RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
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banjo
cannelle
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
Merci CANNELLE
JOYEUX NOEL A TOI ET A TA FAMILLE
JOYEUX NOEL A TOI ET A TA FAMILLE
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
Joyeux noel a cannelle et à vous tous
banjo- Messages : 920
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
merci banjo
meme les SDF ont leur noel
meme les SDF ont leur noel
aladin- Messages : 115038
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
TOURNEE DES MAISONS ILLUMINEES POUR NOEL
DANS LE GAILLACOIS ET L" ALBIGEOIS
DANS LE GAILLACOIS ET L" ALBIGEOIS
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
CHANGEMENT DE REGLAGE DU PHOTOGRAPHE ALADINE
NON EFFECTIVEMENT C MIEUX COMME CA
INTELLIGENT .....CET APPAREIL
NON EFFECTIVEMENT C MIEUX COMME CA
INTELLIGENT .....CET APPAREIL
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
VOILA PARTONS DANS LE GAILLACOIS
POUR CHANGER DE MAISON..........
DES INNOVATIONS ARTISTIQUES.
POUR CHANGER DE MAISON..........
DES INNOVATIONS ARTISTIQUES.
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
UN GRAND MERCI
A LA PHOTOGRAPHE ALADINE ..LA REINE DE NOËL
AUJOURD'HUI
TOURNEES DES EGLISES
ET DES CRECHES DANS LE CORDAIS ............SUR CIEL
MERCI MON DIEU
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
BIENTOT CE SERA NOEL CHAQUE JOUR DE L"ANNEE
IL SUFFIRA DE FAIRE QUELQUES EFFRACTIONS
POUR ALLER DANS CES PRISONS MODELES ........
IL SE DIRAIT MEME
QUE VOS FEMMES POURRAIENT
VOUS Y REJOINDRE
TOUS FRAIS PAYES PAR LA SOCIETE..
A QUOI BON TRAVAILLER ...EN DEFINITIVE..
Bientôt des "prisons sans barreaux" ?
Jean-Marie Bockel, secrétaire
d’État à la Justice, a reçu hier le
rapport de Paul-Roger Gontard,
doctorant de droit pénal à l’université
Aix-Marseille III. Le chercheur
avignonnais préconise
l’implantation d’au moins trois
ou quatre "prisons sans barreaux",
à l’image du centre pénitentiaire
de Casabianda (Haute-
Corse). Dans cet ancien pénitencier
agricole, les prisonniers,
principalement auteurs d’infractions
à caractère sexuel, purgent
leur condamnation en travaillant
aux champs. Ni murs ni
barreaux mais un contrat : au
moindre faux pas, retour à la case
prison.
Après avoir étudié l’historique
des prisons ouvertes et visité
plusieurs établissements à
l’étranger, Paul-Roger Gontard
livre, en 173 pages, les clés de la
réussite à la française. L’une
d’elles est la sélection des détenus
pouvant s’adapter à ce type
de détention. Le bon profil ?
"Les détenus dont l’objet de l’infraction
a disparu ou est inaccessible.
Ainsi les ’infracteurs’
sexuels intrafamiliaux, économiques
et financiers comme les
faux-monnayeurs, les auteurs
d’homicide sur conjoint seront
par définition des publics entraînant
un risque limité". À l’inverse,
d’autres types de détenus
semblent être exclus de ce régime
de détention: les personnes
ayant commis une infraction en
bande organisée ou les détenus
sujets à des "addictions non traitées".
Sur 43 338 condamnés,
Paul-Roger Gontard a recensé
4 221 personnes qui répondraient
à ce profilage.
Ce modèle carcéral semble ne
devoir prospérer qu’à la condition
d’une "répartition cohérente
d’établissements ouverts sur le
territoire", le lien avec les familles
demeurant le principal
gage de réinsertion. Leur localisation
doit relever, selon
Paul-Roger Gontard, d’un savant
dosage : ni trop près de
grands centres urbains, de gares,
d’aéroports ou d’une frontière
pour limiter les risques et
les tentations, ni isolés pour permettre
la venue des proches et
ne pas entraîner de surcoût de
transport.
