RODEZ AF // CFA JOUEURS ET COACHS

sergio1212 a écrit:Il est pas mal ce classement on se défend bien.

oui devant de gros centres de L1 OU L2 
. Bastia  AC Ajaccio  Nice . Arles Avignon  OM

Il a une grosse épée Mansour.

sergio1212 a écrit:Il a une grosse épée Mansour.

AH BON ET POURQUOI FAIRE 

Je te laisse imaginer.

sergio1212 a écrit:Je te laisse imaginer.

 VOIS PAS JE SUIS UN PEU SOURD LOL

Un génie un peu sourd
C’est un commercial qui s’arrête sur le bord d’une route après une longue journée de travail.
Il rentre alors dans un bar pour prendre un café. Il s’assied à côté d’un homme et ils commencent à discuter.
Au bout d’un quart d’heure le commercial assez curieux demande à son nouvel ami où il a acheté ce si gros attaché-case qu’il tient entre ses jambes et ce qu’il met à l’intérieur. L’homme ouvre alors la mallette et là… Oh! Incroyable. Un animal énorme, une mite géante !
L’homme propose alors au commercial de le suivre un peu plus loin pour lui montrer quelque chose d’encore plus rare. Une fois dehors l’homme sort une vieille lampe rouillée. Le commercial, terre à terre, fait demi tour mais l’homme insiste et lui demande de caresser la lampe. Et là, comme par magie, un génie surgit : « Vous avez droit à un seul voeux… et vite » lui dit le génie.
Le commercial abasourdi, panique et s’empresse de dire : « Heu ! Je voudrais… euh… euh … un milliard ! »
Le génie claque des doigts et disparaît dans une épaisse fumée. Un superbe billard est posé devant eux. Le commercial ne comprend pas et s’énerve : « Mais, il est bouché ou quoi ton génie, je lui demande un milliard et il me donne un billard ! »
Et l’homme lui répond :
« Et moi, tu crois peut-être que je lui ai demandé une grosse mite ! »

Je suis satisfait de notre contenu»
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Publié le 24/09/2014 à 03:54, Mis à jour le 24/09/2014 à 08:30

Rodez (12) - Football. D1feminines. Malgré le partage des points, Nicolas Bach est content de la prestation des Rafettes.

Laurie Cance a été en vue lors du match contre Arras./ Photo DDM, C. M.


Vous avez fait le nul, samedi, à domicile, contre Arras. Des regrets à l'issue de cette rencontre ?

Oui, on a quelques regrets. Honnêtement, je pense que c'est notre meilleur match à domicile depuis que je suis à la tête de l'équipe. On a vu de bonnes choses, de belles séquences. On a su avoir de l'animation offensive, être sérieuses. On a retrouvé les automatismes que l'on a travaillés pendant notre préparation. On a fait globalement une bonne performance. Donc, on est un peu déçues de ne pas avoir pu concrétiser nos occasions pour remporter ce match. Car on a eu plusieurs situations dangereuses devant le but, mais on n'a pas réussi à marquer. Et au final, on doit partager les points. Et on sait que les points contre les concurrents directs sont primordiaux.
Justement, dimanche, vous serez à nouveau sur la pelouse d'un concurrent direct au maintien, Guingamp. Un match où il vous faudra ramener des points ?
Oui, même si Guingamp n'est pas tout à fait dans la même situation. Il se situe plus entre le groupe de tête et ceux qui jouent le maintien. Le club a des moyens conséquents, a fait un recrutement important. Donc, on s'attend à un match difficile. Maintenant, je pense que l'on verra encore un très bon match de football avec deux équipes qui jouent au ballon, avec du rythme, de l'engagement. Cela devrait être intéressant. Et on devrait prendre du plaisir, comme ce week-end. On ira, bien sûr, chercher quelque chose sur leur pelouse. On joue tous les matchs pour les gagner, avec de la chance et de l'opportunité, en fonction de l'adversaire. Mais on espère ramener des points avant la réception de Metz, qui sera aussi très importante. Là, on finira notre série de cinq matchs contre nos concurrents directs, en espérant que le bilan soit positif, avec une seule défaite.
Votre début de championnat est meilleur que l'an passé ?
Il faut relativiser. Car l'an dernier, lors du 2e, on avait joué Montpellier, et lors du 4e Juvisy. Mais on est sur une meilleure dynamique, avec un meilleur contenu, un bon état d'esprit. On joue mieux, le groupe est plus solidaire. Les signes sont donc encourageants. On a une base solide et on a juste quelques ajustements à faire.

