FFF FEDERATION FRANCAISE DE FOOT !!!!!!!!!!!!!

FFF - Retour sur l'assemblée fédérale

L’Assemblée Fédérale réunie samedi à Paris, sous la présidence de Noël Le Graët, s’est tenue sous le signe de l’avenir. Un avenir notamment symbolisé par le projet fédéral "Horizon Bleu 2016". Du bleu à l’horizon


Tweeter
 

Ajouter à Myfff



0.25

0.5

0.75

1

1.25

1.5

1.75

2

2.25

2.5

2.75

3

3.25

3.5

3.75

4

4.25

4.5

4.75

5

0




samedi 14 décembre 2013 - 16:04 - Philippe Mayen

L’Assemblée Fédérale réunie samedi à Paris, sous la présidence de Noël Le Graët, s’est tenue sous le signe de l’avenir. Un avenir notamment symbolisé par le projet fédéral "Horizon Bleu 2016".


Moins d’un mois après la qualification des Bleus pour la Coupe du Monde 2014, c’est une Assemblée Fédérale empreinte de sérénité et résolument tournée vers l’avenir qui s’est tenue samedi matin à Paris.
Avec le prochain rendez-vous brésilien puis l’Euro 2016 dans l’Hexagone, le football français ne manque pas, en effet, de belles perspectives dans le prolongement d’une saison 2012-2013 marquée par deux couronnes mondiales (U20 et U17 féminines, conduits par Pierre Mankowski et Guy Ferrier), un titre européen (U19 féminines dirigées par Gilles Eyquem) et l’obtention du Trophée Maurice-Burlaz de l’UEFA (meilleur pays de jeunes chez les sélections "garçons").
Et ce, d’autant plus que les finances de la Fédération sont saines. Grâce à un volume de produits relativement stable (208,5 millions d’euros), l’exercice comptable clos au 30 juin 2013 s’est achevé, comme les deux précédents, sur un résultat net positif de + 200 000 euros qui a reçu un large aval des délégués (92,7 % des voix).
Soulignant notamment les aides allouées au football amateur (53,1 millions d’euros), le trésorier général, Denis Trossat, s’est félicité de cette situation "maîtrisée" qui permet en particulier l’avancement du programme de modernisation du CNF Clairefontaine.
Tranquillisée sportivement et stable économiquement, la FFF peut donc regarder devant elle avec une ambition que le projet "Horizon Bleu 2016" présenté au cours des débats, symbolise. Elaboré par la Fédération, il vise à donner un nouvel élan au football français à travers un vaste programme d’actions voué à dessiner le « nouveau visage du football de demain », selon le président Noël Le Graët.
Le projet "Horizon Bleu 2016", piloté par la directrice générale déléguée de la FFF, Florence Hardouin, poursuit quatre objectifs prioritaires : améliorer la qualité de l’offre de pratique, moderniser les lieux d’accueil, devenir le fer de lance du sport français et optimiser le fonctionnement des instances. Il fait, en particulier, de la satisfaction et de la fidélisation des licenciés, de la pérennité des moyens économiques fédéraux, de l’accompagnement des talents vers le plus haut niveau international et de la réussite de l’Euro 2016, des enjeux essentiels.
Cette Assemblée d’hiver, ponctuée par des interventions de Brigitte Henriques (rapport moral), Eric Borghini (arbitrage), Albert Gemmrich (Euro 206), François Blaquart (DTN), Willy Sagnol (sélections nationales), Philippe Bergeroo (Féminines A) et Didier Deschamps, a par ailleurs vu l’élection d’un nouveau membre de la Haute Autorité du Football. Jean-Luc Bailet (OGC Nice) a ainsi rejoint l’instance de contrôle de la FFF, présidée par René Charrier, au titre de représentant des administratifs et assimilés, en remplacement d’Alain Belsœur, démissionnaire.
"Nous pouvons tous être fiers de la FFF, même si elle a encore quelques lacunes", s’est réjoui Noël Le Graët en concluant les débats après les prises de paroles de René Charrier (Haute Autorité), Lionel Boland (LFA) et Frédéric Thiriez (LFP).
Le président de la Fédération a salué successivement "une organisation décentralisée du football exemplaire, le travail des ligues et districts pour la lutte contre la violence, celui des clubs professionnels dans des conditions économiques difficiles, le travail du Comité Exécutif" ou encore la barre retrouvée des deux millions de licenciés.

Volkswagen nouveau sponsor
Le Crédit agricole, PMU, GDF Suez, Nike et maintenant Volkswagen ! La marque automobile allemande est sur le point de s'ajouter à la liste des sponsors de l'équipe de France de football masculin, selon le journal L'Equipe en date de ce jeudi. Le constructeur, qui profite de la non-reconduction du contrat de Citroën, toujours selon le quotidien sportif, sera partenaire majeur des Bleus sur la période 2014-2018 en échange d'environ quatre millions d'euros annuels.

