STADE DE REIMS A TOUT JAMAIS..ENCORE UN MEDITERRANEEN !! DE COEUR

Un bisou comme ça ?

oui ca me semble bien ...
meme si ce n'est pas tout à fait mon coloris de rouge à levres

les équipes probables ce soir à 20 h

Reims - Laval
Stade Auguste-Delaune
Arbitre : M. Bastien
Reims : Liébus (cap.) - Mandi, Barbier, Weber, Tacalfred - Ghislofi, Krychowiak, Gamiette - Fortes, Fauré, Toudic
Laval : Balijon - J. Stinat, Puig, Chapuis (cap.), Talmont - Lamatina, Losilla, Levrat, Créhin - Gimbert, Lebouc

equipes probables ce soir pour un derby champenois pour le maintien


Groupe de Reims : Liébus, Martin, Tacalfred, Glombard, Fontaine, Mandi, Barbier, Weber, Ichane, Ghisolfi, Deaux, Gamiette, Krychowiak, Fortès, Fauré, Gamboa, Toudic.

Groupe de Troyes : N.C

Reims décolle enfin
Reims décroche sa première victoire de la saison lundi face à un FC Nantes rapidement réduit à dix (2-1). Metz est la nouvelle lanterne rouge.


Toudic et Gamiette, les deux buteurs de la victoire de Reims.


La fébrilité collective perceptible dans le dernier quart d'heure au sein de l'équipe rémoise montre à quel point la lanterne rouge de L2 avait besoin d'une victoire pour lancer sa saison. Souvent piégée dans les dernières minutes depuis la reprise, la formation d'Hubert Fournier a enfin décroché une victoire, après sept journées, en dominant le FC Nantes (2-1) devant son public. Ajoutés aux trois matches nuls, ces trois points permettent au Stade d'abandonner la lanterne rouge à Metz, la première équipe qui sera sur son chemin (vendredi, 20h00), et de pointer à la 18e place, à une longueur du premier non-relégable.

Le bilan comptable positif ne doit pas occulter le fait que cette victoire a été acquise face à une formation nantaise réduite à dix dès la demi-heure de jeu après un deuxième carton jaune adressé au milieu de terrain Djilobodji. Jusque-là, Reims s'était certes créé de belles occasions (tête de Krychowiak, 9e) mais avait été piégé quelques minutes plus tard : un peu naïf, le latéral droit Mandi a mal protégé un ballon destiné à sortir en six-mètres et laissé Carole centrer pour Djordjevic, qui a ouvert le score du plat du pied (18e).

A onze contre dix, Reims a progressivement marqué son empreinte sur la rencontre et a fait la différence, notamment grâce à Julien Toudic : juste avant la pause, une frappe trop croisée et écrasée de sa part s'est muée en passe décisive pour Thomas Gamiette (44e). A l'heure de jeu, il a finalement concrétisé une belle contre-attaque de son équipe, d'un pointu tiré du point de penalty (64e). Invaincu jusque-là à l'extérieur, Nantes reste bloqué dans la seconde partie du tableau, à cinq points du podium mais à seulement deux points de la zone rouge. Le prétendant à la montée va déjà devoir regarder derrière lui.

36 ANS ET 36 CHANDELLES

C'était dans l'air, c'est officiel depuis ce lundi. Sans club depuis son aventure à Metz en juin dernier, Frédéric Biancalani (36 ans) a paraphé un contrat d'un an en faveur du Stade de Reims.

bataille pour le maintien pour deux ex Gloires de la L1
la crise economique y est pour quelque chose
les équipes probables 20h00

