NLG NOEL LE GRAET NEW PRESIDENT FFF

Football. Noël Le Graët à Ploufragan ce mardi
Ploufragan - 05 Mai
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• Noël Le Graët. | DAVID ADEMAS
  

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Le président de la Fédération française sera à Ploufragan, ce mardi, pour une réunion de travail, qui vise notamment à étendre l'influence du centre technique Henri-Guérin.

La Ligue de Bretagne de Football accueille, ce mardi 6 mai au Centre Technique Bretagne Henri Guérin à Ploufragan, Noël Le Graët, président de la FFF et Lionel Boland, président de la Ligue de Football Amateur.
L'objet de la réunion de travail est d'étudier la possibilité de recevoir les sélections nationales des équipes de France jeunes et féminines et autres réunions au centre technique Henri-Guérin de Ploufragan, suite à l'extension de ce dernier et pendant les travaux importants de rénovation du Centre National de Football de Clairefontaine.
L'idée de la Formation en contrat d'apprentissage sera également à l'ordre du jour avec le Campus d'Excellence Sportive et la région Bretagne.

La FFF ne cautionnera aucun "hymne officiel" pour l'équipe de France

Publié le 15/05/2014 à 13:23, Mis à jour le 15/05/2014 à 13:33



Noël Le Graët, le président de la FFF./Photo AFP.




Vidéos -- La Fédération française de football a indiqué ce jeudi qu'elle n'accordera à aucune chanson le titre d'"hymne officiel" des Bleus pour la Coupe du Monde-2014.
"Suite aux nombreuses chansons sorties ces derniers jours sur le thème de la Coupe du monde au Brésil, la FFF tient à préciser qu'elle n'a accordé - et n'accordera - à aucune d'entre-elles le titre d'hymne officiel de l'équipe de France. Il n'y aura donc pas d'hymne officiel de l'équipe de France pour le Mondial", a expliqué la FFF. Plusieurs artistes, dont Mickey 3D, ont dernièrement publié des chansons, la plupart sur un ton humoristique, pour encourager les hommes de Didier Deschamps au Brésil. D'autres sélections ont opté pour un hymne officiel. C'est notamment le cas de la Belgique, qui a choisi le tube de Stromae "Ta fête".

Le Graët: les sanctions du fair-play financier «tombe(nt) un peu au mauvais moment» pour le PSG

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Invité dimanche soir sur le plateau de Canal+, Noël Le Graët a réagi à un sujet diffusé par Enquêtes de foot sur le fair-play financier et les sanctions imposées au PSG (encadrement de la masse salariale, amende de 60 millions d’euros, limitation des transferts et seulement 21 joueurs inscrits en C1). Si le président de la FFF estime que «les règles de l’UEFA ont quelque chose de positif», il a aussi regretté que les sanctions «tombe(nt) un peu au mauvais moment : Paris vient d’arriver avec un capital très différent de ce qui s’est fait jusqu’à présent et monte une très belle équipe capable de rivaliser avec les meilleurs d’Europe. J’aime bien le PSG, on a besoin du PSG en France, Paris a besoin d’une grosse équipe. Le PSG est indispensable au football français, mais de l’autre côté l’UEFA a raison de faire en sorte de réguler le plus possible les sommes qui ne sont pas naturelles.»

Football. Noël Le Graët ne se représentera pas à la tête de la FFF
France - 30 Mai - 0
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• Noël Le Graët, ici avec Najat Vallaud Belkacem. | Photo : Ouest-France / Jérôme Fouquet
  

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Élu à la tête de l'instance le 18 juin 2011, Le Graët, ancien maire de Guingamp et ancien président du club de la ville, avait été réélu pour quatre ans le 15 décembre 2012.

