C'est beaucoup et c'est trop peu. Il « tient » comme on dit le parti, il y montre à la fois son habileté et son autoritarisme, les militants l'aiment bien comme on aime son adjudant-chef, mais, aux yeux du « peuple de droite », il lui manque ce petit rien qu'on appelle la popularité et qui dépasse le giron partisan.
Ainsi, fort de son « label Matignon » et d'une image convenable dans l'opinion, François Fillon exprime désormais une ambition qu'il s'efforçait jusqu'ici de cacher. Le plus taciturne des gaullistes - toujours en retrait, derrière Philippe Seguin d'abord, puis Nicolas Sarkozy - devine que, dans le désarroi de l'UMP, il existe aujourd'hui un créneau qui lui est grand ouvert. Après tout, l'ex-Président en vacances, c'est tout de même lui, l'ex-Premier ministre, qui incarne le mieux la « patte » UMP sur les réformes entreprises depuis cinq ans ! Dans une interview au « Figaro Magazine » qui paraît aujourd'hui, Fillon rappelle avec une perfide placidité que « depuis le départ de Nicolas Sarkozy, il n'y a plus, à l'UMP, de chef naturel ». Le sous-entendu est éclatant : s'il n'y a plus de chef « aujourd'hui », moi, Fillon, pourrais très bien être celui de demain !
Preuve est faite que le PS n'a pas le monopole des querelles d'«éléphants » : une bataille de personnes s'est ouverte à l'UMP qui durera jusqu'au congrès du parti, en novembre prochain, où il s'agira d'élire non pas un secrétaire général mais… un président. Nuance ! Le match Fillon-Copé n'en est qu'à l'échauffement. On imagine la suite - et le sang sur les murs du congrès !
Y aurait-il pour autant une divergence politique grave entre les deux impétrants - un Copé plutôt droite dure tendance libérale, un Fillon plutôt droite conservatrice tendance sociale ? L'UMP, qui reste un rassemblement aux sensibilités diverses (droite populaire, centristes, libéraux, humanistes, gaullistes sociaux…), serait-elle désormais en proie aux états d'âme idéologiques ? On peine à le croire. A moins que...
Dans le secret des militants, se pose une seule question, plus prosaïque celle-là, qu'aucun leader n'osera pour l'instant formuler : quand est-ce qu'on fait alliance avec le Front national ? Si l'UMP y répond un jour, alors, elle explosera.
Il est peut-être possible que l'UMP gagne les élections législatives. Il est surtout probable que l'UMP les perde. En tout cas, la droite paraît déboussolée parce qu'il lui manque ce qu'elle a de plus cher : un chef. Or, de tout temps, les partis de la droite française n'ont existé que si, de leurs rangs, émergeait un incontestable leader, de Gaulle, Giscard, Chirac ou Sarkozy. Sans un chef « naturel », la droite patine et se divise.
Quoiqu'il pense de ses capacités à assumer un rôle de leader, Jean-François Copé n'est aujourd'hui que le secrétaire général de l'UMP. C'est beaucoup et c'est trop peu. Il « tient » comme on dit le parti, il y montre à la fois son habileté et son autoritarisme, les militants l'aiment bien comme on aime son adjudant-chef, mais, aux yeux du « peuple de droite », il lui manque ce petit rien qu'on appelle la popularité et qui dépasse le giron partisan.
Ainsi, fort de son « label Matignon » et d'une image convenable dans l'opinion, François Fillon exprime désormais une ambition qu'il s'efforçait jusqu'ici de cacher. Le plus taciturne des gaullistes - toujours en retrait, derrière Philippe Seguin d'abord, puis Nicolas Sarkozy - devine que, dans le désarroi de l'UMP, il existe aujourd'hui un créneau qui lui est grand ouvert. Après tout, l'ex-Président en vacances, c'est tout de même lui, l'ex-Premier ministre, qui incarne le mieux la « patte » UMP sur les réformes entreprises depuis cinq ans ! Dans une interview au « Figaro Magazine » qui paraît aujourd'hui, Fillon rappelle avec une perfide placidité que « depuis le départ de Nicolas Sarkozy, il n'y a plus, à l'UMP, de chef naturel ». Le sous-entendu est éclatant : s'il n'y a plus de chef « aujourd'hui », moi, Fillon, pourrais très bien être celui de demain !
Preuve est faite que le PS n'a pas le monopole des querelles d'«éléphants » : une bataille de personnes s'est ouverte à l'UMP qui durera jusqu'au congrès du parti, en novembre prochain, où il s'agira d'élire non pas un secrétaire général mais… un président. Nuance ! Le match Fillon-Copé n'en est qu'à l'échauffement. On imagine la suite - et le sang sur les murs du congrès !
Y aurait-il pour autant une divergence politique grave entre les deux impétrants - un Copé plutôt droite dure tendance libérale, un Fillon plutôt droite conservatrice tendance sociale ? L'UMP, qui reste un rassemblement aux sensibilités diverses (droite populaire, centristes, libéraux, humanistes, gaullistes sociaux…), serait-elle désormais en proie aux états d'âme idéologiques ? On peine à le croire. A moins que...
Dans le secret des militants, se pose une seule question, plus prosaïque celle-là, qu'aucun leader n'osera pour l'instant formuler : quand est-ce qu'on fait alliance avec le Front national ? Si l'UMP y répond un jour, alors, elle explosera.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION

dimanche 27 mai 2012 18:51 | Par AFPParisot assure qu'il n'y a pas plus de plans sociaux qu'il y a un an
Il n'y a pas "plus de plans sociaux" que l'an dernier, de plans sociaux retenus ou de "choses cachées", a estimé dimanche la patronne du Medef Laurence Parisot, en dénonçant "peut-être" un "habillage politique" de la part de la CGT qui a recensé près de 45.000 emplois menacés.
"Il n'y a pas à l'heure où je vous parle plus de plans sociaux qu'à la même époque l'année dernière", a déclaré Mme Parisot au Grand jury RTL/Le Figaro/LCI.
"Je ne crois pas qu'il y ait eu des choses cachées, et d'ailleurs, honnêtement, ce n'est pas possible de cacher, dans la vie d'une entreprise, quand les choses vont mal, tout le monde le sait", a-t-elle ajouté.
Pour la patronne du Medef, "le sujet n'est pas de savoir si le chiffrage de l'un est meilleur que le chiffrage de l'autre (...) En réalité, il y a longtemps que nous-même, entrepreneurs, Medef, alertons sur les pertes de compétitivité de notre économie".
La CGT a établi une liste de 46 entreprises en redressement ou en liquidation, soit près de 45.000 emplois menacés en France. L'organisation syndicale prévoit de remettre mardi prochain cettee liste au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault.
"Ce qui est annoncé ou en préparation n'est malheureusement que la conséquence de cette perte de compétitivité", a poursuivi Madame Parisot en insistant sur le danger d'ajouter des "charges" nouvelles aux entreprises.