Reims (19e) - AC Ajaccio (14e)
Stade Auguste-Delaune
Arbitre: M. Djouzi
Reims : Liébus (cap.) - Glombard, Barbier, Aubey, Biancalani - Krychowiak, Ghisolfi, R. Amalfitano - Fortes, Ramaré - Faure
AC Ajaccio : Debes (cap.) - Cilia, Maire, Poulard, D'Ulivio - Kinkela, Pierazzi, Lasne, Begeorgi - Rivière, Socrier

vendredi (20h00) d 13e journée de Ligue 2. équipes probables

Reims (18e) - Angers (11e)
Stade Auguste-Delaune
Arbitre : M. Cotrel
Reims : Liébus (cap.) - Glombard, Aubey, M. Fonataine, Ichane - Fortes, Krychowiak, Ramaré, Gragnic - Fauré, Toudic
Angers : Malicki (cap.) - Leray, Hénin, Gillet, Djellabi - Arnaud, Stéphan, Auriac, Diers - Doré, Keseru

l'infirmerie du stade de reims est bien garnie
Vincent Gragnic (tendon d'Achille) est incertain,
Florent Ghisolfi (plâtré à la cheville),
Matthieu Fontaine (entorse du cinquième orteil),
Gaëtan Courtet (double entorse de la cheville),
Anthony Weber et Jonnhy Nguyen (reprise) forfaits

Coupe de FranceMontpellier sabré d’entrée !


C’est déjà fini ! Comme la saison passée, où il s’était incliné à Grenoble (3-2), Montpellier s’est fait sortir d’entrée dans cette Coupe de France. Cette fois, l’adversaire n’évolue pas en Ligue 1 mais en bas de Ligue 2. Le Stade de Reims n’a pas volé sa qualification. Il s’est montré solide, patient et réaliste, convertissant une de ces trois ou quatre occasions en seconde mi-temps.

Montpellier s’est usé sur ce bloc, laissant passer quelques occasions en première mi-temps avant de tomber dans une véritable stérilité offensive qui le replace face à ses soucis de fin d’année. Avec un sixième match sans victoire toutes compétitions confondues, le MHSC va devoir se remettre dans une dynamique positive dès samedi en Ligue 1 face à Valenciennes, à La Mosson.
Les Montpelliérains avaient
pourtant pris le match par le bon bout en monopolisant le jeu et en imposant leur circulation de balle face à une équipe rémoise attentiste.

Après une frappe à ras de terre de Marveaux captée sans problème par Agassa (11e), les protégés de René Girard se créaient leur meilleure occasion à la 22e minute avec un déboulé côté gauche de Giroud, qui servait Camara seule au point de penalty. Mais l’attaquant expédiait sa frappe du gauche au-dessus.

Sortis d’une période de domination stérile, les Héraultais s’exposèrent à la réaction des joueurs rémois. Et le pire faillit se produire lorsque Amalfitano grilla la politesse à Collin côté gauche pour placer un extérieur du pied juste à côté du but de Laurent Pionnier.
Un avertissement sans frais qui incita les Montpelliérains à resserrer les lignes. Et à achever cette première période sur une “mine” de Collin qui obligea Agassa à repousser des deux poings.

À la reprise, Montpelliérain reprenait la direction des opérations. Un coup franc d’Estrada trouvait la tête d’El-Kaoutari, non cadrée (49e). Un enchaînement contrôle-frappe du gauche d’Aït-Fana obligea encore le gardien champenois à sortir le grand jeu.
Un sauvetage de Collin (59e), un coup de tête au-dessus de Fauré (63e) illustraient néanmoins la réaction rémoise.
Malgré le remplacement de Giroud par Kabze, Montpellier bafouillait encore son football et Tacalfred, seul sur la droite, servait Amalfitano pour une frappe du droit qui trompait Pionnier (77e).

En plus, Kabze se blessait et devait laisser sa place à Lacombe. Replacé dans l’axe, Camara était tout prêt d’égaliser. Sur une longue ouverture d’Estrada, il devançait Agassa de la tête mais voyait ensuite sa frappe du droit contrée au dernier moment par Aubey (82e).

Un dernier coup franc d’Estrada était capté sans problème par Agassa. Montpellier quittait la Coupe sans gloire. Et sans avoir donné l’impression de vouloir vraiment s’y investir.

