STADE DE REIMS A TOUT JAMAIS..ENCORE UN MEDITERRANEEN !! DE COEUR

Le 18/10/2013 à 23:27:02 | Mis à jour le 19/10/2013 06:30:38 Foot Ligue 1 Reims
Fournier : «Coup d'arrêt»Après la défaite (1-2) concédée en fin de match face à Toulouse, vendredi soir, Hubert Fournier, le coach de Reims, regrette la perte d'un nul que son équipe aurait «mérité».«On va se relever, on est passé par des moments beaucoup plus difficiles.» (L'Equipe)


Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : «C'est forcément un coup d'arrêt, un coup dur. On est tombé sur une très bonne équipe de Toulouse. En termes d'occasions franches, on est sans doute devant, mais on n'a pas su les mettre au fond durant nos temps forts. On était bien en place jusqu'à la 35e, et puis on a connu un passage à vide. On s'est mis à perdre des ballons bêtement et on a été sanctionné (Ndlr : but de Trejo à la 42e).
«On n'a pas été efficace comme Toulouse a su le faire. Et comme on n'est pas à l'abri d'un cafouillage...» En seconde période, on est revenu avec de bonnes intentions, on a égalisé (Oniangue, 59e), on a continué à chercher à remporter les trois points, mais on n'a pas été efficace comme Toulouse a su le faire. Et comme on n'est pas à l'abri d'un cafouillage dans la surface et d'un pénalty un peu litigieux... Voilà, ce soir on est sanctionné (penalty de Braitwaite à la 87e). Alors qu'on aurait au moins mérité le point du nul. On va se relever, on est passé par des moments beaucoup plus difficiles dans le passé. On continue d'apprendre à travers ces matchs.» (AFP)

TFC : ils ont fait sauter le bouchon en Champagne !

Publié le 19/10/2013 à 07:55 | 7

ligue 1. 10e journée. Les Toulousains gagnent à Reims, qui était invaincu cette saison dans son repaire de Delaune. Chapeau.

Óscar Trejo, ici face au milieu rémois Prince Oniangué, scoreur aussi, a inscrit son tout premier but sous ses nouvelles couleurs. Mérité./ Photos AFP



Un Óscar pour Trejo, les nerfs d’acier de Braith- waite. En deux-temps trois-mouvements voilà résumé le 4e succès de la saison du TFC. La 2e victoire à l’extérieur, la seconde consécutive en dehors de ses bases après celle obtenue sur le même score de 2-1 à Saint-étienne il y a un mois (20 septembre/6eJ) - si on part du principe que le PSG, où avait perdu entretemps le Téfécé 0-2, joue dans une autre galaxie…
Surtout, comptablement, l’affaire est belle pour les protégés de Casanova qui font un bond de 5 places, en attendant naturellement le reste de la journée.
Óscar Trejo, disions-nous. Il avait été recruté pour être décisif, il ne l’avait pas encore été. Au vu du talent du bonhomme, l’anomalie est fort justement réparée. Une ouverture du score (0-1, 42e) mais aussi - grâce -un vrai match plein.
Conduite de balle, contrôles orientés, appels et démarquages : toute la panoplie du milieu relayeur y sera passée, hier. Cette semaine, son entraîneur attendait, réclamait même un déclic de la part de sa recrue italo-argentine. Alain Casanova a été entendu et Óscar Trejo a certainement délivré sa prestation la plus aboutie depuis son arrivée cet été sur les bords de Garonne. Techniquement impressionnant (sombrero sur Signorino, 49), tactiquement très à l’aise entre les lignes («c’est un milieu» a tranché Casa), physiquement à la hauteur (les premiers tampons, ce fut aussi lui qui les donna !), l’ancien pensionnaire du Sporting Gijon n’a pas paru en proie à un manque de confiance.
Relégué sur le banc lors de la dernière rencontre face à Nice (1-0, samedi 5 octobre), ce joueur élégant, racé, a chassé en 68 minutes top-chrono les légers doutes qui avaient pu naître. Malgré, répétons-le à l’envi, une pelletée de promesses affichées.
Second héros de la soirée, Martin Braithwaite. Nonobstant son ô combien encore utile travail en appui et remise (cf. la 1re réalisation), l’attaquant danois n’a pas tremblé au moment de convertir le penalty. Plutôt 2 fois qu’1, donc. Puisque sa première tentative, à contrepied, sur la droite du portier marnais (86e), fut à retirer au motif qu’Antoine Devaux, exclu, n’était pas encore sorti du terrain.
«Logique» commentera Alain Casanova, très sport. Le règlement c’est le règlement, quoi.
Le Nordique reprit ses responsabilités, au milieu et en force cette fois, sa frappe étant là touchée par Agassa (1-2, 88e). Ouf !
à part ça et en dehors d’une furia rouge et blanche qu’il fallut normalement maîtriser après l’égalisation (sauvetage d’Aurier devant Ahamada sur une reprise d’Oniangué, 74e ; sacrifice d’Abdennour au-devant de Krychowiak, 78e), les Toulousains auront fait ce qu’il fallait. Jouant leur jeu, peut-être trop à la reprise - c’est eux qui menaient, non ?…
Le technicien téféciste de s’en réjouir : «J’ai aimé que les garçons veuillent aller chercher la gagne. Ils ont continué de défendre en avançant.»
Comme au classement, en fin de compte, ce matin…