Pour Mme Parisot, "lutter contre les licenciements, c'est d'abord favoriser l'embauche. Et donc éviter toute mesure économique et sociale qui freine les embauches".
Une augmentation des charges sur les salaires pour financer le projet du gouvernement de permettre aux salariés ayant commencé à travailler tôt de partir à la retraite à 60 ans serait à ce titre "totalement déraisonnable", a-t-elle répété.
Ce projet "n'est pas raisonnable sur le plan budgétaire dans l'obligation que nous avons d'assainir nos finances publiques" et "du point de vue de l'équité intergénérationnelle" car les retraites des plus jeunes seront "presque improbables".
Elle a réclamé que la réforme du régime général "ne s'applique pas mécaniquement" aux retraites complémentaires mais donne lieu à une "négociation
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
hoseraapIl y a 4 heures
Pour les plans sociaux en plus,faisons lui payer chaque indemnite d'un chomeur en plus ,elle aura les moyens de les compter exactement,et elle oublie aussi que la cachotterie existe,car combien de patron on demenage en pleine nuit?ou qui sont partis sans payer les salaires?elle essaye de nous faire croire que la planete patrons ripoux,elle connait pas
mais depuis des decennies,le monde du patronnat et le monde politique est a des annees lumieres des salaries,je parle pas de moi,j'ai toujours travaille,mais depuis les annees 86,jusqu'a nos jours,les patrons m'ont toujours oblige a embauche des SIVP,mais sans enfants,car c'est moins cheres,ensuite ,les gens qui avait droit aux subventions,car aucunes formation,sans parler des exonerations pour petits salaires,et pour finir,on m'a envoye a la chambre de commerce et de l'industrie,pour un stage de maitre apprenti,pour avoir des apprenties bien moins cheres,et pourtant ,l'emploi a baisse au lieu de monter,
quand on dit que c'est la faute aux 35 heures,pourquoi ne veut elle pas les laisser supprimer,ah oui,trop de milliards de subventions a perdre,sans parler des heures sup,
je suis pour laisser les gens travailler selon leurs besoins,s'il y a des heures sup a faire,jusqu'a 39h,les gens qui veulent du pouvoir d'achat,ok,mais sans exonerations,ensuite le patron paye les heures sup,comme je l'ai toujours connu
les 35h ne sont qu'un probleme pour le pouvoir d'achat du salarie,car depuis ,les patrons francais payent au raz des paquerettes
ce qui manque a beaucoup de patrons,c'est l'honnetete,et mettre leurs voracite de cote,jamais les patrons n'ont encore autant augmente leurs salaires ,et encore jamais,le salarie n'a ete aussi peu paye
un responsable de magasin etait cadre,maintenant,il reçoit a peine 15% plus que le smic,pourtant ,a cette epoque,les vendeuses avaient ce salaire,et le patron,qui avait 30 boutiques a mon arrivee en a aujourd'hui 280,alors ne me dites pas que c'est les salaires des ouvriers
Pour les plans sociaux en plus,faisons lui payer chaque indemnite d'un chomeur en plus ,elle aura les moyens de les compter exactement,et elle oublie aussi que la cachotterie existe,car combien de patron on demenage en pleine nuit?ou qui sont partis sans payer les salaires?elle essaye de nous faire croire que la planete patrons ripoux,elle connait pas
mais depuis des decennies,le monde du patronnat et le monde politique est a des annees lumieres des salaries,je parle pas de moi,j'ai toujours travaille,mais depuis les annees 86,jusqu'a nos jours,les patrons m'ont toujours oblige a embauche des SIVP,mais sans enfants,car c'est moins cheres,ensuite ,les gens qui avait droit aux subventions,car aucunes formation,sans parler des exonerations pour petits salaires,et pour finir,on m'a envoye a la chambre de commerce et de l'industrie,pour un stage de maitre apprenti,pour avoir des apprenties bien moins cheres,et pourtant ,l'emploi a baisse au lieu de monter,
quand on dit que c'est la faute aux 35 heures,pourquoi ne veut elle pas les laisser supprimer,ah oui,trop de milliards de subventions a perdre,sans parler des heures sup,
je suis pour laisser les gens travailler selon leurs besoins,s'il y a des heures sup a faire,jusqu'a 39h,les gens qui veulent du pouvoir d'achat,ok,mais sans exonerations,ensuite le patron paye les heures sup,comme je l'ai toujours connu
les 35h ne sont qu'un probleme pour le pouvoir d'achat du salarie,car depuis ,les patrons francais payent au raz des paquerettes
ce qui manque a beaucoup de patrons,c'est l'honnetete,et mettre leurs voracite de cote,jamais les patrons n'ont encore autant augmente leurs salaires ,et encore jamais,le salarie n'a ete aussi peu paye
un responsable de magasin etait cadre,maintenant,il reçoit a peine 15% plus que le smic,pourtant ,a cette epoque,les vendeuses avaient ce salaire,et le patron,qui avait 30 boutiques a mon arrivee en a aujourd'hui 280,alors ne me dites pas que c'est les salaires des ouvriers
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Plans sociaux: la CGT va remettre à Ayrault et Montebourg sa liste noire
La CGT remettra mardi au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, une liste destinée au ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de 46 entreprises en redressement ou en liquidation, soit près de 45.000 emplois menacés en France, a-t-on appris auprès de la CGT.
Ce recensement "des plans sociaux, redressements et liquidations" effectué par les fédérations CGT, dont fait état dimanche Le Journal du Dimanche, "montre que ce que l'on avait craint - c'est-à-dire qu'il y avait des consignes pour ne pas annoncer de plans sociaux avant la présidentielle - se vérifie", a souligné auprès de l'AFP Mohamed Oussedik, en charge de l'industrie à la CGT.
La CGT doit être reçue mardi par le Premier ministre, qui a convié successivement tout au long de la journée les leaders des syndicats et du patronat pour fixer l'agenda des réformes sociales.
La centrale enverra ensuite au ministre du Redressement productif cette liste, ainsi que ses propositions pour l'emploi, a précisé M. Oussedik.
La liste "intègre des PME, mais elle n'est pas exhaustive", relève le secrétaire confédéral, alors que les procédures de sauvegarde prononcées par les tribunaux (redressement ou liquidation) concernent traditionnellement dans leur très grande majorité les micro-entreprises de moins de 10 salariés.
Elle "ne prend pas en compte aussi les 35.000 emplois perdus dans le BTP sous forme de départs volontaires et ruptures conventionnelles", précise le secrétaire confédéral en insistant sur cette forme "déguisée" de licenciements que représentent selon lui les ruptures conventionnelles (12% des sorties de CDI, selon les chiffres officiels, le double des licenciements économiques).
