STADE DE REIMS A TOUT JAMAIS..ENCORE UN MEDITERRANEEN !! DE COEUR

Avant Reims-Nice, Amalfitano: «Faut essayer d'écrire notre histoire à nous»
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le 01/03/2011 à 11:54:46


Cela fait 10 ans que le Stade de Reims ne s'était plus retrouvé en quarts de finale de la Coupe de France. Ce soir, c'est un «gros match» qui les attend. Devant un stade rempli et chauffé à blanc, les Rémois devront se défaire de Nice pour accéder aux demies. Découvrez les réactions d'Alexandre Barbier, du coach rémois Hubert Fournier et de Romain Amalfitano recueillies avant le match

Coupe - Reims - «On a été à la hauteur...»

Fier de ses joueurs, Hubert Fournier a tenu à leur rendre hommage et à remercier le public venu en nombre. «C'est une grosse déception, a d'abord reconnu l'entraîneur champenois, mais je n'ai rien à reprocher à mes joueurs. On a fait le match que l'on voulait faire, on a été à la hauteur de l'événement. Ce soir, on a vu la froideur et le réalisme d'une équipe de Ligue 1 qui s'est qualifiée grâce à ses individualités. Ljuboja marque un super but, Mounier rentre et fait la différence... Voilà, l'aventure Coupe de France s'arrête là pour nous, mais le public rémois peut être fier de son équipe. C'est à travers des matches comme celui-là, qu'un club grandit et se forge un public. Quand je vois ce que l'on arrive à produire comme jeu, je ne veux pas croire qu'on ne restera pas en Ligue 2. Une deuxième aventure s'offre à nous maintenant : c'est le Championnat.»

Stade de Reims (CdF) / Pas de quoi rougir
Publié le jeudi 03 mars 2011 à 08H30


Olivier Guégan : « Nous avons manqué de réalisme, mais ce que nous avons proposé était cohérent ».


REIMS (Marne). En tirant les bons enseignements de son élimination face à Nice, le Stade devrait pouvoir gommer, en championnat, les sautes de concentration qui polluent son jeu alerte.

DUR à avaler. Le salon du président où les Stadistes se sont retrouvés pour un repas d'après-match, respirait la déception. Tous y sont passés, pas forcément en même temps, en évitant de plomber davantage une ambiance déjà pesante.
Frédéric Biancalani, le doyen, qui en a connu des moments aussi délicats dans sa longue carrière, avait une pensée pour les supporters. « Remerciez le public de ma part et de celle du collectif. Il a été fantastique. Et j'espère qu'il reviendra aussi nombreux pour les autres matches importants qui nous attendent ».

Didier Perrin : « Je suis dégoûté »

Emmanuel Clément, le coach-adjoint, a sorti sa règle à calculs : « Nice s'est créé quatre occasions et a marqué trois buts. Cela s'appelle le réalisme. Nous avons fait illusion, nous avons cru à notre qualification. On peut être déçu, mais c'est comme ça. On construit aussi ses victoires à partir des erreurs de l'autre ».
A quelques mètres de lui, l'ancien Parisien Eric Rabesandratana, approuve. Une carrière se bâtit aussi sur des échecs.
En sport, le verdict est souvent cruel. C'est que pense Didier Perrin, un président dépité. « Je suis déçu, frustré, dégoûté. Ce soir, ce n'est pas la meilleure équipe qui a gagné. Nice n'a rien montré et s'est contenté de défendre, de nous laisser le contrôle du jeu. Evoluer en Ligue 1 pour se comporter de la sorte. Je pense qu'on a fait le match qu'il fallait et Nice n'a pas à se réjouir de sa qualification ».
Alors que les anciennes gloires de 2001 - Franck Mazuel, Olivier Tingry et David Ducourtioux - devisaient tranquillement, Olivier Guégan, bras droit d'Hubert Fournier, avançait ses arguments. « Le réalisme, il n'y a que ça de vrai. Nous avons manqué d'efficacité dans les deux surfaces, et nous l'avons payé cher. On savait que Nice allait se positionner bas et nous laisser l'initiative du jeu. Si on avait marqué très tôt comme nous en avons eu l'occasion, la physionomie du match aurait été différente. Mais bon… Nous avons perdu, mais ce que nous avons proposé était cohérent ».