Lancement de la consultation



 

Ajouter à Myfff



0.25

0.5

0.75

1

1.25

1.5

1.75

2

2.25

2.5

2.75

3

3.25

3.5

3.75

4

4.25

4.5

4.75

5

0




vendredi 20 décembre 2013 - 16:25 -  

La FFF met sur le marché les droits de retransmission des matches des Coupes de France masculine et féminine, des Équipes de France Espoirs et Féminine A, ainsi que du Championnat de France de Division 1 Féminine, pour les quatre saisons à venir : 2014-2015, 2015-2016, 2016-2017, 2017-2018.


L’appel d’offres se décompose en trois lots :

• Lot 1 : Coupe de France – Coupe de France Féminine – Championnat de France de Division 1 Féminine
  
• Lot 2 : Équipe de France Espoirs
  
• Lot 3 : Équipe de France Féminine
  

La consultation a été adressée aux principaux acteurs du marché. Toute autre société intéressée est invitée à retirer auprès de la FFF le texte de cette consultation avant 19h00 le lundi 6 janvier 2014.
 
Les propositions (financières et qualitatives) devront être déposées au siège de la FFF le mardi 28 janvier 2014, entre 10h00 et 12h00 (au plus tard).

Options

FFF - Fédération Française de Football · 56 723 personnes aiment
il y a 15 heures ·

• 
  Nous vous souhaitons à toutes et à tous de bonnes fêtes de fin d'année et un agréable réveillon. A très vite
  
  

Options

FFF - Fédération Française de Football · 56 724 personnes aiment
il y a environ une heure ·

• 
  La Fédération vous adresse ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2014 !
  
  

Elie Emsellme merci moi j'ai un souhait que je vous adresse ;en juin 2014 gagnez nous le mondial 2014 MERCI B)
J’aime · Répondre · il y a environ une minute
[*]

Michel Osso Bonne Année 2014.
3 petits souhaits pour cette nouvelle année :
- que la beauté du Football nous fasse rêver encore;
- que son esprit noble et d'équipe nous unisse;
- .... et la victoire de l'Equipe de France au prochain championnat du monde au Brésil (qui ne demande pas, n'obtient pa

Visite d'une délégation de la fédération algérienne



 

Ajouter à Myfff



0.25

0.5

0.75

1

1.25

1.5

1.75

2

2.25

2.5

2.75

3

3.25

3.5

3.75

4

4.25

4.5

4.75

5

0




jeudi 27 mars 2014 - 15:30 - Bastien Lhéritier




Pascal Garibian et Alain Sars ont ainsi eu un long échange avec leurs interlocuteurs algériens, curieux de connaître le fonctionnement de la DTA, la formation et le suivi des arbitres. François Blaquart, accompagné de Joël Muller, a lui décliné le schéma de formation des entraîneurs "Youth Elite" et des formateurs.



De son côté, le président de la FFF Noël Le Graët a souligné l’importance qu’il accorde aux relations bilatérales entre les deux associations. Il a également précisé qu'il appartenait à la FAF de s’approprier, dans le contexte local, l’acquisition des bonnes pratiques que la FFF dispensera lors de la mise en œuvre des actions de coopération.


Ce jeudi matin, une délégation de la Fédération Algérienne de Football (FAF), conduite par son Président Mohamed Raouraoua, a été reçue au siège de la FFF (photo). Cette visite a été l’occasion pour les deux associations d’envisager la mise en place d’une coopération dans les domaines de l’arbitrage et de la formation des entraîneurs.


Composition de la délégation algérienne

• M. Mohamed Raouraoua : Président de la FAF
  
• M. Mahfoud Kerbadj : Président de la Ligue de football professionnel
  
• M. Ali Malek : Président de la Ligue nationale de football amateur
  
• M. Khelil Hammoum : Président de la Ligue de football d'Alger et membre du bureau fédéral
  
• M. Nadir Bouzenad : Secrétaire général de la FAF
  

Manardo : «Il y aurait eu autre chose...»Dans un livre intitulé «Knysna : Au coeur du désastre des Bleus en Afrique du Sud» à paraître ce vendredi aux éditions Arènes, l'ancien chef de presse des Bleus, François Manardo, raconte comment et pourquoi les Bleus ont dérapé. Jean-Pierre Escalettes et Raymond Domenech en prennent pour leur grade.0
partages Tweeter Partager Partager 0partages Tweeter Partager Partager
a+
a-
imprimer
RSS François Manardo avait refusé de lire la lettre que lui avait tendue Evra. (L'Equipe)
«Donner le maximum de faits avec un maximum d’objectivité.» A l’approche du Mondial 2014, l’ancien chef de presse de l’équipe de France François Manardo revient sur le plus gros scandale du football français, mais aussi sur sa genèse. Avec le recul, et après s’être «refait le film» maintes fois, il se dit aujourd’hui convaincu que «même s’il n’y avait pas eu l’insulte de Nicolas Anelka» à l’encontre de Raymond Domenech à la mi-temps de France-Mexique, «il y aurait eu autre chose». «C’était intenable», insiste-t-il. La raison ? «Les conditions et le scénario du maintien de Domenech après l’Euro 2008.»

