FFF FEDERATION FRANCAISE DE FOOT !!!!!!!!!!!!!

DANS L"ORDRE HIERRARCHIQUE

SARKO
BACHELOT
YADE
ESCALETTES

A MON HUMBLE AVIS
LE CHEF HIERARCHIQUE C" EST LE MINISTRE DE TUTELLE
DANS L" ARMEE SI UN sous officier repond comme ça à un officier il se fait virer de l'armée


LE TORCHON BRÛLE AVEC YADE
Le patron de la FFF n'a pas apprécié la leçon de Rama Yade, la secrétaire d'Etat aux sports. Jean-Pierre Escalettes lui a répondu haut et fort.




Jean-Pierre Escalettes estime que Rama Yade «attaque, fragilise et déstabilise» la famille du football.
Le patron de la FFF n'a pas apprécié la leçon de Rama Yade, la secrétaire d'Etat aux Sports. Jean-Pierre Escalettes lui a répondu haut et fort. Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, a vivement réagi samedi aux critiques de sa ministre de tutelle, la secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade, qui avait invité la Fédération à se remettre en question après la Coupe du monde. «Il faudra renouveler toute l'organisation, revoir les modes de fonctionnement et rebâtir une équipe. Il aurait fallu changer de sélectionneur après le fiasco de l'Euro 2008», avait-elle notamment déclaré vendredi sur Radio Orient. Des propos perçus comme une rupture de l'union sacrée affichée dans l'attente de la réponse de l'UEFA à la candidature de la France à l'organisation de l'Euro 2016 (attendue le 28 mai).

«Que Domenech soit devenu l'objet majeur des préoccupations des politiques, cela me choque, a déploré Escalettes devant l'assemblée générale de la Ligue du football amateur. J'attendais moins d'interférence et plus de soutien. On nous attaque, on nous fragilise et on nous déstabilise, ce n'est pas bien. Dans un bateau, tout le monde rame dans le même sens, sinon on coule.» Interrogé un peu plus tard par L'Equipe, le président de la FFF s'est dit déterminé à «aller au bout de son mandat» jusqu'en 2012. «Après la Coupe du monde, il y aura des changements, on le sait. Quand la page sera tournée, j'aurai à rebâtir quelque chose, et un autre chantier à ouvrir. Je resterai donc à la tête de la Fédération, si ma santé me le permet.»

JE TROUVE DOMMAGE
QUE PLATINI NE SE PREOCCUPE PAS PAS DE DEVENIR PRESIDENT DE LA FEDERATION FRANCAISE DE FOOT FFF

ET PLUTOT DE L"EUROPE

IL RECOIT LE SOUTIEN D " UN VOISIN A LUI EN SUISSE
ENTRE SUISSES ON SE SOUTIENT ..C HABITUEL

Présent à Tel Aviv lors de l'annonce de la candidature de Michel Platini
pour un second mandat à la tête de l'UEFA, Josep Blatter, président de la FIFA,
s'est déclaré ravi : «
Je suis heureux, c'est la suite normale de sa carrière.
On travaille ensemble depuis 1998 et je me vois très bien poursuivre avec lui.
Il m'avait mis dans la confidence et m'avait fait promettre de ne rien dire.
Il y a une amitié profonde entre Michel et moi. Son bilan est très bon».

Egalement candidat à sa propre succession à la tête de l'instance mondiale du football,
Blatter compte évidemment sur le soutien de Platini :
«Je veux continuer ma mission et, oui, je compte pour cela sur un soutien de sa part,
a-t-il confié. Même si on n'est pas toujours d'accord, il y a une amitié profonde entre nous».

vous savez 17ans et 10mois c'est pareil que 18;;;la preuve

Ribéry : Escalettes s'en serait passé
Jean-Pierre Escalettes se serait volontiers passé de l'affaire de prostitution qui touche Ribéry, Govou et Benzema. Il ne les condamne pas pour autant...




Jean-Pierre Escalettes se serait bien passé de cette affaire qui éclabousse l'Equipe de France.
Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération française de football (FFF), a indiqué qu'il aurait bien aimé se passer de l'affaire de prostitution qui touche Franck Ribéry ainsi que d'autres joueurs de l'équipe de France. «C'est regrettable, mais cela existe dans tous les milieux, pas seulement celui du football», a indiqué Escalettes après le conseil fédéral, vendredi. «Je me serais bien passé de cette affaire, ça je peux vous le dire», a-t-il soupiré.