Gamiette époustouflant

Meilleur joueur sur le terrain, Thomas Gamiette regrettait ces petits oublis défensifs « qui ont gâché notre travail ». « Nous étions bien dans ce match, on sentait qu'on ne pouvait pas perdre. Nice ne nous a pas impressionnés, bien au contraire. Mais on concède des buts évitables. C'est dommage ».
Plus en difficulté face à Ljuboja que face à Bellion, la défense centrale rémoise a toujours été sur le qui-vive. A la manœuvre, Mickaël Tacalfred a réalisé un match solide, gâché par ces trois buts encaissés en plein cœur du trafic.
« On a dominé, mais on s'incline. C'est cruel de perdre si près du but. Mais c'est comme ça et il faut l'accepter. Nous avons, dans l'ensemble, montré de belles choses. Il faut s'en inspirer et vite se reconcentrer sur les prochaines échéances ».
Jeunes comme anciens étaient conscients d'avoir vécu un moment historique de leur carrière. « C'était sublime, raconte Thomas Gamiette, l'ambiance était top. On ne s'entendait même pas sur le terrain ».
« On grandit », a résumé Hubert Fournier qui aimerait tant que cette riche expérience soit profitable aux joueurs, au club et à son environnement

Stade de Reims / Caillot : « Ce ne sont pas des robots »
2 contributions Publié le mardi 08 mars 2011 à 08H13


Les explications de Stéphane Djouzi n'ont pas convaincu le président rémois.


Le président rémois relativise le demi-échec de vendredi, qu'il explique par un manque logique de fraîcheur physique.

APRES quelques jours de vacances, le président stadiste a assisté au nul poussif de son équipe face à Metz, vendredi. Pour lui, ce premier match non gagné à domicile en 2011, ne remet rien en cause. Un succès vendredi contre la Berrichonne de Didier Tholot et Serge Marchetti fera vite oublier ce faux pas.

Jean-Pierre Caillot, que retenez-vous du match nul concédé par le Stade de Reims face à Metz ?
« Ce n'est pas forcément une surprise. L'équipe a manifestement manqué de fraîcheur physique après les efforts consentis trois jours plus tôt pendant 120 minutes face à Nice. C'est d'ailleurs pour éviter cette baisse de régime prévisible que nous avions demandé de décaler ce match au samedi. Cela nous a été refusé jusqu'en appel. Les joueurs ne sont pas des robots et ils ont logiquement cédé du terrain en fin de partie. »

Comme à l'aller, ce match laisse quand même des regrets. Il y avait peut-être la place de faire mieux, non ?
« La tête propose, les jambes disposent. Prenez Le Mans, qui avait disputé une prolongation contre le Paris SG, il menait 2-0 à dix minutes de la fin à Dijon et s'est incliné 3-2. Avec un jour de plus de récupération, nous aurions sans doute fait mieux.
Quant aux regrets, j'en ai depuis le début de saison. Je cite en vrac le but refusé par l'arbitre contre Laval, contre Châteauroux, etc, etc... Je suis convaincu que nous aurions dû compter 8 à 9 points de plus aujourd'hui, ce qui nous permettrait de voir les choses beaucoup plus sereinement. »

N'a-t-on pas mis trop de pression sur ces deux matches successifs (Metz et Châteauroux) annoncés à six points ?
« Au contraire, on a tenu à bien dissocier ces deux matches, expliquant aux joueurs qu'ils avaient chacun leur vérité. Ceci dit, quand on reçoit, l'objectif c'est la victoire. »

Ce petit coup d'arrêt à domicile, peut-il avoir une influence sur le match contre Châteauroux ?
« C'est tout le travail du staff technique de rappeler aux joueurs l'importance de ce rendez-vous. Un joueur expérimenté comme Frédéric Biancalani expliquait récemment que si on prenait sept points sur les trois matches à venir à domicile (Vannes, Metz et Châteauroux), ce serait déjà bien. On peut être déçu du résultat contre Metz, mais est-il si illogique que cela ? »