«Il aurait dû s’arrêter là, tranche Manardo. On s’est arc-bouté sur des positions footballistico-politiciennes pour le maintenir contre vents et marées et contre une certaine forme de logique. Quand il y a autant de compromissions et de non-dits, ça ne peut pas marcher. On a amorcé une bombe à retardement, Jean-Pierre Escalettes en tête.»
Domenech «perdu dans les méandres de sa personnalit黫On aurait pu rentrer à l'hôtel et les laisser comme des c... en leur disant "démerdez-vous"...» Manardo dénonce l’incompétence d’un président de la Fédération totalement dépassé par les évènements. Il n’épargne pas non plus l’ancien sélectionneur des Bleus qu’il décrit comme «complètement perdu dans les méandres de sa personnalité». «Je n’exonère pas les joueurs de leurs responsabilités, dit-il. Ils sont coupables d’avoir fait cette grève, mais la question est : comment en est-on arrivé-là ? Et sur ce point-là, je regarde plus haut.» Outre le maintien de Domenech après l’Euro 2008, Manardo évoque notamment l’isolement des Bleus dans leur Pezula Resort Hotel pour expliquer qu’Evra et ses équipiers aient à ce point «perdu la notion de bon sens et de réalité». ««Quand tu es enfermé à double tour, qu’on te rabâche tous les jours que tout le monde est contre toi, qu’il faut s’armer parce que tout le monde te veut du mal, forcément, ce contexte joue terriblement…»

A ses yeux, les instances dirigeantes n’avaient pas une grosse marge de manœuvre pour éviter la mutinerie. «Mais on aurait pu faire certaines choses qu’on n’a pas faites», dit-il. Lesquelles ? «On avait des véhicules. On aurait pu rentrer à l’hôtel et les laisser comme des c… en leur disant "démerdez-vous". Le président aurait aussi pu leur dire : "Si vous ne vous entraînez pas, plus personne ne portera la maillot de l’équipe de France. Réfléchissez bien".» Il ne l’a pas fait, avec la suite que l’on connaît…
Quand Manardo contredit DomenechAlors que Raymond Domenech affirmait dans son livre «Tout seul» (sorti en novembre 2012) avoir demandé à François Manardo de prévenir Patrice Evra qu'il ne souhaitait pas que le latéral gauche participe à la conférence de presse avant France-Afrique du Sud, l'ancien chef de presse des Bleus conteste formellement cette version. A ses yeux, les excuses que souhaitait adresser le joueur de Manchester United auraient été «la moins mauvaise solution». «Il fallait voir sa rage quand il a été privé de conférence, souligne-t-il. Il aurait eu des questions embarrassantes, mais au moins, il aurait pu faire passer un message. Il affichait une volonté très forte de faire amende honorable.» Domenech ne lui en a pas donné l'occasion.

Manardo : «Il y aurait eu autre chose...»
Dans un livre intitulé «Knysna : Au coeur du désastre des Bleus en Afrique du Sud» à paraître ce vendredi aux éditions Arènes, l'ancien chef de presse des Bleus, François Manardo, raconte comment et pourquoi les Bleus ont dérapé. Jean-Pierre Escalettes et Raymond Domenech en prennent pour leur grade.

0partages Tweeter Partager Partager

0partages Tweeter Partager Partager


a+ a- imprimer RSS


François Manardo avait refusé de lire la lettre que lui avait tendue Evra. (L'Equipe)




«Donner le maximum de faits avec un maximum d’objectivité.» A l’approche du Mondial 2014, l’ancien chef de presse de l’équipe de France François Manardo revient sur le plus gros scandale du football français, mais aussi sur sa genèse. Avec le recul, et après s’être «refait le film» maintes fois, il se dit aujourd’hui convaincu que «même s’il n’y avait pas eu l’insulte de Nicolas Anelka» à l’encontre de Raymond Domenech à la mi-temps de France-Mexique, «il y aurait eu autre chose». «C’était intenable», insiste-t-il. La raison ? «Les conditions et le scénario du maintien de Domenech après l’Euro 2008.»

«Il aurait dû s’arrêter là, tranche Manardo. On s’est arc-bouté sur des positions footballistico-politiciennes pour le maintenir contre vents et marées et contre une certaine forme de logique. Quand il y a autant de compromissions et de non-dits, ça ne peut pas marcher. On a amorcé une bombe à retardement, Jean-Pierre Escalettes en tête.»



Domenech «perdu dans les méandres de sa personnalité»

«On aurait pu rentrer à l'hôtel et les laisser comme des c... en leur disant "démerdez-vous"...» Manardo dénonce l’incompétence d’un président de la Fédération totalement dépassé par les évènements. Il n’épargne pas non plus l’ancien sélectionneur des Bleus qu’il décrit comme «complètement perdu dans les méandres de sa personnalité». «Je n’exonère pas les joueurs de leurs responsabilités, dit-il. Ils sont coupables d’avoir fait cette grève, mais la question est : comment en est-on arrivé-là ? Et sur ce point-là, je regarde plus haut.» Outre le maintien de Domenech après l’Euro 2008, Manardo évoque notamment l’isolement des Bleus dans leur Pezula Resort Hotel pour expliquer qu’Evra et ses équipiers aient à ce point «perdu la notion de bon sens et de réalité». ««Quand tu es enfermé à double tour, qu’on te rabâche tous les jours que tout le monde est contre toi, qu’il faut s’armer parce que tout le monde te veut du mal, forcément, ce contexte joue terriblement…»