Le président de la FFF est également revenu sur les propos de Rama Yade, estimant que «le maillot de l'équipe de France est sacré et ne peut être porté par un mis en examen, si jamais M. Ribéry est mis en examen». Escalettes a répliqué : «Rama Yade est dans son rôle quand elle intervient, et moi dans mon rôle quand je dis que les joueurs ont été entendus comme témoins et qu'il faut laisser la justice suivre son cours. Ne mettons pas la charrue avant les boeufs, deux joueurs ont été entendus comme témoins, et un troisième n'a pas encore été entendu», a-t-il prévenu

FFF● Bordeaux ne digère toujours pas le départ de Laurent Blanc. Les
dirigeants des Girondins ont réaffirmé hier par la voix de Nicolas
de Tavernost, qu’ils attendaient un dédommagement de la part de
la FFF, coupable selon eux d’avoir déstabilisé Bordeaux en contactant
Laurent Blanc cet hiver. "Cela a contribué à pourrir la 2e partie
de saison, s’est insurgé le président de M6 dans les colonnes de
Sud-Ouest. Nous attendons qu’il y ait réparation."


par telephone le president escalettes nous a confimé que bordeaux remplace lyon en champions league
il poura a monavis se gratter longtemps la tete apres les attaques de JMA

bienvenou a écrit:

Le président de la Fédération française de football Jean-Pierre Escalettes s'est dit bouleversé par le forfait de Lassana Diarra pour la Coupe du monde. « Je suis bouleversé par cette nouvelle, a confié Escalettes (photo Presse-Sports) sur RTL. Je pense d'abord à lui, c'est un joueur exemplaire, qui a toujours mouillé le maillot au maximum, dans son club et pour l'équipe de France. Il doit être très malheureux, très bouleversé, je pense à toute sa peine. Je pense à l'équipe de France, à ce qu'elle perd, en perdant ce milieu de terrain à l'activité débordante. Il s'agit d'un problème médical, je suis loin d'être un expert, et il y a un secret médical, mais j'ai totalement confiance au docteur là-dessus, et s'ils ont pris cette décision, c'est qu'elle s'imposait ».


manu.84 le 22 mai à 23:40
Dommage de ne pas avoir attendu le dernier moment pour faire sa liste... COURBIS et LUIS avaient raison. Ca va sentir le bricolage tout ça.


tjfrcjh le 22 mai à 23:26comme ça si les bleus ratent leur coupe du monde, on nous ressortira cette pseudo mauvaise nouvelle.

jej34130 le 22 mai à 23:13Mauvaise nouvelle.. Encore une...

John Sacrimoni le 22 mai à 22:48
moi c'est lui qui me boulverse à chaque fois qu je l'entends...


MAIS NONILS PEUVENT FAIRE REVENI UN DES 6 PARTIS .......SILS LE SOUHAITENT

Vice-président de la FFF chargé des affaires économiques, Noël Le Graët a déclaré dans La Tribune que les primes des joueurs, en cas de victoire au Mondial 2010, dépasseraient 240 000 euros.

«On n'a pas finalisé les négociations, donc on ne peut pas donner les chiffres. Mais ce sera (...) entre 240 000 et 300 000 euros», a-t-il précisé. Selon lui, «les primes vont être finalisées en Tunisie vendredi matin». Gallas, Henry, Anelka, Ribéry, Abidal et Toulalan représentent les joueurs.

Par ailleurs, interrogé sur l'objectif des Bleus, Noël Le Graët a estimé qu'il fallait «atteindre les quarts de finale». «Ca sera difficile, mais c'est le minimum», a-t-il ajouté

que 300 000 c'est la crise .. de rire
mais on ne sait pas pour domenech
alors raymond c'est combien 864 000 encore

Le budget prévisionnel de la Fédération Française de Football (FFF) pour la saison 2010-2011 a été adopté, samedi matin à Lille. Il est légèrement excédentaire avec un résultat net d'un million d'euros. Par ailleurs, malgré la baisse des droits télévisuels, le chiffre d'affaires a connu une augmentation d'environ 13 millions d'euros entre les saisons 2009-2010 et 2010-2011, notamment grâce à une hausse des partenariats. Le contrat conclu avec le nouvel équipementier Nike rapportera ainsi plus de 32 millions d'euros à partir de 2011.

CRISE ...DE RIRE
alors que les français souffrent dans leur quotidien et leur avenir avec des revenus en hausse de 1 ou 2 %
la fff occroit 25 % aux bleus
raymond o n se sait pas combien




300 000 euros en cas de titre 31/05/2010

300.000 euros. Voilà ce que touchera chaque joueur de l'équipe de France si les Bleus sont sacrés champions du monde en Afrique du Sud. S'ils atteignent la finale, ce sera 150.000 euros. Une demi-finale ? 80.000 euros. Un quart de finale ? 40.000 euros. Le montants de ces primes a été entériné dimanche, après qu'un accord a été trouvé entre Noël Le Graët, vice-président de la FFF en charge des affaires économiques, et les sept représentants des joueurs (Gallas, Henry, Abidal, Anelka, Toulalan, Ribéry et Evra).