Dans les prisons sans barreaux,
la contrainte, le "contrôle
social" remplacent les moyens
"passifs" de sécurité tels les miradors,
murs d’enceinte, filets anti-
évasion. La nuit, les cellules
sont fermées mais elles ne nécessitent
pas des barreaux.
L’auteur du rapport invite à privilégier
autour des lieux de détention
et des zones sensibles la
vidéosurveillance à détection
de mouvements, la détection infrarouge.
Pour l’intimidation…
Comme à Casabianda, le travail
doit être placé au coeur du
projet des prisons ouvertes. Les
métiers agricoles sont particulièrement
adaptés à ce mode de détention.
Parmi les suggestions :
aide à la fabrication de produits
issus de l’agriculture biologique,
entretien des chemins de
randonnée, protection contre
les feux de forêt, lutte contre les
pollutions maritimes mais également
des ateliers de numérisation
du patrimoine littéraire.
L’important, c’est que la prison
ne concurrence pas des productions
locales ou n’empiète
sur le marché du travail. C’est à
toutes ces conditions que la
France rejoindra peut-être ses
voisins européens. La Belgique
compte 7% de places de détention
sur le modèle de la prison
ouverte. En France, avec l’unique
centre de Casabianda, ce
n’est que 0,3%.
IL SUFFIRA DE FAIRE QUELQUES EFFRACTIONS
POUR ALLER DANS CES PRISONS MODELES ........
IL SE DIRAIT MEME
QUE VOS FEMMES POURRAIENT
VOUS Y REJOINDRE
TOUS FRAIS PAYES PAR LA SOCIETE..
A QUOI BON TRAVAILLER ...EN DEFINITIVE..
Bientôt des "prisons sans barreaux" ?
Jean-Marie Bockel, secrétaire
d’État à la Justice, a reçu hier le
rapport de Paul-Roger Gontard,
doctorant de droit pénal à l’université
Aix-Marseille III. Le chercheur
avignonnais préconise
l’implantation d’au moins trois
ou quatre "prisons sans barreaux",
à l’image du centre pénitentiaire
de Casabianda (Haute-
Corse). Dans cet ancien pénitencier
agricole, les prisonniers,
principalement auteurs d’infractions
à caractère sexuel, purgent
leur condamnation en travaillant
aux champs. Ni murs ni
barreaux mais un contrat : au
moindre faux pas, retour à la case
prison.
Après avoir étudié l’historique
des prisons ouvertes et visité
plusieurs établissements à
l’étranger, Paul-Roger Gontard
livre, en 173 pages, les clés de la
réussite à la française. L’une
d’elles est la sélection des détenus
pouvant s’adapter à ce type
de détention. Le bon profil ?
"Les détenus dont l’objet de l’infraction
a disparu ou est inaccessible.
Ainsi les ’infracteurs’
sexuels intrafamiliaux, économiques
et financiers comme les
faux-monnayeurs, les auteurs
d’homicide sur conjoint seront
par définition des publics entraînant
un risque limité". À l’inverse,
d’autres types de détenus
semblent être exclus de ce régime
de détention: les personnes
ayant commis une infraction en
bande organisée ou les détenus
sujets à des "addictions non traitées".
Sur 43 338 condamnés,
Paul-Roger Gontard a recensé
4 221 personnes qui répondraient
à ce profilage.
Ce modèle carcéral semble ne
devoir prospérer qu’à la condition
d’une "répartition cohérente
d’établissements ouverts sur le
territoire", le lien avec les familles
demeurant le principal
gage de réinsertion. Leur localisation
doit relever, selon
Paul-Roger Gontard, d’un savant
dosage : ni trop près de
grands centres urbains, de gares,
d’aéroports ou d’une frontière
pour limiter les risques et
les tentations, ni isolés pour permettre
la venue des proches et
ne pas entraîner de surcoût de
transport.
Dans les prisons sans barreaux,
la contrainte, le "contrôle
social" remplacent les moyens
"passifs" de sécurité tels les miradors,
murs d’enceinte, filets anti-
évasion. La nuit, les cellules
sont fermées mais elles ne nécessitent
pas des barreaux.