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Les joueurs
La sûreté d'Ahamada, le sang-froid de Braithwaite
Ahamada (14/20) : Ses prises de balle rassurantes, sa vista et ses sorties autoritaires ont contribué à dynamiser ses coéquipiers.
Aurier (13) : Plusieurs relances perdues, mais quelle activité, quelle lecture du jeu.
Spajic (12) : Secoué par plusieurs adversaires, le Serbe a été une fois encore au cœur de la bataille. En bien.
Abdennour (13) : Toujours aussi spectaculaire et généreux, le Tunisien ne ménage pas ses efforts. Dès qu’il les canalisera, ça risque d’être très grand.
Didot (13) : Son troisième jaune va l’éliminer du déplacement à Annecy contre Évian. Problème, car dans le jeu, c’est du lourd, le capitaine. Vraiment.
Akpa Akpro (11) : Beaucoup d’activité dans le couloir droit, face à Ayité et Signorino. Remplacé par Ninkov (75), dont le centre va amener dix minutes plus tard le penalty sur Chantôme.
Chantôme (14) : On parle de l’aisance technique de son coéquipier Trejo, on oublie trop souvent que le Parisien est au même niveau d’excellence, et que son abattage fait le reste. Du très haut niveau, sans parler du penalty qu’il obtient.
Trejo (13) : Alain Casanova l’avait asticoté sur ses problèmes de finition, il lui a répondu en inscrivant son premier but de la saison. Tout en participant beaucoup au jeu, comme d’hab’, et en proposant des gestes superbes. Remplacé par Aguilar (69), qui s’est installé devant la défense.
Sylla (11) : Moins à l’aise que d’habitude dans son couloir, où il a fait pas mal de fautes et commis un excès de gourmandise alors qu’Akpa Akpro était tout seul (41).
Braithwaite (12) : Si son entente avec Ben Yedder est toujours intéressante, le Danois, trop peu alimenté en bons ballons, n’a pas beaucoup pesé sur les débats, surtout en deuxième période. Mais son double penalty est un modèle de sang-froid !
Ben Yedder (11) : Des ballons faciles perdus mais son entente avec Braithwaite est déjà au top et, sur le but de Trejo, c’est une offrande du gauche qu’il fait à l’Argentin. Moins en vue après le repos, dans une équipe qu’on a aussi moins vue, il est remplacé par Ben Basat (83).
Stade de Reims 1
Toulouse FC 2

Commission de discipline de la LFP .
Deux matches, dont un avec sursis
Antoine Devaux (Stade de Reims)

Glombard toujours absent contre l'OM


Le Stade de Reims se déplacera au Vélodrome (samedi à 17h00) sans Christopher Glombard. Le défenseur, touché aux adducteurs et absent depuis le 21 septembre, n’est plus aux soins et a même repris l’entraînement cette semaine, mais n’est pas encore prêt à faire son retour à la compétition. Antoine Devaux, exclu contre Toulouse, et Odaïr Fortes, qui doit purger un troisième match de suspension, ne seront pas non plus de la partie. Touché à un tibia contre Toulouse (1-2) vendredi dernier, l’attaquant Nicolas de Préville est quant à lui opérationnel.
Le groupe rémoisAgassa, Placide – Tacalfred, Weber, Mandi, Turan, Signorino, Fofana – Krychowiak, Oniangue, Peuget, Ca, Albaek, Ayite – De Preville, Atar, Charbonnier, Courtet

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Créé le 25/10/2013 - 16:02
Reims: Devaux suspendu à Marseille