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Le point sur les débuts des Rafettes

Pour l'instant, les féminines du Rodez Aveyron Football ont joué trois rencontres. Elles se sont imposées lors du premier à Saint-étienne, avant de s'incliner à Soyaux et de faire le nul ce week-end, face à Arras. Ce qui permet aux Rafettes d'être 6es avec 7 points. Dans la poule, on retrouve les quatre cadors en tête, Lyon, le PSG, Juvisy (12 points) et Montpellier (9). Soyaux est 5e avec le même nombre de points que Rodez. Puis viennent Albi et le prochain adversaire du RAF, Guingamp, avec 6 points. Arras, premier non relégable, a 5 points. Dans la zone rouge, on trouve Issy, Saint-étienne (4 points) et Metz (3).

Football: Rodez a eu chaud face au Monastère
Le 28 septembre à 10h52 par Maxime Raynaud | Mis à jour il y a 19 heures
Les Ruthénois sont tombés sur des Monastériens remontés. Et ont dû puiser dans leurs réserves. (Jean-Louis Bories)
À force, il va devoir s’y habituer. Chaque saison ou presque, les premiers tours de la Coupe de France prennent pour le Rodez Aveyron football des airs de sacerdoce. Hier, face au Monastère, et comme lors du dernier exercice à Montauban - déjà battu 2-0 après prolongation - pour leur entrée en lice il y a un an, les Ruthénois ont dû attendre la prolongation pour souffler et enfin voir le bout du tunnel. Un but de Bobek d’un missile des 20 m dans les arrêts de jeu de la première mi-temps du rab (105e +2), ce qui n’a pas fini de faire râler chez les "jaune et noir"; puis une tête de Suarez en toute fin de partie (120e) ont libéré les hommes de Plenecassagne.
Libéré, le mot est à peine trop fort. Car si la rencontre a logiquement tourné à l’attaque-défense, Le Monastère a longtemps fait oublier les cinq divisions d’écart. Pensionnaires de PL et au courage, les protégés de Thierry Leroy ont même littéralement fait douter la formation de CFA, pourtant en confiance après deux victoires de rang en championnat. Oui mais voilà, la Vieille Dame se moque des étiquettes et des dynamiques.

Benjamin Costes, gardien en feu



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Elle serait même plutôt du genre à se lécher les babines devant les révélations du Petit Poucet. Hier, le portier monastérien Benjamin Costes a tenu le rôle et dégoûtait des attaquants du Raf souvent maladroits. Sorties loin de ses buts devant Ouadah ou Chougrani, parade au ras de son poteau comme sur ce coup franc de Lorthioir (76e), ou arrêts réflexes devant Mahaya (84e) ou sur une tête de Bardy à bout portant (90e +3), il leur a tout fait. Jusqu’à ce que le capitaine Bobek ne l’oblige à s’incliner. Mais cela ne fera pas oublier que Le Monastère, dont les joueurs ont terminé perclus de crampes mais la tête haute, a livré hier une démonstration de fierté et d’envie.