L’auteur du rapport invite à privilégier
autour des lieux de détention
et des zones sensibles la
vidéosurveillance à détection
de mouvements, la détection infrarouge.
Pour l’intimidation…
Comme à Casabianda, le travail
doit être placé au coeur du
projet des prisons ouvertes. Les
métiers agricoles sont particulièrement
adaptés à ce mode de détention.
Parmi les suggestions :
aide à la fabrication de produits
issus de l’agriculture biologique,
entretien des chemins de
randonnée, protection contre
les feux de forêt, lutte contre les
pollutions maritimes mais également
des ateliers de numérisation
du patrimoine littéraire.
L’important, c’est que la prison
ne concurrence pas des productions
locales ou n’empiète
sur le marché du travail. C’est à
toutes ces conditions que la
France rejoindra peut-être ses
voisins européens. La Belgique
compte 7% de places de détention
sur le modèle de la prison
ouverte. En France, avec l’unique
centre de Casabianda, ce
n’est que 0,3%.
aladin- Messages : 115038
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
un vrai pere noêl marchand d'illusions ce JEAN
Les semaines passent,
Auxerre n'est qu'à cinq points du leader marseillais, mais le discours de Jean Fernandez ne change pas d'un iota. Pour le technicien bourguignon, les choses sont claires
: «A Marseille, ils ont une autoroute devant eux
. L'OM va finir champion avec dix points d'avance», annonce-t-il
Fernandez joue-t-il la carte du bluff
pour mieux protéger ses joueurs ?
Réponse dès ce soir, à l'issue de la rencontre Toulouse-Auxerre, comptant pour la 34e journée de L1.
Les semaines passent,
Auxerre n'est qu'à cinq points du leader marseillais, mais le discours de Jean Fernandez ne change pas d'un iota. Pour le technicien bourguignon, les choses sont claires
: «A Marseille, ils ont une autoroute devant eux
. L'OM va finir champion avec dix points d'avance», annonce-t-il
Fernandez joue-t-il la carte du bluff
pour mieux protéger ses joueurs ?
Réponse dès ce soir, à l'issue de la rencontre Toulouse-Auxerre, comptant pour la 34e journée de L1.
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
LA RICHESSE...C ANECDOTIQUE
BEN MOINS JE PREFERE LES FEMMES PAUVRES...MAIS JEUNES
BEN MOINS JE PREFERE LES FEMMES PAUVRES...MAIS JEUNES
aladin- Messages : 115038
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
JE SUIS EN TRAIN DE PREPARER MES CADEAUX DE NOEL ET D ANNIVERSAIRE
FRANCK A EU ZAHIA POUR LE 7 AVRIL 2009 ET SES 26 ANS
VOUS VOILA CE QUE JE VOUS PREPARE..............
FRANCK A EU ZAHIA POUR LE 7 AVRIL 2009 ET SES 26 ANS
VOUS VOILA CE QUE JE VOUS PREPARE..............
bienvenou- Admin
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
EN REALITE ...NOUS NE SOMMES PAS TOUJOURS EGAUX
...
REPÉRER SUR LE TERRAIN
Le quartier est le premier lieu
d’errance des jeunes en rupture
Virginie Garcia est éducatrice
spécialisée à l’ADDAP (association
départementale pour le développement
des actions de
prévention) des XVe et XVIe arrondissements.
Son terrain
d’action c’est la rue, et plus largement
le quartier qui est, en règle
générale, le premier lieu
d’errance des jeunes en rupture.
Ceux dont elle s’occupe
n’ont pas plus de 16 ans. Ce
sont souvent des adolescents
qui n’entretiennent aucun lien
social du fait de leur rupture
avec le monde scolaire et familial.
A cela peuvent s’ajouter
des problèmes liés à la santé.
"Je travaille essentiellement
sur le secteur de la cité Consolat
et du Ruisseau Mirabeau. C’est
là que j’effectue le repérage des
adolescents. Une fois la démarche
d’approche faite, lorsque la
confiance s’est instaurée, on
peut leur proposer une orientation
vers la Maison de l’Apprenti.