REIMS 1
MONTPELLIER 0
Stade Auguste-Delaune.
Mi-temps : 0-0.
Temps frais. Arbitre : M. Turpin.
Spectateurs : 5 018
But pour Reims : Amalfitano (77e)
Avertissements à Reims : Barbier (19e) ; à Montpellier : El Kaoutari (72e)
REIMS : Agassa - Tacalfred, Barbier (cap), Aubey, Hichane - Krychowiak, Deaux (Ramaré, 86), Fortes, Gamiette, Amalfitano (Gamboa, 80) - Fauré (Kodjia, 90+1)
Entraîneur : H. Fournier.
Montpellier : Pionnier - Collin, Stambouli, El-Kaoutari, Jeunechamp, Marveaux, Saihi (Dernis, 84), Estrada - Camara, Giroud (Kabze, 62 puis Lacombe, 79), Aït-Fana
Entraîneur : R. Girard

MAILLOT MYTHIQUE QUE JE REVERRAIS DANS 2 SEMAINES A ISTRES



15 janvier 2011
Reims lutte à tous les niveaux
Un classement inquiétant et des supporters en colère, c'est dans un climat pesant que Reims affronte Le Mans (15h).


Grzegorz Krychowiak et Reims entament la deuxième partie de saison
Un classement inquiétant et des supporters en colère, c'est dans un climat pesant que Reims retrouve le Championnat, samedi face au Mans (15h00).

Le paradoxe est flagrant. Avant de battre successivement Evian Thonon-Gaillard (2-1) fin 2010, et Montpellier en Coupe de France (1-0) pour entamer 2011, jamais cette saison Reims n'avait encore obtenu deux victoires consécutives. Le moral devrait être beau fixe, pourtant c'est loin d'être le cas. Englués dans la lutte pour le maintien, les Rémois abordent la deuxième moitié de saison avec fébrilité. «Malgré nos deux résultats positifs, notre position (18e) reste inconfortable. On ne va pas s'enflammer, prévient l'entraîneur Hubert Fournier. Avant de croire qu'on est sortis de l'ornière, il faut enchaîner de belles performances.» Et encore, car même lorsque le résultat est là, certains ne sont toujours pas contents.

En d'autres circonstances, la qualification en Coupe contre un club de Ligue 1 aurait dû ravir Auguste-Delaune. Pendant tout le match pourtant, les supporters ont réclamé la démission des dirigeants. Absence de projet sur le long terme, changements incessants d'entraîneurs, incapacité à conserver les meilleurs joueurs ou encore formation inexistante, tels sont les nombreux reproches formulés à l'égard du président Jean-Pierre Caillot

. Des motifs suffisants selon eux pour ne plus soutenir l'équipe et manifester devant la Mairie, comme ils l'ont fait avant Noël. En réponse à quoi, le patron s'est expliqué. Pas question pour lui de démissionner. «Notre projet est très clair : continuer à structurer le club pour l'amener en Ligue 1, a-t-il rappelé la semaine dernière dans L'Union. Il faut regarder où était le Stade il y a dix ans : en CFA 2 !»

Dans ces conditions, pas facile pour les joueurs de se concentrer sur l'essentiel. «Si les supporters ont des choses à reprocher, ce n'est pas à nous. Sur le terrain, on doit faire abstraction de ces revendications, estime Frédéric Biancalani. Nous, les joueurs, on essaye de faire le maximum pour le club. L'ambiance est là. On a un groupe qui vit relativement bien. C'est aux personnes concernées de trouver les bonnes paroles». Outre la «régularité» qui lui fait défaut, le Stade de Reims cherche aussi et surtout l'adhésion de tous. «On souhaiterait avoir l'ensemble des énergies positives pour pouvoir s'en sortir, explique Fournier. On attend et on souhaite le soutien de notre public». Face au Mans (2e), «une autre équipe de Ligue 1 qui joue en Ligue 2», ce ne serait pas de trop