Arnaud Montebourg, qui retrouvera dans cette liste un grand nombre d'entreprises aux difficultés connues (PSA, Petroplus, Carrefour, Arcelor, EON Francve, etc.), planche sur un "plan de reconquête industrielle" qu'il soumettra à Jean-Marc Ayrault "dans les semaines qui viennent", a-t-il annoncé samedi à l'AFP.
La CGT lui fera notamment des propositions pour multiplier par cinq les financements du chômage partiel, renforcer les droits des salariés dans les conseils d'administration, mettre en place un "droit de préemption" à la reprise d'entreprises en difficulté et restructurer l'appareil industriel pour répondre au plan de transition énergétique promis par le président François Hollande.
.
La CGT remettra mardi au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, une liste destinée au ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, de 46 entreprises en redressement ou en liquidation, soit près de 45.000 emplois menacés en France, a-t-on appris auprès de la CGT.
Ce recensement "des plans sociaux, redressements et liquidations" effectué par les fédérations CGT, dont fait état dimanche Le Journal du Dimanche, "montre que ce que l'on avait craint - c'est-à-dire qu'il y avait des consignes pour ne pas annoncer de plans sociaux avant la présidentielle - se vérifie", a souligné auprès de l'AFP Mohamed Oussedik, en charge de l'industrie à la CGT.
La CGT doit être reçue mardi par le Premier ministre, qui a convié successivement tout au long de la journée les leaders des syndicats et du patronat pour fixer l'agenda des réformes sociales.
La centrale enverra ensuite au ministre du Redressement productif cette liste, ainsi que ses propositions pour l'emploi, a précisé M. Oussedik.
La liste "intègre des PME, mais elle n'est pas exhaustive", relève le secrétaire confédéral, alors que les procédures de sauvegarde prononcées par les tribunaux (redressement ou liquidation) concernent traditionnellement dans leur très grande majorité les micro-entreprises de moins de 10 salariés.
Elle "ne prend pas en compte aussi les 35.000 emplois perdus dans le BTP sous forme de départs volontaires et ruptures conventionnelles", précise le secrétaire confédéral en insistant sur cette forme "déguisée" de licenciements que représentent selon lui les ruptures conventionnelles (12% des sorties de CDI, selon les chiffres officiels, le double des licenciements économiques).
Arnaud Montebourg, qui retrouvera dans cette liste un grand nombre d'entreprises aux difficultés connues (PSA, Petroplus, Carrefour, Arcelor, EON Francve, etc.), planche sur un "plan de reconquête industrielle" qu'il soumettra à Jean-Marc Ayrault "dans les semaines qui viennent", a-t-il annoncé samedi à l'AFP.
La CGT lui fera notamment des propositions pour multiplier par cinq les financements du chômage partiel, renforcer les droits des salariés dans les conseils d'administration, mettre en place un "droit de préemption" à la reprise d'entreprises en difficulté et restructurer l'appareil industriel pour répondre au plan de transition énergétique promis par le président François Hollande.
.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Monaco QD est une société anonyme monégasque (type joint venture soit une coentreprise) qui avait été constituée fin 2010 dont 80% des parts appartiennent à une filiale de Qatari Diar (appartenant au Qatar) et à 20% à l'Etat.
La mission de cette société était de rechercher, d'évaluer et d'essayer d'acquérir des groupes hôteliers. « Aucun projet n'a pu être identifié dans un marché concurrentiel malgré un intense travail mené, a précisé mercredi Marco Piccinini, conseiller de gouvernement pour les finances et l'économie. Dans ce contexte, les Qataris ont indiqué à la partie monégasque qu'ils envisageaient de procéder à une liquidation de la société. Monaco a adhéré à cette suggestion donc l'entreprise est presque en voie de liquidation aujourd'hui. Le gouvernement a fait savoir à Qatari Diar qu'il était toujours intéressé pour une collaboration s'il existait un projet spécifique. Plutôt que de créer la société et de décider quoi en faire ce serait une manière d'identifier la cible avant de travailler ensemble
La mission de cette société était de rechercher, d'évaluer et d'essayer d'acquérir des groupes hôteliers. « Aucun projet n'a pu être identifié dans un marché concurrentiel malgré un intense travail mené, a précisé mercredi Marco Piccinini, conseiller de gouvernement pour les finances et l'économie. Dans ce contexte, les Qataris ont indiqué à la partie monégasque qu'ils envisageaient de procéder à une liquidation de la société. Monaco a adhéré à cette suggestion donc l'entreprise est presque en voie de liquidation aujourd'hui. Le gouvernement a fait savoir à Qatari Diar qu'il était toujours intéressé pour une collaboration s'il existait un projet spécifique. Plutôt que de créer la société et de décider quoi en faire ce serait une manière d'identifier la cible avant de travailler ensemble
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
"

Cela touche tout
le territoiremais
à des degrés divers."
Le froidbrutal, rapide et durable
qui est arrivé en février
sur des vignes déjà
en sève a eu un effet dévastateur
sur une partie du vignoble
rhodanien :"On le constate depuis
maintenant près de deux
mois, souligne Philippe Pellaton,
leprésident du syndicat général
des côtes-du-rhône. Au
début, beaucoup ont dit que
c’était un débourrement qui
n’était pas homogène, commecela
arrive souvent. Mais en y regardant
de plus près, on s’est vite
rendu compte qu’il y avait
beaucoup plus de mortalité que
l es a u t r es a n n é e s. Et
aujourd’hui, au moment de la
floraison, le phénomène émerge
de manière très violente et très
diffuse, car cela touche tout le
territoire mais à des degrés divers".
Cela peut aller ainsi de 2 à
3% de pieds gelés sur une parcelle
jusqu’à 80% comme c’est
le cas par exemple du côté de
Chusclan.
Et ce sont les vieux ceps de vigne
qui sont les plus impactés,
les grenaches en particuliers.
Pourquoi les vieilles vignes ?
"Parce que le plus souvent, elles
sont nécrosées à cause des plaies
de taille, précise Bernard Manganelli,
le président de la cave
"Les Vignerons de Caractère" à
Vacqueyras. Elles sont plus sensibles
car la sève circule en périphérie
contrairement aux jeunes
vignes dans lesquelles la sève
circule partout". Un phénomène
qui rappelle l’hiver 1956.
Mais, à l’époque, tous les oliviers
de la région avaient gelé
mais pas les vignes car les plantations
étaient alors beaucoup
plus jeunes. "Cette année, le gel
s’est propagé comme un courant
d’air. Dans certaines parcelles -
et même dans quelques vergers -
on voit ce qu’on appelle des lunes:
un espace au milieu des
plantations qui est tout gelé. Ici,
dans notre coin, tous les palmiers
sont morts. Et les chênes
verts et les pins ont énormément
morflé". "En hiver, quand
la vigne est en dormance, ajoute
Françoise Aldersebaes, la technicienne
de la cave, elle est préparée
intérieurement à subir ces
grands froids. Mais cette année,
comme il avait fait anormalement
chaud, elle a été surprise
alors qu’elle avait déjà commencé
à repartir en végétation. Et
certains pieds n’ont pas résisté
aux -15º que l’on a connus pendant
plusieurs nuits successives".