La libre adhésion au projet
est primordiale", explique la jeune
femme. Présente sur le quartier
depuis cinq ans, elle peut assurer
un suivi sur le long terme,
mesurer les progrès accomplis
par les jeunes dont elle s’occupe.
Virginie Garcia, la rue est
son terrain d’action.
Point d’ancrage
"Les problèmes de nos jeunes
sont souvent multiples. Nous
proposons une alternative à
leur errance et la Maison de l’Apprenti
est un relais très intéressant.
Il y a très peu de structures
du genre en France et c’est une
chance qu’elle soit à proximité
des quartiers sur lesquels nous
travaillons", dit Virginie Garcia.
Pour elle, la Maison de l’Apprenti
représente un "point
d’ancrage" dans un parcours
très difficile. "Les ateliers qui
leur sont proposés donnent un
sens à leur apprentissage. A la
sortie de la Maison de l’Apprenti,
ils n’ont pas de diplôme qualifiant
mais ont acquis un petit savoir-
faire en maçonnerie, ferronnerie
ou menuiserie, qu’ils pourront
utiliser dans la famille ou
la communauté. Cela leur permettra
d’être valorisés aux yeux
des proches et les aidera à reprendre
un rythme de temps normal
car ils ont du mal à se plier
aux horaires. La Maison de l’Apprenti
est vraiment un relais important"
dit-elle encore.
Unpetit savoir faire qui pourra
servir de base à une formation
qualifiante pour un métier.
C’est là que la mission locale,
autre maillon de la prise en
charge, interviendra.
...
REPÉRER SUR LE TERRAIN
Le quartier est le premier lieu
d’errance des jeunes en rupture
Virginie Garcia est éducatrice
spécialisée à l’ADDAP (association
départementale pour le développement
des actions de
prévention) des XVe et XVIe arrondissements.
Son terrain
d’action c’est la rue, et plus largement
le quartier qui est, en règle
générale, le premier lieu
d’errance des jeunes en rupture.
Ceux dont elle s’occupe
n’ont pas plus de 16 ans. Ce
sont souvent des adolescents
qui n’entretiennent aucun lien
social du fait de leur rupture
avec le monde scolaire et familial.
A cela peuvent s’ajouter
des problèmes liés à la santé.
"Je travaille essentiellement
sur le secteur de la cité Consolat
et du Ruisseau Mirabeau. C’est
là que j’effectue le repérage des
adolescents. Une fois la démarche
d’approche faite, lorsque la
confiance s’est instaurée, on
peut leur proposer une orientation
vers la Maison de l’Apprenti.
La libre adhésion au projet
est primordiale", explique la jeune
femme. Présente sur le quartier
depuis cinq ans, elle peut assurer
un suivi sur le long terme,
mesurer les progrès accomplis
par les jeunes dont elle s’occupe.
Virginie Garcia, la rue est
son terrain d’action.
Point d’ancrage
"Les problèmes de nos jeunes
sont souvent multiples. Nous
proposons une alternative à
leur errance et la Maison de l’Apprenti
est un relais très intéressant.
Il y a très peu de structures
du genre en France et c’est une
chance qu’elle soit à proximité
des quartiers sur lesquels nous
travaillons", dit Virginie Garcia.
Pour elle, la Maison de l’Apprenti
représente un "point
d’ancrage" dans un parcours
très difficile. "Les ateliers qui
leur sont proposés donnent un
sens à leur apprentissage. A la
sortie de la Maison de l’Apprenti,
ils n’ont pas de diplôme qualifiant
mais ont acquis un petit savoir-
faire en maçonnerie, ferronnerie
ou menuiserie, qu’ils pourront
utiliser dans la famille ou
la communauté. Cela leur permettra
d’être valorisés aux yeux
des proches et les aidera à reprendre
un rythme de temps normal
car ils ont du mal à se plier
aux horaires. La Maison de l’Apprenti
est vraiment un relais important"
dit-elle encore.
Unpetit savoir faire qui pourra
servir de base à une formation
qualifiante pour un métier.
C’est là que la mission locale,
autre maillon de la prise en
charge, interviendra.
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
La pensée du jour
"Il ne faut pas avoir peur du bonheur.