Le montant des bonus obtenus reste assez loin de ceux promis aux joueurs de l'Espagne (550.000 euros) et de l'Angleterre (450.000 euros). «Nous restons dans une forme de stabilité par rapport à 2006», insiste Le Graët. Il y a quatre ans, les Bleus avaient touché 135.000 euros par tête pour avoir perdu la finale de la Coupe du monde face à l'Italie (1-1, 3 t.a.b. à 5). Une victoire face à la Squadra Azzurra leur aurait rapporté 240.000 euros chacun.

L'organisation est bonne
merci la fff
le reste .................


l'équipe de FRANCE a atterri à George tôt samedi matin avant un voyage par la route vers Knysna, ville au bord de l'océan Indien où elle va séjourner durant le premier tour.

La journée de samedi sera consacrée à la récupération, a fait savoir la délégation. Aucun entraînement ni décrassage n'ont été programmés. Il n'y aura pas davantage de point de presse pour les Bleus, qui ont disputé vendredi un dernier match amical, perdu à la Réunion contre la Chine.

En trois rencontres de préparation avant leur entrée en lice le 11 juin contre l'Uruguay, le onze tricolore a vu ses résultats empirer face à trois adversaires qui ne sont pas qualifiés pour le Mondial: à une victoire 2-1 contre le Costa Rica ont succédé un nul 1-1 en Tunisie puis la défaite concédée face aux Chinois à Saint-Pierre.

Tant qu'il ne s'agit pas de compétition, un sélectionneur peut avancer l'excuse de la manière pour atténuer l'interprétation d'un résultat.

Et Raymond Domenech ne s'en prive pas. "On était mieux que lors du match précédent et nettement mieux que la fois d'avant, on évolue, on progresse", a-t-il commenté après la défaite contre la Chine.

Il a même trouvé des vertus à ce revers. "Le fait d'avoir perdu va obliger à être encore plus vigilant, plus soudé, plus travailleur, plus inspiré. On sait qu'il va falloir faire plus de choses", a assuré Domenech.


AUX JOUEURS D'ANIMER LE SYSTÈME

Durant ces trois matches, la France a systématiquement joué en 4-3-3, un système nouveau pour elle, avec toujours les mêmes joueurs de champ au coup d'envoi. Elle a toujours dominé son adversaire mais elle a aussi toujours concédé un but.

Progression ou pas, la France a affiché contre la Chine les mêmes maux que face au Costa Rica et à la Tunisie: un milieu qui a du mal à se positionner, parfois débordé en phase défensive et absent en attaque, un manque de précision dans les enchaînements offensifs, un jeu qui penche vers le côté gauche de Franck Ribéry.

"On a essayé plein de formules avec un truc de base et après, tout le reste peut bouger, peut changer, peut s'adapter", a commenté Raymond Domenech. "Il n'y a pas de système plus performant qu'un autre, il y a des joueurs qui sont capables d'animer un système de jeu", a-t-il ajouté.

L'autre problème mis en exergue par la victoire chinoise et déjà aperçu lors des deux matches précédents porte précisément sur les hommes.

William Gallas, qui relève d'une blessure au mollet, a parfaitement respecté son tableau de marche: après 45 minutes contre le Costa Rica puis une heure contre la Tunisie, il a joué l'intégralité du match contre la Chine. Son association avec Eric Abidal en charnière centrale est toutefois encore loin d'être parfaite.

Au milieu de terrain, Abou Diaby a réussi des entrées en jeu fracassantes tandis qu'en attaque, Thierry Henry a été systématiquement remplaçant mais Nicolas Anelka n'a rien fait pour se rendre indispensable, pas plus que Sidney Govou à droite.

"Depuis le début, on réfléchit dans les équipes qu'on met en place. On a essayé plusieurs formules pour voir laquelle sera la plus solide face à un adversaire qui a des qualités", a dit Domenech en allusion à l'Uruguay.

A six jours de ce premier match, la France n'a toujours aucune certitude en débarquant en Afrique du Sud

A 4 JOURS DU MATCH ON COMPRENDS MIEUX RAYMOND

NOUS ON LUI DEMANDE
QUELLE TACTIQUE 43 21 OU 433 OU 4132

LUI IL NOUS REPOND 5 /5 VOILA L'EXPLICATION EN IMAGES

5 POUR LE LUXE DE L"HOTEL ET 5 POUR LE PERSONNEL HAUT DE GAMME

Un coq souffle dans un vuvuzela, un petit bout de plastique à la puissance impressionnante.à krysna


ALLEZ LES BLEUS

UN DES BUNGALOWS DES JOUEURS
RAMA ... TOUT A FAIT NORMAL




CHAMBRE POUR 2
Une suite du Pezula Resort

Spacieuses, les suites réservées pour les Bleus sont facturées 600€ la nuit.