Actuellement 13e de Ligue 1, le Stade de Reims se déplacera à Marseille samedi à 17h, pour le compte de la 11e journée, sans son milieu de terrain Antoine Devaux, qui a écopé d'un carton rouge face à Toulouse (1-2) le week-end dernier. Le milieu de terrain Odaïr Fortes est lui aussi suspendu, alors que Diego, Antoine Conte et Jérémy Malherbe sont à l'infirmerie. Le groupe rémois: Agassa, Placide – Tacalfred, Weber, Mandi, Turan, Signorino, Fofana – Krychowiak, Oniangue, Peuget, Ca, Albaek, Ayite – De Preville, Atar, Charbonnier, Courtet

En mode foot champagne
Un mois pile après avoir tenu la dragée haute à Monaco en L1, Reims reçoit l'ASM en 16es de finale de Coupe de la Ligue (20h55). L'occasion de confirmer que contre les gros, les Champenois jouent beau. Explications avec le milieu de terrain Grzegorz Krychowiak.

Grzegorz Krychowiak à la lutte avec Emmanuel Rivière. (L'Equipe)










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«On est taillés pour jouer la Ligue des champions ! » Il rigole, Grzegorz Krychowiak, évidemment, mais la boutade ne sort pas de nulle part. Elle était déjà de mise la saison dernière, quand Reims battait Lyon ou Paris. Elle redevient d’actualité cette année, si on regarde bien le calendrier du club champenois : victoires contre Lille (2-1), Lyon (0-1), Marseille (2-3), et nul (proche de la victoire) contre Monaco. Tremble, le PSG, tremble. Tremble, Monaco, tremble, alors que se profile ce nouveau rendez-vous en Coupe de la Ligue, un mois pile après leur dernière opposition (1-1). «Un de nos meilleurs matches depuis le début de saison», reconnaît le milieu de terrain polonais, qui se félicite de recevoir à nouveau l’ogre du Rocher, quatre jours après la victoire au Vélodrome. «Après Marseille, c’est mieux de jouer contre Monaco qu’une équipe de bas de tableau parce qu’il n’est pas évident de reprendre après un tel match. On va être très motivés.»

«Nos résultats l'an dernier ressemblaient à ceux de cette saison. Sauf qu'on perdait face aux équipes de notre tableau. Pas cette année.» Cela, il sait se l’expliquer : «Les équipes de bas de Championnat ne se découvrent pas, elles nous attendent et on a du mal avec ça, avec la création. On se sent plus à l’aise quand l’adversaire a le ballon, même si on a progressé là-dessus ces derniers temps, on arrive à se procurer davantage d’occasions.» Au risque, comme la saison dernière, de longtemps se battre pour le maintien, en perdant à domicile contre Bastia, Evian-TG ou Valenciennes. «Nos résultats l’an dernier ressemblaient à ceux de cette saison. Sauf qu’on perdait face aux équipes de notre tableau. Cette année, ce n’est pas le cas : on ne gagne pas mais au moins, on prend un point. Il faut travailler là-dessus car on a le potentiel pour jouer une place dans le top 10.»

Un impératif : marquer ...

Mercredi soir, nulle question de point mais plutôt de couperet face à un «gros», un «qui a une obligation de résultat et doit créer le jeu». Et Grzegorz Krychowiak l’assure, le camp d’Hubert Fournier a appris de son premier face à face avec l'équipe de Claudio Ranieri : «Il faut aborder le match dès la 1re minute avec l'envie d’imposer notre rythme à cette équipe de Monaco. Il faut commencer fort, il faut avoir envie de lui poser des problèmes et ne pas subir pendant 90 minutes. Forcément, quand on voit les joueurs en face, si on ne joue pas agressif, ils vont marquer un, deux, trois buts.» Marquer, justement, voilà bien le souci de Reims ces derniers temps (11 buts inscrits). «Un problème dans nos têtes. Quand on marque un but, voire deux à Marseille, on commence à attendre. On recule, on ne va pas chercher le troisième but, on n’a plus envie de poser de problèmes à l’adversaire.» Et cela, même si ce dernier s'appelle Paris, Lyon, ou Monaco. La folie des grandeurs a, pour l'instant, ses limites

Coupe de la Ligue Reims Fournier : «Un exploit»
Après la victoire de Reims contre Monaco (1-0) en seizièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Hubert Fournier a félicité ses joueurs, notamment pour leur belle première période. «C'est probablement la meilleure mi-temps de notre saison.»