C'est seulement un bon moment à passer."
Romain GARY,
"Il ne faut pas avoir peur du bonheur.
C'est seulement un bon moment à passer."
Romain GARY,
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
MAIS LE RESTE DE L"ANNEE LES RICHES SONT TROP AIDES
LE PREFET EN SON PALAIS
Prestige de la République oblige : bien
que très peu fonctionnel avec ses dorures
et ses salons lambrissés, le palais de
la préfecture (Bd Paul-Peytral) reste le
siège du représentant de l’État en région.
Le bâtiment, qui date de 1867, sera tout
de même délesté de quelques services.
MAIS LE RESTE DE L"ANNEE LES RICHES SONT TROP AIDES
LE PREFET EN SON PALAIS
Prestige de la République oblige : bien
que très peu fonctionnel avec ses dorures
et ses salons lambrissés, le palais de
la préfecture (Bd Paul-Peytral) reste le
siège du représentant de l’État en région.
Le bâtiment, qui date de 1867, sera tout
de même délesté de quelques services.
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
ou devant les fêtes estivales
aladin- Messages : 115038
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
LES 3 QUESTIONS à Christian PEYRE, chef de cuisine
"La cuisine, c’estcommel’amour, il faut
laisser s’exprimer la sensibilité de chacun
Une recette, faut-il la suivre à la lettre ou s'en
inspirer ?
S'en inspirer bien sûr ! La cuisine, c'est comme
l'amour, il faut se laisser aller, se laisser vivre et laisser
s'exprimer la sensibilité de chacun. Une recette,
c'est la base qui ensuite évolue selon les goûts et le
bagage de celui qui cuisine.
❚ Vous-même, vous créez des recettes ou vous
puisez dans les livres ?
C'est un peu des deux. Je fais comme tout le monde :
je lis, je m'inspire du potager, de la campagne, de photos...
La recette d'asperges que vous retrouverez
dans le hors-série est une création de A à Z ; la recette
est née chez mon paysan de Cabanes et je l'ai poussée
jusqu'au bout. Sur une route on voit un panneau, ensuite
on croise un troupeau de brebis et puis l'imagination
se met en marche, tout s'imbrique. Mais le
plus bel exercice, c'est lorsque le frigo est vide et qu'il
faut régaler sa famille ou ses amis.
❚ Qui sont les plus grands créateurs de recettes ?
Je pense à Escoffier évidemment, c'est lui qui a rédigé
à la fin du XIXe siècle la bible de la cuisine quoiqu'on
fasse, on y revient toujours, on retrouve toujours
chez lui les bases, principes et techniques de la
cuisine d'aujourd'hui. Je garde aussi en mémoire les
odeurs de la cuisine de ma grand-mère, des effluves
de pot-au-feu. Il y a aussi Robuchon, Bocuse, je les
vénère. Il y a un lien entre tout ça, non?
Christian Peyre, chef de cuisine au Domaine de Bournissac
montée d'Eyragues, 13550 Paluds de Noves - 04 90 90 25 25.
"La cuisine, c’estcommel’amour, il faut
laisser s’exprimer la sensibilité de chacun
Une recette, faut-il la suivre à la lettre ou s'en
inspirer ?
S'en inspirer bien sûr ! La cuisine, c'est comme
l'amour, il faut se laisser aller, se laisser vivre et laisser
s'exprimer la sensibilité de chacun. Une recette,
c'est la base qui ensuite évolue selon les goûts et le
bagage de celui qui cuisine.
❚ Vous-même, vous créez des recettes ou vous
puisez dans les livres ?
C'est un peu des deux. Je fais comme tout le monde :
je lis, je m'inspire du potager, de la campagne, de photos...
La recette d'asperges que vous retrouverez
dans le hors-série est une création de A à Z ; la recette
est née chez mon paysan de Cabanes et je l'ai poussée
jusqu'au bout. Sur une route on voit un panneau, ensuite
on croise un troupeau de brebis et puis l'imagination
se met en marche, tout s'imbrique. Mais le
plus bel exercice, c'est lorsque le frigo est vide et qu'il
faut régaler sa famille ou ses amis.