"Si vous vous souvenez de
l’hiver 1985, les températures ne
montaient pas au-dessus de
- 10º en pleine journée. Mais
c’était en janvier et la vigne
n’avait pas souffert". Contrairement
à aujourd’hui donc où les
dommages risquent d’être
beaucoup plus importants. Les
pertes pourraient aller de 5 à
70% selon les domaines et les
parcelles dans la vallée du Rhône.
"Il y a des souches qui sont
carrément mortes. Sur d’autres
on aperçoit des bourillons et il
semblerait que ça repart un peu.
Ce qui laisse présager une floraison
échelonnée et une mâturation
disparate. Ce qui est sûr,
c’est que les vendages se seront
pas homogènes, ça vanous compliquer
unpeu plus la vie". Sans
parler des futurs problèmes
d’indemnisation avec les assurances
et des replantations qui
sont d’ores et déjà à prévoir.


Cela touche tout
le territoiremais
à des degrés divers."
Le froidbrutal, rapide et durable
qui est arrivé en février
sur des vignes déjà
en sève a eu un effet dévastateur
sur une partie du vignoble
rhodanien :"On le constate depuis
maintenant près de deux
mois, souligne Philippe Pellaton,
leprésident du syndicat général
des côtes-du-rhône. Au
début, beaucoup ont dit que
c’était un débourrement qui
n’était pas homogène, commecela
arrive souvent. Mais en y regardant
de plus près, on s’est vite
rendu compte qu’il y avait
beaucoup plus de mortalité que
l es a u t r es a n n é e s. Et
aujourd’hui, au moment de la
floraison, le phénomène émerge
de manière très violente et très
diffuse, car cela touche tout le
territoire mais à des degrés divers".
Cela peut aller ainsi de 2 à
3% de pieds gelés sur une parcelle
jusqu’à 80% comme c’est
le cas par exemple du côté de
Chusclan.
Et ce sont les vieux ceps de vigne
qui sont les plus impactés,
les grenaches en particuliers.
Pourquoi les vieilles vignes ?
"Parce que le plus souvent, elles
sont nécrosées à cause des plaies
de taille, précise Bernard Manganelli,
le président de la cave
"Les Vignerons de Caractère" à
Vacqueyras. Elles sont plus sensibles
car la sève circule en périphérie
contrairement aux jeunes
vignes dans lesquelles la sève
circule partout". Un phénomène
qui rappelle l’hiver 1956.
Mais, à l’époque, tous les oliviers
de la région avaient gelé
mais pas les vignes car les plantations
étaient alors beaucoup
plus jeunes. "Cette année, le gel
s’est propagé comme un courant
d’air. Dans certaines parcelles -
et même dans quelques vergers -
on voit ce qu’on appelle des lunes:
un espace au milieu des
plantations qui est tout gelé. Ici,
dans notre coin, tous les palmiers
sont morts. Et les chênes
verts et les pins ont énormément
morflé". "En hiver, quand
la vigne est en dormance, ajoute
Françoise Aldersebaes, la technicienne
de la cave, elle est préparée
intérieurement à subir ces
grands froids. Mais cette année,
comme il avait fait anormalement
chaud, elle a été surprise
alors qu’elle avait déjà commencé
à repartir en végétation. Et
certains pieds n’ont pas résisté
aux -15º que l’on a connus pendant
plusieurs nuits successives".
"Si vous vous souvenez de
l’hiver 1985, les températures ne
montaient pas au-dessus de
- 10º en pleine journée. Mais
c’était en janvier et la vigne
n’avait pas souffert". Contrairement
à aujourd’hui donc où les
dommages risquent d’être
beaucoup plus importants. Les
pertes pourraient aller de 5 à
70% selon les domaines et les
parcelles dans la vallée du Rhône.
"Il y a des souches qui sont
carrément mortes. Sur d’autres
on aperçoit des bourillons et il
semblerait que ça repart un peu.
Ce qui laisse présager une floraison
échelonnée et une mâturation
disparate. Ce qui est sûr,
c’est que les vendages se seront
pas homogènes, ça vanous compliquer
unpeu plus la vie". Sans
parler des futurs problèmes
d’indemnisation avec les assurances
et des replantations qui
sont d’ores et déjà à prévoir.

aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mardi 29 mai 2012 21:56 | Par AFPUn tiers des jeunes diplômés de l'année 2011 n'ont pas travaillé
Près du tiers des jeunes diplômés en 2011 n'ont occupé aucun poste depuis la fin de leurs études, les plus chanceux acceptant des "emplois d'attente" faute de mieux, a indiqué mardi l'Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes diplômés (Afij).
Parmi ceux qui avaient réussi à s'insérer dans les mois suivant l'obtention de leur diplôme, seuls 43% avaient encore un emploi en avril 2012 selon une étude publiée mardi.
Pour 42% d'entre eux, ils occupaient ce poste par le biais d'un contrat précaire (CDD ou intérim de moins de 6 mois).
"L'entrée dans la vie active apparaît toujours longue", observe l'Afij, qui confirme "la persistance du caractère non linéaire des parcours d'insertion de la majorité des jeunes diplômés".
Pour l'Afij, les jeunes alternent période d'activité et chômage et subissent les temps partiels ou les emplois alimentaires avant de décrocher un emploi stable.
Parmi les jeunes diplômés 2011 qui étaient sans emploi en avril (57%), 44% avaient décroché un CDD dans la foulée de leurs études, mais cette première expérience aura duré moins de trois mois dans la plupart des cas (56%).
Pour ces jeunes, il s'agissait le plus souvent d'un emploi d'attente (61%) ou correspondant moyennement à leurs attentes (16%).
L'Afij est une association née en 1994 de la volonté des associations et mutuelles d'intervenir dans l'accompagnement à la recherche d'emploi. L'Afij a conclu des conventions avec Pôle emploi et des établissements d'enseignement supérieur.
L'étude a été effectuée sur un échantillon de 1.065 jeunes inscrits à l'Afij et au moins titulaires d'un bac+2.
.
Près du tiers des jeunes diplômés en 2011 n'ont occupé aucun poste depuis la fin de leurs études, les plus chanceux acceptant des "emplois d'attente" faute de mieux, a indiqué mardi l'Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes diplômés (Afij).
Parmi ceux qui avaient réussi à s'insérer dans les mois suivant l'obtention de leur diplôme, seuls 43% avaient encore un emploi en avril 2012 selon une étude publiée mardi.
Pour 42% d'entre eux, ils occupaient ce poste par le biais d'un contrat précaire (CDD ou intérim de moins de 6 mois).
"L'entrée dans la vie active apparaît toujours longue", observe l'Afij, qui confirme "la persistance du caractère non linéaire des parcours d'insertion de la majorité des jeunes diplômés".