Après Henri Saivet prêté du côté d'Angers, serait-ce au tour de Floyd Ayité de quitter les Girondins de Bordeaux ? C'est en tout cas le souhait du joueur. «J'aimerai bien, nous a-t-il confirmé ce vendredi au téléphone. Il y a des pourparlers, mais rien de concret pour l'instant. C'est au club de décider. J'espère que cela va se faire. Un prêt, ça me permettrait de jouer plus parce qu'à Bordeaux, c'est un peu bouché. Il faut attendre qu'il y ait une arrivée. Mais je suis toujours confiant. Il faut rester positif. J'ai envie de progresser.» Aux dernières nouvelles, Reims (18e de Ligue 2) serait toujours intéressé pour accueillir le jeune attaquant togolais de 22 ans. -

site stade de reims
sondage

Aimez-vous les matches le samedi après-midi ?
J'adore : 19 %
J'apprécie : 40 %
Bof : 12 %
Je n'aime pas : 17 %
Je déteste : 9 %
Sans opinion : 3 %
Nombre de personnes sondées : 944

UEFA
Platini va récompenser Kopa

Le 5 février prochain, le président de l'UEFA, Michel Platini, se rendra à Reims pour donner le «Prix du président de l'UEFA 2010» à Raymond Kopa pour l'ensemble de sa carrière.
L'ancien attaquant international français d'Angers, Reims et du Real Madrid,
sacré Ballon d'Or France Football en 1958, succèdera à Alfredo Di Stefano (2007), Bobby Charlton (2008) et Eusebio (2009).

Stade de Reims / Gamiette enfin libéré mercredi 19 janvier 2011 à 10H37

Plus d'impact physique dans les duels, c'est selon Thomas Gamiette, l'une des recettes de la réussite stadiste.


REIMS (Marne). Le Guadeloupéen a pris une part importante dans les trois récentes victoires stadistes. Comme quelques autres de ses coéquipiers, il a gravi un échelon.

APRÈS avoir, au creux de l'automne, subi le contrecoup de son bon début de saison, conséquence de sa blessure à la cheville le 12 octobre (entorse avec distension d'un ligament), Thomas Gamiette est revenu à son meilleur niveau. Ses dernières prestations, convaincantes, font désormais de lui un élément important du milieu de terrain stadiste.
Aux côtés de Grzegorz Krychowiak et Lucas Deaux notamment, l'ancien relayeur de l'Entente Sannois-Saint-Gratien fait preuve, depuis trois matches, d'une grande efficacité dans la récupération, mais aussi dans l'élaboration des offensives rémoises. « Nous sommes plus présents physiquement », assure-t-il.

« La trêve nous a fait du bien »

Il est devenu un atout supplémentaire dans le jeu beaucoup plus fluide des Rouge et Blanc.
Thomas, avec ce succès face au Mans, vous confirmez vos deux bonnes performances précédentes…
« Et ça fait du bien. Concernant ce match contre Le Mans, je pense qu'après tous les efforts consentis, notre victoire est méritée. Nous avons été solides défensivement et nous avons su concrétiser nos occasions. C'était notre principal défaut, on constate que nous sommes en progrès, que les corrections apportées à l'entraînement commencent à porter leurs fruits ».
La bonne nouvelle vient du fait que vous êtes enfin réguliers…
« Je vous dirai ça le mois prochain. Je pense que la trêve nous a fait du bien. Elle nous a permis de prendre conscience de nos lacunes de la phase aller. Si on réussissait à faire de belles choses sur le terrain, à l'arrivée, on ne gagnait pas. On a redoublé d'efforts, on a bien bossé durant le stage de Marcoussis et les premiers bons résultats nous ont mis en confiance. Tu sais, quand tu enchaînes les victoires, tu travailles mieux et dans la sérénité ».
Au milieu du terrain, on vous sent plus calme, plus lucide aussi…
« Avec mes coéquipiers, on se parle beaucoup, on s'aide en permanence. Contre Montpellier, après l'expulsion de Lucas (Deaux), avec Grzegorz (Krychowiak) ont s'est bien réparti la tâche. En fait, notre boulot n'a pas changé. Je pense surtout que nous mettons un peu plus d'intensité dans les duels. Nous avons compris qu'il nous fallait élever notre niveau physique pour exister. En Ligue 2, l'agressivité est indispensable. On doit être prêts à engager le combat d'entrée. C'était d'ailleurs l'une de nos faiblesses ».
Il faudra aussi maintenir cette intensité jusqu'au bout. N'allez-vous pas laisser trop de forces en Coupe de France ?
« Il ne faut surtout pas se poser ce genre de questions. Un beau parcours en Coupe ne pourra que nous aider à cultiver cet élan. L'objectif demeure la qualification à Clermont. Nous avons une revanche à prendre après la claque reçue en décembre à domicile. Ça nous ferait du bien d'effacer cet affront. Ça ferait également du bien au club, car c'est toujours gratifiant de disputer un 8e de finale ».