Il y a deux ans, ce match, vous l'auriez sans doute perdu…
« Je pense que si nous étions une équipe du haut du tableau, l'arbitre aurait peut-être signalé hors-jeu sur le but de Duhamel ou aurait sifflé le penalty sur Fauré. Quand M. Djouzi nous dit qu'il ne se voyait pas siffler un penalty à la 90e minute, on a tout compris. Dans notre position, les décisions ne nous sont que très rarement favorables. »

« Je n'ai rien contre Tholot »

Vendredi, c'est le retour de Didier Tholot à Reims…
« Je n'ai pas de commentaire particulier à faire. Didier Tholot a œuvré chez nous, nous lui avons donné les moyens nécessaires pour travailler. L'équipe n'avait que 12 points à Noël et nous avons cessé notre collaboration moyennant indemnités. Aujour-d'hui, les choses sont claires : que ce soit lui ou Thierry Froger demain avec Nîmes, notre objectif est de gagner les matches. Il n'y a aucune animosité particulière, même après ses déclarations au match aller, puis dans la presse nationale, que j'estime déplacées par rapport au soutien que lui a porté le club alors qu'il n'avait pas de résultat. Châteauroux n'est pas un ennemi, simplement un adversaire que nous allons essayer de battre

GROSSE CLAQUE
Ajaccio 3 - 0 Reims

ET REIMS RESTE A 1 POINT DU 1 ER NON RELEGABLE METZ

GLOIRES PASSEES DE LIGUE1 AUX PORTES DU NATIONAL

A 20 H A GRENOBLE
Le groupe de Grenoble : Viviani, Maubleu - Ayari, Abardonado, Mendy, Turan, Mainfroi, Belaïd, Taïder, Thauvin, Juan, Tinhan, Dieuze, Johansen, Matsui, Mandrichi, Lasimant.



Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Weber, Barbier, Tacalfred, Fontaine, Biancalani, Gamiette, Amalfitano, Krychowiak, Gragnic, Deaux, Fauré, Courtet, Toudic, Fortes.

un match qui sentait le soufre et qui se termine avec une egalité
et deux exolympiens comme buteurs
Grenoble 1 - 1 Reims
40e Johansen 87e Gragnic

reims n'a que 4 points de retard sur le 1 er non relegable

13 Laval 37 30 8 13 9 0 27 29 0 -2
14 Chateauroux 37 30 9 10 11 0 26 32 0 -6
15 Nantes 36 30 8 12 10 0 25 27 0 -2
16 Reims 35 30 8 11 11 0 40 42 0 -2
17 Nimes 32 30 8 8 14 0 24 29 0 -5
18 Metz 31 30 6 13 11 0 25 27 0 -2
19 Vannes 31 30 8 7 15 0 25 45 0 -20
20 Grenoble 28 30 7 7 16 0 27 44 0 -17

remois se donnent de l'air sur la fin du match

Reims 4 - 1 Boulogne 61e Thil

39e Courtet
82e Fauré
90e Amalfitano
90e+2 Deaux

COMMISSION DE Discipline

Un match ferme suite à un troisième avertissement ou par révocation du sursis :
Odair Fortes (Reims),

a 20h à reims

reims pour la survie dijon pour la montée
Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Weber, Barbier, Tacalfred, Biancalani, Mandi, Gamiette, Amalfitano, Krychowiak, Gragnic, Deaux, Fauré, Courtet, Toudic, Fortès.

Le groupe de Dijon : Padovani, Grandel - Zywiecki, Zarour, Bamba, Paulle, Sankharé, Bauthéac, Isabey, Morisot, Corgnet, Malouda, Bérenguer, Caceres, Courgnaud, Ribas

bataille pour le maintien
20 h à NIMES

NIMES( 18)/REIMS (14)

Le groupe de Nîmes : Butelle, Al-Shaïbani - Poulain, Benezet, Stosic, Zarabi, Gigliotti, Keita, Niflore, Haguy, Posteraro, Benyachou, Mostefa, Haddou, Thibault, Martin, Davidas, M'Changama.



Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Weber, Barbier, Tacalfred, Biancalani, Mandi, Gamiette, Amalfitano, Krychowiak, Gragnic, Deaux, Fauré, Courtet, Toudic, Kodjia.

DERBY CHAMPAGNE
20 H A REIMS
MAINTIEN ET MONTEE

Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Weber, Tacalfred, Biancalani, Mandi, Gamiette, Amalfitano, Krychowiak, Gragnic, Deaux, Fauré, Gamboa, Courtet, Toudic, Fortès, Kodjia.

Le groupe de Sedan : Costil, Briant - Abdallah, Traoré, Lautoa, Bellaïd, Pogba, Karaboué, Le Moigne, Oliveira, Eudeline, Mokaké, Fauvergue, Allart, Diaby.

à quelques minutes de la mitemps

Reims 1-0 Sedan

commission de discipline de la LF

Un match ferme : Alexandre Barbier (Reims)

LFP - Commission de discipline de la Ligue .
LIGUE 2

- Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir de lundi 23 mai à 0h00 pour :
Mickaël Tacalfred (Reims),

L2 - 37e j. équipes probables vendredi (20h30).
Reims - Evian-TG
Stade Auguste-Delaune
Arbitre: M. Millot
Reims: Agassa - Mandi, Tacalfred (cap.), Weber, Biancalani - Gamiette, Krychowiak, Gragnic - Fortes, Courtet, Toudic
Evian-TG: Westberg - B. Dja Djedje, Angoula, Caçapa, Saad - Rabiu, Sorlin, Barbosa (cap.) - Adnane, Sagbo, Bérigaud

Commission de discipline
Quatre matches ferme :
Odair Fortes (Stade de Reims)

équipes probables ce vendredi (20h30).




Laval (12e) - Reims (13e)
Stade Francis-Le Basser
Arbitre : M. Lesage
Laval : M. Pichot - J. Stinat, Chapuis (cap.), Talmont, Coué - Khiter, Levrat, Losilla, Genest - Gimbert, Nabab
Reims : Agassa (cap.) - Mandi, Krychowiak, A. Weber, Biancalani - Deaux, Gamiette, Gragnic - Courtet, Toudic, Gamboa

Dans les autres rencontres, Reims (L2) a créé la surprise en battant Lille (1-0) sur un but de Tainmont (69e). (0-0).

matchs de préparation Samedi :
Amiens - Reims 0-0

COUPE DE LA LIGUE 2011-2012 1° tour.Vendredi 22 Juillet à 20 heures :

Stade de Reims (L2) - FC Nantes (L2)


Le groupe de Reims : Liébus, Agassa - Barbier, Tacalfred, Mandi, Sekkat, Weber - Ghisolfi, Deaux, Ramaré, Peuget, Tainmont, Collet, Ouali - Kodjia, Amalfitano, Fauré.
Le groupe de Nantes : Zelazny, Dupé - Alhadhur, Ba, Bessat, Cheyrou, Cissokho I., Dalé, Djilobodji, Gakpe, Keita, Raspentino, Trébel, Vainqueur, Veretout, Vivian.
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Ca de Nancy à Reims - Comme prévu, Bocundji Ca quitte l'AS Nancy-Lorraine à un an du terme de son contrat. Le milieu défensif de la Guinée Bissau, âgé de 24 ans, s'est officiellement engagé pour trois ans avec le Stade de Reims.

j'ai vu le match et reimsfait bien circulé la balle merite sa victoire

v bataille des 2 frerots roamin amalfitano et thorgan hazard à lens

le remois aussi fort que son frere marseillais

Relégué après une saison cauchemar, le Racing comptait repartir du bon pied en L2, mais a été battu d'entrée à Bollaert par Reims (0-2).

Battus par une équipe inspirée et réaliste, les Lensois ont mis en lumière leurs lacunes collectives, dont un manque de réalisme qui ne leur a jamais permis de revenir malgré des occasions à la pelle.
Une frappe hors cadre de Fauré (15e) montrait les ambitions rémoises que Tacalfred, en bon capitaine, concrétisait dix petites minutes plus tard par une frappe croisée entre les jambes de Kasraoui (0-1). Après une faible réaction lensoise (28e), Kasraoui commettait une faute dans la surface. Fauré offrait le break d'un contre-pied (2-0, 32e). Solides, bien organisés et dopés par ces deux buts d'avance, les Champenois brillaient dans cette rencontre, au contraire des Lensois.