Pour l'Afij, les jeunes alternent période d'activité et chômage et subissent les temps partiels ou les emplois alimentaires avant de décrocher un emploi stable.
Parmi les jeunes diplômés 2011 qui étaient sans emploi en avril (57%), 44% avaient décroché un CDD dans la foulée de leurs études, mais cette première expérience aura duré moins de trois mois dans la plupart des cas (56%).
Pour ces jeunes, il s'agissait le plus souvent d'un emploi d'attente (61%) ou correspondant moyennement à leurs attentes (16%).
L'Afij est une association née en 1994 de la volonté des associations et mutuelles d'intervenir dans l'accompagnement à la recherche d'emploi. L'Afij a conclu des conventions avec Pôle emploi et des établissements d'enseignement supérieur.
L'étude a été effectuée sur un échantillon de 1.065 jeunes inscrits à l'Afij et au moins titulaires d'un bac+2.
.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Nouvelle grève demain à la Caisse d'allocations Publié le mardi 29 mai 2012 à 19H22
Lancée le 9 mai à l'appel de l'intersyndicale CGT, FO, UGICT-CGT et SNFOCOS, la grève reconductible des agents et cadres de la Caf 13 se poursuit demain, informe l'intersyndicale dans un communiqué.
Lancée le 9 mai à l'appel de l'intersyndicale CGT, FO, UGICT-CGT et SNFOCOS, la grève reconductible des agents et cadres de la Caf 13 se poursuit demain, informe l'intersyndicale dans un communiqué.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mercredi 30 mai 2012 22:34 | Par AFPLa hausse du nombre de demandeurs d'emploi se poursuit mais moins vite
Les chiffres des demandeurs d'emploi d'avril, portant sur le dernier mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy, montrent une hausse modérée du chômage mais la croissance quasi nulle incite les experts à la prudence.
Les chiffres "ne sont pas bons", a commenté depuis Marseille le Premier ministre Jean-Marc Ayrault en soulignant que son gouvernement "hérit(ait) d'une situation".
Au lendemain des consultations avec les partenaires sociaux en vue d'un sommet économique et social en juillet, il a érigé en priorité la lutte pour "faire reculer le chômage".
Le nombre de demandeurs d'emploi sans activité en France métropolitaine a progressé de 0,1% en avril pour le douzième mois consécutif pour atteindre 2,888 millions de personnes, soit 4.300 de plus qu'en mars, a annoncé mercredi le ministère du Travail.
Avec les personnes en activité réduite, 4,318 millions de personnes (4,592 DOM compris) étaient à la recherche un travail (+9.200), soit une hausse de 0,2%.
Parmi les "évolutions préoccupantes", le ministère du Travail note celle du nombre de chômeurs de longue durée (+1,1% sur un mois) et celle des seniors (+1% sur un mois, +15,6% sur un an), le double de la moyenne nationale.
Ces statistiques, les premières depuis l'élection de François Hollande, montrent une progression globale trois fois inférieure à la moyenne mensuelle du 1er trimestre 2012 (+12.000 par mois). Sur un an, la hausse s'est établie à +7,5%.
"Cette hausse intervient dans un contexte de recours intensif, au cours de ces derniers mois de campagne électorale, aux contrats aidés, ainsi qu'à une évidente +rétention+ d'un certain nombre de plans sociaux", a réagi le ministère du Travail dans un communiqué.
Pour Eric Heyer, économiste à l'OFCE, elle s'explique également par un "traitement social du chômage, amplifié avant la présidentielle par le recours aux emplois aidés", qui ont eu, selon lui, en avril une "répercussion rapide et immédiate" sur le nombre de demandeurs d'emploi, notamment les jeunes (-0,4% sur un mois).
Fin 2011, le précédent ministre du Travail, Xavier Bertrand, avait demandé à ses services de mettre les bouchées doubles en leur fixant l'objectif de réaliser les deux-tiers des 340.000 contrats budgétés pour 2012 sur la première moitié de l'année.
Au premier trimestre 2012, il y a eu 10.000 emplois aidés signés dans le secteur non-marchand de plus qu'au premier trimestre 2011, selon des données provisoires disponibles sur le site de la Dares.
Les personnes en contrats aidés sont comptabilisées en catégorie E, avec les créateurs d'entreprises. Leur nombre a globalement baissé de 2.500 en avril, sans que l'on ait le détail pour la part des emplois aidés.
D'autres experts se montrent plus prudents. Pour Marie-Claire Carrère-Gée, présidente du Conseil d'orientation pour l'emploi, les évolutions contrastées en avril (+22.900) et en mars (-25.000) des sorties des listes pour "cessation d'inscriptions pour défaut d'actualisation" rendent "difficile" l'interprétation des chiffres "avec rigueur".
De son côté, Philippe Waechter, économiste chez Natixis, analyse "un repli des entrées" à Pôle emploi conjugué à "une accélération des sorties". Mais le nombre peu élevé de personnes sorties des listes après avoir retrouvé un travail reste à "un niveau bas" confirmant une "dynamique de création d'emploi très réduite".
Les inscriptions à Pôle emploi après un licenciement économique ont bondi de 13,8%, soit +1.600 personnes en un mois, alors que ce motif était en recul auparavant.
L'Insee qui prévoit une poursuite du chômage en 2012 à 9,7% au 1er semestre (10,1% DOM compris) publiera le 7 juin les données pour le 1er trimestre au sens du BIT permettant les comparaisons internationales.
"Le retournement sera long à se dessiner. Les perspectives de croissance sont actuellement trop dégradées", estime M. Waechter.
.
Les chiffres des demandeurs d'emploi d'avril, portant sur le dernier mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy, montrent une hausse modérée du chômage mais la croissance quasi nulle incite les experts à la prudence.
Les chiffres "ne sont pas bons", a commenté depuis Marseille le Premier ministre Jean-Marc Ayrault en soulignant que son gouvernement "hérit(ait) d'une situation".
Au lendemain des consultations avec les partenaires sociaux en vue d'un sommet économique et social en juillet, il a érigé en priorité la lutte pour "faire reculer le chômage".
Le nombre de demandeurs d'emploi sans activité en France métropolitaine a progressé de 0,1% en avril pour le douzième mois consécutif pour atteindre 2,888 millions de personnes, soit 4.300 de plus qu'en mars, a annoncé mercredi le ministère du Travail.
Avec les personnes en activité réduite, 4,318 millions de personnes (4,592 DOM compris) étaient à la recherche un travail (+9.200), soit une hausse de 0,2%.
Parmi les "évolutions préoccupantes", le ministère du Travail note celle du nombre de chômeurs de longue durée (+1,1% sur un mois) et celle des seniors (+1% sur un mois, +15,6% sur un an), le double de la moyenne nationale.