commission de discipline de la Ligue LIGUE 2

Un match ferme + un match avec sursis :
Vincent Gragnic (Stade de Reims)

FOOT / Ligue 2 / Harvey : « L'attente de la L1 est forte à Reims »

Fabrice Harvey (à droite) et les dirigeants rémois



se sont démenés sans compter pour accueillir Raymond Kopa, Michel Platini et autre Just Fontaine samedi dernier à Reims Fabrice Harvey est le régional de l'étape avant le derby. Le Troyen s'est converti à la religion rémoise, lui le directeur commercial du Stade de Reims

Né à Troyes en janvier 1965, Fabrice Harvey a grandi dans la cité tricasse et joué à deux reprises à Troyes. La première fois ? Au TAF, puis au PL Foot, juste avant d'émigrer à l'ECA Chaumont (1985-1988), lançant ainsi sa carrière professionnelle. « Au PL, je me souviens, Angel Masoni était notre président et Daniel, son fils, dirigeant », se remémore celui qui, après avoir fait les beaux jours de l'US Orléans (1988-1992) est revenu à Troyes, tout au moins à l'ATAC, le temps d'une saison 1992-1993 marquée par une 6e place dans le groupe Est de Division 3. C'était l'époque des Tingry, Alonzi, Monier, Paternoga, Mouyémé…


En 97, seul salarié du Stade avec Olivier Létang


Fabrice Harvey poursuit sa carrière professionnelle à Saint-Brieuc (1993-1995) et Épinal (1995-1997). En 1997, à 32 ans passés, le Troyen songe à sa reconversion. Ça tombe bien, le Stade de Reims, dont l'équipe phare évolue en… CFA2, lui offre une place de titulaire et un job au sein du club. « Je suis entré au Stade en même temps qu'Olivier Létang. En 97, nous étions les deux seuls salariés d'un club présidé à l'époque par Christophe Chenut et dont le budget tournait autour de 350 000 €. » Aujourd'hui, le club rémois compte environ 70 salariés (effectif pro

compris) et dispose d'un budget tournant autour de 11 millions d'euros. Aussi, au fil des ans, Olivier Létang est devenu directeur général et Fabrice Harvey, directeur commercial. « Le service commercial du Stade, c'est trois personnes chargées de récupérer 2,8 millions d'euros de sponsoring. On gère 400 clients en loges, 500 VIP, ou, dit autrement, 300 entreprises, à chaque rencontre. Ici, dans la Marne, c'est intéressant d'un point de vue économique. Le tiers des loges est réservé par les maisons de champagne. Le public suit aussi car on fait entre 8 000 et 10 000 à chaque match à la maison. Vous savez, l'attente de la L1 est forte ici à Reims. » Contrairement à Sedan ou Troyes, qui ont goûté relativement récemment à l'élite, Reims, lui, fait preuve de patience depuis… 1979. « Oui, Sedan et Troyes ont joué il y a peu en L1. Pourquoi pas nous ? En championnat, on a pris un mauvais départ qui nous a mis dans le mauvais sens. La Coupe de France fait du bien à tout le monde. »
Samedi, Fabrice Harvey prendra une route qu'il connaît bien. « J'y viens voir régulièrement ma mère, mes frères… Sans oublier mon neveu Alexandre, le fils de Pascal, qui évolue avec les 17 ans nationaux de l'Estac, au poste de latéral droit, comme moi (N.D.L.R. : Le mois dernier, Alexandre Harvey a passé deux jours à Clairefontaine avec les meilleurs de sa

catégorie).