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Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : «Il y a beaucoup de satisfaction. Il ne faut pas galvauder ce qu'on est en train de faire. Gagner à Marseille puis enchaîner en battant Monaco, c'est un exploit au vu de notre budget. On a fait une superbe première mi-temps. C'est probablement notre meilleure mi-temps de notre saison. On a eu plus de déchets et on a souffert en deuxième mi-temps. On a eu fort heureusement un peu de réussite sur les deux frappes sur la barre transversale. C'est une belle soirée. Ca montre que notre effectif est relativement étoffé. On n'a pas de secret pour battre les "gros". Ce sont des matches où il faut se surpasser, ce qu'on arrive à faire. On a pu travailler nos attaques placées en première mi-temps donc c'est un gros point positif. On a été moins brillant en deuxième mi-temps mais on a fait preuve de solidarité. Les joueurs sont très contents et c'est une joie légitime. Félicitations à eux. Ces prestations crédibilisent notre présence en L1. Avec peu de moyens mais une farouche envie d'y rester.»

«Il faut rester vigilant car on a parfois tendance à s'enflammer après un bon résultat» Atila Turan (défenseur de Reims) : «On a enchaîné deux bons résultats en gagnant contre Monaco et à Marseille. On a montré qu'on savait jouer au football. On était très motivés avant ce match et après la victoire l'ambiance était très bonne dans les vestiaires. On travaille bien à l'entraînement et ça paie.»

Anthony Weber (défenseur de Reims) : «On a confirmé la victoire à Marseille, que ce soit par ce résultat contre Monaco mais aussi avec la manière. On avait produit du jeu au Vélodrome et encore ce soir. On va recevoir Bastia et il faut enchaîner. Ce soir on n'a pas trop reculé après avoir marqué, c'est très positif. On est énormément satisfait. Mais il faut rester vigilant car on a parfois tendance à s'enflammer après un bon résultat. Si les autres équipes nous craignent, c'est bon signe. Ca montre qu'on a progressé.»

Hantz : «Reims, la meilleure équipe du moment»
L'entraîneur du Sporting Club Bastia, Frédéric Hantz, s'attend à un match serré samedi (20h) mais ouvert face au Stade de Reims, une équipe qu'il considère sur une très bonne dynamique après ses victoires sur l'OM et l'AS Monaco.










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Le Sporting Club de Bastia va-t-il remporter samedi (20h) à Reims sa première victoire de la saison à l'extérieur à l'occasion de cette 12e journée de Ligue 1 ? Si Frédéric Hantz l'espère et imagine «une rencontre serrée et ouverte» entre «deux équipes dynamiques», le coach des insulaires se méfie de la formation champenoise qu'il qualifie de «meilleure équipe de France du moment»  après ses succès contre l'OM (3-2) et l'AS Monaco (1-0 en Coupe de la Ligue).

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Créé le 01/11/2013 - 18:20
Reims: Charbonnier et Turan absents contre Bastia

Le Stade de Reims accueille samedi soir, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le SC Bastia au stade Auguste-Delaune. Les récents tombeurs de Marseille ou Monaco seront toutefois privés de Gaëtan Charbonnier et Atila Turan, respectivement touchés à un mollet et une cuisse. Le groupe rémois: Agassa, Placide – Glombard, Tacalfred, Weber, Fofana, Signorino, Mandi –Krychowiak, Albaek, Devaux, Oniangue, Ca, Ghisolfi – Fortes, Atar, Ayite, De Preville, Courtet.

 http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Fournier-une-semaine-fantastique/414088

Fournier : «Une semaine fantastique»
Après Marseille en Ligue 1 (3-2) et Monaco en Coupe de la Ligue (1-0), Reims a conclu sa superbe semaine par une victoire probante face à Bastia samedi (4-2). «Savourons, mais restons vigilants», a réagi Hubert Fournier

depuis que le Stade de Reims est revenu dans l'élite. Trois victoires, à Marseille, contre Monaco en Coupe de la Ligue, ce soir... C'est la première fois depuis qu'on est revenu en Ligue 1 qu'on marque quatre buts. Il y aura sans doute des moments plus difficiles dans la saison, alors savourons, mais restons vigilants. Si nous gardons la même attitude, nous pourrons faire mieux que la saison dernière. Ces résultats positifs nous donnent de la confiance. La première demi-heure, on était un peu lent. Il nous manquait un peu d'intensité en début de match. On craignait un peu cette équipe, on avait perdu les deux matches la saison dernière. On jouait un peu le cul entre deux chaises. Après notre premier but, Bastia a dû se découvrir, et comme j'avais décidé de mettre de la vitesse, ça a payé. Nos attaquants ont marqué, c'est bon pour leur confiance. On a vu Eliran Atar, son comportement après avoir marqué. Il s'est libéré, il a défendu, il était sur tous les ballons. J'espère que ça va lui faire du bien.»