Anelka exclu ! (officiel)



officiel


Avant même la fin de la compétition, Nicolas Anelka a été prié par le staff tricolore de rentrer en France.
Les mots de trop. Suite à la révélation du clash qui a opposé Nicolas Anelka à Raymond Domenech, l'attaquant de Chelsea a été prié de faire ses valises. Noël Le Graët, vice-président de la Fédération française, a confirmé l'information .

La Coupe du monde de Nicolas Anelka est terminée. L'attaquant de l?équipe de France a été exclu du groupe tricolore, samedi après-midi, deux jours après ses insultes proférées à l'encontre de Raymond Domenech à la mi-temps de France-Mexique (0-2). «Va te faire enc..., sale fils de p...», aurait lancé le joueur au sélectionneur devant un vestiaire médusé. Ses propos faisaient suite à une menace du technicien de le remplacer s'il ne respectait pas ses consignes, à savoir de moins décrocher. Après le match, en zone mixte, Anelka était apparu goguenard. Une attitude qui avait, à l'époque, interpellé.

Tout au long de la journée, à Knysna où se trouve le camp d'entraînement des Bleus, la rumeur d'un renvoi pur et simple de l'ancien Parisien n'a cessé d'enfler. Une réunion entre Raymond Domenech, Patrice Evra et Nicolas Anelka se serait tenue dans la matinée. Elle aurait précédé un conseil de discipline qui aurait scellé le sort de l'attaquant français. Conscient de l'ampleur du scandale, Anelka aurait souhaité s'exprimer devant la presse pour donner sa version des faits. Craignant de nouvelles déclarations tapageuses, la FFF s'y serait opposée.

Si l'exclusion d'Anelka ne souffre d'aucune contestation au regard des faits, son timing peut étonner. Pourquoi l'encadrement des Bleus ne l'a-t-il pas fait dans la foulée de la défaite contre le Mexique ? Aurait-il pris la même décision si l'affaire n'avait pas été révélée par L'Equipe ? Vendredi, Raymond Domenech aurait attendu en vain des excuses de son joueur. Cet incident est représentatif d'une autorité de plus en plus contestée. Ses joueurs seraient de plus en plus nombreux à lui reprocher ses choix et le manque de travail tactique à l'entraînement.

L'obstination du sélectionneur à vouloir faire évoluer Anelka seul aux avant-postes serait directement à l'origine de l'altercation de jeudi soir. Depuis quelques semaines, le joueur de Chelsea aurait tenté de convaincre Domenech qu'il n'était pas un vrai numéro 9, mais un joueur tournant autour d'une pointe. Devant l'entêtement du technicien, il aurait -comme souvent- décidé de n'en faire qu'à sa tête sur le terrain, avant de craquer avec la suite que l'on connaît. A 31 ans, Anelka aura vécu une première Coupe du monde à l'image de sa carrière : controversée. Il est très peu probable qu'on le revoie un jour sous le maillot de l'équipe de France

De toute façon cette équipe depuis l'euro 2008 est complètement a la ramasse et le sélectionneur aurai déjà du sauter depuis longtemps,mais ces incompétents de la 3F en ont décidés autrement et voila le résultat aujourd'hui.
Mais cela ne les empêchera pas d'empocher la prime de 5 millions d'euros réservez a l'équipe éliminée au premier tour.
Vive la France
allons enfants de la patrie,le jour de gloire est arrivé......
Honte a vous Mrs les joueurs

Parain
Le jour venu, chacun assumera ses choix...
19/06/2010 à 15h13
C'est une bonne chose au fond, renouvellement complet à ts les niveaux, en commencant par la 3F, il serait temps


OMFOREVER
19/06/2010 à 13h26
bon tout sa fait rire, anelka qui insulte son selectionneur , c pas bien
mais domennech sa fait 4 ans que 60 millions de francais l insultent ,en france on perd vite la memoire



codytiti
Il faut que je réfléchisse pour la suite du mondial....
19/06/2010 à 12h58
Pour qui ils se prennent ces deux petits rigolos, le anelka et le ribery ? l'un qui fait sa loi envers d'autres joueurs et l'autre qui insulte le sélectionneur!!
La FFF les engraissent et en retour ils se conduisent comme de triste petit loubard de cité.
Eh bien qu'on les foutent dehors et qu'ils y aillent faire les durs, leurs places est là-bas!!
Ils sont purement et simplement à l'image de l'EDF à celle de la société!! Des VOYOUS!!! Honte à EUX!!