A ses yeux, les instances dirigeantes n’avaient pas une grosse marge de manœuvre pour éviter la mutinerie. «Mais on aurait pu faire certaines choses qu’on n’a pas faites», dit-il. Lesquelles ? «On avait des véhicules. On aurait pu rentrer à l’hôtel et les laisser comme des c… en leur disant "démerdez-vous". Le président aurait aussi pu leur dire : "Si vous ne vous entraînez pas, plus personne ne portera la maillot de l’équipe de France. Réfléchissez bien".» Il ne l’a pas fait, avec la suite que l’on connaît…



Quand Manardo contredit DomenechAlors que Raymond Domenech affirmait dans son livre «Tout seul» (sorti en novembre 2012) avoir demandé à François Manardo de prévenir Patrice Evra qu'il ne souhaitait pas que le latéral gauche participe à la conférence de presse avant France-Afrique du Sud, l'ancien chef de presse des Bleus conteste formellement cette version. A ses yeux, les excuses que souhaitait adresser le joueur de Manchester United auraient été «la moins mauvaise solution». «Il fallait voir sa rage quand il a été privé de conférence, souligne-t-il. Il aurait eu des questions embarrassantes, mais au moins, il aurait pu faire passer un message. Il affichait une volonté très forte de faire amende honorable.» Domenech ne lui en a pas donné l'occasion.

Indre - Football - direction technique nationale
" Notre système est le bon "
25/04/2014 05:36
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]





François Blaquart (encadré par Pierre Mankowski et Sébastien Imbert) était à Châteauroux, hier.
François Blaquart, Directeur technique national, était hier à l’IFR de Châteauroux, pour voir en application les nouveaux préceptes de formation.

En poste depuis 2011, François Blaquart a déjà affronté de multiples tempêtes. Dans un contexte global de désamour des Français pour leur équipe nationale, même si la tendance change, il a également été en première ligne lors de la fameuse « affaire des quotas » révélée par Mediapart. Il a encaissé les coups, conservé son rôle de directeur technique national et mène actuellement un projet de réforme de la formation. Hier, il a passé la journée à l'Institut du football régional, à Châteauroux, afin de voir sur le terrain l'application auprès des plus jeunes lors du championnat interligues U15.
Pouvez-vous nous expliquer la raison de votre présence à Châteauroux ?
« Je suis ici en quelque sorte pour prendre la température, puisqu'il y a eu une réforme cette année sur la compétition interligues. Auparavant, cela se disputait sous un format axé uniquement sur la compétition. Cette fois-ci, cela se déroule sous forme de plateau, avec pour but de sortir 120 joueurs pour un grand rassemblement, afin de commencer à déterminer un premier groupe pour une sélection nationale U16. Cela permet aux joueurs d'être plus à l'aise pour évoluer. »
Pourquoi ce changement ?
« Cela entre dans le cadre d'une réforme plus globale de la formation. Déjà au point de vue organisationnel, avec un système de détection, des sélections, des structures. Mais aussi par la formation de l'entraîneur. L'idée est d'axer notre réflexion sur le jeu et les joueurs, le foot est un sport d'équipe. Ce n'est pas un changement culturel, mais une évolution des méthodes, en privilégiant le plaisir de jeu, qui conditionne le reste. Le joueur fait d'abord partie d'une équipe. »
Y a-t-il une crise du système à la française ?
« La France est la 1^re nation jeune européenne, avec notamment le titre de champion du monde décroché par les U20 l'été dernier. Notre système est le bon, malgré tout ce qu'on dit. Mais c'est justement quand tout fonctionne bien qu'il faut se remettre en question. La méthode française est reconnue à l'international, on la fait évoluer sur certaines touches. »
Quels sont les points faibles ?
« Le système n'est pas parfait. Le principal problème, c'est que la France n'est pas une nation sportive. L'absence du foot à l'école pose problème, il y a un retard qu'il faut rattraper plus tard. L'autre défaut, c'est l'excès de la compétition trop précoce, on veut aller trop vite alors qu'il faut prendre le temps. On doit changer les mentalités et la réforme va dans ce sens. »
En quoi consiste le rôle de directeur technique national ?
« Mon boulot est de tracer une feuille de route, en accord avec le président de la FFF. Il y a beaucoup d'analyse, mais aussi du partage, je ne suis pas tout seul. Le problème, c'est qu'on est souvent éloigné du terrain. C'est pour ça que je suis content de pouvoir me déplacer, d'autant plus ici, à Châteauroux, où historiquement, il y a toujours eu de bons résultats, un travail de qualité, malgré le fait qu'il n'y ait pas une grosse densité de footballeurs dans la région. »
La vitrine du football français, c'est l'équipe nationale. Pourtant, il y a un certain désamour des Français pour leur équipe…
« Il faudra du temps pour oublier ce qui s'est passé en 2010. Les joueurs devront montrer le bon exemple, même si ce qui est dit ici et là n'est pas toujours juste. Il y a déjà des attitudes et des performances différentes. Le problème, en France, c'est qu'on a tendance à la destruction et à mettre en opposition les sports. Il y a eu des perturbations, l'équipe va devoir confirmer qu'elle a retrouvé une stabilité, surtout que, derrière, il y a l'Euro 2016 en France. J'étais au stade de France pour les matchs contre l'Ukraine et les Pays-Bas, la réconciliation s'est amorcée. »