« Il est temps de laisser la place »
Noël Le Graët a annoncé vendredi sur RMC que son actuel mandat à la tête de la Fédération française de football serait le dernier et qu'il ne se représenterait pas à sa succession fin 2016.
« C'est le dernier (mandat). J'aurai fait six ans, j'aurai 75 ans et il sera temps de laisser la place à des plus jeunes. Mais j'ai encore deux ans », a dit NLG.
Les comptes dans le vert
Elu à la tête de l'instance le 18 juin 2011, Le Graët, ancien maire de Guingamp et ancien président du club de la ville, avait été réélu pour quatre ans le 15 décembre 2012.
Depuis sa prise de fonctions, les comptes fédéraux sont dans le vert, le nombre de licenciés a passé le cap des deux millions et son choix de confier la sélection à Didier Deschamps s'est avéré payant avec une qualification, certes au forceps et en barrages (contre l'Ukraine 0-2, 3-0), pour le Mondial où les Bleus peuvent de nouveau nourrir quelque ambition.
« Platini à la Fifa ? Blatter est difficile à battre »
Mais la fin de son mandat sera surtout marquée par l'organisation de l'Euro 2016 en France.
Enfin, interrogé sur la possibilité de voir Michel Platini, président de l'UEFA, se présenter à la tête de la Fifa face à Joseph Blatter, président actuel et qui devrait officialiser sa candidature à sa propre réelection pour le scrutin de 2015, NLG a affirmé que « oui (il le soutiendra). Si le président de la FFF ne soutient pas Michel Platini, il faut vraiment changer de président ».
« Mais je n'ai pas l'impression qu'il se dirige vers une candidature, a toutefois estimé Le Graët. Sepp Blatter est en place et il devrait être candidat. Je ne suis pas certain que Michel sera candidat. Blatter est difficile à battre. » 

Le Graët après le forfait de Ribéry : «La même ambition»

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«On attendait un peu cette décision malheureusement, a déclaré Noël Le Graët dimanche dans l'émission TéléFoot sur TF1 à propos du forfait de Franck Ribéry, jeudi. En pleine forme, il est indispensable en équipe de France. Mais depuis trois mois, il est moins bien. Je pense que ce n'était pas possible qu'il aille au Brésil. Quand on a un joueur de ce calibre, il faut se donner toutes les chances de le garder. Le staff et Franck lui-même ont fait le maximum.»



«On a un groupe de jeunes assez exceptionnel»Le patron du foot français a répondu par un «non» énergique à une question portant sur une éventuelle révision à la baisse des ambitions des Bleus, privés de leur joueur le plus expérimenté en Coupe du monde (10 matches). «On a un groupe de jeunes assez exceptionnel. Cette équipe a le talent et l'envie. Le foot rest un sport collectif. Nous avons 23 joueurs très concernés.» Avant le forfait du Munichois, Noël Le Graët avait fixé comme objectif les quarts de finale.

LE GRAËTADE L’AMBITION
Le président de la FFF est revenu hier dans Téléfoot
sur le forfait de Franck Ribéry et a expliqué que les
Bleus gardaient "la même ambition" malgré cette absence.
"On a un groupe de jeunes exceptionnel. Cette
équipe a le talent et l’envie", a martelé Noël Le Graët.
◗ LE PROGRAMME
Dimanche 15 juin: France - Honduras .........21h, TF1 et BIS
Vendredi 20 juin: Suisse - France ...............21h, TF1 et BIS
Mercredi 25 juin: Équateur - France ...........22h, TF1 et BIS

Le Gräet a déjeuné avec les joueurs

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Après avoir assisté au Congrés de la FIFA, Noël Le Graët a pu rejoindre Ribeirao Preto. Le président de la FFF a déjeuné jeudi midi avec les joueurs de l'équipe de France qui se sont ensuite entraînés. Les Bleus commencent le Mondial dimanche soir contre le Honduras.

Le Graët: "Knysna? Je n'y pense plus depuis longtemps"

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Oublié le fiasco sud-africain et le douloureux épisode de Knysna. "C'est très très loin, dixit le président de la Fédération française de football, Noël Le Graët, dans un entretien accordé ce jeudi à RTL. Je n'y pense plus depuis longtemps..." Et l'intéressé de s'en expliquer plus en détails: "Parce que la préparation a été très bonne voire exemplaire. On s'est rendu compte qu'il y avait un accueil extraordinaire de la part du public. Il y a une attente, une attente considérable ! Je pense que les joueurs ont aussi su faire ce qu'il fallait. Au niveau de l'image, des résultats, de la manière de jouer, du comportement. Ils ont beaucoup de savoir vivre, il n'y a pas de gros problème depuis déjà très longtemps. On va mieux et je pense que le groupe est sûrement plus costaud aujourd'hui, tant moralement que techniquement."