Passes imprécises, ballons perdus bêtement, mauvais choix aux abords de la surface, les Nordistes s'investissaient, sans grande conviction.
En confiance, en revanche, Reims était tout près d'inscrire un troisième but. Mais une demi-volée écrasée rasait le poteau (61e) et une contre-attaque mal gérée était récupérée par Yahia (74e). Pour refermer ce premier chapitre de la saison, Touré, par une passe en retrait trop molle, donnait l'occasion à Kodja de sceller en beauté la victoire, mais le lob de l'attaquant rémois cognait la transversale de Kasraoui. Cette première défaite à domicile sonne déjà comme un avertissement pour Lens, qui prétend ouvertement jouer la montée
.





Pièce maîtresse du système rémois, Romain Amalfitano a marqué de son empreinte le parcours de son équipe sur la route des quarts. Mais si son nom est connu, ce n'est pas encore le cas de son prénom.

Après l'exploit face à Rennes en huitièmes, Romain Amalfitano avait deux souhaits. Tirer Lorient, où joue son frère Morgan, ou Nice, où il est né. Le jeune joueur rémois (21 ans) devra patienter avant d'affronter son grand frère pour la première fois de sa carrière. En revanche, il aura bien le plaisir de rencontrer le club de sa ville natale en quarts, mardi à Reims. Ce club rémois où le cadet de la famille Amalfitano a posé ses valises l'été dernier après un passage par Châteauroux, son club formateur, puis Evian. « L'année dernière, avec Evian, nous avions fait une magnifique saison concrétisée par une montée. Cette saison, à Reims, j'espère que je contribuerai au maintien. Jusqu'à aujourd'hui, tout se passe bien. Avec forcément des hauts et des bas, comme dans une saison. »

Le maillot rouge et blanc sur les épaules, l'ex-pensionnaire du centre de formation de « la Berri » trouve vite ses marques. Sur la lancée de ses deux semaines de préparation avec Valenciennes, il se fait même immédiatement une place de titulaire. « Je me sens bien, reconnaît Romain Amalfitano. J'ai retrouvé du jus et du mental pour la suite. De toute façon, je ne me préoccupe pas trop du futur, je préfère prendre match par match et me remettre en question chaque jour, car j'estime qu'il n'y a que comme ça qu'on peut avancer. » Devenu progressivement l'un des hommes clé du secteur offensif, l'ancien joueur d'Evian est pour beaucoup dans le parcours réalisé par les Rémois dans cette Coupe de France.

Buteur face à Montpellier, Clermont et Rennes, Romain, qui n'avait jamais passé le stade des 16emes avant cette année, est même l'un des héros du parcours rémois jusqu'à maintenant. Fils de Roger Amalfitano, ancienne gloire de Châteauroux avant de mettre le cap au Sud, et donc petit frère de Morgan le Lorientais, ‘'Rom'', qui a hérité de ses deux aînés leur tempérament de gagneur, aimerait toutefois se faire lui aussi un nom un jour. « On me parle souvent de mon frère, c'est normal » avoue celui qui a débuté le foot à sept ans. Les deux frères pourront peut-être évoqué leurs souvenirs d'enfance en demi-finales. « Si l'on sort Nice et que Lorient se qualifie aussi, je serai doublement content, car on aura encore plus de chances de jouer contre Lorient. » Chez les Amalfitano, le foot se joue vraiment en famille…

ce soir 20 h

Le groupe de Reims : Liébus, Agassa - Tacalfred, Mandi, Glombard, Sekkat, Weber, Deaux, Ghisolfi, Tainmont, Collet, Ca, Ouali, Kodjia, Amalfitano, Fauré.


Le groupe d'Amiens : Bonnefoi, Ruffier - Cirilli, Lybohy, Mienniel, Ielsch, Cissé, Durimel, Kharbouchi, Paul, Zobiri, Bazile, Gavanon, Raynier, Touzghar, Djaballah, Puyo, Djeric.