Ces statistiques, les premières depuis l'élection de François Hollande, montrent une progression globale trois fois inférieure à la moyenne mensuelle du 1er trimestre 2012 (+12.000 par mois). Sur un an, la hausse s'est établie à +7,5%.
"Cette hausse intervient dans un contexte de recours intensif, au cours de ces derniers mois de campagne électorale, aux contrats aidés, ainsi qu'à une évidente +rétention+ d'un certain nombre de plans sociaux", a réagi le ministère du Travail dans un communiqué.
Pour Eric Heyer, économiste à l'OFCE, elle s'explique également par un "traitement social du chômage, amplifié avant la présidentielle par le recours aux emplois aidés", qui ont eu, selon lui, en avril une "répercussion rapide et immédiate" sur le nombre de demandeurs d'emploi, notamment les jeunes (-0,4% sur un mois).
Fin 2011, le précédent ministre du Travail, Xavier Bertrand, avait demandé à ses services de mettre les bouchées doubles en leur fixant l'objectif de réaliser les deux-tiers des 340.000 contrats budgétés pour 2012 sur la première moitié de l'année.
Au premier trimestre 2012, il y a eu 10.000 emplois aidés signés dans le secteur non-marchand de plus qu'au premier trimestre 2011, selon des données provisoires disponibles sur le site de la Dares.
Les personnes en contrats aidés sont comptabilisées en catégorie E, avec les créateurs d'entreprises. Leur nombre a globalement baissé de 2.500 en avril, sans que l'on ait le détail pour la part des emplois aidés.
D'autres experts se montrent plus prudents. Pour Marie-Claire Carrère-Gée, présidente du Conseil d'orientation pour l'emploi, les évolutions contrastées en avril (+22.900) et en mars (-25.000) des sorties des listes pour "cessation d'inscriptions pour défaut d'actualisation" rendent "difficile" l'interprétation des chiffres "avec rigueur".
De son côté, Philippe Waechter, économiste chez Natixis, analyse "un repli des entrées" à Pôle emploi conjugué à "une accélération des sorties". Mais le nombre peu élevé de personnes sorties des listes après avoir retrouvé un travail reste à "un niveau bas" confirmant une "dynamique de création d'emploi très réduite".
Les inscriptions à Pôle emploi après un licenciement économique ont bondi de 13,8%, soit +1.600 personnes en un mois, alors que ce motif était en recul auparavant.
L'Insee qui prévoit une poursuite du chômage en 2012 à 9,7% au 1er semestre (10,1% DOM compris) publiera le 7 juin les données pour le 1er trimestre au sens du BIT permettant les comparaisons internationales.
"Le retournement sera long à se dessiner. Les perspectives de croissance sont actuellement trop dégradées", estime M. Waechter.
.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 37
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Législatives: coup d'envoi de la campagne, la gauche attend des Français qu'ils confirment leur choi...
pauvre droite
L'UMP n'a toujours pas de programme, ce qui les oblige à faire campagne uniquement sur le thème : pas tous les pouvoirs à la gauche". Ils oublient simplement que pendant 10 ans les pouvoirs de l'Etat étaient aux mains de la droite. Je ne savais pas que dans la constitution était inscrit qu'il fallait "rééquilibrer les pouvoirs", je pensais que seul compter le choix des citoyens face à différents projets politiques (ah oui mais c'est vrai l'UMP n'en a pas)
Elle compare la gestion de l'Etat avec celle des collectivités territoriales qui sont autonomes et qui n'ont pas les mêmes prérogatives. Il n'y a aucun rapport entre la gestion de sa commune, de son département et de sa région et les législatives. On peut très bien apprécier son maire de droite ou de gauche et voter pour l'autre camp aux législatives. Il faut arrêter de tout mélanger.
pauvre droite
L'UMP n'a toujours pas de programme, ce qui les oblige à faire campagne uniquement sur le thème : pas tous les pouvoirs à la gauche". Ils oublient simplement que pendant 10 ans les pouvoirs de l'Etat étaient aux mains de la droite. Je ne savais pas que dans la constitution était inscrit qu'il fallait "rééquilibrer les pouvoirs", je pensais que seul compter le choix des citoyens face à différents projets politiques (ah oui mais c'est vrai l'UMP n'en a pas)
Elle compare la gestion de l'Etat avec celle des collectivités territoriales qui sont autonomes et qui n'ont pas les mêmes prérogatives. Il n'y a aucun rapport entre la gestion de sa commune, de son département et de sa région et les législatives. On peut très bien apprécier son maire de droite ou de gauche et voter pour l'autre camp aux législatives. Il faut arrêter de tout mélanger.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Lagarde regrette la polémique provoquée par ses remarques sur la Grèce
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Lagarde, regrette la polémique provoquée par ses propos récents invitant les Grecs à "s'entraider collectivement", a déclaré jeudi à Washington un porte-parole de son organisation.
Lagarde a dit devant le Conseil d'administration du Fonds "qu'elle regrettait que ses remarques aient été mal comprises et qu'elles aient offensé", a déclaré ce porte-parole, Gerry Rice, lors d'un point de presse.
"Cela n'était pas son intention", Mme Lagarde et le FMI ont toujours dit qu'ils éprouvaient "un grand respect pour la Grèce et son peuple, et les sacrifices que de très nombreux Grecs consentent pour surmonter la crise économique", a ajouté ce porte-parole
BERKKKKKKKKKKKKKKKKKKK VRAIMENT LAIDE

La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Lagarde, regrette la polémique provoquée par ses propos récents invitant les Grecs à "s'entraider collectivement", a déclaré jeudi à Washington un porte-parole de son organisation.
Lagarde a dit devant le Conseil d'administration du Fonds "qu'elle regrettait que ses remarques aient été mal comprises et qu'elles aient offensé", a déclaré ce porte-parole, Gerry Rice, lors d'un point de presse.
"Cela n'était pas son intention", Mme Lagarde et le FMI ont toujours dit qu'ils éprouvaient "un grand respect pour la Grèce et son peuple, et les sacrifices que de très nombreux Grecs consentent pour surmonter la crise économique", a ajouté ce porte-parole
BERKKKKKKKKKKKKKKKKKKK VRAIMENT LAIDE

bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Le logo du FN sur la page d'accueil du site de la mairie par erreur ! Publié le jeudi 31 mai 2012 à 16H15
Capture d'écran
Ce n'était pas le bon moment pour faire une telle bourde ! En effet, alors que nombre d'opposants à Maryse Joissains la taxent de (parfois) flirter avec des idées du Front national, le logo du parti d'extrême droite est resté plus de deux heures, en milieu de journée, à la une de la page d'accueil du site de la mairie !
"Une erreur humaine" plaide-t-on au service communication de la commune, "notre webmaster est en vacances et les employés de la direction des systèmes informatiques ont cru bien faire en choisissant cette photo sur un moteur de recherche pour illustrer la page 'législatives'. Dès que nous nous en sommes rendus compte, vers 15h30, nous avons évidemment demandé de la retirer immédiatement. Nous venons d'ordonner une enquête administrative qui amènera à des sanctions..."