Hantz : «C'est une bonne claque»
Frédéric Hantz, entraîneur de Bastia: «Pendant la première demi-heure, on a fait preuve d'insuffisance mentale et technique. C'est dommage, parce que Reims marche bien en ce moment, et on aurait pu prendre le match en main à ce moment. Et c'est Reims qui marque pendant cette période. Je regrette le penalty juste avant la mi-temps, il y est, mais je le regrette. C'est bien qu'on soit revenu après la pause. Mais je crois que Reims est actuellement la meilleure équipe du championnat avec Paris. Réussir quelque chose ici, en ce moment, ça n'est pas simple. Si on avait marqué vite... Après, ils ont déroulé tranquillement. On a déjà connu ce type d'entame de match, et avec le même résultat à l'arrivée. C'est une semaine à trois matchs, on a gagné les deux derbys, il y a peut-être eu une forme de décompression. Je ne sais pas, je cherche des explications. On a une moyenne d'âge plus élevée que l'équipe de Reims, peut-être qu'on l'a payé en termes de récupération. C'est une bonne claque, comme ça arrive dans une saison. A nous de repartir maintenant. On en avait déjà pris à Monaco et à Paris, et c'est plutôt anormal une telle différence entre les matches à domicile et à l'extérieur.»
AFP

Reims-Signorino: "Une semaine exceptionnelle"

Le Stade de Reims a signé la plus large victoire de sa saison contre Bastia (4-2), samedi soir, dans le cadre de la 12e journée de Ligue 1. Satisfait par la prestation de son équipe, Franck Signorino a néanmoins montré son intention de se tourner rapidement vers le déplacement à Lorient. "Plus que le score, c’est la manière : on s’est fait plaisir ce soir, a avoué le latéral gauche âgé de 32 ans au micro de BeIn Sport. On a su réagir. Cette semaine est exceptionnelle, on se cale dans la première moitié du tableau. Il ne faut pas s’endormir, il faut continuer. On se prépare dès maintenant pour appréhender le match à Lorient." Lancés le week-end dernier par le succès acquis au Vélodrome (2-3), les Rémois occupent désormais la sixième place de la Ligue 1 à égalité de points avec l’OM. Leur bonne forme en championnat avait entretemps été confirmée en Coupe de la Ligue par une victoire de prestige signée contre Monaco (1-0), mercredi dernier en 16e de finale.

L1/SCB

Mardi 05 Novembre 2013

HANTZ : "REIMS, C'EST LA DEUXIÈME ÉQUIPE DU MOMENT"


Lors du point presse effectué dans la journée, l'entraîneur de Bastia Frédéric Hantz a fait son autocritique et s'est montré élogieux avec Reims (6e), l'équipe en forme du moment qui a fait chuter le Sporting 2-4 samedi dernier : "je pense qu'un entraîneur doit partager les victoires et assumer les défaites [...] J'entends les gens qui me disent que Reims, ce n'est pas Paris. C'est vrai, mais pour moi, dans la période actuelle, c'est la deuxième équipe de France. Ils ont battu Marseille, ils ont battu Monaco et ils nous en ont mis quatre à nous. Même s'ils ont eu de la réussite sur ce match..." Après deux victoires, le Sporting (13e) a connu un coup d'arrêt loin de ses terres et devra se reléver à Armand-Cesari samedi contre Rennes (20h). Un adversaire coriace mais proche au classement (8e). Rappelons que dans l'enceinte de Furiani, le SCB enchaîne les bonnes prestations et reste invaincu cette saison...