Ligue 2 / Vite, le Stade de Reims doit passer à autre chose
Publié le mardi 15 février 2011 à 10H58


À Troyes, Eric Marester et Stéphen Drouin ont souvent coupé la route d'Odaïr Fortes, peu inspiré lui aussi.


REIMS (Marne). Après un week-end de repos, les Stadistes ont repris le travail hier après-midi, avec l’envie d’oublier rapidement leur non-match de samedi.


https://www.dailymotion.com/video/xh0iek_troyes-reims_sport#from=embed&start=6

PARTAGÉS entre incompréhension et déception, les Stadistes ont dû drôlement cogiter durant le week-end. Car chez eux, aucun signe avant-coureur n’avait été détecté avant ce naufrage physique, collectif et psychologique sur la pelouse de leurs voisins troyens.
Performant ces derniers temps à son nouveau poste de défenseur axial et capitaine intérimaire, Mickaël Tacalfred était, comme pratiquement tous ses coéquipiers, incapable d’expliquer le décalage constaté entre les intentions et les actes. «On avait bien préparé ce rendez-vous et on était motivés. Bizarrement, nous avons été incapables d’agir, voire de réagir».

Un simple accident?
Comme inhibés par l’enjeu, les Rémois, apathiques, ont subi d’entrée la pression adverse. «On ne peut pas se permettre, notamment lors d’un derby, de manquer à un tel point d’agressivité, d’envie, râlait Hubert Fournier. Nous n’avons pas le droit d’être dominés dans la combativité par une équipe troyenne qui nous est déjà supérieure sur le plan technique».
L’explication de ce match raté tient aussi au fait qu’aucun des leaders habituels n’a su élever son niveau de jeu pour sortir le reste du groupe de la léthargie dans laquelle il s’était enfoncé. Que pouvait espérer le Stade dans l’enceinte troyenne avec des prestations aussi médiocres des Barbier, Biancalani, Gamiette, Amalfitano et Fortes?
«On a constaté d’entrée que ça allait être compliqué, racontait Thomas Gamiette. Nous étions en retard dans le pressing». Julien Toudic ne disait pas autre chose: «On ne se trouvait pas, donc on perdait trop vite le ballon. C’était le meilleur moyen de se mettre en difficulté».
D’aucuns expliquaient que ce renoncement collectif trouverait son origine dans l’accumulation d’efforts consentis après les trois matches de haut niveau disputés en une semaine.
Mais au-delà de la défaite, c’est l’état d’esprit affiché qui fait débat. «A chaque fois qu’on dispute un match charnière pour nous permettre de respirer, on le rate, a rappelé le président Caillot, plutôt en colère à la mi-temps. On n’a pas le droit d’aborder les matches de cette manière. C’est une grosse déception, on sait que ce sera dur jusqu’au bout, mais si on continue à jouer de la sorte, ça ne nous facilitera pas la tâche».
À croire certains joueurs, il ne pourrait s’agir que d’un accident. «Si on bat Vannes vendredi, on pourra parler de faux pas. Ceci dit, il faut admettre que Troyes a une meilleure équipe que nous».
Demain sera un autre jour. Après avoir tiré les enseignements de cet inattendu assoupissement, les Stadistes devraient retrouver leur allant. Ont-ils un autre choix?

bataille pour le maintien
reims sur ce que j'ai vu c''est du solide
vannes va souffrir
Reims - Vannes : Les groupes
Match très important pour le maintien ce soir entre le Stade de Reims et Vannes.
Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Glombard, Fontaine, Barbier, Tacalfred, Ichane, Krychowiak, Gamiette, Deaux, Gragnic, Courtet, Gamboa, Toudic, Fortès, Thonnel.