Capture d'écran
Ce n'était pas le bon moment pour faire une telle bourde ! En effet, alors que nombre d'opposants à Maryse Joissains la taxent de (parfois) flirter avec des idées du Front national, le logo du parti d'extrême droite est resté plus de deux heures, en milieu de journée, à la une de la page d'accueil du site de la mairie !
"Une erreur humaine" plaide-t-on au service communication de la commune, "notre webmaster est en vacances et les employés de la direction des systèmes informatiques ont cru bien faire en choisissant cette photo sur un moteur de recherche pour illustrer la page 'législatives'. Dès que nous nous en sommes rendus compte, vers 15h30, nous avons évidemment demandé de la retirer immédiatement. Nous venons d'ordonner une enquête administrative qui amènera à des sanctions..."
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Zone euro: niveau jamais vu du chômage qui touche 11% de la population
Le chômage touche désormais 11% de la population en âge de travailler dans la zone euro, un niveau jamais vu et qui pourrait encore croître dans les mois qui viennent face à une probable aggravation de la crise économique, préviennent de nombreux économistes.
Le taux de chômage a atteint ce niveau record en avril comme en mars où le chiffre a été révisé à la hausse, selon Eurostat.
Le seuil de 11% n'avait jamais été atteint depuis la création de la zone euro en 1999, mais ce niveau ne surprend guère les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires qui s'attendaient à un tel chiffre en avril.
Cela signifie au total que 17,40 millions de personnes étaient sans emploi en avril dans l'Union monétaire, soit 110.000 de plus que le mois précédent, en raison notamment du nombre de chômeurs découragés, suggère Martin Van Vliet, analyste pour la banque néerlandaise ING.
"Les entreprises sont pour la plupart sous forte pression pour limiter leurs effectifs afin de contenir leurs coûts face à une faible demande, une forte concurrence, des marges serrées et des perspectives très incertaines", souligne Howard Archer, économiste pour IHS Global Insight.
La situation est critique: il s'agit du douzième mois consécutif au cours duquel le chômage a atteint ou dépassé le seuil de 10% dans la zone euro. En un an, 1,79 million de personnes sont venues grossir les rangs des sans emploi.
Pire, l'horizon est bouché, alors que la zone euro semble se diriger vers une nette contraction de son activité au second trimestre.
"Nous pensons que le taux de chômage va atteindre ou légèrement dépasser les 11,5%, en tablant sur le fait que la zone euro sorte de récession plus tard cette année", estime Martin Van Vliet, analyste pour la banque néerlandaise ING.
Mais ce scénario semble optimiste sachant que la zone euro pourrait voir son activité se contracter plus longtemps que prévu, comme le suggèrent les indices PMI notamment celui du secteur manufacturier publié vendredi. "Dans ce cas, le risque est d'atteindre un taux de chômage encore plus important", prévient-il.
De nombreuses disparités apparaissent toutefois entre pays du sud de l'Europe et ceux du nord, même si de nombreuses économies jugées solides "succombent à la morosité", souligne Jennifer Mac Keown de Capital Economics, citant le cas de la France, deuxième économie de la zone euro où le chômage a grimpé à 10,2% en avril contre 10,1% le mois précédent.
L'Espagne reste de loin le pays européen le plus affecté avec le taux de chômage le plus élevé d'Europe (24,3%). Le phénomène touche de plein fouet les moins de 25 ans, puisque plus d'un jeune sur deux est sans emploi dans le pays (51,5%).
En Grèce, le taux de chômage s'est lui inscrit à 21,7%, selon les dernières données disponibles pour ce pays, qui datent de février.
En revanche, les taux de chômage les plus bas sont enregistrés en Autriche (3,9%), au Luxembourg et aux Pays-Bas (5,2%) ainsi qu'en Allemagne (5,4%).
Ces mauvaises nouvelles "vont compliquer les efforts des pays les plus fragiles" soumis à des cures d'austérité et "pourraient rendre réticentes les économies les plus solides à fournir (à leurs voisins) l'aide dont ils ont désespérément besoin", estime l'économiste de Capital Economics.
La croissance et l'emploi sont devenues des priorités absolues pour les Européens, mais ils sont très divisés sur les moyens de les relancer, les pays partisans de l'orthodoxie budgétaire, Allemagne en tête, prônant plus de flexibilité dans le marché du travail, ce que refuse la France notamment.
Le chômage touche désormais 11% de la population en âge de travailler dans la zone euro, un niveau jamais vu et qui pourrait encore croître dans les mois qui viennent face à une probable aggravation de la crise économique, préviennent de nombreux économistes.
Le taux de chômage a atteint ce niveau record en avril comme en mars où le chiffre a été révisé à la hausse, selon Eurostat.
Le seuil de 11% n'avait jamais été atteint depuis la création de la zone euro en 1999, mais ce niveau ne surprend guère les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires qui s'attendaient à un tel chiffre en avril.
Cela signifie au total que 17,40 millions de personnes étaient sans emploi en avril dans l'Union monétaire, soit 110.000 de plus que le mois précédent, en raison notamment du nombre de chômeurs découragés, suggère Martin Van Vliet, analyste pour la banque néerlandaise ING.
"Les entreprises sont pour la plupart sous forte pression pour limiter leurs effectifs afin de contenir leurs coûts face à une faible demande, une forte concurrence, des marges serrées et des perspectives très incertaines", souligne Howard Archer, économiste pour IHS Global Insight.
La situation est critique: il s'agit du douzième mois consécutif au cours duquel le chômage a atteint ou dépassé le seuil de 10% dans la zone euro. En un an, 1,79 million de personnes sont venues grossir les rangs des sans emploi.
Pire, l'horizon est bouché, alors que la zone euro semble se diriger vers une nette contraction de son activité au second trimestre.
"Nous pensons que le taux de chômage va atteindre ou légèrement dépasser les 11,5%, en tablant sur le fait que la zone euro sorte de récession plus tard cette année", estime Martin Van Vliet, analyste pour la banque néerlandaise ING.
Mais ce scénario semble optimiste sachant que la zone euro pourrait voir son activité se contracter plus longtemps que prévu, comme le suggèrent les indices PMI notamment celui du secteur manufacturier publié vendredi. "Dans ce cas, le risque est d'atteindre un taux de chômage encore plus important", prévient-il.
De nombreuses disparités apparaissent toutefois entre pays du sud de l'Europe et ceux du nord, même si de nombreuses économies jugées solides "succombent à la morosité", souligne Jennifer Mac Keown de Capital Economics, citant le cas de la France, deuxième économie de la zone euro où le chômage a grimpé à 10,2% en avril contre 10,1% le mois précédent.