LA FFF EN PLEIN CYCLONE

Le DG de la FFF démissionne20 juin 2010 ... Le Directeur Général Délégué de la FFF a démissionné ce dimanche. Ecuré par le refus des Bleus de s'entraîner ce dimanche, ...


Evra s'embrouille avec le preparateur physique, DUVERNE
L'Edf refuse de s'entrainer, le DG adjoint de la FFF, J-L Valentin demissionne !!


Les dirigeants de la FFF doivent démissionner!

actu.football.fr
le 20/06/2010

Le fiasco sud-africain des Bleus doit-il pousser Jean-Pierre Escalettes vers la sortie? (

Un échec annoncé... Il y a quelques semaines, j'annonçais en avant-première la débâcle des Bleus sur Football.fr, au travers d'un grand article. Je passais alors pour l'ennemi à combattre, celui qui ne croit pas en sa patrie. Pourtant, j'étais à mon sens tout simplement réaliste. Comment un Euro 2008 pitoyable, des éliminatoires pour la Coupe du monde 2010 inqualifiables (un billet acquis de la main), et des matches de préparation pitoyables (défaite contre la Chine) pouvaient être des signes d'espoir?

Pourtant, les mots, les symptômes étaient bien là. Comment pouvait-on espérer qu'Eric Abidal aurait le niveau dans l'axe? Après sa coûteuse erreur de 2008, on pouvait espérer cesser les frais. Pourtant, non. 2010, le latéral gauche de Barcelone tacle en pleine surface un Mexicain à qui il suffisait de fermer l'angle. Sanction immédiate, carton jaune (clément d'ailleurs), et pénalty transformé par l'équipe sud-américaine. Cette petite suite d'idées n'a pas pour objectif de lyncher Eric Abidal, mais de démontrer que rien n'a changé et que l'échec était en vue bien avant le début du Mondial.

FFF, l'heure de la retraite a sonné?

Dans ce contexte, la démission de celui qui a décidé de maintenir Raymond Domenech à la tête de l'équipe de France semble tellement évidente qu'il serait inutile de la réclamer. Mais non, Jean-Pierre Escalettes (75 ans) a indiqué qu'il ne quitterait pas son poste malgré ses échecs retentissants (2008 et 2010), en indiquant: "Non, je n'ai jamais dit à personne que j'allais démissionner après cette Coupe du Monde, même pas à ma femme". Pourtant, dans un pays qui vient de faire passer l'âge légal de la retraite à 62 ans, il semblerait que la Fédération française de football ait besoin de sang neuf.

Christophe Dugarry, champion du monde 1998 aujourd'hui consultant respecté, a pointé du doigt tous les responsables sans exception en déclarant: "Je suis en colère contre MM. Houllier, Escalettes et Le Graët, que je vois s'exprimer pour condamner l'attitude d'Anelka. Comment osent-ils? Quand je pense qu'ils nous ont fait croire, Jean-Michel Aulas compris, que Domenech était l'homme de la situation... Ils nous ont menti et manipulé au moment de le reconduire, en 2008, pour des intérêts obscurs et communs. Ça me met hors de moi".

Pourquoi remplacer Raymond Domenech avant le Mondial?

Finalement, aujourd'hui, si il y a bien une chose que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi avoir nommé Laurent Blanc sélectionneur avant même le début du Mondial 2010? Les dirigeants de la FFF étaient-ils conscients du fiasco qui s'annonçait pour l'équipe de France? Car cette décision a privé les Girondins de Bordeaux de Coupe d'Europe en perturbant très largement une fin de saison qui s'annonçait bien. Les perdants de cette histoire sont donc en Gironde.

Mais qui sont les gagnants? Il me semble qu'il s'agit bien des dirigeants de la FFF qui, malgré l'échec retentissant des Bleus, peuvent aujourd'hui se défendre en expliquant qu'ils ont débauché un grand entraîneur, Laurent Blanc, pour les prochaines années. Mais là encore, quelle pitoyable gestion, comment ne pas penser que le classement des Girondins de Bordeaux en fin de saison aurait été très différent sans les tractations entre Laurent Blanc et l'équipe de France?

L'équipe de France vit une nouvelle crise sans précédent qui oppose désormais les joueurs à l'encadrement des Bleus. Au lendemain de l'affaire Anelka, le groupe France est au bord de l'implosion. Un spectacle édifiant et pathétique à deux jours d'affronter l'Afrique du sud.