❚ Qui sont les plus grands créateurs de recettes ?
Je pense à Escoffier évidemment, c'est lui qui a rédigé
à la fin du XIXe siècle la bible de la cuisine quoiqu'on
fasse, on y revient toujours, on retrouve toujours
chez lui les bases, principes et techniques de la
cuisine d'aujourd'hui. Je garde aussi en mémoire les
odeurs de la cuisine de ma grand-mère, des effluves
de pot-au-feu. Il y a aussi Robuchon, Bocuse, je les
vénère. Il y a un lien entre tout ça, non?
Christian Peyre, chef de cuisine au Domaine de Bournissac
montée d'Eyragues, 13550 Paluds de Noves - 04 90 90 25 25.
bienvenou- Admin
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Re: RICHE OU PAUVRE JEUNE OU VIEUX NOUS SOMMES EGAUX DEVANT LA FEERIE DE NOEL
POUR CERTAINS NOEL EST LOIN POUR MOI ET D AUTRES NOEL EST PRESENT TOUT LE TEMPS
LA PREUVE
La rencontre
◗ NOËL À VÉLO
On le reconnaît de loin. Un grand corps maigre
juché sur son vélo, avec des ballots et
des sacs accrochés partout . Comme s’il
trimbalait sa maison avec lui. Sur ses longs
cheveux gris attachés en queue de cheval, il
a superposé deux chapeaux... Noël est canadien,
il a débarqué en Provence dans les années
70. "Je suis arrivé par le train. En descendant
à Valence, j’ai senti que j’arrivais
chez moi".
A l’époque, Noël avait la trentaine et il
squattait une maison d’amis près d’Apt. Depuis
Noël a voyagé, beaucoup voyagé.
Quand on l’a croisé sur une route départementale,
il rentrait d’un séjour de plusieurs
années en Israël "Ca commençait à faire
long". Bien sûr, Noël n’a pas pris l’avion.
Pour revenir par chez nous, il a pédalé et il
continue de pédaler encore en Provence.
Pendant l’été, il se balade dans le coin au
hasard des petits boulots qu’il trouve à droite,
à gauche selon sa devise : "Quand la
bourse est vidée, il faut la remplir à nouveau
!" Pour dormir, il campe, il squatte, il
dort à la belle étoile ou chez des amis.
Ce jour là, il attendait avec impatience des
copains anglais chez qui il allait enfin pouvoir
consulter ses mails et savoir si son petit-
fils est né : "Parce que s’il faut que j’envoie
une lettre et que ma fille me réponde...
Ça risque de prendre du temps..."
LA PREUVE
La rencontre
◗ NOËL À VÉLO
On le reconnaît de loin. Un grand corps maigre
juché sur son vélo, avec des ballots et
des sacs accrochés partout . Comme s’il
trimbalait sa maison avec lui. Sur ses longs
cheveux gris attachés en queue de cheval, il
a superposé deux chapeaux... Noël est canadien,
il a débarqué en Provence dans les années
70. "Je suis arrivé par le train. En descendant
à Valence, j’ai senti que j’arrivais
chez moi".
A l’époque, Noël avait la trentaine et il
squattait une maison d’amis près d’Apt. Depuis
Noël a voyagé, beaucoup voyagé.
Quand on l’a croisé sur une route départementale,
il rentrait d’un séjour de plusieurs
années en Israël "Ca commençait à faire
long". Bien sûr, Noël n’a pas pris l’avion.
Pour revenir par chez nous, il a pédalé et il
continue de pédaler encore en Provence.
Pendant l’été, il se balade dans le coin au
hasard des petits boulots qu’il trouve à droite,
à gauche selon sa devise : "Quand la
bourse est vidée, il faut la remplir à nouveau
!" Pour dormir, il campe, il squatte, il
dort à la belle étoile ou chez des amis.
Ce jour là, il attendait avec impatience des
copains anglais chez qui il allait enfin pouvoir
consulter ses mails et savoir si son petit-
fils est né : "Parce que s’il faut que j’envoie
une lettre et que ma fille me réponde...
Ça risque de prendre du temps..."
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
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