Le Graët : «Il y a un peu d'excès»
Invité ce dimanche en conférence de presse à Ribeirao Preto, le président de la Fédération française (FFF), Noël Le Graët, a exprimé sa satisfaction, mais aussi sa surprise face à l'engouement que suscite l'équipe de France. Il ne s'en plaint pas pour autant... 104
«Pas d'impasse» face à l'Equateur«Jusqu'où peuvent-ils aller ?»
Le président de la Fédération française (FFF), Noël Le Graët, n'a pas voulu prendre parti, ce dimanche, dans le conflit qui oppose le médecin de l'équipe de France à celui du Bayern Munich, autour de la blessure de Franck Ribéry.

CHAPEAU

Interrogé par Le Parisien, Noël Le Graët a confirmé qu'il aimerait prolonger le contrat de Didier Deschamps, lié à la Fédération jusqu'à l'Euro 2016. "Le contrat du sélectionneur se termine en juin 2016. L'élection à la présidence de la Fédération, elle, a lieu à la fin de l'année 2016. Il faudra décider avant, note le président de la FFF, confirmant qu'il aimerait devancer l'appel. Je le souhaiterais. C'est certainement quelque chose qui pourrait lui être proposé par le comité exécutif de la Fédération."

Equipe De France : Le Graët: "Nasri n'est pas un mauvais garçon"
Interrogé dans les colonnes du Parisien, Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), est revenu sur les retraites internationales de Franck Ribéry et Samir Nasri. Des annonces qu'il a accueillies de manière bien différentes... Ainsi, pour le Munichois, il estime que ce n'était "pas à lui de le faire", la décision appartenant à son sélectionneur, Didier Deschamps. "Si Ribéry, dans quelques mois, est en super forme avec son club et qu'il est indispensable au football français, il sera convoqué, assure-t-il. Il n'y a aucune raison qu'un garçon comme lui ne sorte pas par la grande porte. A condition bien sûr qu'il revienne au niveau qui était le sien. Le problème, c'est que cela fait un moment qu'il n'est plus dans le coup physiquement. J'espère de tout cœur qu'il retrouve ses sensations. Il est encore jeune et il devrait pouvoir disputer l'Euro 2016. Deschamps a toujours souhaité que Ribéry joue." Ce qui n'est visiblement pas le cas de Nasri, écarté pour la Coupe du monde 2014 malgré sa présence dans le groupe France lors du barrage aller-retour face à l'Ukraine fin 2013. "Nasri, lui, n'est plus dans la ligne du sélectionneur... Et je ne pense pas que ce soit près de changer, estime le patron de la "3F". Cela ne veut pas dire que c'est un mauvais garçon."

Football | FFF
Houllier dans le fauteuil de Le Graët  ?
[url=https://twitter.com/share?url=http://www.lequipe.fr/Football/Article/Houllier-dans-le-fauteuil-de-le-graet-nbsp/30113&text=Houllier dans le fauteuil de Le Graët  ?&via=lequipe][/url]
RAPHAËL RAYMOND ET ÉTIENNE MOATTI
Jeudi 9 octobre 2014
L'ancien directeur technique national a approché plusieurs présidents de clubs pros à propos d'une éventuelle candidature à la présidence de la FFF, en 2016.

[size=40]Le Graët pense arrêter en 2016

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Noël Le Graët a indiqué jeudi, dans l’émission Les Spécimens sur Canal + Sport, qu’il ne pensait pas briguer un nouveau mandat de président de la FFF en 2016. «J'ai affirmé que je souhaitais arrêter fin 2016, et je pense que je le ferai», a-t-il déclaré. «Il ne m’en a jamais parlé, pourtant je le vois très régulièrement», a indiqué Le Graët au sujet d’une candidature de Gérard Houllier. «Je le connais en tant qu’entraineur, en tant qu’homme sympathique. (…) C’est quelqu'un de très respectable, qui a occupé des postes importants avec beaucoup de réussite», a-t-il développé, avant de conseiller «à ceux qui souhaitent être candidats fin décembre d'attendre un peu, ça pourrait me donner envie de me présenter». «Je verrais bien Didier Deschamps être président de la FFF dans quelques années»,a-t-il aussi dit.