Ce dimanche après-midi, une altercation a opposé un joueur à un membre de l'encadrement technique du groupe France lors d'un entraînement public de l'équipe au centre d'entraînement de Knysna, camp de base des Bleus. Elle s'est terminée par la démission de Jean-Louis Valentin, directeur délégué de la Fédération française de football dans des conditions totalement surréalistes.

«J'ai honte. Etre joueur ne donne pas tous les droits, je démissionne. Ils vous expliqueront», a lancé Jean-Louis Valentin en quittant les lieux poursuivi par les journalistes.

Cette nouvelle crise a éclaté après une altercation entre Robert Duverne, préparateur physique de l'équipe de France et Patrice Evra. Un peu après 16h10, pendant que les joueurs signaient des autographes le capitaine de l'équipe de France a eu un échange houleux avec le préparateur. Les deux hommes ont été séparés par Raymond Domenech. Robert Duverne a ensuite jeté son sifflet sur la pelouse et a quitté les lieux.

Après un conciliabule, les joueurs de l'équipe ont refusé de s'entraîner. Ils ont rejoint leur bus dans une situation qui reste toujours plus que confuse. A 16h30, les joueurs étaient toujours dans le bus sans que l'on sâche si l'entraînement allait reprendre ou non. Le service de presse de l'équipe de France refuse pour l'heure de communiquer avec les journalistes sur ce nouveau clash filmé par toutes les télévisions françaises et étrangères.

Les joueurs ont fait lire un communiqué a DOMENECH
ils boycottent l'entrainement car ils sont solidaires de nicolas anelka
et moi je les soutiens
car je considere que les dirigeants de la fff
sont totalement responsables de toutes ces turbulences
ils auraient du changer de selectionneur debut janvier avant le barrage et repartir avec un coach neuf

rama roselyne jpierre raymond sont totalement incompétents de la gestion d'un groupe de cette taille
à mon humble avis au moins ces 4
devraient tous demissionner

le monde entier nous a filmés cette crise majeure

Le match passe après
Si la France n'est pas encore mathématiquement éliminée, elle semble l'avoir oublié. Il reste un match à jouer contre l'Afrique du Sud.


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Avec Patrice Evra
Si la France n'est pas encore mathématiquement éliminée, l'enjeu de son match contre l'Afrique du Sud, mardi, est occulté par la fronde menée contre la FFF.

C'est à se demander s'ils savent qu'il reste un match à jouer. «Quand tu viens en équipe de France et que ce n'est pas pour parler foot, tu ne peux pas gagner», reprochait Patrice Evra à la presse dans la foulée de l'exclusion de Nicolas Anelka. En refusant de s'entraîner dimanche pour protester contre cette décision de la FFF, les joueurs ont donné le bâton pour se faire battre. La Coupe du monde des Bleus est en train de se transformer en une grande mascarade. Elle n'est pas (encore) finie et on ignore si les joueurs eux-mêmes en ont conscience. Dans leurs discours, France-Afrique du Sud, mardi après-midi, serait un moyen de laver une partie de l'honneur du football français. Dans les faits, il semble avoir été totalement occulté par les évènements de ces dernières 48 heures.

«On préférerait que vous disiez qu'on est nul !», s'exaspérait Evra en conférence de presse. Les Bleus ne nous en donnent même plus l'occasion. De victimes -puisque c'est ainsi qu'ils se considèrent-, ils se sont mués en coupables. De quoi exactement ? De la situation catastrophique dans laquelle se retrouve l'équipe de France avant son dernier match de poules ? Ils l'étaient déjà. D'une image de plus en écornée aux yeux du monde ? Ils le sont devenus et c'était prémédité. Depuis la veille au soir, les joueurs savaient que l'entraînement serait ouvert au public et se déroulerait par conséquent sous le regard attentif des journalistes. Ils avaient un message à faire passer, quitte à galvauder un match qu'il faudra impérativement et largement gagner en espérant que Mexique-Uruguay accouche d'un vainqueur.

Mentalement, physiquement et tactiquement, les joueurs de Raymond Domenech se présenteront contre les Bafana Bafana mal préparés. Ce n'est même plus la question. Le mouvement de rébellion lancé sur la pelouse du Field of Dreams et la chasse au «traître» menée tambour battant ont définitivement relégué au second plan le mince espoir qu'il leur restait de se qualifier. Ils ont surtout scellé la fracture entre l'équipe de France et sa plus haute instance.