Saint-Affrique et Onet rescapés

Si Onet n’a jamais véritablement réussi à imposer son rythme ni véritablement son jeu, il a tout de même fait honneur à son rang en dominant Saint-Sulpice, élève de PL, dans les toutes dernières minutes de la rencontre! Villefranche-de-Rouergue (PH), qui ne partait pas favori face à Castres (DHR), a arraché les prolongations mais a encaissé un but fatal à la 105e minute. Bas-Rouergue (PL), quant à lui, a joué de malchance face à Grisolles (DHR) avec deux barres transversales et de nombreuses occasions gâchées. Il s’incline 3-1. Saint-Affrique (PH) a, lui, égalisé à deux reprises sur la pelouse de Cahors (PH) et s’est même permis le luxe d’éliminer les locaux lors de la séance des tirs au but (5-4)!

tirage du 5e tour de la Coupe de France avait lieu hier soir pour Midi-Pyrénées. Un tirage effectué par Jean-Pierre Papin, qui a eu la main un peu lourde pour les 3 clubs rescapés du département

: Saint Affrique, Onet le Château, et Rodez.

tirage peu clément pour le Rodez Aveyron Football. Les pensionnaires de CFA seront en déplacement, sur la pelouse de Balma, qui évolue en CFA2... «On aurait pu avoir un tirage beaucoup mieux, confie Franck Plenecassagne. On sait que Balma est une équipe difficile à manier, une très bonne équipe, habitué aux joutes du CFA2, avec des joueurs de niveau CFA, voir plus.» Pour le coach ruthénois, seul avantage, ce sera peut être un match plus facile à préparer : «C'est une équipe structuré, organisé dans le jeu, qui a un terrain semblable à ce qu'on a l'habitude d'avoir tous les week-ends. On peut donc mieux préparer ce match, connaissant l'équipe et son environnement. Maintenant, pour moi, ça peut être du 50/50.»



 

Balma (CFA2)/Rodez (CFA)

Quel tirage de merde.

sergio1212 a écrit:Quel tirage de merde.

cava etre tres dur
j'avais vu balma contre ajaccio L2 encoupe en 2009

les pros etainet menes 2 à1 a la 90 eme
ils egalisent et gagnent aux tirs aux buts apres prolong

donc ce sera un match aux couteaux

C'est toujours particulier les matchs entre Balma et nous, on va perdre.

sergio1212 a écrit:C'est toujours particulier les matchs entre Balma et nous, on va perdre.

ce sera dur mais pas sur de perdre
rodez c'est le haut du cfa et balma le ventre mou du cfa2

faut pas etre defaitiste

Depuis de nombreuses années nous sommes ridicule à l'extérieur contre des équipes plus faible sur le papier. Balma ça a toujours était des matchs difficile et un gros combat sur le terrain. On se fait sortir je l'annonce.

sergio1212 a écrit:Depuis de nombreuses années nous sommes ridicule à l'extérieur contre des équipes plus faible sur le papier. Balma ça a toujours était des matchs difficile et un gros combat sur le terrain. On se fait sortir je l'annonce.

c'est vrai que le fait de jouer à domicile un match de coupe 
c'est un gros avantage

 URSULE CONNAIT DU MONDE 



RAF - Rodez Aveyron Football PAGE OFFICIELLE
Hier, à 19:31 · 
Papinade Aveyronnaise



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BALMA (CFA2) / RODEZ (CFA) 
Roger CAU (président de Balma) : « Je vous dirai si c’est un bon tirage à la fin du match… »
« Cela promet une belle rencontre. Je vous dirai si c’est un bon tirage à la fin du match (sourire). Dans tous les cas, nous devrons sortir un grand match pour passer ce tour. »
 
Grégory URSULE (coordinateur de Rodez) : « C’est sûrement le tirage le plus difficile que l’on pouvait avoir… »
« Le charme de la Coupe de France c’est qu’il n’y a jamais vraiment de favori. C’est sûrement le tirage le plus difficile que l’on pouvait avoir. Ce sera très compliqué face aux Balmanais, qui plus est sur leur pelouse. »

Je ne pense pas qu'il connait Papin personnellement, il a juste profiter du tirage au sort pour faire une photo comme n'importe qui l'aurait fait.