[size=40]La FFF au secours de Zidane, suspendu 3 mois en Espagne
La FFF a apporté mardi «son soutien» à Zinedine Zidane, suspendu de banc trois mois pour avoir exercé avec la Castilla du Real sans avoir validé son diplôme. «les règlements de l'UEFA permettent à un entraîneur en cours de formation d'exercer son métier».

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Noël Le Graët est monté au créneau pour défendre Zinedine Zidane. (L'Equipe)

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Quand une fédération (la FFF) en critique une autre (la fédération espagnole)... Lundi, la RFEF a suspendu pour trois mois l'ancien numéro 10 des Bleus, coupable, selon elle, de ne pas disposer des diplômes requis pour entraîner la Castilla, l'équipe réserve du Real Madrid, s'attirant une vive réplique du club merengue, prêt à «épuiser toutes les voies juridiques» contre cette sanction. Dans un communiqué, mardi, la FFF «a, à nouveau, apporté son soutien à Zinedine Zidane, suite à la décision de la Commission (Ndlr : des compétitions de la Fédération) espagnole de le sanctionner pour non détention du diplôme d'entraîneur nécessaire».



[size]La FFF ajoute qu'elle a «sollicité directement le président» de son homologue espagnole pour lui notifier que «la décision de la commission espagnole revient à sanctionner le choix de Zinedine Zidane de suivre le cursus français de formation pour l'obtention du BEPF (Ndlr : Brevet d'entraîneur de football professionnel), alors que les règlements de l'UEFA permettent à un entraîneur en cours de formation d'exercer son métier».

Pour Noël Le Graët, le président de la FFF, cité dans ce long communiqué, «il est dommageable pour le football européen qu’un joueur aussi emblématique que Zidane, qui a décidé de suivre la formation française d’entraîneur, reconnue dans le monde entier, ne puisse exercer son métier comme le permet l’UEFA».
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[size=36]le graët : "ça ne fait pas du bien au football"
Sports en direct-OM en direct-Région en direct
Mercredi 19/11/2014 à 19H43 Marseille[/size]




Noël Le Graët a réagi dans les colonnes de L'Equipe sur l'affaire des  malversations liées aux transferts de joueurs à l’OM et à la garde à vue de Vincent Labrune et des anciens dirigeants olympiens.  "À Marseille, il s’agit d’un dossier financier. Il me semble qu’il faudra sans doute un peu de temps afin d’y voir plus clair. En attendant, j’invite tout le monde à la prudence dans les analyses et les commentaires. (...) C’est quand même compliqué de se prononcer alors que des enquêteurs démêlent le vrai du faux. Ça ne fait pas du bien au football, c’est sûr", a déploré le président de la FFF.

[size=36]Le Graët : «On n'est pas très loin des meilleurs»[/size]

Publié le 08/12/2014 à 03:49, Mis à jour le 08/12/2014 à 07:58

Football - Équipe de france. Interview. En visite à Toulouse ce week-end, le président de la Fédération se confie.

Noël Le Graët, patron de la FFF depuis 2011, voit bien les Bleus remporter le Championnat d'Europe, au pays, dans deux ans./ Photo DDM, Frédéric Charmeux