La France est candidate
25/04 10h22 - Football, CM 2019 F
La France est candidate à l'organisation du Mondial féminin de football en 2019, a annoncé vendredi à l'AFP le président de la fédération Noël Le Graët. «On est candidat pour organiser la Coupe du monde des filles en 2019», a-t-il dit à l'AFP. «Tous les éléments sont prêts et nous allons déposer un dossier de candidature auprès de la Fifa», a-t-on précisé à la FFF. L'équipe de France féminine, désormais entraînée par Philippe Bergeroo, est actuellement 4e au classement Fifa, le plus haut niveau qu'elle ait jamais atteint. Elle a terminé 4e du dernier Mondial en 2011 en Allemagne, ainsi que des Jeux Olympiques en 2012. Quart-finaliste de l'Euro 2013 en Suède, elle est actuellement en tête de son groupe de qualification pour le Mondial 2015, qui sera organisé au Canada.

Desailly, c'est finio

1partages Tweeter Partager Partager

1partages Tweeter Partager Partager


a+ a- imprimer RSS



Chargé de la représentation de la FFF en Afrique en octobre 2011, l'ancien défenseur des Bleus Marcel Desailly a terminé sa mission, a annoncé Noël Le Graët lundi à l'AFP. «C'est fini. On ne l'a pas médiatisé, c'est vrai. Il est toujours salarié de Canal+ et ce n'était pas compatible. On avait signé deux ans, le contrat s'est terminé. On s'est aperçu l'un et l'autre que son emploi du temps ne correspondait pas à ce que l'on souhaitait.»

MarcelDesaillyaquitté laFFF
Noël Le Graët a dévoilé hier que Marcel Desailly ne travaillait plus
pour la fédération française. Le champion du monde 98 avait été
nommé en octobre 2011 pour représenter la FFF auprès des sélections
africaines."C’est fini, a lâché Le Graët. Il est toujours salarié de
Canal + et ce n’était pas compatible. On avait signé deux ans, le
contrat s’est terminé. On s’est aperçu l’un et l’autre que son emploi
du temps ne correspondait pas à ce que l’on souhaitait

Ajouter à Myfff

0.25

0.5

0.75

1

1.25

1.5

1.75

2

2.25

2.5

2.75

3

3.25

3.5

3.75

4

4.25

4.5

4.75

5

0




mardi 29 avril 2014 - 15:45 -  

Plus de 1300 bénévoles seront à l'honneur ce samedi à la Halle Freyssinet (Paris XIIIème). Retrouvez le programme de cette journée qui se conclura au Stade de France à l'occasion des finales de la Coupe Gambardella Crédit Agricole et de la Coupe de France.

• 11h00 : Ouverture des portes
  
• 12h00 : Discours de bienvenue
  
• 12h30 : Déjeuner
  
• 13h00 : Remise des Trophées de la Fondation du Football
  
• 14h30 : Tirage au sort
  
• 15h00 : Spectacle
  
• 16h00 : Départ pour le Stade de France
  
• 17 h00 : Installation dans les tribunes du Stade de France
  

FFF - Les trois collèges du football amateur se rencontrent - 05/05/2014

Réunis vendredi 2 mai à la FFF, pour, prioritairement, procéder à l’examen des textes réglementaires qui seront soumis en vote le samedi 31 mai...

Perpignan camp de base pour l'Euro 2016
Le 23 mai à 6h00 par F. M. | Mis à jour il y a 18 heures
PHOTO/AFP VALERY HACHE
Non, ça n'a rien à voir avec la descente en Pro D2 de l'USAP mais Perpignan se met sérieusement au… football !
Ce jeudi soir, le conseil municipal a voté une délibération autorisant le maire à signer une convention 'Centre d'entraînement' entre la Ville de Perpignan et l'Euro 2016 SAS, la société créée par l'UEFA et la Fédération française de football, chargée d'assurer "les activités opérationnelles d'organisation" du championnat européen de football.