Le groupe de Vannes : Gauclin, Gnanhouan - Duplus, Leugueun, Brillault, Faivre, Mézague, Hervé, Bouard, Macquet, Quintin, Mohamed, Martot, Bangoura, Loval, Reset.

PREVISIBLE
Reims 3 - 1 Vannes

aladin a écrit:bataille pour le maintien
reims sur ce que j'ai vu c''est du solide
vannes va souffrir
Reims - Vannes : Les groupes
Match très important pour le maintien ce soir entre le Stade de Reims et Vannes.
Le groupe de Reims : Agassa, Liébus - Glombard, Fontaine, Barbier, Tacalfred, Ichane, Krychowiak, Gamiette, Deaux, Gragnic, Courtet, Gamboa, Toudic, Fortès, Thonnel.

Le groupe de Vannes : Gauclin, Gnanhouan - Duplus, Leugueun, Brillault, Faivre, Mézague, Hervé, Bouard, Macquet, Quintin, Mohamed, Martot, Bangoura, Loval, Reset.

Vannes en National tout comme Grenoble je pense que les carottes sont cuites... REIMS qui est sur une bonne dynamique avec sa recrue Maxime Courtet !

j'ai vu un tres bon cru remois à istres qui a fait souffrir le fciop
c'est clair que grenoble est mal en point et pourrait descendre plus bas que le national
par contre vannes n'est pas completement decroché meme s'ils sont en difficulté

olympien13 a écrit:Vannes en National tout comme Grenoble je pense que les carottes sont cuites... REIMS qui est sur une bonne dynamique avec sa recrue Maxime Courtet !

Ligue 2 / Reims s'impose face à Vannes
Publié le samedi 19 février 2011 à 08H30


Grâce à un précieux succès obtenu face à Vannes, le Stade de Reims s'est un peu éloigné de la zone rouge. Le voilà 15e, avec trois points de plus que le 18e, Metz, son prochain visiteur.

REIMS. Le Stade de Reims bat Vannes Olympique Club 3-1 (2-0). Temps froid. Pelouse inégale. Bon éclairage. 7.767 spectateurs. Arbitre : M. Guillard. Buts : pour Reims, Courtet (22e), Gamboa (24e), Fortes (91e) ; pour Vannes, Hervé (52e). Avertissements :au Rémois, Tacalfred (66e) ; aux Vannetais, Leugueun (61e), Duplus (65e) REIMS : Agassa ; Glombard, Tacalfred (cap), Fontaine, Ichane ; Deaux (Gamiette, 15e) Krychowiak ; Fortes, Gragnic (Thonnel, 87e), Courtet ; Toudic (Gamboa, 12e).

VANNES : Gauclin ; Duplus, Leugueun (cap), Brillault, Faivre ; Ben Mohamed (Martot, 79e), Hervé (Bouard, 84e), Mézague ; Reset, Bangoura (Macquet, 73e), Loval.

8e : alerté par Tacalfred, Fortes adresse un centre tendu que Courtet ne peut contrôler.

10e : coupe franc de Faivre, reprise de la tête lobée de Loval, au-dessus.

REIMS 1 - VANNES 0

22e : parti en contre-attaque, Gamboa trouve Gragnic sur le côté gauche, le centre parfait de ce dernier atterrit sur l'intérieur du pied gauche de Courtet qui prend Gauclin à contre-pied.

REIMS 2 - VANNES 0

24e : corner de Gragnic que Fortes laisse passer dans la surface, Brillault renvoie sur... Gamboa dont la reprise, légèrement déviée, termine sa course dans le petit filet.

27e : de 25 mètres, Gamboa prend sa chance. Son puissant tir du gauche est repoussé des deux points par Gauclin.

44e : tir enroulé du gauche de Mohamed, Agassa doit se détendre pour détourner en corner.