Après cet épisode qui s'ajoute au maintien contre vents et marées de Domenech après l'Euro 2008 et la gestion désastreuse de sa succession, il paraît inconcevable de voir Jean-Pierre Escalettes conserver son poste de président de la FFF après la Coupe du monde. A moins d'un miracle,
on sera bientôt fixé SURTOUT QU A 75 ANS
IL EST TEMPS DE FAIRE DE LA PLACE AUX JEUNES .
.LA RETRAITE JE CROYAIS QUE C ETAIT 62 ANS

LA CONSTERNATION DU COTÉ DE LA FFF
"Un comportement inadmissible"

Après le navrant numéro d’hier, la Fédération
française a dénoncé hier le "comportement
inadmissible" des joueurs de l'équipe de France.
"La FFF, par la voix de son président
(Jean-Pierre Escalettes), présente ses excuses
pour le comportement inadmissible des
joueurs représentant notre pays", a déclaré la
Fédé. Dans son communiqué, la Fédération
ajoute avoir "pris acte avec consternation du
refus des joueurs de l'équipe de France de participer
à l'entraînement de ce jour. Ce mouvement
inacceptable est la conséquence de
l'éviction de Nicolas Anelka, selon eux, injustiée.
Contrairement aux affirmations des
joueurs, cette sanction a été prise à l'issue d'un long entretien avec l'intéressé, en
présence du capitaine", précise la FFF. Un conseil fédéral sera convoqué dès le
terme du parcours de l'équipe de France à la Coupe du monde "pour tirer toutes
les conséquences de la situation de crise".

LA FRONDE DU CÔTÉ DES JOUEURS
"La FFF ne nous a pas protégés"
"Tous les joueurs de l'équipe de France sans exception souhaitent
affirmer leur opposition à la décision prise par la FFF d'exclure Nicolas
Anelka. Nous regrettons l'incident qui s'est produit à la mi-temps du
match France-Mexique, nous regrettons encore plus la divulgation
d'un événement qui n'appartient qu’à notre groupe (...). À la demande
du groupe, le joueur mis en cause a engagé une tentative de dialogue.
Nous regrettons que sa démarche ait été volontairement ignorée. De
son côté, la FFF n'a, à aucun moment, tenté de protéger le groupe. Elle
a pris une décision sans consulter les joueurs, uniquement sur la base
des faits rapportés par la presse. En conséquence, et pour marquer son
opposition à l'attitude adoptée par les plus hautes instances,
l'ensemble des joueurs a décidé de ne pas participer à la séance
aujourd'hui. Nous sommes conscients de nos responsabilités, celles de
porter les couleurs de notre pays, également celles que nous avons à
l'égard de nos supporters, des éducateurs, des bénévoles et des
innombrables enfants qui ont les Bleus pour modèles. Nous n'oublions
rien de nos devoirs. Nous ferons tout pour que la France mardi
(demain) retrouve son honneur par une performance enfin positive."


Jean-Louis Valentin :
"Un scandale"
Devant les journalistes, les larmes aux yeux, le directeur
délégué de la FFF, Jean-Louis Valentin a
annoncé sa démission hier. "Allez demander aux
joueurs, ils ne veulent plus s'entraîner ! C'est un
scandale. Je suis un salarié de la Fédération, un
administratif. Je suis monté au créneau quand il
le fallait. Dans l'intérêt de la Fédération, ne me
demandez plus rien. C'est un scandale pour les
Français, pour la Fédération, l'équipe de France,
et les jeunes qui sont ici. Ce qui s'est passé est
inacceptable. Demandez-leur (aux joueurs).
"En ce qui me concerne, tout est terminé. Je démissionne.
Je ne suis pas le porte-parole des
joueurs. Je quitte la Fédération. Je quitte mes
fonctions, je suis écoeuré et dégoûté."

La communication verrouillée de l'équipe a mené à une catastrophe médiatique
Le Monde | 21.06.10 | 11h09

Il y avait quelque chose de pourri au royaume des Bleus bien avant la mutinerie des joueurs, qui ont refusé de s'entraîner, dimanche 20 juin, à Knysna, en faisant sécession d'avec leur staff. A en croire son capitaine Patrice Evra, l'équipe est hantée par l'existence d'une taupe en son sein. On imagine l'ambiance dans les couloirs du Pezula Resort Hotel. Regards en chiens de faïence, peur de parler si jamais des oreilles félonnes traînaient. Ce "traître à éliminer", selon le joueur de Manchester United, est l'"ami intime" de la presse, donc l'ennemi de l'intérieur.

Comment est-on arrivé à ce mauvais roman d'espionnage? Le sélectionneur Raymond Domenech nourrit un souverain mépris pour les journalistes sportifs, en qui il voit autant d'incompétents. "Je viens par obligation", a-t-il rappelé, lors d'une conférence de presse. On ne saurait être plus clair. Il y a pourtant au moins une exception, pour lui, dans la profession: sa compagne Estelle Denis, salariée de M6, qui l'a déjà interviewé… pour l'opérateur téléphonique SFR. Cet exemple de confusion des genres est généralisé dans la sphère médiatico-sportive.