Son avion en provenance de Paris a atterri à Toulouse-Blagnac avec une heure de retard. Il doit maintenant prendre la direction de Montpellier. Noël Le Graët, président de la puissante FFF, est un homme pressé. De passage samedi matin au siège de la Ligue Midi-Pyrénées à Castelmaurou (31), le Breton, entre une rencontre avec des dirigeants locaux du ballon rond et une distribution de porte-clés estampillés «3F» à l'assistance, a pris le temps de répondre à nos questions.
Une année 2014 marquée par un quart de finale de la Coupe du monde et une campagne de matches amicaux qui amènera l'équipe de France jusqu'à l'Euro-2016 : en tant que patron du football français, comment jugez-vous la saison des Bleus ?
Les douze derniers mois ont été bons. Mais il est vrai qu'on souffrait un peu depuis quelque temps. L'après-2010 a été difficile. La qualification à la Coupe du monde grâce à la victoire contre l'Ukraine a modifié les choses : en un match, on change tout ! Ce sont les miracles du foot. Ne pas aller au Mondial aurait été catastrophique pour le foot français. On a réussi à se qualifier et donner une très bonne image au Brésil. Très franchement, on n'est pas encore au niveau des meilleurs mais on n'est pas très loin… On est passé de la 20e à la 7e place au classement Fifa et ça, c'est grâce aux résultats. Donc c'est une très belle année pour l'équipe de France.
Selon un récent sondage, près de 9 Français sur 10 trouvent l'équipe de France sympathique. C'est une grosse satisfaction pour vous ?
En France, dans tous les villages, dans toutes les villes, le foot est présent. Les gens aiment le ballon rond. Cependant, malheureusement l'équipe de France ne passionnait plus vraiment le public. Aujourd'hui, on retrouve une équipe qui est sympathique c'est vrai, mais qui joue bien et qui gagne aussi. Je crois que les deux doivent être liés. On a une équipe jeune dont certains ont été champions du monde des moins de 20 ans il y a un an et demi. On a ainsi une stabilité sur les quatre années qui viennent. Je pense que 90% de l'effectif actuel sera présent à l'Euro-2016 et au Mondial-2018.
Donc imaginer remporter l'Euro-2016, ce n'est pas utopique ?
Non, néanmoins il faut faire attention. On était encore très loin il y a seulement un an et demi. Mais lors des matches amicaux notamment, nous avons offert un bon spectacle au public. Les hommes qui constituent ce groupe aiment l'équipe de France ; ils sont contents de venir.
Sur un plan économique, quel sera l'impact de cette compétition sur le pays ?
Ce sont 23 nations qui vont venir en France ; 23 pays d'Europe avec leurs supporters, leurs dirigeants et leurs sponsors. Il y aura un million de personnes qui vont se déplacer, qui vont être présentes. L'aspect économique est évidemment important dans une manifestation comme celle-là. En matière d'i-mage, l'Euro-2016 sera également bénéfique pour le pays. C'est un événement tellement médiatisé… Dans tous les pays d'Europe, on parlera de la France. Dans tous les pays du monde, aussi ! Car c'est la compétition la plus regardée après la Coupe du monde.
Un mot maintenant sur le club régional, le TFC.
Quand on se déplace, on a tendance à dire du bien des endroits où l'on est. Là, je vais vous parler en toute sincérité. J'ai beaucoup d'estime pour Olivier Sadran, le président toulousain. C'est un type qui est brillant en affaires, qui gère son club de façon exemplaire. Sa gestion ne peut pas être critiquée. Il fait avec ses moyens, mais il réussit chaque année à sortir son épingle du jeu. En plus, il est de bon conseil. Quand il vient aux réunions parisiennes, il n'est pas du genre à lever la main pour tout et rien. C'est quelqu'un qui a de bonnes idées. J'ai beaucoup de respect pour lui et je suis persuadé que son club va évoluer positivement.
Mais le TFC est sur une mauvaise dynamique sportive. Pensez-vous que le club peut craindre une relégation ?
On ne peut jamais prévoir le classement à l'avance. Les pronostiqueurs pensent toujours que Guingamp, Évian et Bastia vont descendre mais heureusement ce n'est pas aussi simple.
Une dernière question au sujet de l'hommage qui pourrait être rendu à Thierry Henry ?
(rires) C'est le sujet du moment ça ! Cinq joueurs français ont déjà dépassé les cent sélections : Zizou, Desailly, Thuram, Deschamps et Henry. On devait leur rendre hommage il y a quelque temps mais après 2010, c'était délicat… Depuis l'Ukraine et la qualification à la Coupe du monde au Brésil, on peut désormais envisager de le faire. Donc on va réfléchir à la forme que prendra cet hommage.
L'idée fait son chemin de voir «Ti-ti» enfiler en guise de révérence la tunique bleue contre le Brésil en amical, au mois de mars…
Ce sont les journalistes qui ont lancé ça (sourire). Et moi, je ne suis pas journaliste !