45e+1 : hésitation d'Ichane devant Mohamed, ce dernier dribble Agassa, mais ne parvient pas à cadrer son tir du gauche.

REIMS 2 - VANNES 1

52e : cup franc brossé du droit par Bangoura, le ballon est dévié de la tête par Loval, Hervé surgit au 2e poteau devant Glombard pour réduire la marque de la tête.

62e : centre de Faivre, Fontaine écarte le ballon de la t^pete vers Reset dont la reprise est bien captée par Agassa.

74e : vaine tentative de lob de Reset. 80e : corner de Macquet dévié au 2e poteau où Glombard sauve devant Hervé.

REIMS 3 - VANNES 1

90e + 1 : Gamiette trouve Thonnel qui élimine Martot avant d'ouvrir vers Courtet et Fortes. C'est ce dernier qui trompe Gauclin d'un tir du plat du pied droit.


video http://www.lunion.presse.fr/article/sports-region/ligue-2-reims-simpose-face-a-vannes

Ligue 2 / Gamiette, milieu stadiste: « Il faut oublier Troyes »
1 contribution Publié le jeudi 24 février 2011 à 10H15


Thomas Gamiette, très performant dans l'entre-jeu stadiste, ne pensera à Nice qu'à l'issue du match disputé demain à Nantes.


REIMS (Marne). Le milieu stadiste souhaite que son équipe tire les enseignements de son derby raté, pour ne pas rentrer bredouille de Loire-Atlantique, demain.

THOMAS GAMIETTE, le Stade de Reims alterne le bon à domicile avec le mauvais à l'extérieur. Comment expliquer ce paradoxe ?
« Jusqu'ici, c'est vrai, nous avons du mal à équilibrer notre jeu et nos performances à l'extérieur. Souvent d'ailleurs, et c'est le cas depuis le début de l'année, nous lâchons des points face à des concurrents directs. Nous devons nous remobiliser pour être plus solides à l'extérieur ».


« Nantes ? Un déclic »


Dès demain face à Nantes ?
« Nantes ne devrait pas entrer dans la catégorie des équipes à notre portée. C'est une formation bâtie pour l'accession, qui a connu quelques problèmes. Mais ça reste un redoutable adversaire ».


Pourtant, en gagnant demain, vous leur passez devant... « C'est vrai. Déjà, qu'on ne perde pas. Après, si on arrive à gagner, ça serait parfait. On conclurait ainsi février sur une bonne note.
Ce qui nous permettrait d'aborder le quart de finale contre Nice dans de bonnes dispositions psychologiques ».



À l'extérieur, le Stade reste sur une performance décevante à Troyes…
« Nous n'avons pas été bons et nous avons essayé de modifier notre comportement collectif face à Vannes. J'espère seulement qu'il s'agissait d'un accident et que nous n'allons pas refaire les mêmes erreurs à Nantes.
Il faut oublier Troyes et vite passer à autre chose parce que le championnat est encore long. On sait bien qu'on ne gagnera pas tous nos matches, mais essayons déjà de donner le maximum à chaque rendez-vous ».


Quel souvenir gardez-vous du match aller contre le FCN ?
« C'était notre première victoire de la saison. C'était un match télévisé. Nous étions dans une spirale négative où tout allait mal, où nous n'arrivions pas à prendre les points que nous méritions sur certains matches.
Notre succès sur les Nantais a déclenché chez nous cette conviction que nous pouvions battre n'importe quel adversaire, à la condition que nous mettions les ingrédients nécessaires pour y parvenir ».


« Engranger les points »


À cinq jours du choc contre Nice, ne craint-on pas la blessure, le carton rouge qui vous priverait de la fête ?
« Bien sûr que tout le monde a envie de jouer un tel match. Mais on sait aussi que, pour nous, le plus important reste le championnat. Si nous n'arrivons pas à capitaliser les points le plus rapidement possible, on va se mettre en difficulté et on aura encore plus la pression. La Coupe de France reste une étape exceptionnelle. L'aventure peut se poursuivre ou s'arrêter».