Domenech n'a pourtant toujours pas compris cette règle élémentaire de la communication: pour calmer les ardeurs de la presse, il faut, de temps à autre, lui donner du grain à moudre. Le sélectionneur a choisi l'option inverse. Il verrouille avec son chef du service de presse. François Manardo a été pigiste à L'Equipe. Il doit donc en permanence botter en touche devant les demandes de ses anciens collègues.
En conséquence, les conférences de presse sont des siestes. On y tutoie le sélectionneur et ses joueurs pour mieux les laminer après. On leur réclame des autographes avant de passer à l'interview. Une expression résume le malaise des joueurs. Un footballeur "va" à la presse, comme on "va" chez le boucher. "Ils se méfient des médias, de peur d'être pris en défaut, confirme Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération française de football (FFF). Ils vont à la presse comme ils vont au charbon, pour eux c'est une corvée." "C'est une communication subie, explique l'ancien journaliste Karl Olive, qui s'est reconverti dans le mediatraining. Le monde du foot n'a pas compris qu'au-delà du savoir-faire, il y a le faire savoir." Comme Domenech a toujours esquivé les questions pertinentes, les journalistes ont rapidement cessé de se creuser les méninges. Avant la crise, les dernières séances débutaient invariablement par "Raymond, ton analyse du match…" Pas de quoi rassasier les journalistes, qui évoluent sur un marché concurrentiel.

Avec l'hypermédiatisation du football il n'existe plus, dans le stade, qu'un lieu sanctuarisé : le vestiaire. Là, où, par chance, la langue de bois peut se volatiliser à cause de la pression et de la fatigue. Deux journaux en France se livrent une lutte sans merci pour recueillir les propos qui ont pu s'échanger dans ce huis clos: L'Equipe et Le Parisien. Le dernier a eu l'avantage, en septembre 2009, en révélant qu'une explication avait eu lieu à Clairefontaine entre Domenech et les joueurs. Thierry Henry aurait mis en cause le sélectionneur. Avec l'"affaire Anelka", L'Equipe a pris sa revanche en innovant: sa "une" est directement inspirée des méthodes des tabloïds britanniques avec un titre reprenant une citation trash, illustrée d'un photomontage.

Le banni "ne souhaite pas s'exprimer", jure ce jour-là Jean-Pierre Escalettes. Peu après, il le fait sur le site de France-Soir. L'envoyé spécial du journal présent à Knysna est le biographe de Nicolas Anelka. Interrogé aussitôt par les télévisions, il se reconvertit en porte-parole de l'attaquant de Chelsea.

Avec la TNT, les sites Internet et Twitter, on assiste cette année à un déferlement médiatique jamais vu autour des Bleus. Sans parler des chaînes de télévision qui, toutes, ont embauché des footballeurs retraités ou en mal de terrain. Les consultants interrogent les joueurs qui sont interviewés par les journalistes qui questionnent les consultants. Le microcosme perd les pédales. Il faut avoir vu l'ancien milieu de terrain des Bleus et nouveau consultant de Canal+, Sylvain Wiltord, poser des questions lors d'une conférence de presse. Lui qui, avant, fuyait, voire méprisait les médias…

Guy Roux, l'ex-entraîneur de l'AJ Auxerre, ne se prive pas non plus d'y participer. Mais lui reste silencieux en salle de presse. "J'ai toujours su où se situait la frontière entre journaliste et consultant, dit-il, c'est ce qui m'a permis de durer depuis 1984." C'est Canal+, avec ses énormes moyens financiers, qui a lancé la mode en recrutant large. Pour tacler Domenech, la chaîne dispose de Christophe Dugarry, également chroniqueur à L'Equipe. Consultants pour TF1, Bixente Lizarazu et Jean-Michel Larqué attendent la fin des matches pour vider leur sac sur la Une et sur RTL.

"C'est un milieu dans lequel la nécessité de la proximité est poussée à son comble", explique Patrick Mignon, sociologue, spécialiste des comportements sportifs, qui dénonce une "société du spectacle", au sein de laquelle il ne s'agit plus de "savoir", mais de "créer une polémique". Les critères habituels d'une bonne information – fiable, donc recoupée, sourcée – ne sont pas forcément retenus par des reporters très jeunes, à qui l'on demande un labeur proche de l'abattage. "Ce système crée une image délétère d'une équipe qui ne sait pas parler d'elle-même", estime le sociologue. Une information raréfiée et mal distribuée d'un côté, un professionnalisme parfois suspect dans un système trop poreux pour être honnête: tous les ingrédients d'une catastrophe médiatique étaient réunis.

Gérard Davet et Bruno Lesprit (à Knysna)