L'Espagne reste de loin le pays européen le plus affecté avec le taux de chômage le plus élevé d'Europe (24,3%). Le phénomène touche de plein fouet les moins de 25 ans, puisque plus d'un jeune sur deux est sans emploi dans le pays (51,5%).
En Grèce, le taux de chômage s'est lui inscrit à 21,7%, selon les dernières données disponibles pour ce pays, qui datent de février.
En revanche, les taux de chômage les plus bas sont enregistrés en Autriche (3,9%), au Luxembourg et aux Pays-Bas (5,2%) ainsi qu'en Allemagne (5,4%).
Ces mauvaises nouvelles "vont compliquer les efforts des pays les plus fragiles" soumis à des cures d'austérité et "pourraient rendre réticentes les économies les plus solides à fournir (à leurs voisins) l'aide dont ils ont désespérément besoin", estime l'économiste de Capital Economics.
La croissance et l'emploi sont devenues des priorités absolues pour les Européens, mais ils sont très divisés sur les moyens de les relancer, les pays partisans de l'orthodoxie budgétaire, Allemagne en tête, prônant plus de flexibilité dans le marché du travail, ce que refuse la France notamment.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Mise à jour : vendredi 1 juin 2012 17:20 | Par AFP La Bourse de Paris chute sous 3.000 points, au plus bas depuis six mois
La Bourse de Paris est tombée vendredi à son plus bas niveau depuis six mois, clôturant sur une forte baisse de 2,21% qui l'a ramenée sous les 3.000 points, sous l'effet d'une mauvaise nouvelle pour l'emploi américain et des craintes sur le secteur bancaire en Espagne.
L'indice CAC 40 a lâché 66,54 points à 2.950,47 points, dans un volume d'échanges de 4,629 milliards d'euros, relativement nourri par rapport à ces derniers jours.
Euronext (CAC 40)
FAITES GAFFE
SI MES BOURSES SE VIDENT CA VA FAIRE DU DEGAT
.
La Bourse de Paris est tombée vendredi à son plus bas niveau depuis six mois, clôturant sur une forte baisse de 2,21% qui l'a ramenée sous les 3.000 points, sous l'effet d'une mauvaise nouvelle pour l'emploi américain et des craintes sur le secteur bancaire en Espagne.
L'indice CAC 40 a lâché 66,54 points à 2.950,47 points, dans un volume d'échanges de 4,629 milliards d'euros, relativement nourri par rapport à ces derniers jours.
Euronext (CAC 40)
FAITES GAFFE

.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Pasdereprisedes hauts
fourneaux d’ArcellorMittal
Une intersyndicale
reçue lundi par
le Président
Les deux hauts fourneaux de
Florange (Moselle) vont rester
encore à l'arrêt pendant les six
prochains mois, une décision
qui relance les inquiétudes sur
l'avenir du site lorrain, dont le
redémarrage est conditionné
par ArcelorMittal à une reprise
économique en Europe.
Le numéro un mondial de
l'acier a fait valoir que "le marché
européen ne montre pas de
signe d'amélioration et que le 4e
trimestre est traditionnellement
un trimestre plus faible". Le premier
haut fourneau (P3) de Florange
est arrêté depuis un an et
le deuxième (P6) depuis
l'automne, ce qui occasionne
du chômage partiel massif pour
unebonne partie des 2500 salariés
permanents du site et pèse
sur les nombreux sous-traitants.
"L'arrêt est prolongé pour
six mois, ils ont décrit une situation
très mauvaise en Europe", a
déclaré Yves Fabbri, délégué
CGT.
"C'est catastrophique pour
Florange", a ajouté le syndicaliste
qui craint désormais des suppressions
d'emplois à l'activité
"packaging" et chez l e s
sous-traitants. Si ArcelorMittal
parle toujours d'une "suspension
temporaire" des deux derniers
hauts fourneaux lorrains,
pour la CFDT, "on achemine Florange
vers une fermeture temporaire
à durée indéterminée menaçant
l'avenir du site".
Le souvenir de la fermeture
en 2009 de l'aciérie voisine de
Gandrange reste très vivace.
Walter Broccoli, délégué FO à
Florange, se dit aussi préoccupé
par "l'hémorragie de personnel".
Les salariés d'ArcelorMittal
de Florange qui ont multiplié
les actions médiatiques ont
bien l'intention de continuer à
se battre.
Une intersyndicale du groupe
va être reçue lundi par François
Hollande et le ministre du
Redressement productif Arnaud
Montebourg.
fourneaux d’ArcellorMittal
Une intersyndicale
reçue lundi par
le Président
Les deux hauts fourneaux de
Florange (Moselle) vont rester
encore à l'arrêt pendant les six
prochains mois, une décision
qui relance les inquiétudes sur
l'avenir du site lorrain, dont le
redémarrage est conditionné
par ArcelorMittal à une reprise
économique en Europe.
Le numéro un mondial de
l'acier a fait valoir que "le marché
européen ne montre pas de
signe d'amélioration et que le 4e
trimestre est traditionnellement
un trimestre plus faible". Le premier
haut fourneau (P3) de Florange
est arrêté depuis un an et
le deuxième (P6) depuis
l'automne, ce qui occasionne
du chômage partiel massif pour
unebonne partie des 2500 salariés
permanents du site et pèse
sur les nombreux sous-traitants.
"L'arrêt est prolongé pour
six mois, ils ont décrit une situation
très mauvaise en Europe", a
déclaré Yves Fabbri, délégué
CGT.
"C'est catastrophique pour
Florange", a ajouté le syndicaliste
qui craint désormais des suppressions
d'emplois à l'activité
"packaging" et chez l e s
sous-traitants. Si ArcelorMittal
parle toujours d'une "suspension
temporaire" des deux derniers
hauts fourneaux lorrains,
pour la CFDT, "on achemine Florange
vers une fermeture temporaire
à durée indéterminée menaçant
l'avenir du site".
Le souvenir de la fermeture
en 2009 de l'aciérie voisine de
Gandrange reste très vivace.
Walter Broccoli, délégué FO à
Florange, se dit aussi préoccupé
par "l'hémorragie de personnel".
Les salariés d'ArcelorMittal
de Florange qui ont multiplié
les actions médiatiques ont
bien l'intention de continuer à
se battre.
Une intersyndicale du groupe
va être reçue lundi par François
Hollande et le ministre du
Redressement productif Arnaud
Montebourg.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 108
Localisation : cassis
Page 7 sur 26 • 1 ... 6, 7, 8 ... 16 ... 26

» CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
» LES CLUBS DE VETERANS
» LES ECHARPES DE CLUBS
» LES BILLETS DE CLUBS DU SUD
» AUTRES CLUBS DE NATIONAL
» LES CLUBS DE VETERANS
» LES ECHARPES DE CLUBS
» LES BILLETS DE CLUBS DU SUD
» AUTRES CLUBS DE NATIONAL
Page 7 sur 26
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|