Reims: Avec les mêmes à Lorient

Vainqueur avec la manière de Bastia lors de son dernier match (4-2), le Stade de Reims, actuel sixième de Ligue 1, se déplace à Lorient samedi, à l'occasion de la 13e journée, avec les mêmes dix-huit joueurs. Diego (genou), Conte (ischios), Charbonnier (mollet), Turan (cuisse) et Malherbe (côtes) sont à l'infirmerie. Le groupe rémois: Agassa, Placide – Glombard, Tacalfred, Weber, Mandi, Fofana, Signorino – Krychowiak, Albaek, Devaux, Oniangue, Ca, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Courtet.

résultats au 9 novembre 2013

FC LORIENT 0 - 0 STADE DE REIMS

Stade duMoustoir.
Spectateurs : 12 753.
Arbitre : S. Desiage.
Avertissement - Reims : Signorino (83).
Expulsion - Lorient : Barthelmé (72).
Lorient : Chaigneau - Baca, L. Koné,
Ecuele Manga (cap.), Guerreiro -
Monnet-Paquet (Pelé, 64), Jouffre,
Lautoa (Abdullah, 46), Barthelmé -
A. Traoré (S. Diallo 77), Aboubakar.
Entraîneur : Christian Gourcuff.
Reims : Agassa - Mandi, Weber (Fofana, 27),
Tacalfred (cap.), Signorino - A. Devaux,
Krychowiak, Oniangue (Albæk, 76) - Fortes,
de Preville, F. Ayité (Atar, 64).
Entraîneur : Hubert Fournier.

Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : «On va retenir le point pris. On a assisté à un petit match de Ligue 1. Les conditions climatiques et le terrain synthétique ont beaucoup perturbé les vingt-deux acteurs. On a vu des passages où les deux équipes ne faisaient pas trois passes d'affilée. Dans mon for intérieur, je suis persuadé qu'il y avait mieux à faire ne serait-ce qu'en perdant 20 % de balles en moins. On a très bien défendu, c'est un point positif. L'autre, c'est que l'on laisse Lorient à huit points derrière nous. Dix-neuf points, c'est quelque chose d'intéressant. Même avec un nul à l'extérieur, j'ai vu un vestiaire déçu. On va s'attacher maintenant à bien préparer la réception de Paris dans quinze jours.»

Et si Reims refaisait le coup ?
Reims est la dernière équipe à avoir battu le Paris-SG, qu'il accueille ce samedi (17h00). Les Champenois espèrent rééditer leur petit exploit. Sauf que le contexte est différent.

Le Parisien Lucas Moura était bien entouré... (L'Equipe)










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Le 2 mars dernier, le Stade de Reims avait fait chuter le PSG (1-0), le futur champion de France, qui n’a d’ailleurs plus perdu depuis ce match où il était totalement passé au travers.  « On ne doutait évidemment pas nous serions les derniers à gagner contre eux, glisse le défenseur rémois Christopher Glombard, lequel s’était fait expulser. Nous avions fait un match plein, en faisant bloc défensivement et en exploitant au mieux nos coups de pied arrêtés. Et les Parisiens n’étaient pas tous très concernés...»

« Si nous voulons les perturber, il faudra être présent dans les secteurs. » Le souvenir de cette belle soirée hivernale n’a pas quitté la mémoire collective rémoise, et surtout pas celle d’Hubert Fournier, prompt à établir un parallèle entre le match de la saison dernière et celui de samedi. « Au mois de mars, le PSG s’était déplacé entre deux rencontres de Ligue des Champions (Ndlr : contre Valence CF, 16es de finale). Cette fois-ci, il arrive après une trêve internationale et quelques jours avant d’affronter l’Olympiakos (le 27 novembre), rappelle l’entraîneur champenois. Je pense que cette fois-ci, les Parisiens seront à 100 %, ce qui n’avait pas été le cas en mars, notamment en début de rencontre. » Et surtout, le PSG a vieilli de huit mois, un viatique dont l’évidence saute aux yeux de Glombard. « Les joueurs se connaissent beaucoup mieux, leur collectif est plus fort. Si nous voulons les perturber, il faudra être présent dans les secteurs. »

Fournier : « Avoir le ballon le plus souvent possible »

Depuis Reims, personne n’a donc trouvé la formule idoine pour faire chuter le club de la capitale. « Et pourtant, ses adversaires ont tout essayé : rester derrière, se montrer très agressif… Cette équipe a très peu de points faibles, intervient Fournier. Quant à nous, nous devrons être au mieux sur nos points forts, tenter d’avoir le ballon le plus souvent possible. » Et Glombard rappelle à toutes fins utiles que Reims est un tombeur multirécidiviste de grosses écuries Lyon (2-1), Lille (2-0), Marseille (3-2) en Ligue 1 et Monaco (1-0) en Coupe de la Ligue après avoir accroché le club de la Principauté (1-1) en Championnat. « Contre le PSG, il faudra éviter de subir, de trop les regarder jouer. » Exactement ce que les Champenois avaient fait il y a huit mois...