sergio1212 a écrit:Je ne pense pas qu'il connait Papin personnellement, il a juste profiter du tirage au sort pour faire une photo comme n'importe qui l'aurait fait.

alors il est malin 

 bon pour la com du RAF 

N'importe qui, qui rencontre JPP aurait fait une photo, après là ou c'est intelligent c'est de faire la photo avec le t-shirt du RAF.

sergio1212 a écrit:N'importe qui, qui rencontre JPP aurait fait une photo, après là ou c'est intelligent c'est de faire la photo avec le t-shirt du RAF.

c'est son job

 donc il pense à ce genre de detail a l'avance 40 000 euros par mois tu réfléchis un peu

Une bonne dynamique»
 le 03/10/2014 à 08:12

Football - Amateurs - Rodez (12) - Football. CFA. Rencontre avec le président ruthénois, Pierre-Olivier Murat et son directeur Grégory Ursule

«Notre entraîneur, Franck Plenecassssagne, a remis de l'ordre dans le groupe et l'équipe a retrouvé son état d'esprit», analyse le président ruthénois, Pierre-Olivier Murat/DDM.SH


En l'absence de l'entraîneur, Franck Plenecasssagne, bloqué par un dos douloureux, le président ruthénois, Pierre-Olivier Murat et son directeur sportif, Grégory Ursule, sont venus, hier, assurer la conférence de presse hebdomadaire.

L'occasion de revenir sur un début de saison sportif délicat. «Effectivement, les lourdes défaites enregistrées à l'extérieur ont surpris nos supporters et les équipes de la poule. En interne, nous n'avons jamais dramatisé sachant d'où venaient ces mauvaises performances.
Elles étaient dues à une préparation d'avant saison où nous avions fait le choix de travailler nos points faibles du passé. Ainsi, face aux défenses regroupées ou dans les secteurs des coups de pied arrêtés, nous avions des lacunes. Cette période de préparation nous a permis de renforcer ces domaines tout en partant de l'idée que le reste était acquis. Notamment l'état d'esprit et la combativité qui représentaient, l'un et l'autre, nos points forts. Au bout du compte, c'est dans ces domaines que nous avons craqué», analyse lucidement, Grégory Ursule.

Mettre de l'ordre

Et, Pierre-Olivier Murat de poursuivre l'analyse. «Notre entraîneur a mis de l'ordre et nous avons retrouvé une envie, une solidarité, un esprit d'équipe». En langage sportif, cela se nomme un bon coup de gueule. Ce dernier a porté ses fruits puisque «notre football a gagné en qualité et en solidité». Aussi, Rodez se retrouve de nouveau lancé vers ses ambitions de monter.
«Nous sommes attendus par nos adversaires. C'est logique. Ce samedi, nous jouerons un tournant de la saison en recevant Chasselay. Une victoire pourrait nous propulser vers les hauteurs du classement car dans le même temps cette soirée propose des oppositions entre les équipes de tête. D'ailleurs, malgré nos défaites, qui ont plombé le goal-average, nous comptons plus de points à l'heure actuelle que la saison dernière. C'est encourageant».
Le public ne s'y trompe pas puisque les abonnements ont augmenté de manière significative. «Le football proposé est agréable. Quand les joueurs se livrent à fond, le public est heureux, revient. S'abonner est un geste fort qui se fait sur la base d'un plaisir et d'une envie de venir au stade. On souhaite que cela continue. Nos partenaires sont là, solidaires, actifs, motivés. Le budget, association et SASP comprise, sera de l'ordre de 1,1 M€. On a réduit la masse salariale de 30 %, il y a un peu plus d'une année. Il est hors de question d'alourdir de nouveaux nos dépenses». D'autant que le soutien de Zinedine Zidane, fort occupé au Real de Madrid, n'est plus à l'ordre du jour.