Concrètement, Euro 2016 SAS a retenu le site du Parc des Sports de la ville comme "camp de base susceptible d'accueillir une des 24 équipes qualifiées".
Ainsi, pendant près de deux mois, du 23 mai au 11 juillet 2016, le Parc des Sports et ses installations, seront mis à disposition des organisateurs de ce prestigieux événement sportif (le second plus important de la discipline après la Coupe de Monde) contre une redevance versée à la ville mais dont le montant n'a pas été divulgué hier en conseil municipal. Et on se met déjà à rêver de l'accueil, en terre de rugby, d'une des plus grandes équipes de football européennes.

le chiffre
205
C'est le nombre de millions d'euros que la Fédération française de football (FFF) va allouer pour la saison 2014-2015. Le budget devrait donc être à l'équilibre. C'est en tout cas les prévisions faites en cas de qualification des Bleus pour les quarts de finale de la Coupe du monde. Mais Noël Le Graët, président de la FFF, précise que le budget ne sera pas considérablement modifié en cas de contre-performance française : « Il n'y a pas un gros écart entre les 8es de finale et les quarts de finale en terme de budget. L'objectif, c'est d'aller le plus loin possible. Il faut déjà sortir de ces poules. » Noël Le Graët a rappelé que pour les primes, les joueurs français toucheraient 30 % de la part versée par la Fifa à se partager entre les vingt-trois sélectionnés ou les trente réservistes.
La billetterie reste le troisième poste de recettes de la FFF, derrière les contrats de partenariat et les droits télévisés.

France/Monde - Mise à jour : 16:38 - Sport
France: la FFF annonce un budget de 205 M EUR en 2014-2015
31/05/2014 16:38
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]  



[url=javascript:void(0)]suivante[/url] [url=javascript:void(0)]précédente[/url]
Photo du logo de la FFF, le 5 décembre 2012 à Paris - AFP/Archives
Le budget de la Fédération française de football s'élève à 205 millions d'euros pour 2014-2015 a-t-on appris samedi lors de l'assemblée générale de la FFF qui dans ses comptes prévoit une qualification de l'équipe de France pour les quarts de finale du Mondial.

"Nos ressources et nos dépenses sont appréciées avec précision. (C'est) un budget maîtrisé et équilibré (qui) traduit la très bonne santé financière de notre fédération qui disposera de ressources fiables jusqu'en 2018," a estimé le trésorier général de la fédération Denis Trossat.
Parmi les recettes, 83,5 millions d'euros proviennent des contrats de partenariat, 49,5 millions des droits télévisons et 15,5 de la billetterie.
Pour les partenariats, ces contrats portent sur quatre saisons jusqu'en 2018 et représentent une hausse de 11,6% par rapport à 2010-14. A l'intérieur de ces partenariats, ceux avec l'équipe de France masculine représentent 19,7 millions pour 2014-2015. Les partenariats Coupe de France représentent 10,7 millions d'euros.
Concernant les droits télé, les recettes totales pour l'équipe de France baissent de 31,7 millions à 30,7 millions en raison du passage de 11 à dix dates internationales par an, mais la redevance nette passe de 2,88 million à 3,07 par match. La Coupe de France (plus autres diffusions Féminines, Espoir) rapporte 18,75 millions.
Pour les dépenses, 20% du budget est absorbé par des "charges contraintes" (taxes, arbitrage etc...), 6% par les frais de fonctionnement et 13% par les frais de personnel.
58,3 millions d'euros sont versés pour des aides directes ou indirectes au football amateur. 1,2 million d'euros sera notamment consacré à un projet de football à l'école primaire.
Concernant l'équipe de France, la FFF table sur une qualification pour les quarts de finale du Mondial quant aux recette de la Coupe du Monde. "Il n'y a pas un gros écart entre les 8es de finale et les quarts de finale (en termes de budget)", a commenté Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football. L'objectif c'est d'aller le plus loin possible (...) Il faut déjà sortir de ces poules".
M. Le Graët a rappelé que pour les primes, les joueurs français toucheraient "30% de la part versée par la Fifa à se partager entre 23 (sélectionnés) ou 30 (avec les réservistes) s'ils le souhaitent. C'est tout à fait public et il n'y a aucune difficulté".
La FFF va aussi consacrer 6,5 millions d'euros au centre technique de Clairefontaine. Parmi ces 6 millions, 2 millions serviront à aménager de nouveaux bâtiments, 1 million à la création d'un espace-vie, 800.000 euros à l'achat de terrains mitoyens.
Le terrain et la tribune du terrain Pibarot (principal terrain du centre) seront aussi complétement rénovés.

FFF : EDF nouveau partenaire

0partages Tweeter Partager Partager

0partages Tweeter Partager Partager


a+a-imprimerRSS



EDF a annoncé ce jeudi qu’il allait devenir l'un des «partenaires majeurs» de la Fédération française de football (FFF) pour une durée de quatre ans à compter du mois de juillet. «Par ce partenariat, EDF manifeste sa volonté de populariser le sport et ses valeurs de solidarité, d'engagement et d'esprit d'équipe et d'en favoriser l'accès à tous», explique le géant de l'électricité dans un communiqué.

Le montant du contrat n'a pas été révélé. Ce partenariat, qui doit entrer en vigueur à l'issue de la Coupe du monde va concerner non seulement les équipes nationales (masculines et féminines), mais également la Coupe de France ainsi que le football amateur.

Les principaux partenaires de la FFF sont actuellement au nombre de quatre: Crédit Agricole, GDF Suez, PMU et Nike, qui est l'équipementier officiel des équipes de France.

Coupe du monde et publicité : Le bleu revient à l'écran
De nombreuses marques, et pas seulement les sponsors officiels de l'équipe de France, profitent de la meilleure image des Bleus avant le Mondial. La part de rêve que véhicule le Brésil a aussi donné des idées aux publicitaires.

24partages Tweeter Partager Partager

24partages Tweeter Partager Partager

9
a+ a- imprimer RSS


Le bleu et le tricolore s'invitent dans les rayons pour la Coupe du monde. (S. Cassier/L'Equipe)




«L'"ambush" marketing est particulièrement puissant» C'est devenu un grand classique. A chaque grand rendez-vous football, tous les deux ans, la publicité surfe sur l'événement qui va enflammer les passions et saturer l'espace médiatique pendant un mois. «Pour cette Coupe du monde, l"ambush marketing" ou marketing d'embuscade est particulièrement puissant, observe François Guyot, co-fondateur de Sportmarket, agence de marketing et sponsoring sportifs. De nombreuses marques non-partenaires de la FIFA ou de la FFF s'approprient en effet l'événement. Le volume de publicités tournées autour de la thématique du Brésil est par exemple quatre fois plus important qu'à l'ordinaire.»



Le jaune et vert brésiliens inspirent aussi les marques. (L'Equipe)




Les "infos nouveautés" adressées à L'Equipe.fr par les agences de communication ces dernières mois suffisent à dresser un inventaire impressionnant quoique non exhaustif des marques opportunistes : habillement (Hugo Boss, par ailleurs partenaire d'Olivier Giroud), accessoires de mode (bracelets Cruciani, montres Tissot), nouvelles technologies (enceintes portables QDOS, clés USB PNY), gadgets (ouvre-bouteille baby-foot Bathroom Graffiti)... Mais le meilleur signe que le bleu revient à la mode est à chercher du côté des sponsors officiels de la FFF. En retrait depuis Knysna, ils restent prudents avec les joueurs mais parient à nouveau sur le groupe France.







«S'afficher en bleu France n'est plus un frein pour les sponsors de la FFF» «L'image individuelle et collective des Bleus, qui avait quasiment disparue des écrans depuis quatre ans, réapparait cette année, confirme François Guyot. Le travail de la FFF pour redorer le blason terni de l'équipe de France et ses résultats la font à nouveau aimer des Français. Il est trop tôt pour dire si le retour sur investissement sera au rendez-vous, mais s'afficher en bleu France n'est plus un frein pour les sponsors de la Fédération, c'est déjà un grand pas.» Comme GDF-Suez, qui sera remplacé par EDF en 2014-2018, Citroën en profite avant de céder la place à Volkswagen. «Avec une activation publicitaire parmi les plus réussies.»

Les Français ont envie de passer un bon moment avec les Bleus»
Publié le 10/06/2014 à 08:03

Interview de Thierry Braillard, Secrétaire d'Etat aux Sports

«Les Français ont envie de passer un bon moment avec les Bleus»