Rodez Aveyron Football : Djibi Banor, le travailleur sort de l’ombre
Le 04 octobre à 07h00
Surnommé « Yaya Touré » par David Suarez, Banor a pris une nouvelle dimension. (Jean-Louis Bories)
Il était arrivé à l’été 2013 sur la pointe des pieds. Le manager Gregory Ursule l’avait bien comparé à l’hyperactif Parisien Blaise Matuidi, les débuts de Djibi Banor en « sang et or » avaient d’abord été discrets. « Un peu comme moi dans la vie », sourit-il, ses longues jambes dépliées sous la table. Une histoire d’adaptation, d’acclimatation à écouter son coach Franck Plenecassagne. « L’an dernier, en venant à Rodez, il a choisi de basculer dans le monde semi-pro, et de passer de 2 ou 3 entraînements par semaine à 6. Du coup, son inconstance était compréhensible. »

Malgré cette relative irrégularité pour un joueur ayant tout de même cumulé 20 titularisations en CFA (pour 1 but) la saison dernière sans jamais se blesser ou être suspendu, le public ruthénois a appris à aimer les échasses et les longues courses de ce milieu défensif « box to box » (d'une surface à l'autre). Et depuis le début de cette saison, Paul-Lignon a même découvert un talent brut avec un moteur énorme. Car aujourd’hui, le longiligne gamin (1,84 m, 73 kg) de Mantes-la-Jolie et de la banlieue du Val Fouré (Yvelines) a pris une tout autre dimension à ce poste qu’il juge lui-même « ingrat. Il faut avoir envie de répéter les efforts, même pour rien. Mais j’aime ça ».



Loin de l’ombre, en pleine lumière, Djibi Banor a désormais pris des airs d’incontournable. « La saison dernière, j’étais une recrue et je pense avoir fait un assez bon championnat, analyse-t-il de son débit de parole à cent à l’heure. Maintenant, je me connais mieux mais il faut que j’assume et que je travaille pour aller plus haut. Si je voulais juste faire un petit foot comme ça, je serais resté à Mantes-la-Jolie, j’aurais appelé quelques potes et on serait allé sur le city stade d’en bas. »

Plenecassagne : « Chaque matin,  il se lève et veut tout bouffer »

Cet amateur de basket a décidé de tenter sa chance dans l’Aveyron, obnubilé par un rêve :  « Celui de devenir pro », glisse l’intéressé les yeux pétillants. Un choix qu’il a dû assumer, laissant sa fratrie (au total 12 frères et sœurs !) en région parisienne mais aussi son emploi dans les centres de loisirs et collèges derrière lui. « Djibi est dans une dynamique d’apprentissage. Il a mis une parenthèse dans sa vie professionnelle pour tenter sa chance, confirme Ursule. Donc il bosse et ça paye. »

Bosseur, le joueur d’origine sénégalaise l’est incontestablement. Il n’a même que ça à la bouche. « Je travaille en espérant être récompensé. On n’a rien sans rien, veut-il croire. Mais tôt ou tard, ça va payer. Si je suis venu ici, ce n’est pas pour faire le beau, c’est pour progresser. Je n’ai jamais fait de centre de formation, j’ai tout à apprendre. » « C’est quelqu’un qui bosse tout le temps. Il a cette volonté..., admire l’entraîneur ruthénois. Nous tous, on s’est peut-être habitué au confort. Lui mesure sa chance de jouer au foot et, chaque matin, il se lève et veut tout bouffer. C’est une belle leçon. »
Comme celle que lui a donnée Issam Chebake. La saison dernière, les deux compères étaient inséparables, au point d’être surnommés « tic et tac ». Après une année étincelante, le latéral droit a signé son premier contrat pro au Havre (Ligue 2). « Ce qui est arrivé à Issam, pour tout amateur, ça donne de l’espoir. Pour franchir le pallier, il faut travailler. » Djibi Banor, baptisé « Yaya Touré » par David Suarez, a visiblement bien saisi le message.