Quelles retombées peut-on attendre du parcours de l'équipe de France au Brésil ?
Le lien entre le parcours de l'équipe de France et notre pays, c'est le rayonnement international que vont véhiculer les Bleus au Brésil et la joie qu'ils peuvent apporter aux Français. On peut attendre aussi un dynamisme du commerce de proximité, car on sait que dans ces périodes-là, les supporters aiment bien se rassembler dans le pays pour vivre les matchs. Il n'y aura pas un impact économique direct mais cette Coupe du monde peut faire du bien au pays indirectement s'il voit son équipe de foot aller loin et essayer de l'emporter.
L'image de l'équipe de France a été ternie lors du dernier Mondial ; elle n'est pas totalement restaurée aujourd'hui. Est-ce un gros handicap ?
Il s'est passé quelque chose lors de la qualification contre l'Ukraine au match retour. Ce soir-là, on a eu le sentiment que le public français se réappropriait son équipe. Cela va crescendo avec les matchs amicaux et l'on sent que les Français ont envie de passer un bon moment avec les Bleus.
Est-ce parce que cette équipe a été renouvelée ?
Il y a eu un travail en profondeur qui a été réalisé par le président Le Graët, et puis par Didier Deschamps sur le plan technique. La manière dont il a conçu et organisé son groupe montre que, sans déborder d'optimisme, on devrait obtenir des bons résultats au Brésil.
On a pourtant l'impression que l'objectif des Bleus, c'est plus l'Euro 2016 que le Mondial 2014…
L'effectif est très jeune mais très talentueux, il devrait arriver à maturité, en effet, lors de l'Euro 2016.
Irez-vous à la Coupe du monde ?
Oui. On s'est réparti les tâches avec Najat Vallaud-Belkacem qui assistera aux premiers matchs, et moi je serai là pour le troisième et l'éventuel huitième de finale. J'en profiterai pour soutenir les entreprises françaises qui investissent au Brésil, et les équipements qui font l'objet d'investissements d'entreprises françaises dans des favelas, comme des pelouses synthétiques de foot.
Porterez-vous le maillot de l'Équipe de France ?
Lors de notre visite aux joueurs de l'Équipe de France, le président Le Graët a offert un maillot au président Hollande, à Najat Vallaud Belkacem et à moi-même. Il y a 23 joueurs sélectionnés, le président Hollande porte le numéro 24 et moi le 26. Je me tiens donc à la disposition de Didier Deschamps…
Le championnat de France a-t-il encore un intérêt dès lors que dès le début de saison on sait qu'il va se jouer, dans le meilleur des cas, entre deux clubs aux énormes budgets ?
C'est un vrai problème auquel on n'a pas encore trouvé de solution. Il n'est pas bon que l'aléa sportif disparaisse. Si au début du championnat on sait déjà qui va l'emporter, et si le seul intérêt de la compétition c'est de connaître le jour où le club en question sera assuré d'être sacré, cela n'est pas bon. Que le rugby se méfie également car il pourrait connaître la même situation. C'est la raison pour laquelle le «New Deal» mis en place au sein de la Ligue nationale de Rugby va dans le bon sens. Car si le PSG et Monaco dominent le foot, on risque avoir le même phénomène avec Toulon et le Racing au rugby, au détriment des clubs qui fournissent les internationaux comme Toulouse ou Clermont. Le problème du foot est un vrai souci. J'espère que la Ligue nationale s'efforcera de redonner un intérêt à un championnat qui risque d'en perdre s'il manque de suspense, en régulant l'afflux d'investisseurs étrangers dans notre football. Car derrière la bonne santé du PSG et de Monaco, les autres clubs français connaissent une situation inquiétante. Il ne faut pas croire que le foot français se porte bien économiquement ; au contraire c'est un milieu qui se précarise, notamment en ligue 2. Beaucoup de clubs ont du mal à équilibrer leur budget. Il ne faut pas voir le foot sous le seul prisme des stars du PSG.
À cet égard, que pensez-vous du fair-play financier qui est controversé ?
Le fair-play financier est une très bonne initiative car il a contribué à mettre un coup d'arrêt à la dérive en Europe de l'inflation des salaires car dès que les clubs avaient de l'argent, ils le dépensaient dans les salaires sans se préoccuper d'investir dans les infrastructures ou les centres de formation. Mais le fair-play financier mis en place par l'UEFA montre ses limites car il ne prend pas en compte l'endettement des clubs, à l'inverse de ce qui se fait en France avec le deuxième contrôle effectué par la direction nationale de contrôle de gestion auquel sont soumis les clubs. C'est la raison pour laquelle en Espagne l'Athletico de Madrid a plus de 600 millions d'endettements, ce qui ne serait pas possible en France. Certes, nous avons un souci de compétitivité du foot français au niveau européen, mais d'un autre côté nous sommes plus exemplaires car plus vertueux que d'autres pays sur le plan financier.
Va-t-il falloir payer de plus en plus pour pouvoir regarder le foot à la télé avec la concurrence sur les droits de télé et l'arrivée de beIN ?
Un décret de 2004 a déterminé 21 grands événements sportifs qui doivent être obligatoirement diffusés en clair. Tous les matchs de l'équipe de France de foot, les demi-finales et finales de la coupe du monde s'inscrivent dans ce cadre-là. Pour voir les Bleus, le téléspectateur n'a pas à payer. Ensuite, l'économie mondiale du sport fait que pour diffuser une grande manifestation, il faut acquitter des droits. On s'inquiète de savoir si on va pouvoir voir Ghana-Australie, mais on ne se soucie guère de ne pas pouvoir regarder la retransmission sur des chaînes privées des matchs de deux équipes françaises en Ligue des champions… On peut regretter aussi que certains sports ne soient jamais diffusés sur les chaînes de France Télévisions. Le sport, ce n'est pas que le football.
Dans quelle mesure le secrétariat aux Sports est-il visé par les restrictions budgétaires ?
Il est visé comme tout le monde. Un secrétaire d'État aux Sports est conscient comme tout ministre, que le pays doit avoir une gestion saine. Depuis des années, on a laissé filer un endettement public qui nous amenait droit dans le mur si nous ne réagissions pas. Le plan mis en place par le Premier ministre dans le cadre du pacte de responsabilité et de solidarité va dans le bon sens. Je le soutiens, et je l'appliquerai car il est nécessaire. Le sport a été impacté depuis plusieurs années. Dans le milieu sportif, lors du précédent quinquennat, nos prédécesseurs ont dépensé plus que les engagements qu'ils avaient pris. Aujourd'hui il faut donc rembourser un certain nombre de dépenses inconsidérées, et continuer à mener une politique, ce qui n'est pas simple.

La playlist des Bleus dévoilée

66partages Tweeter Partager Partager

66partages Tweeter Partager Partager

31
a+ a- imprimer RSS



Le site de musique en ligne Spotify a demandé aux joueurs de l'équipe de France quelle sera leur bande-son de la Coupe du monde, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le rap conserve les faveurs de l'ensemble du groupe. Booba, Drake, Jay-Z, Kanye West se taillent une place de choix chez nos Bleus, peu amateurs de rock et de pop. Et si Olivier Giroud place - avec optimisme - le "We are the champions" de Queen dans sa sélection, la palme de l'inattendu revient à Karim Benzema et Michaël Landreau, qui ont chacun opté pour un morceau de ... Céline Dion